Chapitre 2
Des cris, des pleures, du sang, des morts... la négativité. Plus la moindre positivité. Plus rien que de la souffrance, de la colère, des cauchemars...
Le monde de Nightmare.
L'obscurité...
Des rires, de la joie, du bonheur, le plaisir... la positivité. Plus la moindre négativité. Plus de malheur, tout l'inverse, plus de pleure, plus de tristesse, plus que des rêves qui devenait réalité...
Le monde de Dream.
La lumière...
Les deux se réveillèrent, maitre absolue de l'endroit.
Chez le maitre des cauchemars, tout les pires criminelles et quelques victimes. Il était le seul intouchable. Celui devant qui tous se mettait à genoux, le suppliant de les épargner.
Tout ce qu'il voulait...
Etre puissant... tellement qu'il pouvait écraser tout le monde. Plus il était puissant, plus il y avait de négativité, plus il y avait de mort, plus il était puissant.
Chez le gardien des rêves, tous le remerciaient. Il avait réussit à anéantir toutes les maladies, plus de mort autre que la vieillesse. Plus de violence, rien de plus que le calme, la beauté de la tranquillité... il avait réussit... pourtant, une question lui brulait les dents. Si c'était le monde qu'il avait toujours souhaité...
« -Où est mon frère ? » aucune réponse.
Personne ne semblait savoir de quoi il parlait. Il n'y avait que lui qui comptait. Le squelette aux pupilles dorées était devenue un dieu tout puissant...
« -Mais... non... »
C'était le monde de ses rêves ? Non. Bien sur que non.
« -Nightmare... je... je veux Nightmare.
-Mais qui est ce cauchemar que vous appelez ?
-Ce n'est pas un cauchemar ! C'est mon frère ! Je veux mon frère ! » son aura diminua...
Elle diminua au point de changer de nature. Tous furent choqué...
De la négativité... venant de Dream ? Cela ne voulait dire qu'une chose. Ce n'était pas leur dieu ! Il fallait se débarrasser de lui et ramener leur tout puissant chef ! Retrouver leur sauveur !
Dans l'autre monde, encore impassible, comme endormit par cette sur puissance qui le brulait, le squelette corrompus ne réagissait presque pas. Personne ne comprenait, juste, c'était le bon moment pour faire tout ce qu'ils voulaient. Une orgie de violence décadente qui ne faisait qu'anesthésier encore plus le maitre de ce monde si immense qu'il essayait de découvrir mentalement. Sa magie analysait aussi vite que possible toute la négativité...
Et puis...
« -D... Dream ? » un silence.
Il avait parlé.
Il revenait donc à lui. Tout ce calma.
« -Boss ? Qui est ce rêve ? »
Pas de réponse, le maitre des cauchemars se téléporta le plus loin possible, à la toute limite de cette force qui le brulait, attirer par une source faible mais étrange. Celle qui n'avait jamais existé au paravant.
Jamais...
Dream...
Quand il arriva à la limite de l'ombre, il n'y avait rien. Et puis... il leva le crâne. La haut, tout en haut, un trou d'où s'échappait avec difficulté un tout petit rayon d'une lumière pure...
Brulante.
Malgré tout il la regarda...
« -Dream. » appela-t-il... comme par réflexe, le plus bas possible malgré tout.
Mais... il raisonna tout de même... pas assez pour que quelqu'un l'entende ou n'y prête attention...
Oui... qui pourrait l'entendre ? Qui voudrait l'entendre ? Ici il était le plus fort, personne n'allait oser entendre une preuve des faiblesses du seigneur des malheurs. Quand à ceux de l'autre coté du si petit passage ? Et bien il n'en avait que faire de cette appel désespéré...
« Il ne m'a jamais entendu... il ne m'a jamais écouté... pourquoi ça changerais ? Je... je ferais mieux de rester dans l'ombre... »
Pourtant...
« -Night... »
Un tout petit peu de sa tristesse dériva, comme attiré par celle qui lui ressemblait tellement. Par la même émotions chez deux être si différent...
« -Dream... »
Il entendit... pour la première fois de sa vie, il avait découvert ce que c'était que d'être négatif dans la positivité... que de chercher désespérément quelqu'un qui l'entendrait...
Et dans le silence de son « peuple » face à la peur de la colère mélangé à la tristesse de leur « dieu », il se téléporta. Attiré par la magie qui l'appelait faiblement, guidé par la sienne. Une petite voix dans son crâne ne cessant de lui répéter : « c'est lui, c'est ton frère qui t'appel ! »
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