Épisode 2: Intrusions

Rappel:

Pour toi:
TP: ton prénom
TN: ton nom
TA: ton âge
CC: couleurs de cheveux
CP: couleurs de peaux
CY: couleurs des yeux
CE: couleurs des équaille

Pour ton chien:
SP: son prénom
SCF: sa couleur de fourrure
SCY: sa couleur des yeux
SR: sa race

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Cela fait deux jours que j'ai vécu cette expérience étrange dans cette forêt, deux jours que je n'ai pas mis un pied dedans aussi. Ce n'est pas pour autant que je suis rester enfermée chez moi avec (SP), on est retournés dans la campagne mais on est rester près des fermes et des champs, c'est plus sur, je pense qu'il va falloir attendre un peu avant de retourné entre les arbres de cette forêt.

Si jamais vous voulez adopter un canidé, retenez cela:

Les hommes comprennent parfois quand quelque chose ne va pas, Les chiens comprennent tout le temps lorsqu'il y a un problème.

[B]Sans mon chien je ne serais peut-être jamais ressortie de cette forêt

Sinon je ne passe pas mon temps à promener mon chien, je vais faire mes cours, à la bibliothèque, au cinéma, aux jeux d'arcade, voir mes amis...

D'ailleurs aujourd'hui on a prévu de sortir en ville, vu que l'on est un samedi et que personne ne travaille (j'aime mon métier) donc on c'est rejoint au parc, on a passer notre journée tranquille et on c'est quitter vers 16 heures. Je suis retourné à l'appartement chercher (SP) pour allez se promener en ville.

Il est 17h15 et on est sur le chemin pour rentrer, il y a un peu de pluie et je n'ai pas vraiment envie d'avoir un rhume vu que je me suis faite opérée des amidales lorsque j'étais petite, j'ai plus de chance d'avoir une maladie que d'autre personne.

J'arrive devant mon immeuble et je fais le code pour ouvrir la porte d'entré et les autre codes pour accéder à mon appartement (un coffre fort cet immeuble), je sort les clés pour l'ouvrir (j'habite au rez-de-chaussée) mais (SP) fixe la porte en grognant, les oreilles baissées.

Je vous avais dis que les chiens savent lorsque quelque chose ne va pas, ce comportement en est bien la preuve, quelque chose se trouve derrière cette porte et elle n'a rien à faire ici.

J'ouvre la porte sans faire de bruit, me remerciant au passage d'avoir pensé à mettre de l'huile sur les dormants de la porte pour ne pas qu'elle grince, à première vu, il n'y a personne ni dans la cuisine ni dans le salon. Je me dirige très doucement vers la droite, là où il y a le couloir qui mène à la salle de bain et au bureau. J'aperçois une silhouette, elle fonce sur moi, je fait un demi tour sur moi même vers la droite pour l'esquiver et j'en profite pour appuyer sur l'interrupteur et la lumière du salon, que j'avais laissé éteint pour ne pas me faire remarquer, s'allume.

Je regarde l'homme qui m'a attaqué, il est dos à moi, il porte une veste orange un peu marron et il a des cheveux brun foncé, il semble assez surpris par mon esquive puis il se tourne vers moi, son visage est caché par un masque blanc et noire mais se qui me fait le plus peur c'est que je viens de me rendre conte que mon réflex viens de me sauver la vie, car dans sa main droite, se trouve un couteau.

Je ne conte pas attendre gentiment le moment où il conte faire une seconde attaque et je prends de l'élan et soulève ma jambe gauche pour lui mettre un coup de pied très douloureux dans la mâchoire. Il tombe et se tient le menton mais il semble déterminé à vouloir me faire du mal, alors, il se relève et se prend un second coup de pied, dans le ventre cette fois.

Ma logique veux que je n'attaque pas quelqu'un à terre mais je me permets de le faire si il est assis ou en train de se relever, c'est un peu lâche mais je crois que cette personne masquée m'aurait attaqué même si je suis au sol.

Cette fois il reste à terre, soulève un peu son masque et crache quelque chose, je pense que je l'ai fait vomir. Je ne vais pas vous mentir que ça m'énerve beaucoup, cet individu s'invite chez moi, essaye de me tuer et en plus il se permet de salir mon sol.

(SP) se met d'un coup à aboyer très fort mais j'ai a peine le temps de me retourner que je sens une douleur dans mon dos, cette fois c'est moi qui tombe, mais j'arrive quand même à ordonner à mon chien

« Va chercher de l'aide, VITE !! »

Je ne sais pas si oui ou non il est bléser mais je crois entendre qu'il part à toute vitesse vers les autres apparemment.

La douleur est hier, je ne sais pas si c'est la fin pour moi, quand tout d'un coup je repense à quelque chose, tout les sacrifices que ma mère à fait pour m'éduquer pour prendre soin de moi. Je ne vais pas les gâcher en mourant bêtement, je vais avoir une longue vie et mourir que si j'en ai envie.

Alors je me relève et fait face à mon adversaire. Lui aussi il a le visage caché mais par une cagoule noire et il porte un pull jaune, lui il a l'air surpris par le fait que j'ai réussi à me relever malgré ma blessure.

À peine je me suis relever que je le frappe en plein visage, cette effort me fait encore plus mal qu'avant mais je veux vivre, vivre et me battre même si pour cela je dois avoir mal.

Je me dirige vers la porte d'entré et j'aperçois Mme Étimet, avec à ces côtés (SP), elle à l'air choqué par le sang qui coule dans mon dos et par les deux hommes qui sont à terre.

Mme Étimet est une femme de quarante ans qui vie au 1ère étage avec son chat, on se croise quelque fois dans les couloirs ou au boîte au lettre.

« A...appelez la police... s'il vous plaît »

J'ai juste dis cela avant de m'assoir par terre tellement la douleur était insupportable, ma voisine a juste hoché la tête et elle sort son téléphone en tremblant de peur, moi aussi je tremble mais se froid et la blessure saigne beaucoup trop, (SP) se rapproche de moi, s'allonge et pose sa tête sur mes jambes en couinant. Je lui caresse le dos comme pour le rassurer avec ma main plein de sang se qui laisse de grande trace rouge sur sa fourrure (SCF). Mme Étimet parle de notre situation au policier qui ce trouve à l'autre bout de la ligne téléphonique.

Tout d'un coup mon chien lève brusquement la tête les oreilles dresser fixant devant lui, je regarde à l'endroit où il regarde, je sens des grésillements horribles dans ma tête mais se que je vois me fais crier de peur.

Un homme géant et sans visage se tient à quelque mètre de moi et les grésillements devienne encore plus horrible, il me font tellement mal que j'oublie l'existence de ma blessure.

J'essaye de m'enfuir mais c'est impossible de me relever, impossible de me débarrasser de ses grésillements, non, ce n'est pas possible, j'ai promis de vivre

Je ne veux pas que ça devienne impossible de vivre

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