J'étais avec ma sœur Lyne au café et nous discutions jusqu'à un moment où elle me dit : « Aline il faut que nous parlions sérieusement là, s'il te plait !

-Bon vas-y, qui as-t-il ?

-Ça vas bientôt faire six ans que je te le cache, mais voilà il faut de que je te le dise je ne peux pas cacher se secret plus longtemps. Voilà, j'ai...

-Chute ! La coupais-je brusquement. Pas ici, rentrons ! » Pendant un court instant elle se demanda pourquoi je l'avais arrêté si brusquement, mais elle me suivit sans rien dire

Une fois chez moi je fermai tout. Elle me regarda avec des yeux étonner

Quand j'eu fini de tout barricader, nous nous assîmes sur le canapé, et je lui demandai de continuer ce qu'elle avait commencée au café sans poser de question sur ce que je venais de faire. Donc elle continua sans en poser : « Bon je voulais te dire que j'avais un collier avec un pendentif curieux. Elle le sortie avant de continuer, comme tu peux le voir il est bleu avec une goutte, mais je n'ai qu'un morceau, le cercle ne se termine pas. Je l'ai trouvée un matin sur ma table de chevet avec un mot : "si tu as trouvé se collier cela veut dire que tu as été choisi pour accomplir une mission de la plus haute importance. Tu devras trouver les trois autres morceaux et écouter "L'ombre" » Puis elle se tue et me regarda. En retournant la tête, elle vit le second morceau de son pendentif pauser à côté du sien, il se suivait.

Quelques minutes passèrent avant qu'elle tourne à nouveau la tête vers moi. « OK, je sais que j'ai promis de ne pas poser de question mais là je suis obligée. Dit-elle presque paniquer.

-Je comprends, vas-y pose l'ais tes question.

-tout d'abord à qui est ce pendentif ?

-Il est à moi.

-Pourquoi il y a deux feuilles ?

-Je ne sais pas.

-Et pour finir comment as-tu sus de quoi j'allais te parler ? Comment as-tu fais pour le déposer, je te regardais ? Et pourquoi as-tu tout barricader ?

-Là tu me pose de question délicate. » Lui répondis-je

En attendant ma réponse elle garda son regard posé sur moi.

Après un moment d'hésitation je décidai de tout lui avouer. « Bon après réflexion je dois t'avouer une chose, même si après tu me déteste, je te comprendrais.

-Bon vas-y. Je suis prête.

-Donc voilà, de un je l'ai sus car ton comportement changer de jour en jour et je me doutais que tu allais finir par en parler. De deux j'ai tout fermée car ''ils'' nous cherchent pour les avoir car... je me penchai à son oreille et chuchota, ce sont des pendentifs magique, moi j'ai la nature donc je la contrôle, toi tu contrôle l'eau. Et je ne peux pas répondre à ta dernière. » En entendant mes réponses, au lieu d'être surprise elle était resté neutre.

Son regard toujours posé sur moi, elle demanda calmement : « Donc c'est pour ça que j'ai remarqué que quand je pense à de l'eau, une sorte de grosse goutte venait s'éclater au-dessus de ma tête?

-En quelque sorte, oui. Lui répondis-je ne haussant les épaules.

-Ça répond à certaines de mes questions, mais pas à tout encore à tout. Pendant un instant elle sembla perplexe mais elle continua l'aire de rien, je sais !

-Tu sais quoi ? Demandais-je surprise.

-je sais ce que tu es !

-Et je suis quoi ?

-Tu es... elle hésita avant de reprendre, tu es l'ombre ! Quand elle eut fini sa déclaration, on aurait dit qu'elle avait un pincement au cœur.

-Non... mais... euh... pourquoi dis-tu ça ? La questionnais-je pour ne pas faire planer les soupçons

-Ne me ment pas ! Je sais très bien que tu es " l'ombre"

-bon, OK, j'avoue c'est moi "l'ombre". » Lui répondis-je dans un long soupir.

En commençant à retirer les planches et les rideaux, on entendit frapper à la porte. Je demandai à Lyne de claquer trois fois dans ses mains puis de dire "dispersez-vous" assez fort. Toutes les planches se transformèrent en flaque d'eau, qui disparut aussitôt dans le sol. On sortit des seaux et des serpillières pour faire comme si nous étions en train de faire un brin de ménage. Lyne alla ouvrir la porte. On vit deux hommes, ils étaient de la garde royale. Ils nous demandèrent si nous n'avions pas vus deux garçons, en même temps de que l'un sortit des photos, l'autre nous cita leur prénom : Thomas et Yuan. Ils devaient entre dans nos âge entre quinze et seize ans. On se regarda avec Lyne et en retournant nous leurs répondions que nous ne les avions pas vue. Ils nous saluèrent et repartirent

On vérifia que les deux gardes étaient bien repartis puis nous reprîmes de faire disparaître l'eau.

La maison n'étoiler, on partit au marché pour le repas du soir.

Des semaines passèrent sans que rien ne se passe d'extraordinaire.

Puis vins la septième semaine, où là, alors que j'étais toute seule chez moi quelqu'un vins frapper à la porte. J'allais ouvrir et un jeune homme apparut. Il me demanda s'il était bien chez Aline. « Oui, c'est bien moi, pourquoi ? » Sans répondre à ma question il entra et commença à chercher. Il chercha pendants un moment et laissant tout à sa place, puis une fois qu'il eut fini il repartit comme si de rien n'étais. Pendant un moment je restais interdite, mais je ne me posai pas d'avantage de question et continua ma soirée.

Quelque mois passèrent, pendant lesquels je voyais ma sœur, mes amis, où je faisais des sorties et encore plein de chose spécial.

Un soir, dès que je fus rentré chez moi après une journée de sortie, au lieu de me sentir seule, je sentis une présence. Une présence humaine. Je restais sur mes gardes, mais je continuais ma soirée tranquillement sans arrière-pensée.

Arriver sur les coups de vingt-deux heure, j'allais me coucher. En arrivant dans ma chambre je m'assaillais sur mon lit, but un coup et commença à m'allonger. Avant que ma tête ne touche l'oreiller, quelqu'un sortit de sous mon lit et s'approcha de mon visage en sortant un mouchoir qu'il plaqua sur mon nez et ma bouche. Je n'eus pas le temps de me défendre, que je m'endormis malgré moi.

Au bout de quelques minutes, il vérifiât que je dormais bien. Il partit chercher quelque chose pour me porter. Il m'emmenât à l'arrière d'une camionnette et pris le volant.

Des heures passèrent durant lesquelles je me fis emmener je ne sais où.

Le lendemain matin, en me réveillant, j'étais allongée dans l'herbe sous un cerisier en fleur. Elles étaient d'un rose pâle et leur odeur était très agréable. L'arbre se trouvait dans une clairière abandonné, entouré de montagne plus ou moins enneigé ou recouverte de verdure. Je me relevai et ne vis personne. Une fois debout je pris la direction pour partir. « Je ne ferais pas ça si j'étais toi. Fit une voix qui venait de derrière moi.

-Qui êtes-vous, où êtes-vous et pourquoi je suis là ? » Demandais-je en me retournant. C'est là que je vis un jeune homme descendre de l'arbre et me dit : « je m'appelle Yuan, j'ai 16 ans.

-Et pourquoi je suis là ?

-Ceci et à toi ? » Questionna-t-il en me tendant le pendentif avec les feuilles. En le voyant je cherchai discrètement autour de mon coup pour voir s'il ne voulait pas, tout simplement me faire du chantage avec une vulgaire copie, mais hélas non c'était bien le mien, mais je fis mine de ne pas savoir. « Qu'est-ce que c'est ?

-Je sais qu'il est à toi, il était autour de ton cou !

-C'est un cadeau de mes parents.

-Alors pourquoi j'ai le même alors que je ne suis pas de ta famille ?

-Coïncidence.

-Ils se suivent, pourquoi ?

-je ne sais pas, pourquoi tu voudrais que je le sache ? Et en plus rend moi le mien !

-T'en que tu n'as pas répondu, non ! »

Il s'avança de deux pas puis s'assois et m'invita à faire de même. Je m'assaillais en face de lui et il reprit. « Présente-toi !

-De un tu me parle mieux que ça et après je m'appelle Aline, j'ai 16 ans, je vis seule... voilà quoi.

-Merci bien, pourquoi as-tu ce pendentif ?

-Mais je te l'ai déjà dit on me la offert. Tu es obstiner à vouloir savoir n'est-ce pas ?

-Bien sûr que je veux savoir pourquoi on a presque le même pendentif ! Donc tu vas me le dire !

-Je te l'ai déjà dit tu me parle autrement et je ne sais pas plus qu'il y a deux minutes. Donc rend moi le mien.

-Si tu le veux, viens le chercher. »Dit-il avant de monter dans l'arbre. Je le suivis de près.

Arriver en haut, je ne le vis plus, je me demandais s'il n'était pas partis avec mon collier.

Les heures passaient sans que je ne voie revenir. En commençant à redescendre de l'arbre, à peine j'avais fait deux pas vers le bas que quelqu'un plaça ses mains sûr mes yeux et me demanda de remonter. Je me laissai guider sans problème jusqu'en haut.

De nouveau en haut il retira ses mains et il se plaça à côté de moi. Je tournais la tête pour voir de qui il s'agissait et je vis Yuan. Il me demanda de regarder droit devant. En face de nous se trouvait un magnifique coucher de soleil jaune orangé entre deux montagnes.

Quand le spectacle fut fini, je tournai la tête et ne le vis plus.

Pendant que j'étais en train d'admirer, il était redescendu pour préparer un pique-nique sous les étoiles. Il me demanda de le rejoindre d'un signe de la main.

Installer sur l'herbe, il se mit derrière moi et me raccrocha mon collier.

Une fois que le dîner fus terminer, je le remerciais et pour une raison inconnu, je fus prise de chagrin immense, donc pour ne pas qu'il me voie pleurais je partis en couvrant.