Chapitre 8


Hugo : Je t'aime Maud...

Maud : Je... Moi aussi Hugo !

Antoine : Je t'avais prévenu non ?

Hugo : Euh.. je ...

Je nu même pas fini ma phrase qu'il me sauta dessus en me mettant des coûts de poings dans la tête.  Je pensais qu'il blagait quand il disait qu'il me tuerai mais non. Je l'avais jamais vu comme ça Grizou.

Il continue à me mettre des goûts quand tout à coûts il arrête et est soulevé dans les airs. Paul le porte sur son épaule comme un sac à patates. A voir Antoine se débattre comme ça c'est à mourir de rire mais vu sous les goûts que je viens de subir ça ne me fait pas rire du tout. J'ai maintenant un oeil au bour noir et des bleus par ci par là. 

Maud me regarde les yeux brillant. On se regarde quelque instant et elle tourne le regard en regardant derrière moi.

... : Monsieur Lloris ?

Je me retourne et aperçoit le médecin. 

Hugo : Oui !

Médecin : Suivez moi s'il vous plaît. 

On le suis et il nous emmène dans une salle avec un lit. Je me précipite vers celui ci et il trouve Guiliana. Habile d'une blouse blanche avec des fils de partout et deux perfusions au bras ainsi qu'un appareil qui calcule sont rythme cardiaque.

Médecin : Je suis désolé...

Hugo : Que ce passe t-il ? 

Médecin : Elle est dans un coma très profond. Il a peu de chance qu'elle se réveille...

Hugo : Vous n'aller pas débrancher les machines ?

Médecin : Nous sommes obligés.

Hugo : Il en est or de questions ! Je vais payer tout ses soins médicaux !

Médecin : Ça va vous goûter vraiment très cher...un million d'euros par an environ...

... : Nous allons l'aider ! On va payer aussi pour Guiliana !

Hugo : Non les garçons vous pouvez pas faire ça c'est ma fille garder votre argent !

Antoine : Nous voulons t'aider Hugo ! C'est à notre nièce (en quelque sorte) !! Ont doit l'aider !

Hugo : Merci les mecs vraiment !

Je m'effondre en larmes dans les bras de Raphaël et de Olivier qui nous avez rejoint...

Hugo : Elle va jamais sens sortir. J'ai besoin d'elle ! Sans elle je ne suis plus rien...

Antoine : On rentre à Clairefontaine... Le médecin nous appel si elle se réveille. Ne t'inquiète pas elle est entre de bonnes mains...

Je le suis et monte à l'arrière de la voiture.

... : Monsieur Lloris ! Attendez !!!

Je descend de la voiture et tombe sur le médecin.

Médecin : Monsieur. Vous devez signer se papier.

Hugo : C'est  quoi ?

Médecin : Ce papier signifie que si dans cinq ans elle n'est pas réveillée nous sommes obligé d'arrêté les machines...

Hugo : Non c'est hors de question.

Antoine : Hugo signe se papier. Cinq ans c'est long elle pourrait sens remettre et si elle doit mourir elle ne souffrira pas... Elle t'aime Hugo... elle t'oubliera jamais si...

Hugo : Ne dit rien Antoine je ne veux plus l'entendre.

Je signe vite se papier et monte en vitesse dans la voiture. Je suis seul avec Antoine les autres ont pris la voiture de Raphaël.

Antoine : Hugo...

Hugo : Antoine !! PUTAIN C'EST MA FILLE !!!!!

Antoine : Je sais. Mais tu crois qu'elle serai heureuse si son père était malheureux ?

Hugo : Son sourire c'était le plus beau du monde... c'était le sourire de sa mère...

Antoine : Non son sourire c'est le tien. Tout chez elle s'est toi pas Marine. Elle te ressemble tellement : même caractère, même sourire et même joie de vivre...

Hugo : Tu as raison. Je vais me coucher...

On descendit de la voiture et je monta dans ma chambre. Je m'allonge sur le lit et pense à Guiliana. Pitié qu'elle se réveille un jour... pitié ... mes larmes coulent de plus en plus sur mes joues. Je repense aux paroles d'Antoine dans la voiture... Je sourit je me force à sourire malgré ma tristesse qui me dévaste, je sourit, je ne fais que sourire... Je m'endors quelque instant plus tard...

Je me lève le lendemain matin... des images de ma fille tourne en boucle dans ma tête.... Son sourire est gravé en moi à tout jamais...

Je descend au petit déjeuner. Je m'assoie en face d'Antoine et à côté de Maud. Je lui sourit comme il m'a dit de le faire hier...

Antoine : Ce sourire c'est le sien. Soit en sur...

Maud : Faudrait qu'on parle tout à l'heure Hugo...

Hugo : Oui tu as raison ...

Je sors et je vais sur le terrain. Je tape dans un ballon pendant plus de deux heures en faisant évacuer toute ma tristesse. Je pleure à ne plus respirer. Je suis épuisé. J'arrête. Je prend mon ballon et sourit tout seul en pensant à elle quand elle était inquiète quand je me suis ouvert l'arcade. C'était ce ballon... Je sourit...

... : Ce sourire c'est le sien...

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Voici le chapitre 8, j'espère qu'il vous plaira. Mettez des commentaires s'il vous plaît et des votes

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