Ayant pris le nom d'un roi inconnu au bataillon,

fier grec ayant permis à un héros de ne livrer bataille,

se travestir parmi ses filles dont il conta fleurette à l'une,

possible assassin de Thésée qui face à une falaise n'eût été de taille !

Il s'est taillé un personnage bariolé,

à la royauté qui sauf pour son ego ne sera jamais à la une,

c'est Lycomede, que voici de vert d'arsenic et sanglant vermillon,

à l'ire inexistante et au rire de variolé !

Lys de comédien, comédon numérique,

se jouant des péteux et la métrique,

se piquant de péter plus haut

car haut-perché. Le très-haut,

tu peux invoquer pour entendre

l'énergumène si dément,

à son jeu, tu ne peux prétendre

jouer, noblesse folle l'oblige

ô oui grands fous ! Pas de litige

à l'insensé intense, absolument !

Salutations et autres wesheries,

je vous adresse ici ma modeste contribution

mais surtout ma phénoménale participation !

Pas avec moi de tracasseries !

Comme Catulle,

la bienséance n'a qu'à bien se tenir,

entre autres : je l'encule !

Pas la peine de tant se retenir ;

Si vos yeux, vous frottez, profondément révulsés

de cette rime percutante, pénétrante qui a pulsé

dans votre esprit en synonyme de médiocrité

sachez qu'Aristophane lui n'a pas périclité

car il a usé de formules châtiées,

j'attends pourtant d'être châtié ;

Apparemment, c'est une preuve d'amour,

nous aimons observer notre personne aimée,

fous de vous, vous avez un fou, un amour

soyez, en abandonnant courbettes d'usage

à l'adresse d'un singe savant peu sage

se moquant de se pâmer ;

Le tort de Lycomede

fut de vous aimer,

aussi trop s'aimer,

de grâce que personne

non personne ne m'aide,

jamais je ne vous sonne,

mon fictif TDI me plaît,

même si à certains esprits chagrins

beaucoup cela déplaît,

tout l'or du monde,

richesses qui inonde

ne valent pas mon précieux grain !