Enquête N°2: Disparition Mystérieuse À Eilian Mor (île Flannan, Écosse)

19 septembre 2018

Pdv Chloé

Je sors de ma chambre, allume la télé et prépare le petit déjeuner pour moi et Didier qui vit temporairement chez moi car il y a des problèmes de plomberie ou je ne sais quoi dans son immeuble.

J'allume aussi mon ordinateur et ouvre la boîte mail de la section. Depuis notre première enquête au Brésil c'est le calme complet.

Je prend ma tasse entre mes mains et parcours mes mails quand la porte de la chambre d'ami s'ouvre. Je prend la deuxième tasse et toujours en regardant mon écran la tend à mon ami.

Moi : tiens petit déjeuner.

... : merci.

Je relève la tête et voit une femme blonde, les cheveux en bataille, un sourire narquois aux lèvres prendre la tasse et s'assoir en face de moi.

Je la dévisage longuement sans bouger. Je beug complètement. Quesque fout cette pute chez moi ?

Moi : heu... Vous êtes qui ? Et quesque vous faites chez moi ?

... : je m'appelle Tatiana. Ah mais vous devez être Chloé. Didier m'a parlé de vous. Je vous voyez plus belle que ça.

Je sers les poings, fronce des sourcils et reste pantois. Didier arrivent à se moment là et l'embrasse. J'ouvre la bouche mais aucun sons ne sort.

Didier : salut beauté. Ah je vois que ta rencontré ma patronne.

Tatiana : oui mais je la trouve pas très bavarde.

Didier : ça va clo?

Moi : oh... euh... oui.

J'ai répondu le plus froidement que je pouvais puis part m'habiller en prenant avec moi mon ordinateur. Non mais il se fout de moi la ?! Je l'héberge et lui il ramène des putes chez moi !

Je m'habille furieuse puis prend mes affaires. Quand je sors cette... Fille est parti et mon crush enfin plutôt mon ex-crush vu comment c'est partie, boit son café.

Il me dévisage en me voyant déjà prêté pour partir au boulot.

Didier : tu va déjà au boulot ?

Moi : oui.

Didier : tu peux être un peu plus aimable des le matin.

Moi : plus aimable ?! Non mais tu te fous de ma gueule là c'est pas possible autrement !

Didier : mais quoi ?!

Moi : je me réveille tranquillement je prépare le petit déjeuner pour toi et moi et là je vois débarquer une pouffiasse qui n'a rien à faire là !

Didier : Tatiana n'est pas une pouffiasse et puis c'est vrai que j'aurai du te prévenir qu'elle risquerait de venir ici.

Moi : ouai t'aurais du mais tu la pas fait ! Et puis je te signale qu'ici je suis chez moi et que je n'est pas forcément envi de voir des putes touts les matins dans mon salon !

Didier : mais c'est pas une pute !!

Moi : alors ok on va arrêter cette discussion là vu que j'ai tort mais se soir quand je reviens je veux plus voir une seule de tes affaires !

Didier : tes pas sérieuse là ? Je vais dormir où ?

Moi : chez ta pouffiasse ! Et jte préviens je veux que les draps soit dans la machine à laver ! Et je ne veux plus voire une seule de tes putain d'affaire !!

Et je sors en claquant la porte et en ravalant mes larmes. Pourquoi il m'a fait ça ?! Je m'installe au volant de ma voiture et démarre.

Je roule jusqu'au siège de la section et me gare a ma place. Je monte à l'étage réservé pour nous et sort de l'ascenseur au même moment je tombe sur le procureur.

Moi : bonjour messieurs le procureur. Quesque vous faites là de si bonne heure ?

Procureur : bonjour mademoiselle Sanchez. J'ai besoin de vous et de votre équipe de toute urgence.

Moi : je vous écoute.

Procureur : j'ai emmener avec moi quelqu'un qui vous expliquera mieux que moi. Je les installer dans votre bureau. J'espère que cela ne vous dérange pas ?

Moi : non vous avez bien fait.

On se dirige vers mon bureau. J'ouvre la porte et voit un homme assez âgée assis en face de mon bureau. Il se lève en me voyant et me sourit poliment. Sourire que je lui rend.

Procureur : sir Yann voici la chef de la section les enquêteurs du mystère : Chloé Sanchez.

Moi : enchanté sir.

Sir Yann : moi aussi miss Sanchez. J'ai tellement entendu parler de vous par sa gracieuse majesté.

Je m'assois et les invités à faire de même.

Moi : alors sir je vous écoute.

Sir Yann : notre Reine a eu vent de votre enquête au Brésil sur des ovnis que vous avez brillamment résolut.

Moi : l'affaire Colares en juillet.

Procureur : exactement. Sa majesté la reine a entendu vos exploits et voudrait vous faire enquêter sur un dossiers.

Moi : un dossier ? Lequel ? Je sais qu'il y a beaucoup d'affaires mystérieuses au Royaume-Uni, le loch Ness, le ram inn, Jack l'éventreur...

Sir Yann : sur aucun de cela.

Moi : alors lequel?

Sir Yann : avez vous entendu parler du phare de Elian Mor dans les île Flannan ?

Je me raidi dans ma chaise.

Moi : oh non....

Procureur : vous connaissez cette affaire ?

Moi : oh que oui. Vous savez que mon père était un marin militaire.

Procureur : oui bien sur.

Moi : donc il connaissait toutes les légendes marine du monde.

Sir Yann : votre père était militaire ?

Moi : oui il était aussi passionné de mystère. Mais sa passion la comment dire enlever a nous.

Procureur : nous nous éloignons du sujet. De quoi parle cette affaire au juste ?

Je remarque alors qu'il a vite changer de sujet. Bizarre. Au même moment toutes l'équipe arrivent dans un petit vacarme. J'ai bien gueuler au début mais j'ai arrêter ça ne server a rien.

Moi : venez je vais vous expliquer tout ça en même temps qu'à l'équipe.

Je sort de mon bureau et les intimes à me suivre. J'arrive devant tout le monde qui me regarde.

Moi : bon euh tout le monde et là ?

Sergio : non il manque ton crush.

Je le foudroie du regard. C'est vrai que Didier n'est pas arrivé. A mais oui il part au travail avec moi d'habitude. Là il doit galérer dans le métro. Un sourire sadique se forme sur mon visage.

Moi : bon pas grave on va commencer sans lui. Les amis je vous présente sir Yann qui viens de Londres si je ne m'abuse.

Sir Yann : c'est exact miss Sanchez. De la part de sa très gracieuse majesté qui fait appel à vos services.

Kylian : quand vous dites majesté vous voulez parler de la reine d'Angleterre ?

Gérard : non il parle de ta mère.

Paul : Mais t'es con ma parole. Excusez le sir il est nouveau dans le métier.

Moi : langage Paul s'il te plaît.

Sir Yann : oh ce n'est rien miss et ne vous en faite pas jeune homme je vous excuse et oui je viens de la part de la reine.

Le procureur se penche à mon oreille et me chuchote.

Procureur : vous comprenez donc l'importance de cette enquête.

Moi: oui messieurs le procureur c'est toute la France que nous allons représenter.

Procureur : exactement. Comme vous le savez nous service et ceux de grande Bretagne ne sont pas en très bon termes. Et puis avec le brexit nous risquons de perdre gros. Je compte donc sur vous et votre discrétion.

Moi : ne vous en faite pas pour ça. Nous sommes toujours discret.

Au même moment la cloche de l'ascenseur retenti et Didier en sort avec ses affaires et accompagner de Corentin Tolisso. Je me frappe le front et le procureur le regarde les yeux exorbités.

Procureur : commissaire Deschamps c'est à cette heure ci que vous arrivez ?! Et avec un journaliste !

Didier : excusez moi de mon retard messieurs le procureur mais ma chauffeuse m'a laissé en plan chez elle avec toute mes affaires que je devais ramener au bureau vu qu'elle me jette dehors. J'ai donc essayé d'appeler mes collègues mais aucun n'a répondu alors je demander à mon ami Corentin de me déposer.

Tout le monde me regarde mais je n'y prête aucune attention. Ils ont tous compris que la chauffeuse en question c'était moi. Je foudroie du regard Didier qui me regarde droit dans les yeux.

Corentin : ah ouai tu m'avais dit qu'elle était space mais je penser pas à se point.

Moi : Didier va à ta place de suite. Et merci Corentin de l'avoir déposez. Tu peux partir.

Sir Yann : non attendez. Cette mission et secrète et personne d'autre ne doit savoir se sur quoi nous vous demandons d'enquêter.

Procureur : mais sir c'est un journaliste...

Sir Yann : il suffit. Personne d'extérieur ne doit savoir. Assied vous jeune homme.

Corentin le regarde et d'un signe de tête je lui ordonné de s'assoit à coter de son pote.

Moi : Antoine tu veux bien t'approcher. Sur voici le co-fondateur de cette section Antoine Griezmann.

Sir Yann : enchanter jeune homme.

Moi : bon passons au chose sérieuses. Mesut éteint la lumière s'il te plaît.

Il s'exécute. Je prend les deux tablettes et tape sur le moteur de recherche se que je désir leur montrer. J'en donne une à Antoine qui en voyant se qui est écrit me dévisage.

Antoine : oh putain...

Moi : comme tu le dis encore du lourd. Bon les amis c'est notre deuxième enquête et celle ci est assez spéciale.

Presnel : c'est encore des ovnis et des martiens ?

Moi : non. C'est une affaire de disparition qui date du début du siècle dernier et qui aujourd'hui reste irrésolu.

Hugo : bon ben accouche.

Antoine : ok. Au nord ouest de l'écosse se trouve plusieurs petites îles que l'on appelle les îles Flannan.

Moi : certaines sont inhabité car elle ne mesure même pas 1 km. Mais sur l'une d'elle Elian Mor on n'a fait construire un phare. Les bateaux ne voyant rien avec la météo changeante du coin ils s'échouer et fessait naufrage. Voilà île en question.

Julian : ah oui quand même.

Antoine : et comme vous le savez dans des anciens phare comme ça il fallait des gardiens. Donc à la fin du 19 -ème siècle le phare fut achever et des gardiens se rendu sur l'île. 3 pour être précis. Et toutes les deux semaines un autres gardiens arriver et relever l'un des trois en même temps qu'ils se fessait ravitailler.

Moi : et puis un soir de décembre 1900 un bateaux vogue sur la mer et s'étonne de ne pas voir de lumière dans le phare. Ce qui est étrange vu que les gardiens ont ordre de la laisser allumer. En arrivant au port ils en font par au quatrième gardien qui décide de se rendre immédiatement sur l'île.

Antoine : sauf qu'il s'y rendra 2 jours plus tard à cause de la météo. Une fois donc qu'il a pu prendre la mer. Le bateaux l'emmène sur Elian Mor. Et lui aussi constaté que le phare et éteint. Il lance plusieurs signaux avec des fumée de détresse pour voir si ses amis le remarqueront mais aucun signe de vie.

Moi : le bateau accoste sur le pontons prévu à cet effet et court directement vers le phare avec un pressentiment que quelque chose de terrible était arrivé. En arrivant là porte du portail était fermé ainsi que celle du phare. Une fois à l'intérieur il découvre une des chaises renverser, signe que l'on c'était lever précipitamment, les cendres de la cheminée était froide, les assiettes contenait des restes de repas et surtout que sur 3 des cirés il en manque deux ainsi qu'une paire de bottes.

Antoine : immédiatement des recherches son organiser et une enquête ouverte. Mais on ne les retrouvera jamais.

Moi : pour finir le phare à était automatiser dans les années 60-70. Donc plus personne ne s'y rend.

Sir Yann : enfin ce n'est pas très vrai. Des chercheurs en paranormal s'y rendent ainsi que des chercheurs de trésors.

Didier : des chercheurs de trésors ?

Sir Yann : on raconte qu'un navire vikings se serait échouer sur Elian Mor et qu'ils y auraient cacher leur butin sur l'île. Et que depuis ils hanterait les mers alentours et qu'ils emmènerai avec eux tous ceux qui se mettrait sur leur chemin.

Moi : oui enfin il y a aussi quelque témoignage qui disent avoir vu un bateaux fantômes ressemblant à un drakkars avec a leur bord des silhouette blanchâtres et que deux entre elle portait des cirés.

Corentin : waouh cette affaire va faire un super article.

Procureur : oh doucement on se calme vous ne sortirez aucun papier sur cet affaire sans ma permission et celle de mademoiselle Sanchez. Sinon je vous attaque pour diffamation es ce clair ?

Corentin : très clair.

Moi : c'est bien beau tout ça mais même plus d'un siècles plus tard nous ne pouvons pas trouver de réponse.

Sur Yann : non mais vous pourrez trouvez des réponse à celle que subissent des marin qui s'aventure près des îles Flannan. Depuis près de 3 mois nous comptons une quinzaine de disparition mystérieuse du côté d'Elian Mor.

Moi : ah ok je comprends mieux. Nous allons enquêter et découvrir la vérité.

Sur Yann : bien excusez moi mais je doit rentrer en Angleterre faire mon rapport à sa majesté.

Moi : attendez. Nous aurions besoin de toutes les archives sur cette affaire et vous savez que nous avons tout pouvoir pour les regardez même les plus secrètes.

Sir Yann : je sais miss Sanchez. Et vous aurez tout cela en arrivant vous et toutes votre équipe sur les lieux où vous attendra le commissaire Harry Kane est son équipe venu de Scotland yard.

Moi : attendez vous voulez que j'emmène vraiment toute mon équipe là bas ?

Sur Yann : oui miss et soyez la plus discrète et prudente possible. J'ai eu vent de se qu'il c'est passer lors de l'arrestation de votre suspect à Colares.

Tous les regards se tournent vers Hugo. C'est vrai que sur ce coup là il avait beaucoup merder en se jetant dans la gueule du loup.

Moi : ne vous en faites pas nous avons appris de nos erreurs.

Paul : enfin celles d'Hugo.

Hugo : la ferme toi.

Sir Yann : bien je vous salut tous.

Il nous salut et prend l'ascenseur. Le procureur nous regardent.

Procureur : bien votre jet et prêt. Vous décollez dans une heure pour Stornoway. Et n'oubliez pas, pas de caméra et de journalistes.

Moi : compris. Allez préparés le matériel et vos affaires.

Didier : clo je peux te parler s'il te plaît ?

Je lève les yeux aux ciel et soupire fortement.

Moi : dans mon bureaux.

Procureur : Sanchez attendez.

Moi : vas y jte rejoins.

Je m'avance vers le procureur alors que tous sont parti chercher leur matériel.

Moi : oui messieurs le procureur.

Procureur : se qu'il se passe entre vous et le commissaire Deschamps ne me regarde pas mais cela ne regarde pas non plus sir Yann ou même vos enquêteurs alors tâchez de garder votre vie privée pour vous.

Moi : oui messieurs mais disons que depuis l'affaire Colares beaucoup de choses ont changer. Je lui ai tout dit pour mon père.

Procureur : ah oui écoutez n'y pensez plus cette affaire à était classé secret défense.

Je le regarde les yeux grand ouvert.

Moi : secret défense?! Mais pourquoi ?

Procureur : cela ne vous regarde pas.

Moi : bien sur que si ! Il s'agit de mon père ! Si vous savez quelque chose pouvant prouver que moi et ma mère disions vrai vous devez me le dire !

Procureur : je ne peux vraiment...

Moi : s'il vous plaît ! On nous a prises pour des folles ! Ma mère ne sent et jamais remise vous verriez dans l'état qu'elle est !

Procureur : n'insistez pas mademoiselle Sanchez ! Occupez vous de votre enquête !

Moi : vous voulez voir se que cette chose a laisser sur mon corps ? Vous voulez voir mes cicatrice que je garderai à vie !

Procureur : je les ai vu dans le dossier mademoiselle et j'en suis désolé mais l'ordre vient du président lui même.

Moi : mais pourquoi ? Aux état Unis il y a eu des cas similaire et ils sont bien rendu publique ! Et puis je vous signale que notre unité peut avoir accès au dossier les plus secret du monde !

Procureur : peut être mais vous vous avez interdiction formelle de le consultez sous peine de vous voir retirez votre insigne.

Il tourne les talons et je sers mes poings. Je me dirige vers mon bureau ou Didier me regarde.

Didier : c'est quoi cette histoire de secret défense ?

Moi : ça te regarde pas.

Didier : bon Chloé tu commence sérieusement à me les casser !

Moi : pardon ?! C'est pas moi qui est ramener une pouffe chez moi pour la baiser !!

Didier : pour la dernière fois ce n'est pas une pouffe !! Et si j'ai coucher avec elle c'était pour enfin te faire réagir !

Moi : quoi ?!

Didier : depuis plusieurs années ont se tourne autour ! Et depuis que tu m'a dis se qu'il t'était arrive à tes 4 ans j'ai cru qu'on c'était rapprocher que enfin t'aller me dire ce que j'attends depuis presque 3 ans mais non rien du tout alors je suis aller dans un bar et j'ai pris la première femme belle qui venait et hop !

Moi : non mais t'es pas bien toi !! Oh on s'y prend pas comme ça !!

Didier : avec toi si !! Et ça a marché vu ta réaction !!

Je me stop immédiatement avec une folle envie de le gifler mais en même temps sa me touche. Il la fait pour moi. Je m'accoude contre mon bureau, fermé les yeux et souffle.

Moi : oui ça a marché. Ça a parfaitement marché ton putain de plan.

Didier : mais...

Moi : mais... J'ai besoin de temps...

Didier : pff encore...

Moi : mais ce qui est sûr c'est que je t'aime.

Il tourne sa tête vers moi et me dévisage avec un sourire charmeur sur le visage.

Didier : tu peux répéter s'il te plaît.

Je rigole et sourit à mon tour.

Moi : je t'aime.

Didier : moi aussi je t'aime.

Moi : mais j'ai besoin de temps et...

Didier : va je les compris mais pendant se besoin de temps moi je serait la à tes côtés pour te soutenir.

Je sourit et il tend sa main vers moi. Je la prend et il m'attire contre lui pour me prendre dans ses bras. Je ne le repoussé pas et sourit encore plus.

Didier : donc je ne suis plus viré de chez toi ? Parce que je t'avoue que j'ai laisser traîner quelques affaires.

Je rigole et le regarde.

Moi : non tu est toujours le bienvenu mais je crois que pour les prochains jours on va dormir dans un hôtel écossais au bord de la mer.

Didier : yes je suis enchanté.

Je lui tape le torse gentiment.

Didier : enfin tu sera la donc les fantômes je pourrais les défoncer s'il s'approche de toi.

Moi : les défoncer avec ça ?

Je sors de mon tiroir mes nunjaku et mes shuriken.

Didier : pourquoi pas. T'es affaires sont prêtes ?

Moi : toujours. Et les tiennes aussi à se que je vois.

Didier : et oui je suis prévenant.

Moi : tes con mais je t'aime comme ça. Aller on n'y va.

Didier : attend tes cachets contre les crises de panique.

Moi : j'en prend plus depuis 1 semaine.

Didier : pourquoi ?

Moi : parce que tes chez moi et je me sens en sécurité avec toi.

Didier : oh je suis flatté.

Moi : ça va les chevilles ?

Didier : elles vont très bien écoute j'ai acheter une nouvelle paires de chaussettes et..

Je lui claque gentiment l'arrière du crâne.

Moi : c'est bon j'ai compris. Aller on n'y va.

Je prend mon arme et on sort. Il prend le sien et nous rejoignons les autres dans les différents vans qui nous conduisent à l'aéroport.

Nous embarquons et décollons pour Stornoway la capitale de l'île Lèodhas agus na hearadh. Didier s'assoit a coter de moi et on se sourit.

Sergio : et ben ça va mieux entre vous.

Didier : pourquoi tu dit ça Ramos ?

Antoine : ben vu la façon dont Chloé te parler et te regarder.

Moi : mais c'est régler ça. Hein mon dd ?

Didier : oui ma clo.

Corentin : ah oui elle est vraiment space : te virer de chez elle, te fait la gueule et après vous vous reparlez normalement.

Je foudroie le journaliste du regard. Quel idée qu'à eu le proc de nous le foutre dans les pattes ?!

Une main prend la mienne et la sert discrètement. Du coin de l'œil je vois Didier sourire discrètement.

Didier : c'est pour ça que l'on s'entend bien elle est moi. Ju' ta trouver d'autre témoignage sur ses apparitions ?

Julian : je suis sur le coup avec Paul.

Moi : bien.

Presnel : en attendant si on n'a affaires à des fantômes j'ai quelque petits trucs rigolo. Alors des caméra thermique, des infra rouge, des détecteur de mouvements ultra sensibles, des enregistreurs de pve et des détecteurs magnétique.

Gérard : waouh. Et tu les a déjà testé ?

Julian : oui. Pendant nos vacances on a était au château de fougeret et on n'a relever des trucs vraiment bizarre.

Kylian : cool.

Paul : ah les gars je viens de tomber sur un détail croustillant de 1900.

Hugo : nous t'écoutons.

Paul : en arrivant dans le phare les enquêteurs ont retrouvé le journal de bord d'un des gardiens. Et 2-3 jours avant leurs disparition il écrit qu'une très grosses tempête c'est abattu sur l'île. Il écrit que l'un des deux autre pleurent tandis que l'autre pries.

Mesut : y a rien de bizarre la dedans.

Paul : sauf que d'après des pêcheurs il n'y a jamais eu de tempête aux alentours de l'île. Donc ce point reste irrésolus.

Olivier : ça fait un peu flipper cette histoire de tempête imaginaire.

Moi : oui. Sinon vous avez trouver des témoignages sur se drakkar fantômes ?

Julian : oui et le dernier date d'il y a quelques mois. Un homme qui promener son chien le long des côtes à vu un bateaux flotter non loin qui paraissait brumeux avec des silhouette blanches sur le pont. Dont deux porter des cirées.

Moi : bon dans moins d'une heure nous atterrissons à Stornoway. Une voiture nous conduira ensuite à Mangurstadh.

Antoine : avec l'équipe de Scotland yard.

Moi : oui et s'il vous plaît pas de dérapage cette fois. Compris Hugo ?

Hugo : oh t'inquiète pas j'ai compris la leçon.

Didier : et le proc ne veut pas qu'on se brouille avec les scottishs.

Moi : Didier...

Je rigole légèrement à se surnom qu'il leur a donner tout comme les autres.

Didier : quoi ? J'ai raison non ?

Corentin : oui dd ta parfaitement raison.

Kylian : arrête il va prendre la grosse tête sinon.

Didier : je t'emmerde Kylian.

Moi : bon sinon on nous a réservé un hôtel juste près du port et en face de la mer.

Paul : espérons qu'il ne soient pas hanté.

Hugo : mais non au pire t'aura Casper qui viendra te rendre visite dans ton lit.

Paul : mais arrête c'est pas drôle.

Kylian : si tu veux on dort ensemble.

Paul : ah oui ça m'arrangerait.

Moi : attention nouveau couple en vue.

Kylian : tait toi et occupe toi donc de ton basque.

Didier : je suis flatté d'être le basque en question.

Corentin : c'est toujours comme ça quand vous bossé ensemble ?

Sergio : ben on peut pas te dire vu que c'est la première enquête où on est tous réuni.

Gérard : ouai donc on n'a pas de réf à te donner.

Corentin : intéressant. Donc toi et Sergio vous former le duo d'anciens militaire.

Sergio : yes et c'est aussi mon copain.

Corentin : y a beaucoup de couple ici ?

Kylian : oh oui y a donc Geri et Gio, olive et Mesut, Ju est Presko, Hugo et Antoine et enfin notre presque couple de la section dd et clo.

On se regarde en souriant avec Didier. Nous atterrissons 30 minute plus tard. Des vans noirs au vitres teinté nous attendent pour nous emmener à Mangurstadh sous une pluie battante.

Sergio : c'est bien le royaume Unis ça.

Son compagnons lui donne un coup de coudes et nous montons. Je monte avec Hugo Antoine et Didier. Je m'assois à coter de se dernier et lui sourit.

Antoine : quel temps de merde. J'espère qu'on n'auras pas se temps là pendant tout le temps de notre séjours.

Didier : t'attends pas à des miracles.

Moi: ça devrait se calmer.

Hugo : dites vous voulez vraiment pas nous parler de se qu'il c'est passé entre vous deux se matin ?

Didier: non et puis c'est réglé donc on change de sujet s'il vous plait .

Le couple nous regarde sans rien dire .

Moi: ne cherchez pas les gars ont dira pas plus.

Didier : ouai faudrait me torturer pour ca.

Hugo : ok on n'arrivera pas jusque là donc on va changer de sujet. Toi est Antoine vous avez l'air de connaitre cet affaire.

Antoine : avec nos pères qui était militaire et qui voyager beaucoup ont connait pas mal d'affaires mystérieuses.

Moi: oui enfin ton père étai militaire marin et le mien chef caporale donc ils étaient très proches.

Les 3 hommes continuent de parler alors que moi je regarde le paysage défiler. Pourquoi le dossier sur la disparition de mon père à était classé secret défense ? Pourquoi ? Est-ce qu'il y aurait enfin la vérité sur se qu'il nous est arrivés se fameux soir ?

Je suis sortie de mes pensées par une main qui se pose sur ma cuisse gauche. Didier me sourit doucement sentant surement se qui me tracasser.

Didier: on vient d'arriver. Ca va ? Tu as l'air complétement à l'ouest depuis ta discussion avec le proc toute à l'heure.

Moi: oui et non écoute je t'en parlerai quand on sera vraiment que tout les deux.

Didier: d'accord. Aller vient et couvre toi bien y à un sacré vent.

Je ferme mon manteaux et lui prend la main pour qu'il m'aide à sortir. Effectivement y a un sacré vent. Toute l'équipe se réuni devant l'hôtel qu'on nous à réservé avec l'équipe de Scotland yard. D'ailleurs ils nous attendent. Je me dirige au devant d'eux et un homme barbu me sert la main.

Harry : capitaine Harry Kane capitaine de l'équipe paranormal de Scotland Yard et voici mon équipe.

Moi: enchanter Chloé Sanchez chef de l'équipe les enquêteurs du mystère .Nous allons collaborer sur cette enquêtes.

Harry: effectivement d'ailleurs vous arriver au bon moment l'on vient de nous signaler un nouveau naufrage et on na retrouver un marin avec une boite noire. Nous vous attendions avant d'aller sur le port voir l'état du bateaux.

Moi: bien ne perdons pas de temps et allons 'y. Espérons trouver des preuves .

Harry : je crains fort que non. L'état du bateaux est assez désastreux. Suivez moi.

Il se dirige vers une ruelle est nous le suivons. Quelque minute plus tard nous retrouvons face à une foule de gens.

Les policiers en nous voyant font de leurs mieux pour les écarter en nous frayant un chemin. On nous soulève la banderoles et on passe.

Devant nous sur la place se trouve la moiteur de coque du bateaux. L'acier et complètement plier. Ça fait froid dans le dos.

Kylian : ah ouai quand même.

Harry : les rochers qui entoure les iles Flannan sont coupant comme des rasoirs. Vous auriez vu l'état des autres bateaux.

Olivier : j'ai pas l'impression que des rochers puissent faire des trous comme ça.

Hugo : tu pense à quoi alors si c'est pas des rochers qui ont fait ça ?

Olivier : j'en sais rien.

Mesut : depuis le naufrage du Titanic l'acier pour les bateaux ont était renforcées. Surtout au 21 -ème siècle. Attendez Kylian passe moi une pince et un sac s'il te plaît.

Le stagiaire s'exécute et l'allemand semble fouiller dans le sable et en sort une sorte de tube complètement exploser. Il le met dans le sac en plastique et le range dans la caisse.

Mesut : faudra analyser se truc mais à mon avis...

Sergio : c'est une bombe.

On se tourne tous vers lui.

Didier : une bombe ? Mais quesque ça fout dans l'épave d'un bateaux ?

Sergio : ça j'en sais rien.

Gérard : en tout cas sa ressemble à une bombe artisanale. Après il faudra confirmation.

Olivier : écouter on va s'y mettre tout de suite. Euh vous savez où un peut analyser ça ?

Harry : il n'y a pas de labo scientifique ici.

Moi : faites ça à l'hôtel. Vous l'avez bien fait dans des toilettes sur une affaire de braquage à se que je crois ?

Mesut : ouai c'est vrai. Bon on va faire tout ça dans la chambre d'hôtel.

Harry : prenez avec vous mon scientifique Dele Ali.

Olivier : pas de soucis et prévenez nous si il y a du nouveau.

Ils partent et je me retourne vers les digue ou une jeune fille rousse à l'écart et semble me fixer m'intrigue. Je pince les côtes de Didier.

Didier : aie. T'es malade quesquil y a?

Moi : j'ai oublier mes cachets à l'hôtel tu veux bien m'accompagner ?

Il me regarde sans comprendre alors que le capitaine Kane semble nous fixer. Je lui repince les côtes en lui fessant les gros yeux.

Didier : ah oui tes cachet. Et ben viens. On reviens c'est juste qu'elle a un petit problème de santé.

On se dirige vers les banderoles et une fois sorti de la foule je cherche la jeune fille du regard.

Didier : tu m'explique se que tu as ?

Je ne lui répond pas et continu de la chercher quand je la voit au coin d'une ruelle.

Moi : là bas suis moi.

Je le tire par le bras et court vers cette fille qui s'enfuit.

Moi : arrêtez vous !

Elle court vers d'autres ruelle et nous la suivons.

Didier : arrêtez vous !!

Mais rien n'y fait elle court toujours.

Didier : continue de lui courir après je vais essayer de la prendre par surprise !!

Moi : ok mais fait attention ! On ne sait pas si elle est armé !!

Didier : ne t'inquiète pas pour moi bb !!

Et il s'engouffre dans une ruelle. Je n'est pas le temps de m'attarder sur le fait qu'il m'a appeler bb et continu de courir après cette jeune fille.

Alors qu'elle commencer à me distancer Didier surgit et réussi à l'attraper par les bras. Elle essaie de se débattre mais j'arrive à ses côté et découvre une adolescente.

Moi : mais c'est une gamine !

Didier : hein ?

Elle : je ne suis pas une gamine j'ai 16 ans !! Et puis lâchez moi j'ai rien fait de mal !

Didier : et calme toi. Tu t'es enfuis et ont voudrais savoir pourquoi ?

Elle : c'est vrai ? Vous allez pas m'arrêter ?

Moi : non ne t'en fait pas. Et pourquoi voudrais tu qu'on t'arrête ?

Elle : parce que j'ai était voir la coque du bateaux de mon père alors que c'était interdit.

On se regarde avec Didier.

Moi : ce bateau était à ton père ?

Elle : oui c'est même lui le survivant qu'on a retrouvé accrocher à une bouée avec une boîte noire.

Didier : une boîte noir ce n'est pas pour les avions ?

Elle : si mais mon père en a fait installer une sur son bateaux quand il a su qu'il devait aller près de ces île maudites.

Moi : ces île maudites ???

Elle : dites je veux bien vous dires des choses mais ça vous dérangerez pas qu'on aille chez moi. J'ai pas envie de tomber sur les mecs de Scotland yard.

Didier : on te suis.

Il la lâche et elle nous fait signe de la suivre se que nous fessons. Elle nous conduit en dehors de la ville vers une petite maison en bord de côte.

Moi : c'est très jolie ici.

Elle : ça l'ai encore plus les jours de soleil. Venez entrez.

Elle ouvre et nous entrons. C'est une petite maison avec une salle à manger cuisine très moderne. Elle nous fait signe de nous assoir à la table et nous sert des café fumant. Elle s'assoit en face de nous.

Moi : comment tu t'appel ?

Elle : Lola. Lola Simon. Je suis française comme vous on vient de Paris mais quand ma mère est morte d'un cancer des poumons y a 3 ans ont a déménagé ici pour que mon père trouve un travail mieux payer.

Didier : comme marin pécheur.

Lola : oui. Et vous vous êtes de la police française ?

Moi : pas vraiment. On n'est les enquêteurs du mystère. Moi je suis Chloé Sanchez la fondatrice. On enquête sur les mystère de notre très chère planète.

Lola : ouah c'est cool. Et vous vous êtes donc son mari ?

Didier rigole légèrement et je rougis un peu gênée.

Didier : non je suis le commissaire de la section. Je m'appelle Didier Deschamps.

Lola : dommage vous avez l'air proche. Donc vous êtes ici pour enquêter sur Eilian Mor ?

Moi : oui. Tu sais quelque chose Lola ?

Lola : peut être. Quand les disparitions ont commencer des bruits ont circuler sur une légende.

Didier : une légende ?

Lola : oui une légende sur les viking et un trésors.

Moi : tu sais se qu'elle raconte.

Lola : que le vikings avaient cacher un immense trésors sur une des nombreuses îles. Et qu'ils le protégeront toujours. C'est pour ça qu'un drakkar vogue sur la mer. Il protège le trésors. Et on raconte que ceux qui le convoitent se retrouve prisonnier sur se drakkar à jamais.

Didier : ce qui nous ramène au témoignage de 1900. Comme quoi on aurait vu 2 ciré jaune.

Moi : et cette fameuse île où le trésors et caché c'est Eilian Mor ?

Lola : oui. Tenez mon père à trouvé une pièce ancienne la dernière fois qu'il est aller pêcher. Et il a aussi entendu des voix.

Elle nous tend une pièce anciennes et nous la regardons.

Nous deux : des voix ?

Lola : oui. Il m'a dit que lui est son employé avait eu la peur de leur vies. Il m'a dit que c'était des voix d'outre tombe.

Didier : ok là on a affaire à du lourd.

Moi : oui. Et pourquoi ton père et son employé y sont retourner ?

Lola : parce qu'il y a plus de poisson là bas et que c'est mieux payer. Il voudrais retourner en France pour que je termine le lycée et fasse des étude de droit. Je veux être avocate comme ma mère.

Moi : c'est un très beau métier.

Lola : mais si mon père ne s'en sort pas je ne sais pas comment je vais y arriver..

Elle baisse la tête et je me mord les lèvres. On dirait moi. Je lui prend les mains et lui sert.

Moi : je peux comprendre se que tu ressent.

Elle me regarde. Je sens aussi le regard de Didier sur moi.

Moi : mon père a disparu enfin à était enlever sous nos yeux à ma mère et à moi quand j'avais 4 ans. C'était une soucoupe volante qui ensuite m'a irradie tout le coter droit.

Je soulève légèrement mon haut ou se trouve mes cicatrice. Elle les regardent choquer et me sert les mains. Je sens des larmes perlé au coin de mes yeux.

Moi : depuis j'ai grandi sans père sans savoir se qui c'était vraiment passé et maintenant que j'ai l'âge de comprendre on... On refuse de me donner les réponse. Alors je te promet de tout faire pour savoir se qu'il c'est passé la bas.

Lola : merci... Mais vous et votre mère vous...

Moi : on nous a prises pour des folles alors pour me protéger on a déménager à Paris ou je suis entré à l'école de police. Ma mère vient d'une famille aisée du sud de la France. Mais sache que je te crois.

Didier : moi aussi. On va trouver ces fameuses voix.

Moi : et arrêter toute ses disparitions.

Lola : merci.

Didier : pour cette nuit tu compte dormir chez des amies ?

Lola : j'ai pas d'amie... Je peux rester toute seule vous savez.

Moi : ou on peut reste avec toi et faire venir nos amis. Enfin si tu veux ?

Lola : euh... Oui.

Didier : bon j'appelle les autres je crois que l'hôtel ne leur plaît pas trop question Casper.

Nous rigolons toute les deux alors qu'il sort et tombe nez à nez avec le capitaine Kane. Et merde.

Harry : je croyais que vous alliez chercher des cachets miss Sanchez.

Moi : c'est ce que j'allais faire quand cette jeune fille et venu à ma rencontre. C'est la fille de l'homme retrouver se matin.

Harry : vous êtes la fille de Henry Simon?

Lola : oui.

Harry : bien. Vos scientifiques m'ont appeler. C'est bien une bombe artisanale que nous avons retrouvé. Après ils veulent vous voire pour vous en dire plus.

Moi : très bien. Didier aller les appeler. Nous restons avec Lola elle est mineur et n'a personne pour s'occuper d'elle.

Harry : très bien. Je vais aller les chercher. Que voulez vous manger se soir ?

Moi : pizza ?

Lola : oui pourquoi pas.

Harry : très bien nous vous ramènerons ça.

Il sort et Didier rentre.

Didier : les mecs vont pas tarder à arriver. Ça vous direz un bon feu ?

Moi : oh oui.

Lola : je vais chercher du bois et l'allumer comme ça on sera bien pour manger les pizzas.

Elle se lève et se dirige vers l'arrière de la maison. Didier me fixe et se rassoit à coter de moi.

Didier : maintenant qu'on ai que tout les deux tu veux bien me dire ce qui te tracasse.

Moi : le procureur m'a appris que le dossier sur la disparition de mon père était classé secret défense.

Didier : secret défense ?! Mais pourquoi ?

Moi : ça je ne sais pas et le pire c'est qu'on m'a formellement interdit de le consulter sous peine de me voire retirer mon insigne.

Didier : même avec le plein pouvoir de la section ?

Moi : ouai... Je serai jamais se qu'il c'est réellement passé se soir là.

Je met ma tête entre mes mains et m'accoude contre la table. Je souffle et ferme les yeux.

Moi : je ne serai jamais se qu'il c'est passé se soir là à cause d'un putain de secret défense. Je pourrais jamais laver tout se qu'on a subit avec ma mère. Je... Je pourrais jamais passer à autre chose.

Didier : eh calme toi d'accord ? On va trouver une solution. Je te promet qu'un jour tu découvrira la vérité.

Je retire mes mains et le regarde droit dans les yeux.

Moi : merci Didier vraiment merci d'être la.

Didier : je t'avais dit que pendant se besoin de temps je serai là alors je suis là.

Je sourit encore plus et saute à son cou pour lui faire un câlin. Il semble d'abord surpris mais passe ses bras autour de ma taille pour l'attirer contre lui.

On se sépare et on se regarde de nouveau droit dans les yeux ses yeux dérives sur mes lèvres et les miens sur les siennes. Oui je sais j'ai dit que j'avais besoin de temps mais parce que j'ai peur.

Avant de tomber amoureuse de lui je n'avais jamais eu de relation sérieuse car à chaque fois que je raconter mon histoire tous se moquer de moi ouvertement. Mais Didier non il m'a soutenu et il me soutien.

Alors se besoin de temps était peut être nécessaire avant mais sur se moment là je pense qu'il vient de se terminer. On continu de se regarde mais je me rapproche doucement de son visage.

Si bien que nos lèvres ne sont qu'à quelque mini mètre aucun de nous ne bouge de peur de faire un faux pas alors je décide de prendre les devant et réduit les quelques mini mètre qui nous sépare pour frôler ses lèvres.

Mais au même moment la porte s'ouvre sur le reste de la section qui entre en parlant et se stop. Je sens leur regard sur nous et je rougis. Didier fais de même mais on reste l'un contre l'autre nos lèvres proche.

Presnel : les gars dites moi que je rêve là ?!

Paul : non mecs ils sont sur le point de s'embrasser !

Hugo : fermez la ! Vous voyez pas que vous les dérangez ! Alors venez dans le salon.

Corentin : ça c'est un scoop en tout cas.

Antoine : ta pas entendu se que vient de dire Hugo ?! On dégage dans le salon et on leur laisse finir leurs... trucs!

Et comme si cela ne suffisait pas Lola rentre à se moment là.

Lola : ça y est le feu et.... Ah ouai. Euh... Je crois que je dérange un peu là pour le coup je vais retourner au salon.

Kylian : c'est bien par là ?

Lola : oui oui.

Mesut : et bien on n'y va de se pas.

Tous sortent et on reste dans la même position qu'au début.

Didier : ils m'exaspèrent... Je ne sais pas comment tu fais pour les supporter en tant que patronne.

Moi : oh j'ai l'habitude. Je te supporte déjà donc après ça va tout seul.

Didier : eh je suis pas

Je le coupe en posant ENFIN mes lèvres sur les siennes. Je sens un sourire contre mes lèvres et il ferme les yeux pour approfondir le baiser.

Mon dieu ses lèvres sont tellement douces et chaudes. Le baiser me semble durée une éternité mais j'ai tellement ça et je crois que le Basque aussi.

Nous sommes obligés de nous séparer par manque d'air mais ses bras sont toujours enrouler autour de ma taille donc je reste contre lui.

Didier : c'était waouh. Juste waouh.

Moi : on dirait que tu vient d'embrasser une fille pour la première fois.

Didier : c'est un peu le cas. C'est le premier baiser que me donne une fille que j'aime.

Moi : je prend ça pour un compliments.

Didier : donc ce besoin de temps...

Moi : ben... Il est presque terminer.

Il rigole et moi aussi. Il repose ses lèvres sur les miennes pour me redonner un baiser chaste.

Didier : maintenant que ça c'est fait on devrait rejoindre les autres sinon tu sais se qu'ils peuvent imaginer.

Moi : oh oui. Aller viens.

Je lui prend la main et l'attire vers le salon ou les autres sont installer. On entre et tous nous lance des regards plein de sous entendu.

Je m'installe sur le canapé et Didier par terre à coter de moi. Un petit silence règne quelque minute où tous s'échange de drôle de regard.

Moi : bon alors c'est bien un bombe qu'on a trouver sur l'épave.

Mesut : euh... Ouai. Un artisanal. Fais avec un cylindre qui ressemble à un câble et qui se colle contre la coque pour faire le plus de dégâts.

Didier : maintenant reste à savoir qui la fait et comment elle c'est retrouvé sur un bateaux de pêcheurs.

Lola : alors c'est une bombe qui a fait sombrer le bateaux de mon père ?

Olivier : c'est trop tôt pour le dire mais tout semble aller dans se sens.

Lola : et pour les autres alors ? Ce n'est pas là malédiction ?

Moi : je ne pense pas.

Presnel : pas sur.

On se tourne vers lui en le dévisagent.

Didier : comment ça pas sur?

Julian : on n'a réussi à récupéré la bande sons sur la boîte noire et ce qu'on entend dessus et assez... Déconcertant.

Presnel : on va te la faire écouter.

Il sort son ordi et tape sur son clavier. Ensuite il le tourne vers nous.

Julian : écoutez bien.

Il appuie sur une touche et la bande sons se lance. Nous entendons en fond le bruits des vague et le vent. Nous entendons aussi les voix de 2 personnes.

Lola : ce sont les voix de mon père et de son employé.

Julian : je m'en suis douter mais j'ai la confirmation. Mais écoutez les voix qui vont suivre.

Les voix des hommes se taisent. Et en font nous entendons comme des sortent de murmures au loin. On se regardent tous. Paul et Kylian s'enfoncent dans le canapé pas du tout rassurer.

Hugo prend Antoine dans ses bras pour se rassurer sous le sourire amusé de mon meilleur ami. Olivier et Mesut eux restent concentré comme Sergio et Gérard quand au petit journaliste il est terrorisé.

Se qui me fait rire. Didier me lance un regard pour me calmer mais très vite il me rejoins. Harry et ses hommes lui aussi sourit amuser. Comme Lola.

Très vite les murmures deviennent plus fort jusqu'à devenir plusieurs voix qui s'entremêle. Puis plus rien.

Presnel : la bande son s'arrête là.

Hugo : et tu sais se que le voix disent.

Julian : non pourtant avec Marcus on n'a essayé de les déchiffré.

Marcus : mais elles sont incompréhensibles.

Sergio : c'est con.

Corentin : oui ça aurait était génial de savoir se que c'était ses voix.

Moi : bon manger. Ça va être froid.

Nous mangeons tous en parlant de tout et de rien. Quand le téléphone d'Harry sonne. Il s'éloigne pour répondre puis reviens vers nous 5 minutes plus tard.

Harry : c'était l'hôpital. Ton père s'est réveillé Lola.

Lola : c'est vrai?!

Harry : oui et il est en parfait santé à part une légère pneumonie. Je pourrais aller l'interroger demain matin tu viendra avec moi.

Moi : c'est génial ça. Capitaine Kane croyez vous que je pourrais me rendre sur Eilian Mor demain ?

Didier : toute seule ??

Moi : non avec toi et quelque gars.

Harry : je vous accompagnerai avec Jesse et Marcus ira interroger messieurs Simon.

Hugo : Antoine et moi l'accompagnerons.

Harry : bien si les conditions météo le permettent nous partirons à 8h.

Didier : bon allons tous nous coucher. Nous en avons tous besoin.

Paul : yes. Kyky on dort ensemble comme prévu ?

Kylian : oui la pioche.

Moi : je reste ici avec Lola.

Didier : moi aussi.

Hugo : ok prévenez nous quand vous irez sur Eilian Mor.

Moi : pas de soucis les mecs. Bonne nuit.

Eux : bonne nuit.

Harry : bonne nuit à vous deux.

Moi : merci Harry. Et à demain matin.

Ils sortent et j'aide Lola à ranger.

Lola : prenez la chambre de mon père.

Moi : merci.

Didier : je prendrai la canapé.

Je relève la tête vers lui et il me sourit.

Lola : bon ben bonne nuit à vous deux je vais me coucher.

Moi : merci ma puce et repose toi bien. Ton père est hors de danger maintenant.

L'adolescente nous sourit et monte. Didier s'approche de moi.

Didier : ce n'est pas que je ne veux pas dormir avec toi princesse mais je ne veut pas te brusquer.

Moi : je veux que tu dorment avec moi et ce n'est pas négociable.

Il sourit et me sert contre lui.

Didier : j'adore quand tu est comme ça. Ma chérie.

Je sourie encore plus en l'entendait m'appeler ainsi. Il me prend la main et nous montons à l'étage dans la chambre. Il se déshabille et se met torse nu moi je garde qu'un t-shirt et me met dans les draps.

Mon petit ami s'allonge à mes côtés et me sert contre il en m'embrassent le cou. Je prend une de ses mains et la sert.

Didier : bonne nuit mon amour.

Moi : bonne nuit mon homme.

Didier : j'aime bien se surnom ça prouve que je suis vraiment un homme.

Moi : dort.

Je rigole et il m'embrasse pour que j'arrête. Je répond à son baiser puis pose ma tête contre son torse pour m'endormir rapidement.

Le lendemain matin

Je bois mon café avec Lola quand Didier descend. Je lui tend sa tasse en souriant.

Didier : ah merci. La dernière fois je n'est pas eu le droit à un si beau sourire.

Lola : vous avez dormi ensemble finalement.

Moi : oui. Comme quoi j'arrive à être persuasive.

Didier : sa c'est sur princesse.

Je sourit et termine mon café. Ensuite nous allons sur le port où Harry nous attend avec Dele Sergio Gérard, Mesut et Olivier.

Harry : Marcus t'attend à notre hôtel Lola. Tu pourra rester auprès de ton père autant de temps que tu le souhaite.

Lola : merci messieurs Kane.

Moi : aller file et à toute.

Elle court vers notre hôtel. Je sourit mais le perd en me souvenant que moi je n'est pas eu cette chance pour mon père.

Une main entrelace ses doigts avec les miens. Didier. Il a du voir mon mal être.

Didier : ça va aller?

Moi : oui ne t'en fait. Harry le bateau est prêt ?

Harry : oui il n'attend plus que nous.

Moi : et bien embarquons.

Nous montons sur le bateaux et embarquons. Sergio et Gérard prépare le matériel que Julian et Presnel nous on passer.

Sergio : tenez chacun aura une caméra thermique, une autre infrarouge, un détecteur de mouvement avec une caméras, un talkies, un détecteurs de pve, un flingue, un gilets par balle

Didier : pourquoi un gilet par balle ?

Sergio : vaut mieux être prévoyant. Donc un gilet par balle, une torche et une oreillettes.

Moi : ok. Une fois sur l'île nous n'auront aucun contact extérieur.

Gérard : donc aucun avec le reste de l'équipe ?

Moi : si tu m'avais laisser finir je t'aurai dit qu'on aurait pu communiquer avec les talkies abrutis.

Didier : bim ça c'est fait.

Harry : nous devront faire attention quand nous accosterons. Le vents souffle et les vague seront dangereuses.

Moi : ne vous en faites pas. En attendant habillez vous chaudement.

Chacun prend de quoi être chaudement habiller. 1h plus tard nous arrivons au abord de Eilian Mor. Le bateaux s'approche comme il peut de l'embarquer.

Nous montons ensuite sur une canot ou nous accostons. C'est vrai que le vent souffle sacrément fort ici. Didier s'approche de moi et me sert contre lui.

Harry : maintenant suivons le chemin jusqu'au phare. Une fois à l'abri nous établirons un plan.

Moi : d'accord.

Nous suivons tous à la file indienne le chemin sous des rafale de vent. Une fois arrivé Harry ouvre la porte et nous nous dépêchons de rentre à l' intérieur.

Olivier : brrr. Fait pas chaud.

Gérard : y a rien pour allumer un feu ici ?

Moi : je vous interdit d'allumer quoi que se sois. S'il y a des personnes mal attentionné au alentour du l'île ils n'auront cas foncer droit sur nous.

Harry : Chloé a raison. On ne doit courir aucun risque.

Didier : c'est ce pourquoi je fais aller faire un repérage de l'île.

Moi : tout seul ???

Didier : oui je n'en aurai que pour quelque minute tout au plus 1 quart d'heure avec se temps. En tout cas c'est gentil de t'inquiéter pour moi.

Mesut : oui c'est trop mignon.

Moi : la ferme toi. Reviens vite s'il te plaît. Je ne suis pas trop tranquille.

Didier : promis princesse je reviens très vite.

Il m'embrasse le coin des lèvres et sort.

Pdv Antoine

Nous sommes arrivés à l'hôpital et une infirmière nous a indiqué où se trouver la chambre de messieurs Simon. Lola entre avant nous et court vers son père pour lui sauter au cou.

Lola : papa ! J'ai eu si peur!

Henry : mais grâce à dieu je vais bien ma chérie.

Moi : heureux que vous soyez remis de cette mauvaise expérience messieurs Simon.

L'homme se tourne vers nous.

Henry : vous devez être de la police française je présume.

Hugo : oui et non. Nous sommes les enquêteurs du mystère. Et pour cette enquête nous sommes aidés par Scotland yard.

Moi : et nous aimerions vous poser quelque questions si cela ne vous ennuis pas ?

Henry : non allez y.

Hugo : avez vous déjà était pêcher au alentours de l'île avant cela ?

Henry : rarement. Personne ne veut s'aventurer là bas. Et les rares fois où j'y aller c'était de jour et pars beau temps.

Moi : votre fille nous as raconté que avant l'accident vous avez entendu des voix fantomatique.

Henry : oui. Je peux vous jurer que quand on as entendu ça on a foutu le camps directement.

Julian : c'est voix là ?

Le jeune homme sort son téléphone et lance la bande son. Je voit Henry trembler est serré sa fille contre lui.

Henry : oui c'est celles là. On les as aussi entendu le jour de l'accident. Et avez vous retrouvé Hugues mon employé ?

Hugo : non. Les autorités vous ont retrouvé sur la plage accroché à une bouée de sauvetage avec la boîte noire.

Henry : oui j'en avais acheté une au cas où il nous arriverai quelques chose. Ce qui a était le cas. Mais attendez sur la bande son on n'entendez pas la détonation.

Moi : une détonation ?

Henry : oui. Le bateau a explosé en mille morceaux c'est se pourquoi j'ai agrippé la bouée et la boîte noire.

Presnel : ce qui colle avec une bombe.

Henry : une bombe?!!

Moi : un morceau de votre bateaux à aussi était retrouvé sur la plage hier. Et nous avons trouvé ce qui semble être un restant de bombe dans le sable.

Marcus : une bombe artisanale.

Henry : une bombe artisanale ?... Mais comment est elle arrivée sur mon bateaux ?

Moi : c'est justement la question que j'allais vous poser. Les jours précédents l'accident vous n'avez rien remarqué d'inhabituel ? Quelqu'un qui roder autour de votre bateaux ?

Henry : non... Je ne quitte pratiquement jamais mon bateaux à part pour rentrer chez moi et aller boire un coup au pub du port avec les copains... Mais attendez. La veille je revenait du pub, pour aller inspecter si tout aller bien pour le lendemain, et j'ai croisé se bourge qui revenait de son yacht. Il sembler plutôt fuyant et pressé quand je les gentiment saluer.

Hugo : un bourge ?

Lola: oui il possède un château au alentours de la ville. C'est un descendent d'une grande et puissante famille de vikings.

Suite à se mot nous nous regardons tous. Les pièces commencent à s'assembler.

Marcus : et se bourge depuis combien de temps vit-il ici ?

Henry : oh il ne vit pas ici. La plupart du temps il est à Londres mais depuis 6 mois il passe beaucoup plus de temps dans les parages.

D'un coup un détail me frappe. Hier soir Chloé et Didier nous ont parlé d'une pièce de monnaie très ancienne que le pêcheur aurait trouvé aux alentours de l'île. Ce qui automatiquement nous ramène à la légende.

Moi : messieurs Simon quand avez vous trouvé la pièce de monnaie ancienne ?

Mes collègues et mon copain me regardent sans comprendre mais il feront très vite le rapprochement.

Henry : il y a de ça presque 7 mois. La deuxième fois où j'ai était près de Eilian Mor. Je remonté le petit filet quand un chose brillante dans la vase m'a intrigué. J'ai dégagé toute la saleté et j'ai trouvé cet pièce.

Je regarde mes collègue.

Moi : tout concorde. Messieurs Simon va pêcher un beau matin aux alentour de Eilian Mor une île où 3 gardien ont mystérieusement disparu le siècle dernier et où une légende sur un trésors gardé par des fantôme de vikings sur un drakkar perdure. Il trouve par hasard en remontant son filet une pièce de monnaie ancienne. Je présume que vous en avez parler autour de vous ?

Henry : malheureusement oui et Hugues ne savait pas tenir sa langue.

Moi : Julian quand ont commencé les disparitions ?

Julian : il y a 6 mois un peu près.

Moi : juste après que messieurs Simon est trouver cette fameuse pièce près de l'île. Et juste au moment où se bourge décidé de restez dans son château. La clé de tout ça les gars ce n'est pas l'histoire de 1901 ou les fantômes : c'est Eilian Mor.

Hugo : tu veux dire que c'est se bourge qui mettrait des bombe artisanale sur des bateaux allant pêcher aux alentours de l'île, les ferait exploser pour faire croire à la légende tous ça pour une pièce de monnaie ?

Moi : pas une chéri. Le trésors que les vikings auraient cacher la bas quand l'un de leur navire se serait échoué après avoir fait naufrage. C'est ça qu'il cherche et pour pouvoir chercher tranquille il ne faut pas de petit fouineur autour de l'île.

Kylian : oh comme dans Scooby-Doo.

On le regarde tous en mode " T'es sérieux de parler de ça dans une conversation sérieuse.

Presnel : Kyky...

Kylian : ben quoi ?

Hugo : tes vraiment un gamin.

Kylian : mais quoi ?

Moi : sérieusement Scooby Doo ?!

Kylian : ben oui comme dans Scooby Doo à la fin quand il de masquent les méchants.

Marcus : rassurez moi ce n'est pas toujours comme ça ?

Julian : oh non seulement avec lui. C'est un gamin que voulait vous en plus c'est notre stagiaire il connaît pas bien encore le métier.

Moi : à 19 ans c'est sur c'est encore un gamin.

Kylian : me parle pas d'âge !

Moi : bon revenons à nos moutons ! Donc il ne fallait pas de curieux ou de fouineur ( je foudroie Kylian du regards lui fessant comprendre de ne rien dire). Et quoi de mieux que de donner vie à la légende pour effrayer tout le monde.

Hugo : c'est bien beau mais les bombes artisanales il faut avoir des compétences.

Presnel : tu sais sur le Dark web tu trouve n'importe quoi.

Julian : même de quoi faire une bombe et surtout comment faire.

Marcus : donc il accroche les bombes aux coques des bateaux, amarrés aux port, pour faire un maximum de dégât.

Moi : et faire croire qu'il avait fait naufrage.

Marcus : puis il les déclenches à distances. Mais il nous reste les voix que la boîte noire à enregistrer.

Moi : des hauts parleurs. Comme pour les films d'horreur. Ça se trouve partout maintenant.

Hugo : ok donc le fameux bourges ferait tout ça pour récupéré le trésors. Mais pour ça plus aucun bateaux ne doit circuler autour de l'île.

Henry : justement les autorité viennent d'interdire aux bateaux de pêches de circuler autour de l'île.

On le regarde tous étonné.

Moi : quand avez vous su ça ?

Henry : juste avant que vous arriviez. Le maire de la ville a fait une conférence de presse.

Marcus : et bien sûr il fait ça après que l'autre groupe soit parti sur l'île.

Moi : Ju Pres essaie de joindre l'autre groupe ! Ils sont en danger !

Le couple se précipite sur le talkie.

Moi : Hugo fait préparer un bateaux avec une escorte! On doit partir immédiatement sur l'île ! Monsieur Simon comment se nomme se bourge ?

Henry : sir quelque chose...

Lola : sir Yann.

Je regarde les mecs.

Marcus : sir Yann. C'est celui qui vous as confier cette mission ?

Moi : oui. Le fumier. On y a va vite !!!

Pdv Didier

Je ferme la porte du phare et ferme bien ma veste. Le vent souffle sacrément fort. Je marche prudemment jusqu'au bord de la falaise pour voir la mer.

Mais un épais brouillard c'est lever sur l'île. Je sors mon arme qui comporte une lampe sur son dessus et commence à longer la falaise.

Environ 10 minute plus tard le brouillard et de plus en plus épais. Je dois faire attention à ne pas me perdre. C'est alors que devant moi se dessine une silhouette d'homme.

Je lève mon arme dans sa direction quand 2 autre silhouette viennent rejoindre la première. Je reste sur mes gardes et m'avance doucement vers eux.

Moi : police ne bouger pas !

Mais elles ne semblent pas m'avoir entendu.

Moi : police ne bougez plus !

Elles se regroupent puis s'enfonce dans le brouillard. Je les suit en pointant mon arme sur eux. Je les perd très vite de vue.

Je regarde autour de moi et au dernier moment je me stop me rendant compte qu' il m'ont conduit jusqu'au bord de la falaise.

Moi : j'ai eu chaud...

D'un coup des murmure s'élève autour de moi. Je pointe mon arme dans toutes les directions.

Moi : qui est là ?! Montrez vous je suis armé !

Du coin de l'œil j'aperçois du mouvement le long de la corniche.

Moi : arrêtez vous !

Je le suis comme je peux en fessant attention de ne pas tomber puis j'arrive au niveau de la mer. Le vent souffle tellement fort que les vagues s'écrasent contre les rocher et que je suis obliger de me coller contre la paroi.

C'est alors que je voit une entrée. Je marche prudemment vers elle est entre. Je ne fais aucun bruit et garde mon arme dans ma main.

Une petite rivière coule à coter de moi. Il y a juste assez de place pour laisser passer un bateaux. Les voix autour de moi se renforcent me fessant mal à la tête.

C'est à se moment là que je remarque de la lumière venant du fond de la grotte. Je m'approche sans faire de bruit et remarque plusieurs câble électrique qui traîne au sol. Ok c'est quoi tout ce bazar ?

Des voix retentissent et je me cache derrière un rocher. J'aperçois des ombres au mur qui se dessine pour devenir de plus en plus petite pour voir... Sir Yann! Mais quesquil fout ici ?!

Sir Yann : vous êtes sur de se que vous affirmez Angus ?

Angus : affirmatif sir. Un bateaux c'est approché aux abord de l'île il y a 1 h et 7 personnes ont débarquer dont une femme.

Sur Yann : rha ces maudit frenchie. J'en ferai de la chair à pater. Rassemblez tout le monde nous allons leur préparer un accueille digne de Eilian Mor.

Oula ça sent pas bon pour nous ça. Je doit prévenir les autres qu'on doit quitter au plus vite cet île maudites.

Je sors de ma cachette et marche sans faire de bruit et en me retournant pour vérifier que personne ne me vois, vers la sorti. Sauf que je trébuche sur un câble qui traîner par terre, ce qui fait tomber plusieurs chose et fait un bruit d'enfer.

Putain mais quel boulet je suis quand même !! Les hommes se tournent vers moi et je sourit gêner. Ok Didier arrête les conneries et casse toi prévenir Chloé et les autres.

Sir Yann : connard de frenchie ! Attrapez le !

Je me retourne et court vers la sortie en évitant de tomber sur les câbles. Je vois enfin la sortie et tourne pour grimper par le " chemin" où je suis arrivé mais je tombe nez à nez avec 2 colosses.

Le premier me saute dessus, je l'esquive et lui envoi un coup de pied dans la tête. Sauf que le deuxième me plaque contre un rocher et met son genou en bas de mon dos.

Le premier se relève et me met mes mains derrière mon dos. J'essaie de me débattre mais ils me relève en me tirant par les cheveux.

Ils me tirent à l'intérieur où sir Yann et le fameux Angus nous rejoignent.

Sir Yann : Mister Deschamps. Quel joie de vous voire ici.

Moi : joie partager sir Yann.

Angus : laisser moi lui faire sa fête patron.

Sir Yann : non pas maintenant. Emmenez le à l'intérieur.

Les deux colosses derrière moi me font avancer jusqu'au fond de la grotte. Là ou j'était quelques minutes plus tôt.

Ce que je n'avais pas vu c'est un immense yacht avec des échafaudages autour et des lumières. Ils me font avancer vers l'un des échafaudage et collé mon dos contre l'un des poteaux.

Moi : hé allez y doucement bande de con !

Les deux me foudroie du regard après avoir passée mes mains de l'autre côté du poteaux et me les avoir attachés ensemble avec un fil électrique.

Ils s'écartent de moi pour laisser leur patron se poster devant moi, prendre mon menton dans l'une de ses mains ganté et me le serrer.

Sir Yann : vous les français vous êtes tellement prévisibles et bêtes.

J'essai de me défaire de sa prise sans succès. C'est à se moment là que mon talkie se met a grésiller est que la voix de Chloé retenti et m'appelle.

L'écossais sourit, le sort de ma poche ainsi que mon arme et me regarde.

Sur Yann : miss Sanchez a l'air de s'inquiéter pour vous par rapport à hier.

Je le foudroie du regard. La voix de Chloé retenti à nouveau et je peux sentir la peur la gagner. J'arrive à me dégager de la poigne de l'autre connard et aller crier le nom de la femme que j'aime mais un des deux colosse plaque sa main sur ma bouche.

Sir Yann : chut. Ecoutez ce que votre chef as à vous dire.

Chloé : Didier ! Didier répond merde ! Rentre vite au phare ! Les gars viennent d'appeler c'est sir Yann qui est derrière tout ça ! Et ils sont sûrement sur l'ile !

Sir Yann : c'est exact miss Sanchez.

Un petit silence se fait.

Chloé : sir Yann. Où est Didier ?

Sir Yann : juste en face de moi. Et ne vous en faites pas il est en parfaite santé. Du moins pour l'instant.

Chloé : rendez vous sir Yann. Le reste de l'équipe et des renforts sont en chemin pour l'île. Vous n'avez aucune chance de vous en tirez.

Sur Yann : au contraire. Ma chance je les en face de moi. Écouter moi bien miss Sanchez, si vos hommes essaye de m'empêcher de prendre se qui est à moi je n'hésiterez pas à tuer le commissaire Deschamps. Es ce clair ?

Aucune réponse ne vient de la part de Chloé. Alors sir Yann plonge sa main dans la poche de sa veste et en sort un gros pistolet.

Les deux colosses, dont celui qui me bâillonner, s'éloigne de moi à la quatrième vitesse. Le vieille hommes me vise la tête. Je tire sur mes liens pour essayer de me détacher mais rien à faire ils sont beaucoup trop serrées.

Sir Yann : j'attends miss Sanchez...

Chloé : c'est bon ! Je vais donner l'ordre aux reste de l'équipe de rentré !

Sir Yann : sage décision.

Chloé : tout ça pour un putain de trésors !

Sur Yann : ce n'est pas un putain de trésor miss ! Vôtre père devez bien le savoir ! Je vous recontacterez plus tard !

Il éteins le talkie et me regarde durement.

Moi : elle as raison. Tout ces naufrages, ces morts pour un simple trésor.

Il s'approche de moi et pose le canon du pistolet sous mon menton.

Sir Yann : c'est n'est pas qu'un simple trésor ! C'est l'héritage de mes ancêtres ! Il est à moi et personne ne l'aura ! Pas même c'est maudits pêcheurs ! Angus bâillonne le et va aidé les autres à creusé avant la marée !

Moi : vous êtes complètement taré !

Il s'éloigne de moi et ce Angus passe derrière moi avec un foulard et me l'enfoui dans la bouche. Il me regarde en me lançant un sourire narquois puis rejoint ses complices.

J'essaie une nouvelle fois de me détacher pour rejoindre les autres et la femme que j'aime pour quitter cette maudites île.

Pdv Chloé

Je repose le talkie et regarde les mecs. Je souffle et le reprend.

Moi : Antoine tu me reçoit ?

Antoine : cinq sur cinq clo.

Moi : on a un gros problème. Sir Yann et ses hommes sont déjà sur l'île et ils ont pris Didier en otage.

Antoine : et merde !

Hugo : cette fois c'est pas moi qui est déconner.

Moi : cette fois c'est pas pareil Hugo ! Il était parti en repérage et a du sûrement tomber sur leur repère !

Je me stop d'un coup. Presnel a créé des petits traceurs que l'on met sur nos armes si jamais lors d'une mission nous sommes blessés et qu'il faut nous retrouver.

Moi : Antoine passe moi vite Ju ou Pres !

Antoine : ok. Presnel tient.

Presnel : je t'écoute clo.

Moi : es ce que vous pouvez essayer de tracer l'arme de Didier ?

Presnel : on va essayer. Ju.

Julian : je m'en occupe. Alors... Le signal vient bien de l'île. Mais on dirait qu'il est sous terre.

Moi : bon. Tu peux nous guider jusqu'à lui ?

Presnel : oui pas de soucis.

Moi : bien. Resté là où vous êtes pour l'instant. Avec Harry Dele Sergio et Gérard on va aller chercher Didier.

Olivier : et nous ?

Moi : si dans une heure on n'est pas revenu vous appeler Antoine et vous vous casser de cette île. C'est clair ?

Mesut : très clair clo.

Je repose le talkie et met mon oreillette comme les autres. Je charge mon arme et met des lunette de vision nocturne avec une caméra thermique vu que la nuit tombe.

Moi : bien nous marcherons prudemment et sans faire de bruits. Il faut à tout prix éviter qu'ils nous repère avant qu'on est sorti Didier de là.

Nous sortons et marchons prudemment. Moi en tête.

Moi : Julian tu me reçois ?

Julian : cinq sur cinq. Avancez jusqu'au bord de la falaise et suivez la sur au moins 200 mètres.

On s'exécute. Nous marchons le longs de la corniches où le vent souffle fort. Les vagues en contrebas s'écrasent contre les rochers.

Julian : stop ! Vous êtes arrivés au niveau du signal.

Nous regardons autour de nous et ne voyons rien.

Sergio : y a rien autour de nous Ju !

Julian : mais le signal se trouve à coter de vous !

Nous regardons encore autour de nous et je m'approche du bord. Je me penche légèrement et voit un " chemin" qui semble descendre.

Moi : venez voir ça les mecs !

Ils se postent tous à mes côtés.

Dele : on dirait un chemin qui descend.

Moi : suivons le !

Harry : Chloé attendez ! On ne sait pas si c'est vraiment un chemin !

Moi : je m'en fous Harry ! Le signal vient de la donc ça ne peut venir que d'en bas. Aller on descend !

Je passe en première et à la file indienne. Nous arrivons au niveau de la mer et je découvre l'entrée d'une grotte.

Je fais signe à tout le monde de se coller contre la paroi et sort mon arme. Je m'avance doucement jusqu'à l'entrée puis saute en pointant mon arme devant moi.

Mais il n'y a personne par contre j'entends vers le fond des éclats de voix et il y a de la lumière. Je fais signe au autres d'avancer en sortant leurs armes.

Gérard : quesque c'est que ça ?

Harry : d'ancienne grotte sous marine.

Julian : les amis le signal devient de plus en plus fort.

Moi : ils sont bien ici.

Dele : nous ferions mieux de nous dépêcher à délivrer Didier et arrêter ses salopards. La marrée monte.

Je sens de l'eau arriver à mes chevilles.

Sergio : effectivement faut qu'on se grouille !

Nous avançons sans faire de bruit jusqu'à se que le voit un yatch et des échafaudage.

Dele : c'est quoi ce bordel ?!

Harry : chut!

Sergio : clo regarde là bas.

Il me pointe du doigts un échafaudage où au pied se trouve Didier assis et bâillonner.

Je pousse les mecs derrière un rocher, on ne sait jamais.

Moi : couvrez moi je vais passer par derrière pour le détacher.

Gérard : compte sur nous.

Il charge un gros flinque et je passe derrière les rochers où Didier se trouve. Je vois beaucoup mieux l'ensemble de la grotte.

Le yatch et amarré sur l'étang, au fond sur un autre échafaudage il y a des bureaux avec des enceintes et des spots. Et sous se dernier se trouve 4 hommes dont sir Yann.

Moi : Ju préviens les autres que il y a 3 hommes avec sir Yann.

Julian : ok clo.

Je descend juste derrière Didier et rampe vers lui. Il ne m'a toujours pas vu alors je commence à le détacher se qui le fait sursauter et tourner la tête.

Moi : et du calme c'est moi.

Je retire ses liens et il se retourne vers moi. Il retire le foulard qu'il avait dans la bouche et me sourit.

Didier : je savais que tu aller venir beauté.

Sir Yann : Nous aussi.

Je regarde par dessus son épaule et le voit avec ses 3 colosses.

Sur Yann : vous tenez vraiment à lui miss Sanchez.

Je ne répond rien. Mais dans mon oreillette j'entend les mecs se mettre en place. Discrètement je prends la main de Didier.

Angus : quesqu'on fait d'eux patron ?

Sir Yann : ligotés les et monter les sur le yacht. J'aviserez après.

C'est a se moment là que les gars sortent de leurs cachettes et pointent leurs armes sur eux.

Harry : plus un geste ! Vous êtes en états d'arrestation !

Je me relève et aide Didier à faire de même. Il prend des cordes et leurs attaches les mains derrière leurs dos.

Moi : Geri appel Olive qu'il disent aux autres de venir nous chercher.

Gérard : clo on a un gros problème là !

D'un coup la marrée monte plus vite.

Moi : montée tous à bord du yatch !!

Ils s'exécute et Didier se place à la barre. Il le fait démarrer et le pilote tant bien que mal jusqu'à la sortie sauf qu'avec les vagues, le courant nous entraîne vers les rochers.

Dele : ont va s'écraser !!

Sergio : Didier arrête le moteur ou on va s'écraser !

Didier : tes malade toi ?! C'est si on l'arrête qu'on va s'écraser !

Moi : Didier écoute le je t'en supplie !

Il pose son regard sur moi toute trempé a cause des grosses vague qui heurte le bateaux.

Didier : fait moi confiance beauté. Tu as confiance en moi ?

Moi : Didier ce n'est pas ça....

Didier : tu as confiance en moi Chloé ?

Je le regarde droit dans les yeux. Bien sûr que je lui fais confiance les yeux fermés même mais là.

Didier : tu as confiance en moi mon amour ?

Moi : bien sur...

Didier : alors toi et les autres accroché vous !

Il manœuvre comme il peut pour éviter les rochers. On se tien tous comme on peut mais quelque minutes plus tard nous nous éloignons de l'île.

Didier : alors c'est qui le patron ?

Moi : tu est le meilleur mon amour.

Didier : je sais je sais.

Sergio : bon au lieu de faire enfler les chevilles de messieurs on devrait aller chercher Mesut et Olivier puis rejoindre les autres pour amener ces messieurs dans leur nouvelle maison.

Moi : oui tu as raison.

Didier : et c'est parti.

Il fait demi tour et repart vers l'île.

Le lendemain

J'entre dans la salle d'interrogatoire avec Didier et Harry. Sir Yann et assis et chacun d'entre nous s'assoit en face de lui. Mon compagnon ouvre un dossier et sort toutes les photos des pêcheurs disparus.

Didier : toutes ces personnes sont morte pour un trésors.

Sir Yann : c'est la vie que voulez vous.

Moi : juste parce que ces pêcheurs se sont trop approcher de l'île où vous aviez identifier où se trouver le trésors de votre famille. Ce dont parle le parchemin.

Il me regarde intriguer.

Sir Yann : c'est exact miss Sanchez comment l'avez vous su ?

Harry : se matin nous avons perquisitionner votre château.

Moi : et notre historien l'a trouver bien cacher derrière un portait de votre père.

Sir Yann : il as était écrit par un arrière grand père qui disait qu'il avaient cacher avec son équipage la fortune qu'il a amasser. Il écrit que c'était prévu qu'il devait le ramener au château mais une tempête à fait échouer leur navire sur Eilian Mor. Et quand j'ai entendu l'employer de Henry Simons crier partout que lui est son patron avait trouver une pièce ancienne près de l'île j'ai su que je devais à tout pris le récupéré. Alors j'ai donner vie à la légende

Didier : donc la légende disait vrai à propos du trésor. Comment avait vous fait pour donner vie à tout ça ?

Sir Yann : j'ai acheté plusieurs enceinte que j'ai disposé autour de l'île relier à mon téléphone. Quand les navires arriver je lancer la bande son que j'avais enregistré des voix et la lancer puis je déclencher les bombes que j'avais posé la veille contre la coque du bateaux. Et badaboum.

Moi : ou avait vous appris à fabriquer des bombes artisanales ?

Sur Yann : j'ai servi dans l'armée de sa gracieuse majesté donc j'ai appris à en fabriquer la bas.

Harry : une dernière question pourquoi avoir mis les enquêteurs du mystère et l'équipe paranormal de Scotland yard sur cette affaire ?

Sir Yann : certaine personne ici commencer à me soupçonner alors j'ai demandé à la reine si elle pouvait vous mettre dessus. J'espère ainsi être " innocenter" par votre présence et avoir le temps de récupéré ma fortune puis de fuir aux caraïbes.

Didier : moi aussi j'ai une dernière question ? Quesque vos 3 hommes foutez près de la falaise alors qu'il ne devait pas bouger de la grotte ?

L'homme semble confus.

Sir Yann : messieurs Deschamps aucun de mes hommes n'est vraiment aller autour du phare surtout hier.

Didier : très bien. Merci.

Il se lève et sort. Je le suis et le rattrape.

Moi : et quesquil y a ?

Didier : hier quand j'ai fait le repérage de l'île j'ai vu trois silhouette dans le brouillard qui mon conduis jusqu'à cette grotte. Ça ne pouvait pas être ces hommes tu l'a entendu comme moi ils n'ont pas bouger hier.

Moi : et personne n'a bouger du phare jusqu'à se qu'on viennent te délivrer.

Il souffle et s'appuie contre le mur derrière lui.

Didier : j'ai pas rêver pourtant !

Moi : et calme toi. Tu as peut être vu les fantômes de ses 3 gardiens.

Didier : peut être... En tout cas c'était réel.

Moi : je n'en doute pas. Aller rejoignons les autres chez messieurs Simon.

Harry nous rejoins et nous allons rejoindre le reste de la troupe.

2 jours plus tard

Nous sommes à l'aéroport de Stornoway. Nous repartons aujourd'hui en France et l'équipe d'Harry repart à Londres faire son rapport à la reine. Henry et Lola nous accompagne car se dernier à démissionner et à décider de rentrer avec nous.

Moi : et bien je crois que le moment et venu de nous quitter Harry.

Harry : je crains que oui. En tout cas se fu un plaisir de travailler avec votre équipe miss Sanchez.

Moi : nous de même cher collègue. Un jour peut être nous retravaillerons ensemble.

Harry : peut être. En tout cas je vous souhaite d'être heureuse avec messieurs Deschamps.

Moi : merci. Au revoir.

Harry Dele et Marcus : au revoir !

Nous montons dans notre jet avec le père et la fille. Nous décollons et très vite tout le monde s'endort sauf moi et Lola.

Moi : alors tu va faire tes études de droit ?

Lola : je ferai tout pour même si financièrement ça risque d'être compliqué pour mon père.

Moi : ce coter là c'est déjà arranger. J'ai appeler le gardien d'un des nombreux immeubles que ma mère possède et il recherche quelqu'un comme concierge. Ton père a rendez vous après demain avec lui pour un entretien.

Elle me regarde les yeux écarquillé et me saute au cou en larme.

Lola : oh merci! Merci beaucoup mademoiselle Sanchez!

Moi : de rien et appel moi Chloé. Un père c'est sacré. Crois moi j'en sais quelque chose.

Il me sourit puis pose sa tête sur mon épaules et s'endort. Moi je suis resté éveiller tout le long du voyage à penser à mon père et au fait que jamais je ne saurais la vérité sur sa disparition.

Quelque heures plus tard

Je met les deux verres de champagne et mon compagnon nous sers. On se sourit et on trinque.

Moi : ah notre deuxième enquête !

Didier : ah notre deuxième enquête et à nous !

Je rigole puis l'embrasse amoureusement. Il pose nos verres sur la table puis m'embrasse plus fougueusement. Je sourit contre ses lèvre et commence à lui enlever son tee-shirt quand on sonne.

Il grogne et se lève à contre cœur pour aller ouvrir. Une fois chose faite sa tête se décompose.

Didier : Tatiana quesque tu fais là?

Tatiana : je viens au nouvelle. Ça fait 5 jours que j'essaie de te joindre ça ne répond pas.

Didier : j'était sur une enquête.

Tatiana : mais maintenant tu n'y est plus.

Je me lève et me place contre Didier qui m'enlace en souriant. La pouffe perd son petit sourire.

Moi : non vu qu'il est avec moi.

Didier : tu connais déjà Chloé aka ma patronne et ma copine.

Tatiana : espèce de porc !

Elle le gifle puis descend les escaliers de l'immeuble. Je referme la porte morte de rire. Pour me faire taire mon copain pose ses lèvres sur les miennes. J'enroule mes jambes autour de sa taille et il pose ses mains sur mes fesses pour me porter jusqu'au canapé là on en reprend là où on s'était arrêté.

1h plus tard je suis assise sur le canapé en soutif et Didier et allonger derrière moi qui me caresse le dos. On ne parle pas parce que il sait très bien ce qui me tracasse.

Didier : j'ai bien réfléchis.

Je me tourne vers lui sans comprendre.

Moi : réfléchis à quoi ?

Didier : c'est moi qui va enquêter sur la disparition de ton père. C'est moi qui irait consulter le dossier.

Je le regarde sous le choc. Mais pourquoi tu fais ça Didier?

Didier : j'y est réfléchis quand j'étais attaché à se poteaux dans cette grotte. Je réfléchissait à ma vie et à se que je pourrais faire pour celle que j'aime.

Moi : Didier... Tu risque de perdre ton insigne si tu fais ça.

Didier : je le perdrai pour toi. Pour te voir heureuse et souriante.

Je me place en face de lui et prend son visage entre mes mains.

Moi : mais je suis heureuse avec toi et toute l'équipe. Vous êtes ma famille.

Didier : je sais mais je vois bien que tu souffre de se refus que l'on te fais d'accéder à la vérité. Je veux le faire pour toi.

Moi : tu est complètement fou mais c'est se que j'aime chez toi.

Didier : je te fais la promesse que un jour tu aura toute la vérité sur cette affaire. Coûte que coûte même si on me retire mon insigne.

Je fond et l'embrasse passionnément pour le remercier. On me refuse la vérité et bien lui la fera éclater au grand jour quoi qu'il en coûte.

FIN

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