Chapitre 1: petite vandale!
Les rues sont noires, aucun bruit n'est audible. Seule mon souffle se fait entendre dans la nuit noire où seule une légère lumière brune est visible, émanante des lampadaires. J'avance, mon sac sur mes épaules, ma capuche rabattue sur mes long cheveux brun.
Je rejoins rapidement mes deux camarades de besogne dans une des ruelles de la ville. Nous la connaissons par coeur.
Ils me sourient et nous partons à travers les ruelles en bétons en direction d'un endroits propice à notre art.
- par ici! Nous dit Zack
Du haut de ses 16 ans Zack est imposant, mais cela n'est il pas normal pour un lycanthrope ? Sa chevelure noir ébène est impeccablement peigné avec du gel en un coiffure rebelle. Une étincelle de malice brille dans son regard océan.
Nous nous arrêtons devant un grand bâtiment blanc où, sur la façade avant est inscrit en lettre noire " Bibliothèque municipale ". Je monte les marches en pierres jusqu'à la porte en bois massif devancé de mes deux meilleurs amis.
- Heu...Les gars, vous êtes sûr du lieu? Demandais-je
Le bâtiment en pierre blanche délavées à l'air ancien.
- Tu as peur Béa? Me taquine Flavio
Lui aussi à bien grandi. Sa carrure est moin impressionnant que celle de Zack mais il n'en est pas moin impossant avec ses épaules larges et son mètre quatre vingt. Ses yeux Amande reflète un grand savoir mais aussi une fougue jeune et insouciante. Ses cheveux brun son coupé court.
- Bien sûr que non! Maintenant ouvre cet porte et fait attention, il peut y avoir une alarme.
Sur les lèvres de Flavio né un sourire de défis. Zack s'agenouille devant la serrure et commence à réciter des sorts pour déverrouiller la porte.
Je ne vous l'avez pas dis? Zack à hérité du gêne de lycanthropie de son père mais aussi celui de sorcellerie de sa mère.
Zack n'arrive pas à ouvrir la porte. Flavio pousse un soupir d'exaspération et prend la place de Zack.
Zack n'est pas encore au point niveau sorcellerie...
- Rien ne vaut un professionnel comme moi! Nous dit Flavio
Je lève les yeux au ciel et Flavio à l'aide d'une carte et de son esprit réussit à ouvrir la porte. Zack lance un sort sur l'alarme, celle-ci reste silencieuse.
- Je me demande bien qui t'a appris à crocheter les portes ainsi. Ce n'est sûrement pas tes pères!
- Je ne révèle jamais mes sources Mlle Des Lothian! Me dit il en plaisantant
- Les sources je m'en fiche. Ce que je veux c'est des résultats. Dis je
Flavio pousse la porte et nous entrons dans le grand bâtiment.
De grandes étagères comblent l'intérieur du bâtiment.
Les murs sont blancs et vierges. Un rictus presque malsain apparaît sur mes lèvres.
- Montez la garde, je m'occupe de tous. Dis je avec un ton autoritaire auquel ils sont habitué.
Je me dirige vers un des murs, celui qui est en face de la porte d'entrée.
Je pose mon sac à terre et en sort mes bombes de peinture. Une noire et une rouge. Je place un foulard rouge et noir quadrillé sur mon nez pour me protéger des effluves de peinture et commence mon art.
Je prend un pochoir et fait les cheveux, puis je prend un autre pochoir préparé par mes soins et fait l'oeil. Je continue ainsi pendant dix minutes. Je repose ma bombe rouge le sourire fier sur mon visage.
J'admire mon travail. Mon tag représente une femme en noir à l'expression surprise avec à côté d'elle une inscription rouge sang. ( voir multimédia )
" J'écris à auteur d'Homme" *
Puis tous bascule.
Les sirenes des voitures de polices résonnent dans la nuit noire. Les lumière émisent par les girofards se répercute sur mon dessins.
Je me dirige vers la sortie en courant mais au moment où je passe la porte je me fait plaquer au sol.
Le policier me passe les menottes et me relève. Je vois mes amis dans une voiture. L'homme derrière moi me fait monter dans une autre voiture.
- Vous êtes en état d'arrestation pour vendalisme d'un lieu publique. Vous avez le droit de garder le....
- C'est bon je les connais mes droits ! Le coupais je
Il me fait monter dans sa voiture et nous nous dirigeons vers le commissariat.
Après un trajet de cinq minutes à avoir admiré le paysage la voiture s'arrête et le policier me fait sortir pour m'enmener dans une des cellules du commissariat
Je m'assois sur un des bancs. Face à moi se trouve une veille dame quelques peu senile qui parle d'une vache violette dans son jardin. Et deux hommes aussi baraqués l'un que l'autre son dans le fond de la cellules.
L'un d'eux vient à côté de moi. Je ne peux m'enpécher de soupirer d'exaspération.
Il affiche un sourire pervers et me regarde.
- Que fait une petite gamine ici? Tu sais tu peux tomber sur des vilains garçons qui n'hésiteront pas à te faire de vilaines choses...
Il pose sa main sur mon genou et commence à remonter.
Je lui attrape le poignet et lui tord. Une expression de douleur apparaît sur son visage.
- En attendant je ne vois qu'un enfant qui veux jouer au grand.
Je lui lâche le poignet et me lève pour aller m'assoir plus loin mais il m'attrape l'épaule et me retourne face à lui.
- Je crois que tu n'as pas bien compris ce que je veux fillette. Me dit il plus sérieusement
- J'ai compris mais tu ne l'aura pas. Je suis pas une de ces putes!
Je m'apprête à continuer mon chemin quand il me plaque contre le mur en briques.
- Oh si gamine je vais l'avoir et maintenant!
Sur ses mots il place un main sur mes fesses et l'autre contre le mur à côté de mon visage.
- Tu l'auras voulu. Dis je
Je lui prend sa main qui est sur mes fesses et lui donne un coup de genoux entre les jambes. Puis je passe derrière lui et lui tord le bras. Il se retrouve a genoux immobilisé. Dans un geste rapide je lui déboîte l'épaule et lui donne un coup de coude dans le haute de la colonne vertébrale. L'homme s'écrase à terre.
- Je t'avais prévenu connard!
J'avance dans la cellules puis m'assois par terre en m'adossant au mur en briques. Je ferme les yeux en essayant de ne plus faire attention aux dires complètement fou de la vieille dame et aux gémissements de douleur de l'homme à terre.
Je suis dans mes pensées. Des pensées que seule moi contrôle. Je peux dire tous ce que je veux sans que l'on ne me le reproche quelques.
Le bruit de clefs dans la serrure de la porte en barreaux résonne. Celle ci s'ouvre sur un policier.
L'officier s'avance vers moi et me fait signe de me lever.
♡❤♡❤♡❤♡❤♡❤♡❤♡❤♡❤♡❤
* jeux de mot entre "hauteur"et"auteur"
Voilà le premier chapitre du tome 2 de l'héritière de Neville :) J'espère qu'il vous à plus !
Dites moi votre avis et désolé pour les fautes.
Bonne journée à tous !!!
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top