5 etoiles
Lorsque je me réveille je me vois sur du béton et des alarmes. J'ouvre les yeux, il y a les pompiers et la poli e cherchant dans des décombres devant moi. Je prend quelque seconde à comprendre et réaliser ce qui se passe. Et réalise que l'immeuble s est effondré. Est-ce moi la cause de tout cela. Je me souviens d'un souffle destructeur. Des meubles s écrasé par terre, mes parents hurlante de terreurs. Puis les tremblements qui s accélère et plus rien et j'ai un black out à ce moment là.
Est-ce-que je suis responsable de tout ça ?
Les pompiers cherchent désespérément des survivant sous les décombres mais en vain je pense que personne n'a survécu, où sont mes parents ? Je ne les vois pas.
J'ai peur et les alarmes des voitures et camion s'enclenchent.
Qu'est ce que j'ai fais ?
Au même moment je vois ma sœur au loin courir. Elle crie et pleure les policier l'intercepte dans sa course. Elle s'effondre.
Je panique et me lève en courant vers elle. Le policier explique qu'il n'y a aucun survivant pour le moment. Et elle part en furie, une policière vient en renfor pour la calmer mais rien y fais, elle est inconsolable.
La nuit tombe et les recherches doivent cesser après une heure de recherche intensive toujours rien.
Jeanne a perdu espoir, malgré le comportement de ses parents une part d'elle les appréciait toujours. Peut-être la petite fille qui sommeille en elle.
J'ai réalisé quelque minute après avoir repris connaissance tout à l'heure que je pouvais me déplacer. Maintenant que l'immeuble n'existait plus les limites qui me tenait emprisonné entre les murs se sont effacées.
Je suis libre...
Je tournait autour de Jeanne jusqu'à ce qu'elle décide de partir. Elle appelé ce mystérieux Zox. Qui cela pouvait-il bien être.
《 Ils sont morts, dit-elle en s'effondrant de nouveau.
Je suis rentré et plus rien !
Non je ne me calme pas !
Oui...
Oui.. 》
Elle sanglote de nouveau mais ce calme. Elle prend ses dernières forces pour se relever et s'en va vers l'arrêt de bus.
Sur tout le trajet du bus elle ne s'est pas arrêté de pleurer.
On arrive dans une zone industrielle après avoir fait la correspondance à la gare. Tout est calme ici, on entend presque le vent qui souffle.
Arrivée devant un hangar elle tape deux fois sur le rideau metalique, attend... puis retape deux fois.
Le rideau se lève.
Mais qu'est-ce-que...
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