Chaque corps exerce sur un autre corps une force dépendant de leurs masses respectives et de la distance entre eux. Les travaux sur les ondes gravitationnelles (ondes de déformation de l'espace-temps) ont permis d'identifier de très légères variations des forces de gravitation dépendant des ondes gravitationnelles du corps qui l'émet, et propre à ce corps. Il est donc possible pour un vaisseau de distinguer chacune des forces de gravitation qui s'exerce sur lui et d'en identifier l'origine.

Supposons que le vaisseau puisse altérer sa propre masse pour émettre des ondes gravitationnelles identiques (mais d'amplitude différente bien sûr); alors il modifie l'effet de la force sur lui: Il va légèrement déphaser ses ondes par rapport aux ondes d'un corps choisi. Or, avec une même onde, le vaisseau et cet objet forment un même "corps" qui n'est pas sensé être à deux endroits différents et qui va donc exercer sur "lui-même" une force pour maintenir sa cohérence. Le navire et l'objet exercent entre eux une force proportionnelle à la somme de leurs masses pouvant les déplacer. Un vaisseau avec cette propulsion peut donc choisir de subir la force de gravitation de n'importe quel objet dont il connait la fréquence d'onde gravitationnelle. De plus, en utilisant habilement l'antimatière, il est possible de subir une force non pas attractive, mais répulsive, afin d'avoir plus de mouvements possibles. Plus l'objet est gros, plus identifiable est son onde. 

En choisissant l'influence d'un trou noir, le vaisseau peut subir une force d'attraction proche, voir dépassant celle qui s'exerce à l'horizon des événements, et il devance rapidement la vitesse de la lumière. Sa masse n'étant pas vraiment réelle suite à sa variation de longueur d'onde, il peut dépasser c.

En utilisant les trois trous noirs connus, il est possible de se rendre en n'importe quel point de la galaxie. 

Deux autres découvertes permirent de réaliser les voyages supra-luminiques, en résolvant les problèmes liés à l'approche et au dépassement de la vitesse de la lumière: les ordinateurs à communication figées et les coeurs d'antimatière. 

plus un objet est proche d'un corps lourd ou va vite, plus le temps s'écoule lentement pour lui par rapport au reste de l'univers. pour les voyageurs quasi-luminiques, comme l'ont en parti subi les premiers grands explorateurs, des voyages pour eux de quelques années ont duré des millénaires. Cela est dû aux "creux" dans l'espace temps causés pas la masse des vaisseaux. L'antimatière cause elle des "bosses" dans ce même espace temps. Tout navire envisageant un voyage embarque aujourd'hui dans son équipage un massographe, chargé d'équiper les différentes parties du bâtiment de masses d'antimatière afin d'avoir sur tout le vaisseau une influence nulle sur l'espace temps, en ayant le plus possible en tout point une masse nulle. 

Une réalisation idéale corrige complètement tous les effets de la relativité. une mauvaise réalisation... ;Si certaines pièces ou éléments sont mobiles, les masses d'antimatière doivent suivre ce mouvements sinon l'élément risque de subir la relativité (à l'accélération ou à la décélération, comme le subit le roi Juan Pablo XII en V1A11981). Un massographe doit donc maitriser ses masses en continue et en fonction de l'équipage.

L'ordinateur à communication figées est encore plus nécessaire. Inventé au tout début des voyages gravitiques par selon les travaux des web-archeologues, un certain professeur Lin Sah, il est essentiel car fonctionne même dans l'état extra-physique newtonienne du supra-luminique. Là où cerveaux humains sont sujets à des désactivations dues aux non connexions chimiques et électriques entre les neurones; les ordinateurs restent opérationnels et deviennent des machines à calculer instantanées en supra-luminique. ils peuvent donc être préalablement programmés pour faire les décélérations vers le quasi-luminique. Sans eux, les navires ne pourraient quitter le supra-luminique qu'une fois en contact avec l'astre utilisé pour le déplacement.