Note auteur: coucou les gens, ouais je sais, j'avais dit que j'aimais faire mes propre histoire mais j'aime bien aussi les fanfiction, surtout sur  SH et JR.........Bon aussi Viewfinder >///////<, bon enfin bref, je vous offre un chapitre qui a rien a voir avec le St Valentin et un autre pour le St Valentin dans cinq Minutes. et aussi, si quelqu'un pouvais m'expliquer comment on fait pour mettre des image, sa m'arrangerais merci ^^

Note: les personnages appartiennes a Shungiku Nakamura.

! ATTENTION!

!CETTE FAN FICTION A ÉTÉ ÉCRITE PAR UNE NULLE DE L'ORTHOGRAPHE!

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Défi N°1

Couple : Hatori X Yoshino

Manga : sekaiichi Hatsukoi

Lancer par : Aprikitten-sama

Placer les mots : tigre ; carnet ; salle de bain ; climatisation et neige

Bien que le froid persistait sur la capital du Japon, la neige commençait a déjà à fondre dans les rues mais, malgré le beau temps qui annonçait une belle journée, Yoshino ne pouvais malheureusement pas en profiter et « chercher » de l'inspiration pour son prochain manga. Le pauvre mangaka était cloué au lit par une fièvre de cheval, à peine sortie de son sommeil, il fut pris d'un violent mal de crâne qui s'intensifiait à chaque mouvement de tête. Pourquoi devait-il tombé malade le moi ou il pouvait s'amuser le plus ?

Yoshino était tellement malade que, c'est deux derniers jours, il ne pouvait plus se levé sans voir des étoiles voilée autour de lui, ce qui était très problématique puisqu'il devait prendre des médicaments pour pouvoir guérir le plus vite possible. Bien que la fièvre qu'il avait l'empêche de réfléchir correctement, il ne pouvait pas s'empêcher de penser à Hatori, ce dernier n'était pas passé depuis un moment à son appartement, ce qui lui causait un grand vide et un grand froid dans son cœur et oui, deux jour sans lui, était comme passé deux ans sans dessiner, c'était impossible pour Yoshino de vivre sans dessiner, d'ailleurs, il faudrait que le mangaka refasse le pleins de carnet de dessin.

Le brun aux yeux gris ce retourna dans son lit en frissonnant, il ignorait pourquoi mais depuis deux jours, il faisant terriblement froid dans sa chambre malgré la gros couverture et le pull qu'il avait sur lui, pourtant, il avait allumé le chauffage. Ne trouvant pas la force de bouger, Yoshino se retourna encore une fois dans son lit avant de se rendormir, toujours en pensant à son éditeur bien aimer.

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Une grosse réunion venais de ce finir et Hatori n'avais pas beaucoup écouté les sujet aborder. L'éditeur ne pouvais pas ce concentrer, toutes ses pensées était occuper par son amant, cela faisait un moment qu'il n'avait pas contacté Yoshino à cause de la montagne de travail qu'il avait sur le dos. Bien que le mangaka pouvait quand même s'en sortir, l'éditeur de shojô doutais vraiment de ses talant en cuisine, il espérait que son cher dessinateur ne c'était pas empoisonner en mélangeant des ingrédients qui n'allais pas ensemble. Attrapant son portable il appela sur le fixe de chez Yoshino, pas sur son portable, au cas où cet idiot aurais éteint son portable mais, pas de réponse, idem pour le portable, ce qui inquiétait fortement Hatori. Est-ce qu'il dormait ?......possible mais rare, est-ce qu'il était sortie ?.....c'était une hypothèse, Yoshino avait besoin de sortir pour trouver de l'inspiration pour ses story-board, bien que ces derniers n'était pas fameux par moment. Bien ! L'éditeur attrapa ses affaires et commença à partir avant d'être arrêté par ce l'éditeur en chef :

-Hatori ? Où vas-tu ? demanda Takano, tu as encore du boulot je te rappel.

-je sais, mais il y a un problème avec Yoshikawa-sensei, il ne répond pas aux téléphone, je vais donc voir si tous vas bien. Répondit l'interpeller

-tu reviens après ?demanda l'éditeur en chef

-je ne sais pas, peut-être pas avant demain si je dois le chercher par tout.

Takano ricana un peu avant de repartir de son coter, appelant Onodera qui passais par la, le pauvre, il allait encore subir les taquineries de ce tyran de supérieure. Quant à l'éditeur il partit au pas de course tel un tigre à la poursuite de sa proie, et oui, être éditeur c'est aussi courir après les auteurs.

Le châtain arriva devant la porte de son amant après 40 minutes qui fut longue pour lui. Il entra avec faciliter à l'intérieur, d'après ce que peut constater l'éditeur, Yoshino n'avais pas fermé la porte, quel tête en l'air, l'appartement était calme, bien trop calme à son gout, avait le bruit de la porte d'entrer qui grinçais un petit peu, il aurais surement du entendre et serais partie voir qui s'est introduit sans sonner.

Hatori, inquiet du manque de vie dans cet endroit ce mis a cherché dans toutes les pièces de l'appartement même dans les toilettes et la salle de bain. Arrivant dans la grande chambre, un frison parcourue le dos de l'éditeur de manga, qu'est-ce qu'il faisait froid dans cette salle, est-ce que cet imbécile de mangaka aurais allumé la climatisation ? Le châtain éteignis la clim avec le petit boitier qui se trouver sur le mur à sa gauche et reporta son attention sur le lit ou ce trouvais son bien aimer qui dormait. Comment pouvait-il dormir à cette heure ?

L'éditeur de shojô s'approcha du lit et posa sa main sur le front brûlant de fièvre de son amant, Hatori compris mieux pourquoi il ne répondait pas au téléphone. Alors qu'il partit chercher des médicaments, une main attrapa la manche de sa chemise afin de le retenir et une faible voix retentie dans la chambre :

-Tori, tu es venu ?

L'interpeller ce retourna regardant les yeux gris et embuer par le sommeil de son amour qui venait à peine de se réveiller et la fièvre semblais le faire un peu délirer puisque l'éditeur ne comprenais pas vraiment ce que voulais dire Yoshino, est-ce que ce derniers l'attendais ? Surement. Hatori attrapa la main de son mangaka préférer et dit doucement pour le rassurer :

-oui, je suis là.

-est-ce que tu vas repartir ?demanda le plus jeune.

Le concerner fut un peu étonner par sa demande, est-ce que l'éditeur avait manqué à Yoshino ?

-ne part pas s'il te plait, demanda le mangaka malade, je veux que tu restes.

Hatori soupira, il faut croire que deux jour sans que les deux amants ne se voient était de trop pour le brun aux yeux gris. Malgré le comportement assez bizarre de son amant, il accepta de rester et commença à s'occuper de lui, restant à son chevet lui faisant prendre des médicament afin qu'il guérisse. Yoshino recouché, il dit avant de sombrer dans un sommeil profond :

-merci det 'occuper de moi.