Enquête N°1: L'enlèvement D'Enora Lloris ( Colares, Brésil)
15 juillet 2018
Pdv Hugo
Je verse le café pour moi et mon copain qui sort enfin de notre chambre. Il s'approche de moi et m'embrasse.
Moi : bonjour mon cœur. Près pour notre premier jour de boulot ?
Antoine : oui. Ah en fait vendredi soir Presnel organise une crémaillère pour fêter la création de la section.
Moi : ok. Je dirai à Marine de garder les enfants une soirée de plus.
Antoine : je dirai à Erika de faire la même chose.
Moi : ok bon bois ton café on se douche et on part au boulot.
Antoine : bien capitaine.
Je le regarde en arquant d'un sourcil et lui claque le cul en rigolant. Je bois mon café et part me doucher avec mon copain.
Ensuite on s'habille, nous prenons nos badges et nous montons dans ma voiture. Je conduis dans Paris jusqu'au quai des orfèvres. La je tourne sur un parking neuf ainsi qu'un bâtiment neuf.
Nous nous regardons en souriant. Je me gare et nous descendons. On rentre dans le bâtiment et nous souriant à la dame de l'accueil. On rentre dans l'ascenseur.
On arrive à l'étage et nous rentrons dans les bureaux flambent neuf. On se sourient et nous avançons. Je me pose au mien et Antoine monte quelque marche avant de tourné à gauche et oui c'est le sous chef mon chéri.
L'ascenseur s'ouvre et Paul, Kylian Mesut et Olivier en sortent.
Paul : ah ouai! Ça en jette !
Moi : ah qui le dit tu.
Olivier : oh capi t'es déjà là ?
Moi : ben oui. Avec Antoine on ne voulait pas être en retard des le premier jour.
Mesut : d'ailleurs il est où notre sous chef préféré ?
Moi : dans son bureau. Nos deux tireurs d'élite ne sont pas encore arrivés.
Sergio : si capi.
Je me retourne et les voit sortir de l'armurerie qui est juste à coter de la salle de tir.
Gérard : on vient d'inaugurer la salle de tir.
Nous rigolons et l'ascenseur s'ouvre sur nos deux geeks préférés et notre future couple Chloé et Didier. On se regardent tous avec un sourire malicieux.
Chloé : j'peux savoir pourquoi vous souriez comme des cons ?
Didier : vous avez quand même pas déjà cassé quelque chose ?
Paul: et relax le vieux couple. On vient juste de se raconter une blague c'est tout.
Chloé : mouais. Bon. Antoine vient ici s'il te plaît.
Antoine : j'arrive ma cloclo!
Il sort de son bureau et fait un câlin à Chloé se qui ne plaît pas trop à notre commissaire. Je pouffe légèrement de rire et il le remarque vu qu'il me lance un regarde noir. Il sait très bien que Antoine est en couple avec moi mais il est jaloux.
Chloé : bon aujourd'hui nous inaugurons le siège des enquêteurs du mystère. Comme vous le savez nous enquêterons sur des affaires qui sont lié à des phénomènes étrange et inexpliqué. Je vous demandez de toujours garder un côté rationnel pour ne pas tirer de conclusion trop attive.
Presnel : clo j'ai une question ? Est-ce que ta déjà dans ta tête une première enquête ?
Chloé : non Presko désolé. Mais pendant quelque temps nous n'auront rien à nous mettre sous la dents alors toi et Julian vous pourrez commencer à fabriquer nos gadget.
Julian : y a pas de soucis clo.
Chloé : Mesut Oliv et Kylian vous pourrez ranger et mettre de l'ordre dans votre laboratoire.
Kylian : cool.
Paul : et moi ?
Chloé : tu pourrais t'informer sur les plus grand mystère... Comme sa si un jour une enquête et lié à l'un d'eux on sera déjà documenter.
Paul : ça sa me connaît ma poulette.
Chloé : ok mon poulet. Nous et bien nous feront que de la paperasse à part Sergio et Gérard. Je compte sur vous pour régler les armes et les gadgets que Presnel et Julian aurons inventer.
Gérard : c'est comme si c'était fait.
Didier : je sens que ça va être longue cette période sans enquête.
??? : j'ai quelque chose pour vous alors.
On se tourne tous vers la porte de l'ascenseur où une jeune femme vient d'en sortir. Je me relève de mon siège et passe devant mes collègues surpris.
Moi : Émilie ? Mais quesque tu fais la?
Eux tous : tu la connais ?
Moi : c'est ma sœur jumelle.
Émilie : je besoins de toi Hugo et de tes amis.
Moi : et bien nous t'écoutons.
Émilie : c'est... C'est Enora.
Paul : qui c'est Enora ?
Moi : notre petite sœur et bien ?
Émilie : elle a été enlever Hugo.
Suite à cette révélation je ne dit rien sous le choc et prend ma sœur jumelle dans mes bras qui s'est mise à pleurer.
Chloé s'approche de nous et pose sa main sur l'épaule de ma sœur.
Chloé : excusez moi de vous dire ça mais si c'est un enlèvement vous devriez aller voir nos collègue.
Émilie : mais ils ne me croiront pas sur se que Enora a découvert.
Moi : qu'es quelle a découvert ?
Émilie : depuis deux mois elle enquête sur la mission Prato et les phénomènes de Colares au Brésil.
Je la regarde sans comprendre.
Chloé : les phénomènes de Colares... Vous voulez dire les attaques d'ovnis sur les habitants de cette région ?
Sergio : des attaques d'ovnis ?! Clo c'est du n'importe quoi.
Antoine : non. Asseyez vous.
Nous nous asseyons comme il nous l'a demandé. Chloé allume l'écran plat et Antoine éteint la lumière.
Chloé : en juillet 1977, un groupe de jeune homme de la région de Colares décident d'aller pêcher au large d'une petite île pas loin de la côte et d'y passer la nuit.
Julian : pour l'instant y a rien de paranormal.
Chloé : ça va venir et ne me coupez plus. Bon. Le lendemain leur bateaux arrive au port de la ville et la les habitants découvre que sur 4 des jeunes, un est mort et un autre grièvement blessé. La police les interrogent et se qu'il vont dire fait froid dans le dos.
Antoine : vers minuit alors qu'il était tous entrain de dormir une lumière aveuglante les a réveillé. Deux d'entre eux se sont levés et sont aller voir sur le pont et un troisième les as suivi. Et ils disent avoir vu une engin très lumineux, rond voler à base altitude au dessus du bateaux. Et c'est la qu'il a envoyer un rayon lumineux sur le bateau.
Chloé : en entendant ça les policier ne les croit pas mais les médecins qui ont examiner l'homme blessé sont formelle: il a était brûler et irradié. Sans suis après une séries d'attaque à travers la ville où plus de 400 personnes seront blessés jusqu'à mars 1978 ou tout s'arrête.
Didier : ouah. Je n'avais jamais entendu parler de cette histoire.
Antoine : personne n'en a entendu parler jusqu'à 1997 ou un militaire qui était dépêcher à Colares sort du silence. Il a affirmer avoir participer à la mission Prato.
Chloé : cette mission avait pour but d'observer ses choses et d'arrêter le massacre on va dire. Mais bizarrement en décembre les haut grade brésilien ont ordonner l'arrêt de la mission.
Antoine : et 10 jours après avoir donner cette interview cet ancien militaire à était retrouvé pendu chez lui.
Sergio : putain. Là on n'a affaire à du lourd.
Moi : mais qu'elle rapport avec Enora ?
Émilie : elle m'a dit qu'elle avait trouver des informations sur l'arrêt de la mission. Elle m'avait donner rendez vous dans un café et quand elle est arrivée 3 hommes sont sorti d'une camionnette, l'on saisi par le bras et l'on tire avec eux dans la camionnette avant de partir à toute allure.
Didier : tu n'a pas essayé de prévenir les autorité la bas ?
Émilie : si. Bien sûr que si mais ils n'ont pas pris ma plainte. Alors j'ai sautée dans le premier avion pour Paris et c'est là que j'ai entendu parler de cette nouvelle unité spécialiser dans le paranormal. Et que tu en fessait parti Hugo.
Chloé : bon on n'a plus une seconde à perdre. Hugo Antoine et Olivier vous partez dans une heure pour Colares. Paul cherche toute les informations complémentaires. Moi et Didier on va aller voir le préfet pour lui demander si nos armée ont une dossier sur cette affaire.
Émilie : je viens avec vous! Je connais le terrain.
Chloé : d'accord. Vous irez prendre vos armes et tout se dont vous aurez besoin. Je veux un rapport complet toute les 4 heures.
Antoine : compris clo.
Chloé : aller on n'a pas de temps à perdre.
Chacun part à son poste. Olivier va chercher son matériel de scientifiques, Antoine et moi nos armes et nous partons pour l'aéroport.
Émilie : mais dites moi ça va prendre au moins 3 heures avant d'avoir un avion pour le Brésil. Pourquoi votre chef vous a dit que vous décolliez dans 1 heure.
Olivier : parce qu'on n'a un avion privé et spécialisé.
Émilie : ouah. Vous avez pas fait ça dans le détails.
Moi : a qui le dit tu.
Je sourit à Antoine qui me le rend et on se prend la main. On arrive et on monte direct dans l'avion qui décolle.
Antoine : bien vu les heures de vols que nous avons devant nous je voir propose de découvrir le fameux ovnis de Colares et de retracer le téléphone D'Enora ainsi que retracer son emploi du temps.
Ma sœur jumelle s'assoit à coter de moi.
Émilie : ça fait combien de temps ?
Moi : combien de temps quoi ?
Émilie : toi est Antoine.
Moi : oh et bien peu après le divorce avec Marine c'est à dire 1 an est demi. Et si tu veux tout savoir il a un garçon et deux filles, il est aussi divorcer et on vit ensemble dans une maison à Paris.
Émilie : il c'en est passer des choses en 2 ans.
Moi : oui. Tu étais au Brésil depuis combien de temps ?
Émilie : 3 mois avant j'ai était au États Unis puis je suis descendu au Mexique, au Costa Rica, en Argentine au Chili puis au Brésil.
Moi : et ben et c'était sur quoi ton article ?
Émilie : le mode de vie et puis après je me suis tourner vers les légendes et mystère et c'est là qu'on nous a parler de Colares.
Antoine : Hugo Paul a trouver une photo déclassifier à l'opération Prato et je crois que cela va vous intéresser.
Un autre écran plat s'allume et face à sa tablette il met une image qui nous stupéfait tous.
Olivier : oh putain.
Émilie : c'est fascinant...
Moi : oh que oui.
Antoine : ce sont les vrais photos. Tu peux nous confirmer Oliv qu'il n'y a aucun trucage.
Olivier : c'est difficile de truquer des photos comme ça sur des appareils anciens après vu la formes que ces lumières ont c'est difficile de dire que se ne sont que des simple fusées.
Moi : oui surtout la dernière photo.
Émilie : même si les habitants en lancer pour dissuade ses choses.
Antoine : oui car après que les attaques soient devenu trop fréquente ils réunissaient les femmes et les enfants qui dormaient ensemble et les hommes tir en l'air avec leurs fusils.
Moi : pauvre gens. Ils devaient tellement avoir peur.
Émilie : ça tu peux le dire. Certains anciens nous on confier que quand un objet volant survoler la ville ils s'enfermer dans leurs cave avec leur familles.
Antoine : et tu dit que votre petite sœur a découvert quelque chose en rapport avec cette opération.
Émilie : oui sur les militaires. Après elle ne m'en a pas dit plus.
Olivier : attendez Julian vient nous dire quelque chose.
Il tapote sur sa tablette et le visage de l'allemand apparaît à l'écran.
Antoine : tu a du nouveau Julian ?
Julian : on va dire ça. J'ai essayé de retracer le téléphone de Enora. Il a borner au limite de la ville puis d'un coup j'ai perdu le signal. Comme si on le brouiller.
Moi : tu crois que des appareils militaires peuvent faire ça ?
Julian : oh que oui. Ils ont le matos pour. Mais comme avec Presnel nous sommes les geeks de la bande je peux essayer de craquer leurs brouilleur.
Antoine : tu sais que tu est génial.
Julian : je sais mais sa risque de prendre un peu plus d'une journée.
Olivier : ah..
Julian : mais je ferai plus vite si vous voulez.
Moi : non. On va atterrir dans quelque heures. On ça déjà aller dans le studio que vous louer puis on ira interroger deux trois personnes.
Julian : ok. Je vous rappelle s'il y a du nouveau.
Antoine : pas de soucis Ju. A plus.
Julian : à plus.
Il raccroche et on se regarde.
Émilie : j'ai comme le pressentiment que l'armée y est pour quelque chose là dedans.
Moi : moi aussi.
Antoine : bien. En arrivant là bas nous nous montrons discret.
Moi : ok.
Quelque heures plus tard nous atterrissons au Brésil. Une voiture louer par la section nous attend et nous nous rendons à Colares dans le centre ville où me sœur loue un studio.
On se gare et Émilie nous conduis à leur studio. Elle arrive devant la porte et nous avons la mauvaise surprise de voir que cette dernière et ouverte.
Je fais signe à ma sœur de reculer et je sort mon arme tout comme Antoine. Nous entrons prudemment et balayons la zone.
Antoine : R.A.S.
Moi : R.A.S aussi. Vous pouvez rentrer. Émilie tu ne touche à rien.
Je range mon armes et met des gants en plastique. Tout comme mes collègues. Olivier ouvre sa mallette et commence à relever des empreintes.
Olivier : ils ont pris soins de mettre des gants. Les seuls empreintes exploitable sont celles de tes sœurs Hugo à moins que... Attendez j'ai une empreintes partielles.
Antoine : tu pourras en tirer quelque chose.
Olivier : si elle est dans leur base de donner oui.
Émilie : quand ont ils pu rentrer ici ?
Moi : sûrement quand tu étais en France.
??? : levez les mains en l'airs.
Je me retourne et voit 4 hommes en uniforme, armés, pointer sur nous. Par réflexe je pointe la mienne sur eux comme Antoine et nous nous mettons devant Olivier et Émilie.
Moi : vous êtes qui ?!
??? : qu'importe ! Baisser vos armes ou nous n'hésiteront pas à tirer.
Antoine : du calme. Nous sommes des enquêteur français de la section des enquêteurs du mystère.
Aussitôt ils baissent leurs armes.
?? : vous êtes ici pour la jeune fille enlever ?
Moi : oui mais comment vous le savez ?
?? : baisser vos armes. Je me présente je suis le capitaine Neymar dos Santos junior .
Antoine et moi baissons les nôtres et je lui sers la main.
Moi : capitaine Hugo Lloris et là c'est ma sœur jumelle Émilie.
Neymar : enchanté mademoiselle.
Antoine : je suis le sous chef Antoine Griezmann.
Olivier : et moi Olivier Giroud scientifique.
Neymar : soyez les bienvenus au Brésil. Voici les hommes, Philippe Couthino, Thiago Silva et Marcelo. Nous sommes des enquêteurs dans le paranormal. Mais nous ne sommes pas aussi expérimenter que vous.
Émilie : c'est vous qui êtes rentré ici ?
Neymar : non nous sommes arrivés peu de temps avant vous et il était déjà dans cette états.
Moi : notre scientifique à relever une empreintes partielle. Vous savez où nous pourrons l'analyser ?
Marcelo : dans notre QG. Il y a un labo.
Moi : ok et où nous pourrions trouver un hôtel.
Thiago : cette saison ils sont tous complet.
Neymar : mais venez chez moi. Ma grand mère sera ravi d'avoir un peu de compagnie et vous y serez en sécurité.
Moi : merci. Prend quelque affaires Emi. Tu sera plus en sûreté avec nous.
Émilie : très bien j'en ai pour 5 minute.
Elle ouvre une valise rassemble vite ses affaires et referme comme elle peut la porte du studio. Nous remontons dans notre voiture et suivons Neymar jusqu'à une sorte de bunker.
Antoine : c'est ici ?
Marcelo : oui. Au moins on n'est sur que personne ne viendra. Suivez nous.
Il ouvre la porte et allume la lumière. C'est un long tunnel avec des ordinateurs, des caméras des drones... Et au fond il y a le laboratoire.
Olivier s'y rend avec Marcelo.
Olivier : ce n'est qu'une empreintes partielle.
Marcelo : si elle appartient à un militaire même partielle le logiciel la reconnaîtra. Mais ça risque du prendre du temps.
Olivier : alors je vais rester cette nuit.
Marcelo : vous devez être fatigué de votre voyage. Aller vous reposer et si il y a du nouveau j'appelle Ney directement.
Moi : merci. Et avez vous des archives ?
Philippe : oui mais nous n'avons rien sur les événements de 1977.
Neymar : les documents déclassifier ou était perdu ou détruit mais j'ai un rapport dessus et ma grand-mère pourra vous aider.
Antoine : elle as vécu c'est événement ?
Neymar : oui elle vous racontera tout ça. A demain les mecs et vos me prévenez au moindre truc.
Eux : ok.
Nous sortons et nous nous apprêtons à prendre notre voiture quand Neymar nous arrête.
Neymar : laisser la ici. Prenons la mienne c'est plus discret.
Nous montons dans la siennes et il nous conduit jusqu'à chez sa grand-mère mère qui vit au bord de la mer.
C'est magnifique. Mon copain et ma sœur pense la même chose en voyant leur regard.
Neymar : mamina ! Je t'emmène des inviter.
Une vieille femme sort de la maison et nous regardent.
Mamina : oh. Tu me gâte mon chéri. Vous devez être des européens je me trompe ?
Antoine : pas du tout madame. Nous sommes français.
Neymar : se sont des enquêteur en
Paranormal.
Moi : plus exactement nous sommes les enquêteurs du mystère.
Olivier : et c'est notre première enquête.
Mamina : alors vous êtes ici pour cette pauvre fille.
Moi : aussi c'est notre petite sœur.
Mamina : oh vous m'en voyez désolée mais entrez. Il y a trois chambre à l'étage. Dont la mienne.
Neymar : vous pouvez prendre la mienne Émilie je dormirez sur le canapé.
Émilie : oh non ça me gêne.
Moi : moi en tout cas je dors avec Antoine.
Olivier : prend la mienne Emi. Je dormirai avec Neymar enfin si vous voulez.
Neymar : m'a foi je n'y vois pas d'inconvénient. Et tutoyer moi en dehors du travail.
Mamina : bien aller vous installer je vais vous préparer un bon repas.
Nous montons à l'étage et je sors les quelques affaires que j'ai pour les ranger. Antoine fait de même et nous redescendons.
Neymar et sur la terrasse qui met la table et nous l'aidons. Je regarde le paysage. C'est vraiment magnifique.
Moi : ta grand mère à une très belle vue.
Neymar : la plus belle de la côte oui. L'île au fond que vous voyez et bien c'est là bas qu'à eu lieu la première attaque.
Mamina : oui pauvre gens.
Antoine : vous aussi vous...
Mamina : oui moi aussi j'ai vu ses lumières avec mon fils. Et j'ai était blesser à la poitrine gauche. Et au bras gauche. Elles nous terrifiées. Plus personne n'osez sortir la nuit tomber. Je fermer toute les porte au 20 h précise. Heure ou ton grand père rentrer du travail et les premiers moi nous dormions dans nos chambres mais ses lumières traverser même les fissures des murs. Alors on n'a commencer à dormir dans la cave puis ton grand père et aller aider les autres hommes à dissuader ses choses en jetant des fusée ou en tirant en l'aire. Mais les attaques étaient de plus en plus nombreuse et j'avais toujours peur qu'il lui arrive malheurs. C'est ce qui est malheureusement arrivé.
Personne parle. Émilie et Olivier nous ont rejoint et se sont assis à nos coter pour écouter Mamina. Neymar lui prend la main et la sers.
Mamina : un soir lui et d'autre hommes ont tirer sur ses lumières mais l'une d'elle la atteint et la brûler au second degrés. Il a aussi était irradié. Il avait déjà des problème de cœur avant tout ça mais là il n'a pas supporter et il est mort à l'hôpital. C'est choses ont fait plus de 400 blesser et tuer 27 personnes en tout jusqu'au mois de mars. Mais je n'est pas attendu la fameuse opération Prato. J'ai pris mon fils et nous sommes parti à Rio dans la famille de mon défunt mari.
Émilie : mais vous êtes revenu après.
Mamina : bien après en 1980. Désormais quand on voit un objets volant dans la régions bizarre c'est la panique. Je me réfugie pendant une semaine dans la cave comme tout le monde ici.
Moi : votre histoire me touche. Cet endroit et un vrai paradis. On n'a du mal à s'imaginer que 40 ans plus tôt c'était un endroit cauchemardesque.
Mamina : cauchemardesque oui. Des villages aux alentour on étaient évacuer.
Antoine : je suis désolé de vous demander cela mais pour vous quesque était ses lumières ?
Mamina : des extraterrestre. Tout le monde ici le sait mais personne osé le dire. Certains prétendent qu'ils sont venu observer notre comportement et nous tester avec leur lumière. D'autres qu'il on voulu nous prélever de l'ADN. En tout cas certains militaires ont eux aussi étaient toucher et qu'ils savent ce que c'était.
Neymar : oui. Beaucoup ici pense qu'ils en savent plus que nous et qu'ils nous cache la vérité.
Mamina : bon. Je vais chercher la Galinhana.
Elle se lève et part en cuisine. Elle revient avec un gros plat.
Neymar : alors c'est du riz avec du poulet et du safran. Bon appétit.
Olivier : en tout cas ça sent bon.
On se sert et nous mangeons tout en discutant.
Moi : ah moi je n'est plus faim. C'était très bon.
Mamina : tu ne voudras pas de quidim et de brigadeiro au chocolat ?
Moi : a tout compte fait j'ai encore un peu de place.
Elle rigole et emmène les dessert. Nous les mangeons avec délice.
Émilie : c'est vrai trop bon.
Antoine : oui un vrai régale. Bon on doit aller se coucher.
Moi : allez y je vais appeler Chloé pour lui faire mon rapport.
Olivier : ok capi a demain.
Moi : a demain.
Émilie : a demain frangin.
Elle m'embrasse la joue et monte. Antoine m'embrasse chastement et monte dans notre chambre.
Je prend mon téléphone et appelle Chloé en face time.
Conversation face time
Chloé : oui Hugo vous avez du nouveau ?
Moi : non... Enfin dans le studio complètement retourner de mes sœur on n'a retrouvé une empreintes partielle. Les hommes de Neymar sont entrain de faire une recherche de correspondance mais ça va prendre du temps.
Chloé : Neymar ??
Moi : c'est le capitaine d'une unité un peu comme la notre. Il nous loge chez sa grand-mère. D'ailleurs elle nous a raconter son histoire en 1977. Et comment dire... C'était poignant.
Chloé : ce qu'il c'est passé la bas à était très dur pour les habitants.
Moi : elle a perdu son mari et elle est parti se réfugié à Rio. Elle n'est revenu qu'à Colares que 3 ans plus tard. Et si un ovni et vu dans la régions de nos jours toute la ville dort dans leurs caves pendant 1 semaines.
Chloé : ça les a traumatiser Hugo. Et toi comment tu te sens ?
Moi : je suis fous d'inquiétude clo. On pense que c'est des militaires qui sont dans le coup. Et si c'est ça elle est peut être déjà morte..
Chloé : n'y pense pas capi. Si elle sait quelque chose ils vont lui demander de leur donner. Mais ici en tout cas on travaille d'arraché pied. Presnel et Julian sont encore entrain de craquer le fameux brouilleur. Et avec Didier on a était voir le préfet. Aucune archive qui concerne cette affaire n'existe. En même temps sa m'aurait étonner.
Moi : et aux états Unis ?
Chloé : mais oui ! Hugo t'es un génie ! Si l'opération c'est arrêter c'est sûrement à la demande de la CIA ! Et vu que nous avons tout les droit je peux leur demander le dossier sur l'affaire. T'es vraiment un génie
Moi : je sais je sais.
Chloé : arrête de te jeter des fleurs.
Je rigole et relève la tête de mon portable légèrement quand mon visage se décompose. Toute au fond à l'horizon il u à une lumière bleuâtre.
Chloé : Hugo ça va?
Je ne lui répond pas et tourne ma caméra pour lui montrer
Chloé : OH PUTAIN!! Didier appel Presnel vite !! Mon dieu Hugo va te cacher !
Moi : il est loin des côtes clo. Et puis pas la peine de créé un mouvement de panique
Chloé : mais... Je ne veux pas que tu sois irradier !!
Didier : et calme toi clo je suis là Presnel. Waouh c'est assez inhabituel.
Presnel : ouai. J'enregistre l'appel. Hugo essaie de zoomer si tu peux sur cette chose.
Je m'exécute.
Presnel : c'est fascinant. On n'est entrain d'observer un ovnis en direct.
Chloé : et ben magne toi le cul de l'étudier que Hugo parte se cacher !!
Et c'est à se moment la que ce truc disparaît comme une fusée.
Didier : ouah.
Presnel : euh... Ok. Bon ben je vais étudier la vidéo. A plus capi.
Chloé : Hugo tu n'a rien ?!
Moi : non et comme je te les dit cette chose était loin de nous.
Chloé : ouf... Je... Je dois prendre l'air excusez moi.
Didier : elle est bizarre. Bon on te rappelle si on n'a du nouveau.
Moi : ok a plus.
Fin de la conversation
Je range mon téléphone et regarde de nouveaux l'horizon la où était cet objet puis je monte rejoindre mon copain en décidant de garder cela pour moi.
Le lendemain
Je petit déjeune avec mes amis sur la terrasse et mamina me ressert du café.
Antoine : j'en ai jamais bu un aussi bon café.
Mamina : c'est gentille ça.
Neymar : et c'est vrai le tien et le meilleur de la ville. Ah c'est Marcelo. Oui mec... Alors... Nan c'est vrai... Et elle appartient à qui ?... Je le savais. Vous avez pu borner son téléphone ?... Merde... Bon t'inquiète on va le retrouver et bon boulot.
Il raccroche et nous regarde moi et ma sœur.
Neymar : on sait qui a enlever votre sœur. Voici Pablo luis de la Riviera, un ancien militaire qui a participé à l'opération Prato. Mais il a était virer seulement 1 mois après le début de la mission.
Antoine : pourquoi ?
Neymar : il aurait tenter d'abattre un ovnis avec un bazooka.
Olivier : un bazooka ?! Mais c'est un malade !
Neymar : oui mais le problème c'est que nous n'arrivons pas à borner son téléphone.
Moi : je connais quelqu'un qui pourrait le faire.
Je prend mon téléphone et appelle Julian en face time.
Conversation téléphonique face time
Julian : oui Hugo j'ai réussi à craquer le brouilleur. Je suis entrain de borner le téléphone de ta sœur.
Moi : merci mais es ce que tu pourrais borner celui d'un certain Pablo Luis de la riviera?
Julian : pas de soucis. Alors... Hugo les deux téléphones bornes au même endroit en se moment. C'est en plein milieu de la forêt Amazonie ne au nord de Colares.
Moi : merci Ju. J'te revaudrez ça.
Fin de la conversation.
Neymar : on va organiser une opération et...
Moi : on n'a pas le temps ! Notre sœur et en danger ! On y va maintenant !
Neymar : et tête baisser ? Hugo je sais que c'est dure pour vous deux mais il faut qu'on organise tout ça dans les règles. Tu comprend ?
Moi : oui...
Neymar : bon je vais rappeler Marcelo.
Il rentre et je regarde mes amies.
Moi : levez vous discrètement on se casse.
Antoine : quoi ? Hugo tu n'a pas entendu se qu'a dit Ney ?
Moi : si mais y a pas de temps à perdre et puis on trouvera bien un plan sur le chemin. Aller.
Nous nous levons discrètement et je prend les clés de la voiture de Ney. Nous montons dedans et je démarre à fond.
Je rappelle Julian. C'est lui qui va nous guider sur le terrain. Je me gare sur le chemin et nous descendons.
Moi : Ju tu me reçois ?
Julian : cinq sur cinq capi. Vous devez avancer droit devant vous sur 200 mètre à peu près.
Moi : on marche droit devant nous sur 200 mètres. Allez.
Nous marchons dans le silence le plus complet. Et en fessant attention.
Julian : bifurquez légèrement à droite.
Je m'exécute et les autres me suivent. Pendant près d'une heure je suis les instructions de Julian.
Julian : ok... Maint... Conti... Nuer... Droit.... Gauche...
Moi : tu peux répéter Ju s'il te plaît.
Julian : cont.... Droite.... Gau....
Moi : Julian je t'entend mal.
Julian : res... Able... Hommes !
Moi : Ju je te comprend pas ! Y a sûrement quelque chose qui brouille le signale.
??? : effectivement.
Nous nous retournons et voyons cinq hommes avec des mitraillette pointées sur nous. Antoine et moi posons nos mains sur nos pistolet.
?? : n'essayez pas de jouer les héros. Les mains en l'air ou je tire au balle en pleine tête sur la demoiselle.
Je regarde ma sœur qui et terrifié ainsi qu'Olivier puis lève mes mains comme Antoine.
?? : c'est bien. Maintenant je vous souhaite une bonne nuit.
Je le regarde sans comprendre jusqu'à se que je reçoivent un coup derrière la tête qui me fait perdre connaissance.
Pdv Chloé
Je sors de l'ascenseur avec Didier tout en parlant quand Julian court paniquer vers moi.
Moi : et ben quesque tu as Ju ?
Julian : je viens de perdre le contact avec l'équipe !! Ils étaient partis délivrer la sœur d'Hugo et je les guider !! Quand la liaison a commencé a être mauvaise et sur mon écran j'ai vu 6 sources de chaleurs humaine les encerclé et puis plus rien !!
Moi : attend tu est entrain de me dire que 3 de mes hommes, dont mon meilleur amis et une civile sont être les mains des ravisseurs ?
Julian : oui.
Didier : et qui a donner l'ordre d'y aller ?
Julian : Hugo. Tout seul.
Moi : bon sang premier enquête et faut qu'il aillent au casse pipe en solo. RASSEMBLEMENT URGENS !!
Tous arrive en courant.
Kylian : pourquoi tu cris comme ça clo ?
Moi : parce que nous venons de prendre le contact avec l'équipe en pleine forêt encercler pas des hommes !! Alors vous rassembler tous vos affaires et décolle dans 30 minutes.
Eux : bien clo !!
Ils se sépare et je part dans mon bureau. Je tire le premier tiroir prend mon flingue et mes shuriken ainsi que mes médocs contre mes crises de panique.
Didier : c'est quoi ça?
Je sursaute et le vois avec plusieurs armes sur lui.
Moi : un médocs. Bon on n'y va aller.
Nous sautons dans les vans qui nous emmène à notre jet. Nous décollons.
Julian : j'ai prévenu le capitaine Neymar. Il nous attendra à notre arrivée.
Moi : bien est quesqu'on sait sur se Pablo ?
Didier : il a participer à l'opération Prato. Et un mois après le début de l'opération il a était virer pour avoir essayé de tirer sur un ovni avec un bazooka.
Sergio : et bien on n'a pas affaire à un tendre je vous le dit. Si un gars décide de dégommer une soucoupe volante au bazooka c'est qu'il un grain dans le cerveau.
Moi : avec ton expérience d'ancien militaire. Tu pense quoi de lui ?
Sergio : franchement sur le terrain faudra être vigilant. S'il a mis un brouilleur c'est qu'il saut que des fouineur vont venir. Et doit y avoir sûrement des caméras.
Julian : pour ça avec Presnel on peut essayer de les pirater.
Moi : oui faites le tout de suite.
Gérard : en tout cas se gars doit en vouloir sacrément au ovnis pour vouloir en descendre un avec cette armes.
Moi : tu as raison. Paul cherche les années précédent les événements quelque chose en rapport avec les ovnis.
Paul : ok je m'y met de suite.
Presnel : au faite Chloé.
Je me tourne vers lui et le voit hésiter à poursuivre.
Moi : oui Presnel?
Presnel : j'ai... J'ai analyser la vidéo et aussi demander à l'aérodrome de colares s'il n'avait rien vu sur leurs radars. Et ils m'ont dit que hier soir c'était bien un objet volant non identifié que Hugo a filmer.
Mesut : euh.. De quoi vous parler ?
Didier : quand Hugo a appelé Chloé un ovnis et apparu au dessus de la mer mais loin des côtes puis il a disparu.
Kylian : vous avez vu un ovni ?
Presnel : on peu dire ça comme ça c'est plutôt Hugo qui la vu.
Sergio : c'est cool.
Moi : parle pour toi. Bon Ju ça avance ?
Julian : ouai. Notre gars et ben il a installé pas moins de 20 cameras et l'une d'elle montrer une base là au milieu de la forêt.
Moi : c'est là bas qu'ils les retiennent. Écouter moi des qu'on atterrit Didier Sergio Gérard et moi on va les chercher vous autres vous vous installerez un camps de base et vous nous guiderez.
Gérard : on prépare les sniper clo?
Moi : oui c'est gars là c'est dangereux et je ne veux prendre aucun risque surtout que nous avons deux civiles avec eux.
Eux : bien clo.
Plusieurs heures plus tard
Nous venons d'atterrir et quatre hommes nous accueille.
Moi : je présume que vous êtes le capitaine Neymar ?
Neymar : exactement mademoiselle Sanchez.
Moi : voici le commissaire Didier Deschamps et 2 autre enquêteurs qui sont nos tireur d'élite.
Neymar : et les autres ?
Moi : nos deux expert en informatique, notre scientifique, son stagiaire et notre archiviste.
Neymar : enchanter. Je suis vraiment désolé pour vos hommes j'étais pourtant convaincu d'avoir dissuadé Hugo. Jusqu'à se qu'il me vole ma voiture.
Moi : je vous remercie de votre franchise capitaine.
Neymar : pour me faire pardonner nous nous joindront à vous. Nous connaissons un peu le terrain. Et votre équipe pourra établir son camps de base chez ma grand mère. Elle vous attend et vous serez en sécurité.
Moi : bien. Nous vous suivons.
Presnel : mettez vos oreillettes quand vous approcherez de la zone.
Didier : ok.
Nous nous séparons et nous montons dans le 4x4 qui nous conduis sur le chemin que l'équipe a empreintes. On se gare derrière la voiture de Neymar.
Neymar : c'est bien la mienne.
Moi : ok. Ok donc on récapitule. On trouve le brouilleur et on le détruit.
Didier : ensuite Julian pirate les camera pour ne pas qu'on se fasse repérer. Geri et sese nous couvrirons avec Philippe.
Neymar : nous trouvons la base. On entre on arrête Pablo et on délivre tout le monde.
Moi : bien allons-y.
Nous marchons en silence à travers la forêt à la recherche du brouilleur quand Didier me fait signe. Je m'approche et voit un boîtier. Je sors un de les shuriken et l'envois sur lui qui disjoncte.
Moi : c'est bon le brouilleurs et hors service.
Didier : Ju a toi. Dit je ne savais pas que tu avais des shuriken.
Moi : il y a beaucoup de choses que tu ne sais pas sur moi mon dd. Aller on continu.
Presnel nous guide. Et nous arrivons bientôt en vu de la base. Nous marchons à couvert jusqu'à 30 mettre de l'entrer où il y a 3 hommes.
Je regarde Didier, Neymar et Thiago. A 3 contre 4 c'est du tout cuit surtout avec 3 tireur d'élite derrière nous.
Nous sortons de nos cachette et les menaçons. Thiago et Neymar les ficèles et avec Didier on entre.
Didier : fait gaffe. On risque de se faire embusquer.
Moi : t'inquiète.
Et c'est à se moment la que 4 hommes nous tombes dessus mais vous le savez maintenant je pratique les arts martiaux amies je me saisi d'une chaîne et m'en sers comme une nunchaku.
Très vite j'arrive à me débarrasser des deux premiers et Didier lui c'est plus compliqué alors je l'aider.
Didier : je m'en sortait très bien !
Moi : mais oui bien sur. Bon il faut trouver les autres maintenant. On ça se sépare. Prend à droite et moi à gauche.
Didier : compris mais sont prudente.
Moi : arrête de t'inquiéter pour moi.
Et nous pénétrons chacun dans notre couloirs.
Pdv Hugo
J'ouvre mes yeux avec un horrible mal de crâne. Je regarde autour de moi. Je suis allonger sur le sol degeulasse d'une cellule et Antoine et Olivier se réveille. J'essaie de me relever mais mes mains et mes pieds sont attachés par de solides cordes.
J'y arrive et me tourne vers mes amis.
Moi : vous aller bien ?
Antoine : on va dire ça.
Olivier : j'ai l'impression d'avoir reçu une maison sur la tête.
Je regarde autour de moi et voit que Émilie n'est pas avec nous.
Moi : Émilie n'est pas là ! ÉMILIE !!
Olivier : ah cris pas s'il te plaît Hugo.
Moi : mais ils nous on séparer de ma sœur !! Putain et j'arrive pas me détacher !
Antoine : c'est pas des menottes sinon on aurez déjà réussi à s'en débarrassez.
Je soupire fortement et me colle au mur. Antoine vient tant bien que mal se mettre à coter de moi et pose sa tête contre mon épaules.
Antoine : on va sortir de la chéri. Ne t'en fais pas.
Et c'est à se moment là que nous entendons des pats derrière la porte. Plus personne ne parle jusqu'à se qu'une détonation résonne et que la porte s'ouvre sur...
Nous trois : DIDIER !!
Didier : et ben vous avez pas était facile à trouver. Heureusement que Hugo a gueuler. Bon tourner vous que je vous détache.
Moi : vous avez retrouvé mes sœur ?
Didier : non mais Chloé est parti dans une autre direction. Elle va sûrement les trouver.
Pdv Chloé
Je marche prudemment dans les couloirs mon armes à la main. Je vérifie toute les portes. Je continue mon chemin quand j'entend des hurlements de femmes est des pleurs.
Je me dirige à grand pats vers eux et arrive devant une porte entrouverte. Je regarde discrètement à l'intérieur et voit Pablo tenir fermement Émilie contre un mur, couteau à la main et se fessant menaçant.
Pablo : pour la dernière fois dit moi où est cette putain de clé ?!!! Ou je crève ta sœur !!
Enora : mais je ne sais pas !!
Pablo : tu l'aura voulu!!!
Il lève son couteau dans la direction D'Émilie et sans hésiter je rentre et tire dans sa jambes droite. Il s'écroule et je lui passe les menottes.
Pablo : salope !! Jte ferai la peau !!
Moi : ferme la.
Émilie me regarde et court vers sa sœur enchaîner par terre. J'appuis sur mon oreillette.
Moi : suspect neutralisée et otages saines et sauves. Appeler une ambulance. Terminer.
Ensuite je me dirige vers la jeune femme.
Moi : je vais les faire sauter. Protéger vous bien le visage et ne bougez pas.
Enora : d'à... D'accord.
Moi : très bien. Attention.
Je tire sur la serrure et les chaînes sautent. Elle saute au cou de sa sœur et pleure. Des policiers brésilien investissent les lieux et embarque tout le monde.
J'aide Enora à marcher jusqu'à l'extérieur où je retrouve mes hommes. Hugo court vers nous et prend ses sœurs dans ses bras.
Hugo : j'ai eu si peur. Vous n'avez rien ?
Enora : non. Grâce à ta chef. Elle nous as sauver.
Moi : ce n'est rien Enora. Allez vite reprendre des forces.
Émilie et Didier l'emmène vers un médecin.
Hugo : merci clo. Je...Je sais que j'ai merde sur se coup la mais...
Moi : on en reparlera plus tard Hugo. Mais sache que je ne tolérerai plus aucun dérapage c'est clair ?
Hugo : très clo.
Je tourne les talons et part.
2 jours plus tard
J'entre dans la salle d'interrogatoire et pose le dossier que Paul a trouver en face de se salaud.
Moi : c'est à cause de lui que vous avez fait tout ça. A cause de votre frère.
Il me foudroie du regard et je m'assois en face de lui.
Moi : vous avez enlever une jeune femme parce qu'elle avait découvert que c'était vous et vos conneries qui ont fait arrêter l'opération Prato il y a plus de 40 ans.
Pablo : elle fouiner trop cette salope. Elle a découvert que après mon renvoi de l'opération et bien je suis rester sur Colares et que j'avais encore fait un bon carnage à ses salopard de martiens.
Moi : vous avez tenté d'envoyé un missile brésilien et un missile américain sur deux entres eux. Vous vous rendez compte que vous auriez pu détruire toute la ville.
Pablo : et vous ? Vous vous rendez compte que c'est choses prélever notre ADN jusqu'à tuer! Ce sont des monstres qu'il faut éradiquer !
Moi : si vous détestez autant les ovnis c'est par rapport à votre frère Paulo. Retrouvez mort sur une colline d'une crise cardiaque le 12 janvier 1971. Avec un masque de plomb sur ses yeux.
Pablo : il n'avait que 19 ans. Et moi 23. Il a toujours était passionné par ses choses. Et puis plus grand il.... Il a voulu rentrer en contacte avec eux. Il c'est fabriquer un masque de plomb car il avait entendu que deux brésilien en 1966 avait réussi.
Moi : mais il ne savait pas qu'ils étaient mort.
Pablo : non. Alors il est parti sur une colline pour essayer et.. Et voilà se qu'il c'est passer. La police a dit que c'était un suicide mais plusieurs personnes ont vu un objet voler au dessus de la colline et lancer des éclairs. Pour moi c'était évident que c'est choses qui l'avait tuer et qu'ils aller recommencer. Alors quand j'ai était envoyé à Colares pour étudier ses choses j'ai vu ça comme un signe du destin qui me d'user de détruit ses monstres pour protéger la population. Alors j'ai pris un bazooka et j'ai tirer. Mais il l'a a peine toucher.
Moi : vous vous rendez compte que vous auriez pu tuer quelqu'un ?! Un de vos camarades ! Ou même des civils !!
Pablo : et vous vous ne vous rendez pas compte de se que c'est que de perdre un être cher à cause de ses choses !
Moi : OH QUE SI JE LE SAIS TROP BIEN ! Mais ce n'est pas pour autant que je vais les pulvériser avec un bazooka ou des missiles près d'une ville !!
Et je sors en claquant la porte de la salle d'interrogatoire et en lâchant quelque larmes. Je passe devant mes hommes et sort du commissariat. Je marche jusqu'à la plage où je regarde l'océan. Quand je sens une présence près de moi.
Didier : ça va?
Moi : a ton avis !
Didier : oh doucement m'agresse pas. Je venais te voir pour te réconforter mais bon vu que tu fais ta tête de mule je rejoins les autres.
Il se retourne et commence à partir.
Moi : j'ai peur.
Il se stop et vient se mettre à coter de moi sans comprendre.
Moi : j'en ai peur de ses choses volante non identifier. J'en ai tellement peur que ça me donne des crises d'angoisses. Quand en France on dit qu'un ovni à été aperçu dans l'espace aérien je ferme tout. Dans ma chambre j'ai des volets blindés tellement j'ai la touille de ça.
Didier : mais pourquoi ?
Moi : quand j'avais 4 ans mes parents et moi nous sommes aller voir des amis et nous sommes rester tard chez eux. Donc quand on a repris la route il fessait nuit noir sur une route desserte et c'est là qu'un objet très lumineux et apparut et à commencé à nous suivre. La voiture c'est arrêter d'un coup et mon père et sorti avec ma mère pour voir se qu'il se passée. Moi j'ai ouvert la fenêtre arrière droite et c'est la que j'ai vu une soucoupe volante métallisée grise très lumineuse au dessus de nous. Mon père a commencé à jeter des caillou pour le faire partir quand cette chose a envoyé un rayon sur la voiture. Je me suite vite cacher mais j'ai senti le coter droit de mon bras et de mon ventre me piquer. J'ai entendu ma mère hurler le nom de mon père puis plus rien. Je me suis réveillée à l'hôpital avec ma mère. Tout mon coter droit était bander. J'ai était irradier et je porterai à vie les cicatrice que ça m'a laisser. Ma mère m'a alors dit que cette chose avez comme entraîner mon père à l'intérieur et puis avait disparu en un éclair.
Je laisse mes larmes couler et regarde mon amoureux secret.
Moi : tu l'aura compris on a enlever mon père sous mes yeux et on ne la jamais revu. La police ne nous a pas cru alors on n'a quitter la région pour aller vivre à Paris.
Didier : clo je... Je je sais pas quoi dire... C'est horrible...
Moi : et maintenant j'en ai peur de ses choses même en vidéo. Je sais que vu le métier que je fais c'est pas normal mais c'est comme ça j'y peux rien.
Didier : je te comprend Chloé. Ça t'a traumatiser à vie mais sache que je suis là et les autres aussi. Tu devrais leur en parler.
Moi : tu as raison. Merci.
Je me colle contre lui et il me sert plus fort contre lui.
Le soir
Pdv Hugo
Moi : en tout cas maintenant j'espère que tu arrêtera de t'intéresser au chose militaire.
Enora : oh oui.
Émilie : d'ailleurs on va rentrer avec toi à Paris. Enfin s'il reste de la place dans votre jet.
Antoine : il y en a assez ne t'en fais pas.
Je rigole légèrement et mamina emmène les cocktail. Chloé et Didier arrivent enfin. Ça fait des heures qu'on ne les as pas vu.
Chacun prend un cocktail et le lève.
Presnel : ah notre première enquête résolu avec brio.
Nous buvons nos cocktail sauf Chloé qui s'approche.
Chloé : je voulais vous féliciter. Tous. Même toi Hugo. Tu a su garder un coter rationnel malgré ton erreur. Et.. Et j'aimerai vous dire quelque chose.
Nous la regardons et elle nous raconte son histoire. Personne ne l'a coupé. Puis à la fin nous nous regardons.
Antoine : tu...tu gardera des cicatrice à vie ?
Chloé : oui.
Émilie : ça m'a toute retourner.
Enora : moi aussi.
Mamina : nous avons vécu un peu près la même chose jeune filles mais sache une chose : ne le laisse pas te pourrir la vie. Sinon tu n'en profitera pas.
Chloé : vous avez raison mamina. D'ailleurs j'ai l'immense honneur de vous annoncer que votre petit fils est c'est collègues font des ormes parti des enquêteur du mystère du Brésil.
Nous applaudissons tous.
Neymar : merci Chloé. J'espère un jour retravailler avec vous car cela a était un immense honneur.
Oula il aurait pas du dire ça. Notre dd le foudroie du regard. Je donne un coup de coude à Antoine qui rigole. Et les autres aussi.
J'embrasse mon compagnon puis regarde le ciel étoilés de Colares en se mois de juillet et sourit heureux d'avoir élucider notre premier mystère.
Fin
Voici la première enquête demandée par Alienor14
Si cela intéresse certaines personnes vous pouvez trouver sur le Web l'enquête mener par "enquête paranormal" sur le sujet qui et très bien documenter même si elle et très courte.
Voilà à plus pour une prochaine enquête
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