Chapitre 1: une vie ordinaire
( NDA : pensées de l'auteur: Je ne sais pas si c'est une bonne idée de commencer le chapitre 1 alors que je viens juste de finir le prologue et que je n'ai aucune vue... Retour à l'ordre : Enfin bon... Vous vous en fichez, vous. Vous voulez juste une bonne histoire à, peut-être, conseiller à votre famille ou vos amis. Nous nous retrouvons pour le premier chapitre des "envoyés de la Lune". Je ne sais pas si le prologue vous a plu mais moi je continue à écrire toujours et encore. Bon, assez parlé de moi et bonne lecture 😉)
Nino se réveilla brusquement, en sueur.
« Pff...encore ce maudit cauchemar, pensa-t-il. »
Mollement, il se leva et s'habilla. Il sortit de sa chambre, tout en essayant de se recoiffer à peu près convenablement.
Il remarqua que la chambre de sa mère était vide, ce qui ne l'inquiéta pas. Sa mère était infirmière. Il était normal qu'elle ait pu s'absenter si tôt. Elle avait juste dû lui écrire un mot sur la table de la cuisine pour qu'il comprenne une telle urgence.
Le jeune garçon descendit préparer le petit déjeuner.
C'était lui qui s'occupait de la cuisine chez lui. En échange, sa mère faisait les courses, la lessive et le repassage.
C'était une femme mince, avec des cheveux roux, bouclés et coupés court. Elle s'appelait Emilie ANGER et portait son nom avec dignité et respect. Nino lui ressemblait beaucoup. Il avait récupéré ses cheveux roux, mais ceux-ci étaient toujours en bataille (ça faisait plus stylé), ses magnifiques yeux bleus et sa particularité d'être gaucher.
(NDA : Désolé de vous interrompre mais pour ceux qui m'en voudraient pour "la particularité d'être gaucher", j'ai dit "particularité" et non "défaut" ou "différence". C'est une réalité que l'on trouve plus de droitiers que de gauchers. Je n'ai rien contre cela. Sur ce, bonne lecture)
Sa seule différence avec elle était qu'il était myope comme une taupe sauf qu'il ne voulait que porter des lentilles de contact. Il se trouvait laid avec des lunettes.
Quant à son père, Nino ne se souvenait pas l'avoir déjà rencontré.
Il arriva à la cuisine et trouva effectivement un mot sur la table :
La sortie ! Nino avait complètement oublié que c'était aujourd'hui !
Il prit avec lui quelques biscottes, prépara son sac de cours et partit sur le chemin de l'école. Il prit monta dans le bus scolaire. Comme tous les jours, il s'assis sur une place au fond du car. Il aimait bien regarder le paysage défiler pendant que ses pensées divulguaient. Les rues défilaient et il arrivait même à dire leur noms. Le bus s'arrêta enfin devant une grande grille métallique. Son école. Le jeune garçon descendu du car en remerciant le chauffeur. Mais arrivé près de la grille, il vit une petite fille par terre. Que faisait-elle la ?
Elle devait avoir six ans et était là, toute seule sur le trottoir, à demander des pièces aux gens qui passaient. Comment pouvait-on accepter de laisser une fillette aussi petite dans la rue, toute seule ?
Nino la regarda de plus près. Elle avait des cheveux noirs comme du charbon, des yeux verts émeraude et la peau mate. Ses habits usés étaient ceux d'un mendiant et pourtant, il se dégageait d'elle l'impression d'un savoir époustouflant. Elle était très belle et posa son regard sur lui, suppliante.
Nino ne réfléchi qu'une fois et fouilla rapidement son sac, ne trouvant que les quelques biscottes de son petit-déjeuner. Il les mit quand-même dans le sac de la petite, espérant que cela lui suffirait. Mais elle avait l'air si maigre !
La petite le dévisagea d'un drôle d'air et il décida de partir. Il passa enfin la grille et entra dans l'école.
Sa mère n'était toujours pas là ! Ça faisait une demi-heure maintenant qu'il l'attendait dans la cour de l'école et elle n'était toujours pas là !
La cloche de la fin de récré sonna et Nino se résigna à aller se ranger avec les autres.
Quand il annonça au maître que sa mère ne serait pas là pour la sortie, il le lui en priva et lui donna des exercices à faire pendant que les autres élèves seraient à la sortie scolaire.
Il les fit en vitesse puis rentra chez lui. Pourquoi n'était-elle pas venue ? Elle le lui avait promis. Il était en colère contre sa mère mais décida de se maîtriser et rentra à pieds.
Arrivé à la maison, Nino se servit un bon chocolat chaud. Quand il eut fini, sa mère n'était toujours pas rentrée.
Il décida donc d'aller la voir en personne à l'hôpital.
Là-bas, il demanda à voir sa mère. Le personnel lui indiqua la soixante-deuxième chambre, au troisième étage. Il gravit les marches quatre à quatre et déboula dans la chambre soixante-deux.
A l'intérieur se trouvait sa mère, au chevet d'une petite fille. Plus précisément de la petite mendiante qu'il avait aperçue ce matin.
Elle était évanouie et avait quelques blessures et bleus. Pourtant, la réaction de Nino ne fut pas de savoir dans quel état elle était (NDA: très égoïste). Elle fut de demander son nom car il avait l'étrange impression de la connaître. Mais ce n'était pas possible.
« Luna, répondit sa mère. Elle s'appelle Luna. »
(NDA: Désolée pour le suspense cher public mais le chapitre 1 s'arrête là. Ne vous inquiétez pas, le prochain chapitre sortira dans très peu de temps. Merci de me laisser des commentaires, aussi dérangeants soient-ils. Votre avis m'importe beaucoup. Désolée pour les fautes d'orthographe s'il y en a. Bisous )
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