chapitre 4

Une fois les coups de fils passés, on attendit environs cinq minutes avant que l'un des deux garçons arrive.

Lyne tourna la tête vers la porte pendant que j'allais ouvrir. Yuan entra et on se prit dans les bras pour se saluer. Lyne nous regarda de travers mais je lui rendis la pareille.

En s'asseyant sur le canapé il demanda : « Pourquoi m'as-tu demandé de venir ?

-Tu verras, attend encore un peut. » Lui dis-je en faisant les cent pas dans la salle.

Apres une bonne vingtaine de minute d'attente, Thomas arriva essoufflé. Il commença par dire bonjour à ma sœur, qui étais allé lui ouvrir, en l'embrassant, puis il serra la main de Yuan puis la mienne.

« Bon vus qu'on est tous là tu pourrais nous dire ce que tu manigance ? Demanda ma sœur.

-Donc voilà, avant de vous en parler rejoignez-moi dans la sous sol. »

Dés qu'ils furent en bas, ils ne me virent pas, à la place ils virent l'ombre.

Pris de panique, Thomas et yuan prirent la fuite. Avant qu'ils n'aient atteint le sommet de l'escalier Lyne bloqua la porte avec un mur d'eau. Ils cherchèrent rapidement une autre sortie.

Thomas repéras une fenêtre en hauteur. Ils tentèrent de l'atteindre, en vins.

Pendant qu'ils essayer plusieurs choses pour sortir de là, je me plaçai près de ma sœur et lui demanda : « Tu pence qu'ils auront bientôt fini leur cirque ou pas ?

-Je ne sais pas, mais je pence qu'on devrait leur dire qu'est ce que t'en panse ?

-Pourquoi pas, mais tu les ramènes alors. » Elle haussa les épaules et les fit prisonnier dans une sorte de tornade d'eau et les ramena.

« Qu'est ce que tu fais Lyne, relâche nous ou l'ombre vas nous faire payer tout ce qu'on a fait de mal ! S'exclama Thomas surpris qu'il se soit fait faire prisonnier par sa copine.

-Attend une minute. Lui dit Yuan.

-Quoi, mais t'ai malade, si on ne part pas tout de suite on vat mourir.

-Non, non, je ne crois pas.

-Et pourquoi tu dis ça ?

-Parce que je reconnaitrais se regard entre milles.

-QUOI !!! » Firent Lyne et Thomas en même temps.

D'un geste de la main, je demandai à Lyne de relâcher Yuan. Elle le fit redescendre et le déposa devant moi.

« Puis-je ? » demanda-t-il timidement. Je ne lui répondis pas par la parole mais en inclinant la tête et en détournant mon regard du sien. Avant de continuer, il me demanda de le regarder dans les yeux et de ne pas détourner le regard.

Je fis ce qu'il me dit et le regarda dans les yeux. Il plaça ses mains autour de mon coup et commença à retire ma cagoule.

Quand il eu passé au dessus de ma bouche il s'arrêta et demander : « Est-ce que je te connais ? Répond moi par oui ou non en me regardant dans les yeux. » J'hésitai un moment avant de lui répondre. Je tournai la tête vers ma sœur qui tenais toujours Thomas qui essayer toujours de se débattre.

Puis, finalement, je regardai de nouveau Yuan pour lui répondre : « oui ». Puis il continua à enlever ma cagoule jusqu'à l'enlever entièrement. Quand il découvrit mon visage, il me serra fort dans ses bras.

« Quelqu'un peut m'expliquer ce qu'il se passe ? Demanda Thomas qui avais cessais de se débattre.

-Il se passe qu'on a fait la pire connerie de tous les temps. » Lui répondit Yuan en me relâchant.

Tout à coup il prit un air sérieux et me regarda dans les yeux. On pouvait y lire de la tristesse et de la confusion.

« Je suis vraiment désoler pour tout ce que j'ai fait, mais s'il te plait pourras-tu me pardonner ?

-Que se passe-t-il ? Voulus savoir Lyne inquiète. Elle lâcha son copain qui tombas violemment sur le sol, et accourus vers moi.

Une fois relevait, Thomas viens se placer vers son ami pour lui demandai : « On a fait quoi déjà ?

-Tout est de notre faute. Dit-il presque en larme, la tête basse.

-Qu'avez-vous fait ? Répéta Lyne d'un ton énervé.

-On n'a pas fait exprès, on ne voulait pas faire de mal à qui que ce soit... on s'est fait passer pour toi devant des gardes royaux pour se moquer. Mais à cette époque on ne savait pas qui tu étais. Je suis sincèrement désoler, c'est pour ça que depuis ce jour tu es recherchée par la reine. » Dit-il avec des larmes qui coulais le long de ses joues.

Ma sœur se dirigea vers lui et leva la main pour lui mettre une gifle, mais elle en fut incapable, trop bouleverser par ce qu'elle venait d'apprendre.

Pendant ce temps-là, je m'étais écroulée au sol en pleurant. Je ne pouvais pas y croire, pendant des années je m'étais demandée qui m'avait causé ces ennuis avec la reine. Il se tenait devant moi, celui qui à causer cette pagaille, celui que je rechercher depuis tout ce temps pour lui faire payer, mais hélas je ne pouvais rien faire car j'avais besoin de lui pour retrouver les filles de la reine.

En me voyant pleurais, ma sœur, étais venus s'assoir près de moi, pour me réconforter. « Bon, l'heure n'est pas aux pleurnicheries. Affirmais-je en me relevant et séchant mes larmes. Si je vous ai demandé de venir c'est que j'ai un plant pour vous trois... » Je ne pus finir ma phrase que je renfilai ma cagoule et sortis par la petite fenêtre du sous-sol.

Dans mon élan je lançai une étoile qui cloua celui qui venait de nous espionner. Je me précipitai rapidement sur la personne et je vis que ce n'étais encore qu'un enfant, un jeune homme. « Qui es-tu ? Demandais-je sur un ton sévère.

-Je... je m'appelle Loïc et j'ai 13 ans.

-Qu'as-tu vus ?

-J'ai vus votre visage je sais que je n'aurais pas dû, mais par pitié ne me tuer pas.

-Je ne tuerais pas seulement si tu me promets que tu ne le diras à personne.

-Promis. Je le promets. » Après notre petite conversation, je retirai mon étoile et laissa repartir le jeune garçon.

Je retournais au sous-sol pour finir ce que j'avais commencé à expliquer avant d'être interrompu par ce trouble-fête

« Bon reprenons, je disais donc que Lyne ma racontait pour vous et donc j'ai trouvais une solution.

-Laquelle ? S'enquit Lyne plaine de joie.

-Je vais échanger ma place avec toi Lyne.

-Euh... C'est plutôt une mission suicide qu'héroïque. S'exclama Yuan.

-Tu peux me laisser finir s'il te plait, et donc en prenant ca place et je pourrais négocier avec la reine pour vous sortir de là.

-Et toi alors ? » Demanda Lyne. Je tournais la tête pour la regarder dans les yeux. En un regard, elle comprit que ce que j'allais faire étais risqué.

Les garçons nous dévisagèrent. Sans leur prêter attention je continuai : « Lyne est ce que tu me fait confiance ?

-Oui mais j'ai peur de ce que tu as prévus de faire.

-Alors tien, prend le. Lui dis-je en lui donnant mon collier, elle le prit et me laissa continua, plus tard quand vous serrais que tous les trois vous les assembleraient et ils ouvriront un portail que vous emprunterais pour aller retrouver ''le sage''. Dit lui que c'est moi qui vous envois et il vous accueillera pour vous expliquer certaine chose que je ne peux faire maintenant. Et le... on est quel jour déjà ?

-Nous sommes mardi. Répondit Thomas.

-Donc jeudi à dix heures et demie vous ouvrirez de nouveaux le portail pour pouvoir revenir. Et pour ouvrir un portail il faut que tous les symboles soit dans le même sens. » Finis-je.

On resta tout la journée chez moi en attendant la venue des gardes royaux. Donc pendant ce temps on se prépara avec Lyne afin d'échanger nos places.

Alors que dix-neuf heure étais passé, deux gardes arrivèrent et sonnèrent à la porte. Lyne alla ouvrir. En nous voyant assis sur le canapé ils s'approchèrent et nous ordonnèrent de nous lever les mains dans le dos et nous menottèrent.

La scène se passa devant les yeux de ma sœur en larme.

Quand ils eurent finis de nous menotter, ils nous firent embarquer dans une cage pour prisonnier et nous emmenèrent au château.

Une fois arrivé au château on entra dans le hall. Un grand tapis rouge allé des grandes portes d'entrée au trône de la reine.

Arriver devant le trône, mains et pieds attachaient, la reine se présenta pendant que nous étions agenouillés devant elle. « Vous voilà enfin, Thomas et Yuan ! Cela fait bien t'en d'années que je vous cherche. Dit-elle à l'attention des garçons, puis elle continua en me regardant. Tiens mais que vois-je ? Une complice ? Sais-tu, mon enfant, que la complicité est très mal ? » Je ne répondis rien. Mais en relevant la tête je lui proposais : « Et si je vous ramène... » Je ne pus finir ma phrase qu'un garde me bâillonna. « Non laisse-la parler. » S'exclama la reine. Et le garde me relâcha. « Et si je vous ramène quelqu'un que vous traquez en vain depuis bien plus d'années qu'eux deux. Pourquoi pas "l'ombre" par hasard ? »

La reine et tous ses gardes resteraient stupéfiés par ce que je que je venais d'annoncé. « Et comment...

-Comment puis-je la trouver ? La coupais-je, ne vous en faites pas pour ça, mais a une seul condition. » Son regard passa de moi aux garçons plusieurs fois et pour briser le silence je repris : « Imaginez, vous auriez entre vos quatre mures "L'ombre" celui ou celle que vous cherchez depuis t'en d'années.

-Vas-y quel est ta proposition ? Fini-t-elle par dire.

-Je vous ramène "L'ombre" et en échange vous nous relâchez. Après tout que voulez-vous faire de nous a par nous enfermer, alors qu'avec "L'ombre"... » Elle resta dubitative un moment avant de donner l'ordre à ses gardes de nous relâchez.

En nous frottant les poignets, je lui annonçais que je reviendrais demains avec "L'ombre". « A demain, et si par malheur vous ne revenez pas avec "L'ombre", je vous ferez rechercher et quand je vous aurais retrouvé je vous ferais battre à sa place. Suis-je bien claire ? » On hocha la tête pour acquiescer et nous repartions.

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