Bon. First of all, ceci est une Fiction (fan fiction si vous préferez) donc ce n'est pas RÉEL ! Juste mon imagination. (Même si Sam va se grouiller de nous publier ce livre, hm?) Donc ne commencez pas à crier, a fangirler et tout :) c'est pour le fun.

Ceci est une redaction faite en cours de francais sur le thème des nouvelles réalistes.

C'est pas fameux mais bon... J'ai fais de mon mieux, surtout avec l'orthographe (Mama, les fautes que j'ai faite)

Cependant, j'ai tout de même eu un 20 ;D

Voilà ma redaction sur @SamAshling. Elle est la narratrice (Just saying...)

"- Je suis prête. Soufflai-je à Brian, mon frère.

Il me sourit timidement et prit le paquet de feuilles que je lui tendis.

Le dernier chapitre de "Les Démons de Gabrielle" enfin corrigé. L'aboutissement de trois longues années de dur travail. A passer chacun de mes jours de congés, scotchée à mon ordinateur, avec une tasse de cappucino dans les mains en permanence. Trois ans que je travaillai sur mon premier roman, qui, je l'esperai, sera enfin en vente. Que enfin, ma labeur paiera et que j'offrirais du plaisir aux gens, un sourire, des émotions. Me faire connaître et rendre mon entourage fier. Continuer à passer des heures les yeux rivés sur le clavier, toujours balontante entre l'endormissement et la migraine. Ne plus passer mes journées à vendre des baskets à des touristes pas toujours aimable. Faire ce dont je rêve depuis toujours ; écrire. Deployer mon imagination et ma creativité, être l'héritière de J.K Rowling. Trois cents quarante deux pages nées de mon imagination (peut être pas autant mais on peut toujours rêver), inspirées d'un don. Un hommage à moi, une pensée à touts ceux qui m'ont soutenue et aidée. Une dédicasse à mon clavier qui en eut autant bavé que moi.

Brian scanna les dernières feuilles, prêt à les envoyer à l'éditeur. De l'angoisse put se lire sur son visage, son habituel humour envolé.

Nerveusement, je me mordis la lèvre, enfouissant mes mains sous mes fesses pour etouffer mes tremblements. Au moment où mon frère entreposa la dernière feuille, je reçus un sms de ma petite fée - Axelle.

- "Petite cacahuète" -

OMG ! A cause de toi j'ai ratée mon contrôle ! Je stresse comme une fifolle de la night, c'est horrible. Bon courage et puisse le sort t'être favorable. Mais... dis à tes éditeurs que si ils se magnent pas le cul à te lire, je vais faire un attentat, right ? Coooourage et tient moi au courant.

Ce genre de message furent les plus motivant qu'il soit. C'est elle ma petite et jolie fée, ma petite cacahuète, mon alter-ego de treize ans. De la bonne humeur sur pattes!

- To "Petite Cacahuète" -

OMG ! Tu roxes du poney ! Brian est en train de transvaser les écritures en mot informatique. Ca prend un temps de malade... Fin' bientôt les éditeurs receveront mon bébé. I can't waiiit ! Et merci Alphonse ;) Vivement que tu reviennes à Bordeaux

- C'est bon, j'ai terminé. Déclara Brian. Donne moi cinq minutes pour envoyer ton manuscrit.

-- Elipse de 2 mois--

- Gaffe !!! Criai-je au passant, en courant comme une paumée de la vie. Pardon ! Pardooon !

- Faite attention ! Vocifera un vieux que j'eus "accidentellement" bousculé. Pourquoi êtes vous si pressée ?

- J'ai reçue la réponse pour la publication d'un futur best-seller m'sieur.

Il me sourit brievement et je repris ma course folle vers mon appartement. Cinq minutes plus tard, après avoir courrus comme Usain Bolt dans les rues d'une banlieue Bordelaise, je tentai de rejoindre mon frère pour lire mon mail.

C'est lorsque je me precipitai dans les escaliers qu'Axelle m'appella.

- Jean-Philippe ! S'écria cette folle.

- Alphonse ! Haletai-je en tourant ma clé dans la serrure. Je suis arrivée.

- Oh my godnesss, j'en peux plus ! Je suis aussi sur les nerfs que si c'était moi qui publai ! En tout cas, si ils refusent, j'ai toujours mon plan d'attentat en tête, t'inquiète poulette.

- Haha. Croisons les doigts et les orteilles de pieds...

Elle pouffa à ma blague et de mon côté, je me laissai tomber sur le fauteuil face à l'ordinateur. Brian afficha une mine décomposée.

- Alors... Commencai-je en lisant. Chère Sam Ashling... Gnagnagnagna. Hm... Ah ! Nous avons lus votre manuscrit dont le nom est "Les Démons de Gabrielle", une histoire d'amour et de science-fiction. Dans l'ensemble, c'est très bien. Oh mon diiiieu ! Donc... Hmmmmmm. Oui. Lalalalala. Donc, très bien écrit, peu de fautes. L'intrigue elle, est absolument genial, le thème bien recherché. Rare comme sujet, trop souvent abordé dans les guides de communication avec l'esprit. Mais ! Cependant, quelques legèrs inintention au niveau de la synosis que nous avons notés. Donc, pour conclure.... Oh mon dieu.

- Quoi ???

- C'est bon. Dans quelques jours, je recevrais mon propre exemplaire et j'irai à Paris pour la finalisation. Je vais enfin l'avoir. Dans les mains. "Les Démons de Gabrielle" va enfin voir le jour...

- Je suis si fière de toi. Tu m'en vois extremement ravie Sam. Ravie et emue.

Une larme de joie devala ma joue pour s'écraser sur la main que Brian eut deposé sur ma cuisse, en signant d'encouragement.

Enfin...."