Chapitre 67
Il m'avait retourné comme une crêpe, défait son pantalon et sortit l'asperge sous les projecteurs. Il giflait mes fesses avec, car je vous rappelle que j'étais complètement nu.
Ma peau brûlait déjà sous la sienne. J'étouffais d'une chaleur inévitablement citronnée.
Il écartait activement mes cuisses, après quoi il faisait passer un liquide froid entre mes brioches, son gland s'était frotté à mon antre. Il s'y frottait, frottait et frottait jusqu'à me rendre impatient. Ainsi, il finit par me pénétrer d'un seul coup. Son bassin basculant sèchement sur l'avant, il tapait contre ma prostate férocement.
Je lâchais un cri de douleur et de plaisir, avant de commencer à trembler de tout mon corps. À chaque fois qu'il touchait cette partie, je me sentais vraiment bizarre.
- Baby, je pense que je vais devoir te rappeler quel est ton rôle.
Il me mit une fessée avant de faire claquer son bassin à mes petites fesses.
Je gémissais de vive-voix.
Comme si un jolie fouet en avait été à l'origine, j'imaginais Yoongi être un jouet sexuel.
Hyung attrapait mes cheveux et me soumettait à lui, en glissant entre mes chairs serrées et brûlantes de désir.
- Comme ça, tu as embrassé Namjoon ?
Sa voix rauque et dominante me faisait frissonner.
À vrai dire, j'aurais peut-être dû m'abstenir de cette sensation. Je n'aurais pas dû frissonner, étant donné que cela excita mon partenaire à un point où je savais que je ne pourrais plus marcher.
- Tu aimes ça ?
Je me mordais la lèvre au sang plutôt que de gémir. Oui, j'aimais ça.
- Est-ce que je devrais te punir parce que tu as embrassé un autre que moi ? Parce que tu l'as laissé te toucher ? Je devrais aussi te punir pour avoir fouillé dans mon téléphone sans ma permission ? Et est-ce que je devrais te punir parce que tu aimes cette punition ?
Il giflait ma fesse alors qu'il accélérait ses mouvements en moi.
Je criais dans les aigus, avant d'analyser ces propositions.
Il était fou.
- Ç-ça fait- beaucoup- de punitions...
Je l'avais senti grossir en moi. Il regorgeait de sperme et se massait si bien entre mes chairs.
- T'es si impatient que tu les as compté ?
Sûrement et durement, il me faisait perdre la tête.
Me pénétrant pour ressortir et répéter l'acte. Je bouillonnait d'une intensité de frustration, de douleur, de plaisir et d'en vouloir encore.
Était-ce possible d'aimer se faire prendre comme ça ?
Étais-je maso ou quoi ?
💜💜💜💜💜
L'histoire n'est plus très longue.
Et la suite sera plus intéressante ! Je crois...
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