Partie I chapitre 6 l'arrangement d'un contrat

Arrivé à la majorité de Louise, Herbert savait qu'il lui était possible de l'envisager en tant que femme. Pourtant la comtesse n'avait cessé de lui présenter, à plusieurs jeunes femmes de bonne famille, afin de le mettre au fait accomplit, de conquérir une partenaire qui deviendra son épouse. 

Aston savait d'expérience que leur monde ne faisait pas dans la dentelle, concernant les conventions, faire partie des personnes qui voulaient se marier, avec l'élue de leur coeur. Cela étant souvent vu comme une perte de temps, dans l'expansion de l'empire financier. 

Puis elle savait que son époux Richard aimerait pouvoir arranger les choses entre leur deux familles, en donnant la possibilité à son petit-fils, de s'unir avec la jeune Fortin, et le leur rappela lors d'un diner avec son épouse et les dit concernés. 

Mais la comtesse approuvait peu ce genre de raison, qui risquait de leur retomber dessus, avec le grand Fortin alias Joseph qui contrerait un tel essein. 

À moins que Louise voyait les choses d'un bon oeil. C'était pour cela qu'elle le mentionna, dès leur première rencontre. 

Mais ils avaient un problème de taille, car la demoiselle s'était refusée de communiquer avec Herbert, parce que chacunes de leurs discussions finissaient par une dispute. 

La comtesse s'était essayée de les réconcilier, lors d'un repas les réunissant tous, invitant leurs parents puis ils s'étaient mis d'un commun accord, que leur fille était enfin en âge d'envisager une union. 

Ils transmirent leur souhait, qu'elle pourrait dans l'éventualité devenir l'élue, qu'il fallait à leur petit-fils, si elle consentait à s'y présenter. Ils n'auraient plus à continuer leur recherche.

Louise leur fit savoir, malgré qu'elle les tient en respect, pour tout ce qu'ils avaient pu faire pour elle jusqu'à ce jour. Elle ne pouvait que décliner leur offre, ressentant pour lui une animosité non dissimulée. 

Herbert était dans le coin, quand elle eût ses paroles blessantes. Il n'avait pas encore été amer dans son language, mais il y cultiva de la distance entre eux. Cela lui permettait de ne pas avoir de gestes déplacés, parce qu'il continuait à rester aussi proche d'elle à la surveiller.

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Lorsqu'il y avait un événement important, les propriétaires du manoir, lui proposaient d'accompagner leur petit-fils. Ils lui remettirent une tenue appropriée pour la sortie, en lui disant que cela faisait partie d'une autre de ses attributions. 

Louise y alla malgré tant pis, en robe de cocktail. Si c'était une tâche qui impliquait un salaire. On ne pourra pas lui dire, qu'elle avait des sentiments pour leur héritier. Ou que son but était de lui plaire, puis la tension dans la voiture était palpable. 

La demoiselle devait paraître jolie près de lui, et apporter une image positive dans ses négociations. Cela évitait qu'ils arrêtèrent Herbert, à tout bout de champ, pour lui présenter des jeunes femmes, dont leur père était PDG d'une grande entreprise, cherchant à avoir plus d'influence sur le marché.

 Louise s'apprêta plus sophistiquée qu'à l'accoutumée. Des lèvres dessinées au pinceau, un trait d'eyes-liner, le fond de teint lui donna l'apparence d'une femme plus mure qu'elle ne l'était. 

Elle redessina le contour de ses sourcil, rendant le tracé impeccable. Une touche de blush aux pommettes, ses cheveux étaient relevées en un chignon retravaillé, laissant ressortir juste ce qu'il fallait de mèches. 

Enfin elle porta une pochette discrète sur le côté, où elle y glissa son rouge à lèvre, et mini miroir ainsi que quelques mouchoirs de soie.

Avant la date du dîner d'affaire, un couturier reprenait ses mensurations, afin que l'étoffe très couteuse lui aille parfaitement, et l'assortissant à la tenue d'Herbert.


Les soirées mondaines furent d'un ennui total, surtout lorsqu'on y connaissait rien en business. L'héritier lui demanda de rester à côté de lui, pour écouter d'une oreille attentive les discussions, et si au retour au manoir elle sentait le besoin. Il lui expliquerait certains points qui lui parurent flous. 

Louise voulut protester en lui demandant, "pourquoi elle ne pouvait pas poser de question, quand elle en avait besoin? "

Herbert lui dit que "cela serait très mal perçu, de ces hommes influents, avec qui il signera surement des partenariats, étant autant avantageux pour eux que pour lui."

C'est alors que la demoiselle se mit à scruter jusqu'au moindre détails, leurs gestuelles, leur mimiques, et la façon de parler en toutes circonstances. Le vouvoiement étaient de rigueur, même quand leurs ainés les encourageaient au tutoiement, elle refusait poliement. 

Et la façon de négocier un contrat de partenariat, on voyait tout de suite qui étaient de vrai requin, à leur façon déloyale de s'adresser au plus petit qu'eux, et leur prendre plus des  soixante pourcent de leur part.

Quand Louise pensa que le grand-père d'Herbert, en rachetant l'entreprise de son grand-père Joseph n'était qu'actionnaire à cinquante pourcent. Il lui laissa autant d'importance dans les choix, que Joseph voulait faire pour celle-ci, ce fut d'une remarquable générosité. Mais Jo insista pour qu'un jour, il racheterait ses autres parts, afin de libérer  sa famille de l'engagement envers Les Limonail.

Quand l'un des hommes d'affaire interpella Louise, pour lui demander qui elle était, car elle se perdit dans la foule, il lui montra un intérêt de conquête vis-à-vis d'elle.

Herbert se plaça devant elle, l'ayant retrouvée annonçant qu'ils étaient ensemble, et qu'il ferait mieux de chercher ailleur, s'il ne voulait pas qu'il s'occupait de lui personnellement. 

L'homme inclina son buste, pour s'excuser de s'être imisser dans leur vie privée par mégarde. Il ne cherchait pas à se quereller.

Louise désaprouva sa réaction, puis l'héritier lui rappela la dernière fois, alors qu'il avait cherché à se rapprocher d'elle, elle mit de la distance entre eux. 

S'il avait laissé faire cet homme, il n'en serait pas resté, à la position embarassante dans laquelle ils avaient été. Ce soir là, il avait su prendre sur lui, en n'allant pas plus loin. 

Cet homme l'aurait raccompagné, pour lui proposer de prendre un verre avec lui, afin qu'elle le suive ensuite sans se poser de question. Il l'aurait ramener jusqu'à sa propriété étant sans scrupule, de passer du bon temps, avec des jeunes femmes aux idées embrumées. 

Herbert se rappela que l'alcool ne semblait pas la réussir, donc il lui conseilla d'accepter qu'il la protège, de probable prétendant voulant briser, ce qu'ils construisaient récemment entre eux, et au nom de leur amitié.

La demoiselle accusa du chef calmé, pensant à la défaite d'une relation, qui prit fin en une soirée. 

Peut-être était-ce  dans son intérêt, et qu'il lui fallait l'écouter. 

Louise se montra plus prudente, surveillant régulièrement s'il se déplaçait ou pas. Herbert lui présenta son bras pour qu'elle s'y accroche. Elle hésita d'abord, et effectua une inspiration expiration, prenant de l'élan puis tint son bras fermement, en gardant une distance entre lui et elle. 

L'héritier posa sa main libre pour réarranger sa position, un poignet plus souple, et les faisaient tenir comme un couple. Louise de nature revèche voulut protester, puis elle se souvint qu'elle devait se tenir tranquille, face à cette assemblée de personnes d'influences lors du banquet. 

La demoiselle fit de petits pas, en regardant droit devant elle, la tête et le dos bien droit, tout en portant des talons. 

Elle luttait avec elle-même, de ne pas faire de scandale.

 "Louise sourit à chaque personne que tu croises. Montre leur que tu es bien la petite-fille du grand Fortin. Ne lui fait pas honte, et il ne s'agit que de faire semblant, que nous sommes ensemble. Pourvu que cette soirée ne dure pas une éternité!"

Les hommes se firent plaisir aux yeux, la regardant sous toutes les coutures, de ses bras finement voilé, et du galbe de ses mollets s'accordant à merveille avec les talons qu'elle portait, puis sa poitrine bien soutenue avec sa robe à bretelle. 

Louise était agréable à contempler, et il se dégageait d'elle une telle fraicheur, que si elle n'était pas au bras de l'héritier, cet homme lui aurait bien proposé, un dîner en tête à tête pour faire connaissance.

Il comprit pourquoi Herbert se montra possessif, un tel joyau, on évite de le laisser s'évader seul dans la nature. Au moins si la demoiselle répondait à son regard insistant, il se serait arrangé pour qu'elle récupère son numéro, mais celui-ci restait professionnel, et ne tendait pas à la confusion.

Il y avait de quoi donner envie aux hommes se trouvant dans la salle, de venir à sa rencontre, afin de tenter de la faire parler, celle qui éveillait leur curiosité. 

Huit mois qu'elle avait atteint ses vingt ans, et d'après les rumeurs concernant l'héritier, il n'y avait que récemment qu'il lui fut permis de la courtiser. 

D'où cette aura de mâle, assurant la protection de sa femelle, et laissant ses phéromones guerrières attaquées quiconque l'approchait, ainsi que de la couvrir de son parfum annonçant chasse prise.

Il fut d'une telle évidence, qui la voulait comme partenaire, mais il attendait l'opportunité, qu'elle lui laisserait devenir sa moitié.  

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La soirée prit fin, au grand soulagement de Louise, qui n'en pouvait plus, de marcher aussi lentement qu'un escargot. 

Herbert devait être endurant, et il prenait soin de son corps. Il ne parut pas faire du gras assis derrière son bureau, et elle avait senti ses muscles se contracter, quand il fut allongé au dessus d'elle. 

Les portes avaient des ouvertures automatiques, il aida Louise à monter lui tendant la main. Puis il passa de l'autre côté pour s'asseoir. Le silence dans l'habitacle était intenable, et le chauffeur ne parlait que si on s'adressait à lui.

_ Quel dîner cela a été, elle soupira.

_ Tu t'en es très bien sortie, une fois que les consignes te sont apportées.

_ Je me suis faite violence pour ne pas hurler, en me faisant passer, pour celle que je ne suis pas.

_ Le manoir nous conditionne à rester serein, quelque soit la situation, et mis à part de me laisser dire que tu étais ma compagne. Il n'y a rien d'autre qui puisse te contrarier.  

Louise se dressa la gorge et Herbert l'observait, tout en la scrutant.

_ Je n'ai pas l'habitude de me tenir au bras d'un homme, ce serait n'importe qui, que ce serait pareil. 

Elle sentit que cela, les aurait fait rentrer dans un débat à n'en plus finir. Autant qu'elle y mettait un peu de sa solicitude.

_ Tu n'as pas à te justifier, lorsque tu m'as informé de ton inconfort, j'en ai déduit juste. Puis je ne m'attends pas à ce que tu changes du jour au lendemain, mais que tu fasses des efforts, quand c'est nécessaire. Il ne s'agit que de la part professionnelle. Et je compte bien envisager un moment, où nous passerons la journée ensemble, à profiter de nos jours de congés, puis nous rapprocher au fur et à mesure.

_ Quel serait le programme de cette journée? Saches que si tu tentes quoique ce soit je me défendrai.

_ Tu n'as pas à t'inquiéter, le tout se fera sans alcool! Oui ne te laisses pas faire, si j'agis tel un muffle. Cette espèce ne méritent pas ta clémence à leur égard. Puis tu as le droit à tout ce qui se doit de mieux, de ta condition de femme respectable. Personne ne devrait te faire croire le contraire, car cet homme ne te mériterait pas.

_ Les entretiens avec les propriétaires du manoir sont bien moins fréquents ses derniers temps. Leur aurais-tu parlé?

_ Je les ai informé de notre accord, qui permet d'apporter de la quiétude dans leur enceinte, se trouve les murs. Donc il me laisse le libre arbitre, à gérer notre relation, et son évolution. Nous progressons de plus en plus chaque jours qui passent.

_ Il y a à nouveau un dialogue, même si quelques ancienne habitude refont surface, je m'en aperçois et c'est déconcertant.

_ Tu veux dire qu'on est sur la bonne voie, pour apprendre à s'entendre. Et je te le dit et répète, c'est toi qui choisit si c'est juste une amitié qui te convient, ou que tu souhaites plus. J'écouterai ta demande, car elle nous permettra de nous engager dans l'avenir, avec ou sans l'autre.

_ Je ne saurai comment te remercier, pour les efforts que tu fournis, et ta compréhension.

_ Il n'y a qu'une chose que tu puisses faire, réfléchir à notre relation, et prendre une décision la concernant. Sachant que je sais ce que je veux, qu'on construise un avenir commun. Et tous les éléments qui vont ensemble, je ne vais pas te faire de dessin. Tu vois où je veux en venir, en partageant un même objectif.

_ Ce que tu viens de prononcer est embarassant. Je ne sais pas quoi y répondre. C'est trop tôt pour que j'y pense, je n'ai jamais débuté de relation amoureuse. Je me sens gauche, et je ne sais pas de quelle façon m'y prendre. Sauf que je ne pourrais donner mon accord, si ce que je recherche ne dépasse pas le stade d'une amitié. J'espère que tu devines, dans quelle situation inconfortable je me trouve?

_ J'ai eu ton âge et ma propre expérience, face au développement de sentiments pour mon prochain. Je dois reconnaître, qu'à part des relations sans lendemain, je n'ai pas encore evisager, de m'engager avec une femme. Cela peut te paraître surréaliste, mais c'est ainsi. Ma vie professionnelle me prend beaucoup de temps, en plus des heures à l'intérieur du manoir. J'ose espérer ne pas te faire fuir, en te parlant de mon passif, avec celles que j'ai étreint.

_ En quoi puis-je te juger, sur une période où je n'étais qu'une enfant, et toi à vivre ta vie d'adulte. La seule chose que j'ai besoin de m'assurer, serait avant que je te donne mon accord, de vérifier qu'aucune femme ne te tourne autour, et qu'elle ne t'a pas déjà mis le grappin dessus. Je suis intransigeante sur ce genre de détail, et bien plus depuis que je vis au manoir. Si cela se fait, ce sera une relation exclusive ou rien, sans retour en arrière.

_ C'est bien mon intention ma chère Louise. Nous arrivons bientôt dans la coursive de la propriété. Économisons-nous pour la prochaine fois.

La demoiselle ne sortit plus un mot, le temps de quitter la voiture, monter les grandes marches en marbre blanc, traverser le hall d'entrée, marcher côte à côte avec Herbert, sur l'escalier au tapis surdimensionné rouge. Et avant d'aller chacun dans leur coin, elle lui dit.

_ Bonne nuit Herbert. 

Louise fit une courbette pour couper court à leur soirée.

L'héritier se rapprocha d'elle, montrant qu'il la raccompagnait jusqu'à devant sa chambre, posant sa main dans le creux de ses reins. Une bouffée de chaleur l'enveloppa, la faisant rougir. Il se pencha vers son oreille pour lui dire.

_ Bonne nuit ma chère Louise, dormez bien. 

Son souffle chaud passa dans son oreille, car sa tête avait été à sa hauteur.

Alors qu'il s'éloignait, elle le regarda de dos, sa main s'était resserrée sur la poignet de la porte, elle rougissait. Sans s'y attendre, il fit demi-tour  n'entendait pas le cliquetis de la porte, et que les jambes de Louise avaient perdue leur contrôle, restant figée au sol. 

Herbert l'attrapa par la taille, pour la soulever à sa hauteur, la fixant intensément. Puis il inclina sa tête pour déposer ses lèvres sur le haut de sa  pommette quelques minutes, ses pieds touchant à peine le sol en pointe. Il voulut y laisser une part de lui auprès d'elle, et qu'elle fasse la différence entre une relation de couple la nuit, et celle amicale le jour. 

Ses joues lui brûlaient, alors qu'il se détachait d'elle, et il lui tendit un mouchoir, pour lui permettre de s'essuyer, si cette proximité l'avait déplu.

_ Herbert? Louise n'en fit rien, troublée par son initiative.

_ Qui y-a-t-il princesse? Touchant sa joue de ses doigts, la frôlant, elle frémit.

_ Je m'en vais gagner ma chambre, à demain.

L'héritier soupira à s'en fendre l'âme, elle était loin de lui faciliter la tâche, si elle lui annoncait qu'elle ne les voulait qu'en ami. 

Il toucha ses lèvres de ses doigts, ravi d'avoir eu ce contact qui l'avait tant manqué. Elle ne l'avait pas repoussé, c'était qu'elle fut capable de l'accepter, il voulait y croire. 


Herbert devra organiser une journée spéciale, et il avait déjà une idée là-dessus. Un événement qui lui fut particulièrement cher à Louise, et dont ses parents par fautes de temps ne purent la ramener. L'héritier n'y étaient pour rien, s'il fut là quand il surpris leur discussion. 

Pour avancer, il leur faudrait un soupçon de rêves d'enfant, ajouter à ceci une journée mémorable, tout en suivant ce qui leur ferait envie. 

Avec elle, cela ne lui gênerait pas de la laisser choisir, d'où son surnom, car il était sensé être son prince et preux chevalier à la fois.

Il était dans sa chambre prêt à s'endormir, et la façon qui fera qu'elle accepterait sa proposition. Louise resta songeuse quelques minutes, et elle posa ses mains sur ses joues tenant le mouchoir, qu'elle respirait à plein poumon, puis elle s'endormit.


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Pensée furtive de Louise  => songes

Elle avait demandé conseil vis-à-vis de son vieil ami Igor, qui lui répondit qu'elle ne devrait pas prendre de décision à la légère, concernant les mariages arrangés. 

Une fois dedans il était quasi-impossible de s'en défaire, surtout dans les bonnes familles, car ils seraient très mal perçu, par la société qui n'était que dans les apparences.

 Puis la comtesse refuserait de leur accorder un tel crédit, s'attendant à avoir pleins d'héritiers, prêt à remplir leur rôle dans leur descendance.

Cela la rassura de ne pas être contrainte, par une personne qu'elle apréciait beaucoup. Elle n'avait pas réfléchit que si cela s'apprenait, il pourrait risquer de perdre sa place, mais elle le lui demanda, car cela la tracassait. 

Son grand-père lui dit qu'elle n'aurait pas sa bénédiction, de prendre une telle décision. Elle se sentit conforter dans son choix, concernant l'héritier des Limonail, et ses à priori. 

Ils ne pouvaient pas envisager de relation, même si elle fut troublée lors d'une soirée, mais Herbert continuait à lui faire de l'effet depuis ce jour. Louise se questionna en son fort intérieur, sur ce sentiment capable de lui remuer l'estomac. 

Il se pouvait que ce ne soit que physique, elle ne devait pas se laisser emporter. Ils étaient bien des riches, pour agir juste dans le but, de faire prospérer leur entreprise, en choississant le mieux pour leur héritier. Ce n'était pas que c'était négatif, juste que ça n'entrait pas dans un mariage d'amour.

Son grand-père avait conscience qu'elle était une perle, et justement ce fut une raison suffisante de la faire prendre plus de valeur, à celui qui saurait conquérir son coeur. Il avait besoin de s'assurer que les intentions d'Herbert soient respectables, et qu'elles n'en furent pas juste questions, de régler un litige qui concernait son vieil ami, et lui car elle en souffrirait.

Les parents de la demoiselle ne s'en melèrent pas, ni ceux d'Herbert, trouvant la situation de leurs parents suffisamment éprouvantes, et qu'ils en étaient tous affectés dans leur futur bonheur. 

Ils les observaient du fond de leur couloir, l'évolution de leur sentiment naissant, et ils se voyaient plus en tant que spectateurs. Les deux parents n'avaient qu'un rôle d'aimant, et se montrant présent pour leur enfant ayant besoin d'eux, et de seulement agir si l'un dépassait les limites.


Herbert était prêt à signer un contrat de mariage, indiquant que leur dette s'effacerait, et il lui remetterait le business du grand Fortin entre ses mains. Et autres pourvu qu'ils se réconcilient. Cette situation devenait intenable entre eux, et elle n'avait pas lieu d'être. 

Il adorait Louise plus que tout, voir autant que sa propre famille, et que leurs sangs s'en trouvaient mélangés d'une certaine façon, car ses grand-parents la considéraient comme leur petite-fille, lui offrant tous les avantages de ce statut. 

L'héritier se voyait pouvoir appeler les parents de Louise, père et mère par cette alliance. Il s'était vu fonder une famille avec elle, agrandissant les membres par des bambins d'eux, dans un mélange de leurs gènes.



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Celà fait plus de seize jours que je n'ai pas posté de chapitre.

En plein écrit de mon autre ouvrage, j'ai mis quelque peu de côté l'histoire de Louise et Herbert.

Je suis entrain de réfléchir à l'ordre des chapitres, mais étant donné que pour chacun d'eux la chronologie ne se suivent pas. Donc je fais un effort de concentration pour être comprise au mieux.

"Ici, je veux parler de leur comportement face au mariage arrangé, car seul les grands-parents d'Herbert et peut-être les parents d'Herbert sont dans cette situation. Ils trouvent qu'ils s'en sont bien sortis dans l'éducation de leur enfant, ainsi que chaque occupant qui travaillent pour eux. Ils ne voient  pas ce qui gêneraient.

À part leurs parents qui se montrent assez flexible dans leurs décisions, eux préféreraient un mariage d'amour. "

Louise acceptera-t-elle de sortir avec Herbert toute une journée?

La suite est pour plus tard.


Bonne journée et à plus tard, merci à tous et à toutes de me lire. :)

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