Partie I chapitre 3 À ses seize ans

Il y a quatre années de cela quand Louise avait seize ans, elle s'habilla pour la première fois en robe bustier mousseline, avec ses chaussures à petit talon, en se soulignant les yeux d'un trait de crayon, et dessina sa petite bouche d'un rose vermeille. 

Ceci pour une fête organisé par leur école sur la place en face de l'hôtel de ville, où elle y alla avec un garçon de son âge qui s'appelait Béruse. Il se proposa à devenir son cavalier, passant la soirée ensemble. 

L'adolescente était encore joyeuse et insouciante, elle fredonnait le rythme d'une chanson d'amour de leur époque, ses yeux pétillaient d'excitement. 

Louise fit un tour sur elle-même pour faire tournoyer le volant de sa robe, et montrer à quel point elle se sentait légère, en passant dans sa tête une scène qui se déroulerait celle d'être courtisée. 

Herbert était émerveillé de la voir si épanouis, mais il était aussi dépité qu'un garçon de l'âge de Louise en soit la cause. 

Il se devait de la prévenir des pièges, qui l'attendraient à ce genre de soirée, et surtout habillé comme elle l'était. 

Il aurait voulu se frotter les yeux tellement cela lui sembla inimaginable. Qu'en à peine trois ans son corps d'enfant en pleine croissance, ressemblait à celui d'une petite jeune femme, car le vêtement montrait qu'elle assumait pleinement sa féminité. 

Malgré que sa mère lui ait prêté une petite cape, pour recouvrir ses épaules, afin qu'elle n'ait pas trop froid une fois la nuit tombée. 

_ Tu ferrais mieux de te choisir un autre accoutrement pour la fête, car tu vas prendre des courants d'air. Herbert le lui dit sous un ton cassant, avec sa tête des mauvais jours, devenant rude en soulignant sa tenue.

_ Mêles-toi de ce qui te regarde, et puis tu m'énerves à passer tes nerfs sur moi quand ça ne va pas, je m'en vais au revoir! Louise était susceptible concernant son apparence, en s'offusquant de sa réflexion, elle tourna les talons pour rentrer dans la voiture.

_ Igor, veuillez s'il vous plait me ramener tout de suite à la fête, je ne resterai pas une minute de plus ici!

Herbert avait lu de la déception sur son visage, elle était venue le voir pour avoir son avis, et savoir si elle était jolie. 

C'était par quoi il aurait du commencer, elle aurait été plus emprunt d'entendre ce qu'il avait à lui dire, que les garçons pendant leur puberté sont des "bêtes en rutes". 

C'est-à-dire que la plupart en ont qu'après une seule chose, tirer leur coup et compter leur conquête. 

Ils n'ont pas besoin d'être amoureux d'une fille pour le faire, contrairement à elle, si elle accepte ce sera parce qu'elle est amoureuse. 

Louise risquait de tomber de très haut, si elle conclut avec l'adolescent à cette soirée, car le lendemain il fera comme si elle n'avait jamais existé. 

Béruse passera à sa prochaine cibles qui n'aura aucune expérience. 

 _ Pourquoi ne l'a-t-il pas retenu? Voir lui imposer de devenir son chaperon, Herbert pesta contre lui-même et soufflant un juron.


Louise venait d'arriver aux festivités, le lieu était très fleurit à l'extérieur, il y avait des cocktail sans alcool, et quelques adultes pour les surveiller. 

Mais la plupart étaient occupés à parler de leur semaine, qu'ils n'avaient pas prêté attention, que certains avaient rajoutés de l'alcool dans le cocktail de fruit, et ils avaient aussi des buffets préparer en cas de petit creux.

Béruse leur servit une grosse louchée à tous les deux, il lui tendit le verre, l'encourageant d'en boire, puis ils se rapprochèrent de la piste de danse en écoutant la musique. 

La boisson lui parut inhabituelle, elle avait un goût bizarre. Sans doute n'ont-ils pas fait attention à ce qu'ils ont mis comme jus de fruit mélangés. 

Quelques minutes plus tard, Louise ne se sentit pas bien dans sa cape, voir elle la trouva inconfortable. 

Elle avait besoin de marcher, mais elle trébucha sur la personne se trouvant devant elle. 

_ Je vous prie de m'excuser, mes chaussures m'ont fait perdre l'équilibre.

Elle demanda à Béruse de la raccompagné là, où le son était moins fort, car sa tête tournait. 

Il la guida volontier à l'intérieur, puis lui proposa de monter à l'étage où se trouvait les chambres. Il expliqua qu'il lui faudra surement se reposer, pour faire passer ses maux. 

Béruse la regarda tituber car elle était saoul, ceci à cause d'un demi-verre de punch. Il l'aida à s'asseoir, sur le lit et il prit place près d'elle. Pour que Louise garda l'équilibre en montant, il avait posé sa main sur sa taille, puis il l'encouragea à poser son bras autour de son cou. 

Il eut un grand vide de parole, mais l'instant fut coupé quand Béruse se pencha sur Louise pour l'embrasser, promenant son bras dans son dos. Il la fit basculer sous lui, deséquilibrant son axe, pour qu'elle n'arrive pas à avoir de prise. 

Puis il s'attarde sur sa poitrine, elle voulait qu'il arrête ne comprenant pas ce qu'il attendait d'elle. Et comme pour se donner le droit, il lui dit en serrant sa main dans la sienne qu'il l'aime. 

L'adolescente était déstabilisée par sa déclaration, car c'est la première fois qu'un garçon lui disait "je t'aime" et aussi le premier avec qui elle sort. 

Louise savait qu'elle avait voulu se faire jolie pour lui, mais est-ce parce qu'elle était amoureuse de Béruse? Elle n'en avait aucune idée.

La voyant hésiter, il recommenca à l'embrasser en la faisant basculer par dessus de lui, en s'allongeant sur le lit. Cela lui laissa le champ libre, pour promener ses mains sur son corps. 

Au début dans son dos, afin de faire glisser la fermeture éclair de sa robe, remarquant qu'elle commence à répondre à son baiser. Puis les mains de l'adolescent s'attardent sur ses fesses, afin de tirer sur la robe pour la lui retirer. 

Louise tenta de freiner son mouvement n'étant pas à l'aise d'être autant découverte. Puis Béruse ajouta qu'il voudrait qu'il ne fasse plus qu'un, et que c'était sa façon à lui, de faire comprendre son amour pour elle. 

L'adolescente protesta n'étant pas certaine que ce soit une bonne idée, donc il la laisse retomber sur son dos. 

En s'allongeant sur le côté, Béruse lui dit qu'il ne la forcera pas à aller jusqu'au bout, si elle n'en a pas envie. Et Louise lui accorda le bénéfice du doute, en acceptant d'essayer, car elle croit qu'elle l'aime aussi. Les paroles de l'adolescent avaient su la toucher, et elle pensa qu'il se préoccupait de son bonheur.

Donc étant donné qu'elle n'était pas assez à l'aise pour se montrer nue, Béruse proposa de lui remonter sa fermeture éclair, mais que l'adolescente devra retirer sa petite culotte, afin de vérifier si elle peut le faire. 

Louise s'exécuta en essayant de l'enlèver sans qu'il voit ce qu'il y a dessous. Et elle lisse les plies de sa robe. 

Béruse se déshabilla ne gardant que son t-shirt et son slip, en se doutant que sa nudité la gênerait aussi. Il s'était déjà déchausser plus tôt pour monter sur le lit. 

Puis il releva le jupon à mi-hauteur, avant de passer sa main entre ses jambes. Il lui dit qu'il allait mettre ses doigts en elle pour pouvoir passer. 

Dans la table de chevet, il y avait du lubrifiant. Il en mit des tonnes dans ses mains tout en malaxant la matière. 

Avant de s'y mettre, il exigea qu'elle le masse, de sa petite main à l'intérieur de son slip, et si Louise ne le faisait pas, il se frotterait sur sa jambe pendant qu'il s'occupe de la mettre dans l'ambiance, et que pour lui ça revenait au même.

Louise se sentit dégoûtée à toucher dans le slip un liquide d'un genre gelatineux, enfin le terme n'est pas exact, qui s'infiltrait entre ses doigts. 

Il y en avait qui avait coulé dans son sous-vêtement, cela lui donna la chair de poule. Presqu'aussitôt Béruse se mit à presser son bouton, le malaxant, en tout sens attendant qu'elle émette un petit cri. 

Puis il plongea un doigt puis l'autre étant plus détendu avec l'effet de l'alcool. Il bougea ses doigts à l'intérieur à la façon qu'il avait vu dans les films pornographique car ça l'excitait. 

Cela ne l'intéressait pas ce que l'adolescente pensa, il ne lui posa même pas la question. Le corps de Louise tremblait, elle ne se sentait pas très bien, ça allait trop vite, et les doigts de Béruse martelait son entrée. Il n'en avait rien à faire. 

Ce genre de film était comme un livre d'or aux yeux des types comme lui, se disant que leur méthode permettait de faire tomber les nana à leur pied. Pourtant il est précisé qu'il s'agit d'acteurs et d'actrices jouant la comédie.

Béruse lui dit qu'il était prêt, et qu'elle pouvait arrêter de bouger sa main, même si elle se montra incertaine quand à continuer. 

Il essaya sa main sur le drap, afin d'attraper un préservatif et le sortir de son emballage. Puis il le mit sur son baton, le déroulant à bon rythme, et il se plaça entre ses jambes. 

Et dirigea sa batte appuyant sur l'orifice, Louise protesta qu'elle avait une douleur lancinante et que ce lui fut insupportable. 

Béruse répliqua que c'était tout à fait normal au premier rapport, qu'elle trouve cela douloureux, mais que ça ne durait qu'un temps. Il fit une pause pendant qu'il lui parla.

Ensuite ce serait elle qui demanderait de le refaire plusieurs fois sans s'arrêter, car elle ne pourrait plus s'en passer. Il trouva cet argument afin qu'elle lui cède. 

Louise se mit à hurler de toutes ses forces, lui arrachant par la même occasion des larmes, et suppliant qu'il arrête de bouger sur le champ! Elle n'en pouvait plus son corps se raidit, quelque soit ce qu'il essaya, ce fut bien plus pire. 

Il aurait bien tenter de repasser par des préliminaire, mais elle resta clair sur les faits qu'il ne devait plus la toucher. Mais Béruse après réflexion s'arrêta net, craignant d'alarmer les personnes à l'extérieur. 

"_ Entre rentrer alors que ça bloque en poussant, et avancer en mettant des a coup et autres du même genre. Il était large se montrant empressé, et son intérieur fut irrité à cause des doigts de l'adolescent, se mit à penser Louise."

Pour la faire culpabiliser Béruse lui dit que d'habitude, il n'avais aucun problème avec les autres filles, et qu'elle lui fait une scène pour un oui et pour un non. 

Que ce n'est pas bien compliqué de se détendre, quand on est dans cet état, qu'elle doit y mettre du sien, parce qu'il veut leur permettre de devenir très proche, tous les deux pour approffondir leur relation. 

Louise pleura encore plus en disant qu'elle préfère rentrer chez elle, qu'elle ne peut pas y arriver. Puis elle s'excuse, Béruse finit par se calmer, et il lui dit que comme convenue elle a essayé, et qu'il ne peut pas lui en vouloir de ne pas y arriver. 

L'adolescent l'embrassa pour faire cesser ses pleurs. Puis il lui proposa de la raccompagner jusqu'à la voiture, en l'aidant à remettre sa cape. 

Elle avait une mine affreuse avec son rimmel qui avait coulé sur ses joues, et son rouge à lèvre à moitié effacé. 

Béruse essuye sa bouche à l'intérieur du col de sa chemise, discrètement avant de la ramener dehors ainsi que de se faire présentable. 

Puis il cache quelque chose dans sa poche de pantalon. Ils sortirent par la porte arrière du bâtiment, où personne ne pouvait les voir, et il savait où la voiture de son chauffeur était garée.

Béruse lui ouvre la portière arrière, et il tendit l'un de ses mouchoir, qu'il avait dans sa veste pour essuyer ses larmes, sans en mettre partout des tâches noires, les tamponnant. 

Et il claqua la porte montrant que cela lui fait de la peine qu'elle s'en allait déjà.


Igor ne fait pas la discussion lors du trajet, il la laissa s'endormir la voyant qu'elle était exténuée. 

Ce qu'elle ne savait pas c'est que ce soir là, Herbert avait attendu son retour à l'extérieur, en s'occupant comme il le pouvait, déblayer le chemin, coupé du bois, tailler les haies et à faire les cents pas tellement il était inquiet. 

Alors que la voiture revenait, il se précipita à sa rencontre pour ouvrir la porte, et l'aider à sortir il faisait nuit. 

Herbert ne pensait pas la découvrir les traits tirés, et que sa robe était froissée, puis que Louise était plongée dans un sommeil profond. 

Le chauffeur lui demanda s'il voulait qu'il la réveille, Herbert lui dit que ce n'était pas nécessaire. 

Il porterait Louise jusqu'à sa chambre, après lui avoir retiré ses chaussures, qu'il maintenait au niveau des sangles.

Demain sera une bien triste journée, quand elle découvrira qui est vraiment Béruse.

Il y avait l'après fête où toutes générations confondues furent présente, que les vieux faisaient leurs parties de pétanque. Les amoureux se promenaient dans une barque. Les jeunes s'amusaient à se dépenser en courant dans tout les sens, et les hommes parlaient de business. 


Ce matin là, Louise s'aperçut qu'elle était enveloppée dans sa couette toute habillée, et que quelqu'un pensa à lui passer un gant humide sur son visage, pour retirer son maquillage. 

Alors elle voulut s'asseoir, elle fit la grimace, car ça la tirait puis elle serra les dents pour se lever, et aller prendre une douche. 

En retirant sa robe, elle vut qu'il y avait un peu de sang à l'intérieur, et qu'en faisant sa toilette elle était blessée. 

Louise sentit une coupure, qui lui piquait quand elle utilisa le savon, elle comprit mieux pourquoi elle avait souffert à ce point. 

Ça ne semblait pas normal, encore heureux que Béruse n'avait pas plus insisté, car ça aurait pu empirer. 

Elle mit sur sa culotte un protège slip, puis il lui fallait choisir une autre tenue. Un vêtement moins clair, et pas de maquillage juste un baume à lèvre coloré. 

Louise passa la partie où il y eut du sang sous l'eau froide, et attendit qu'il se détache de la matière de sa robe. Une fois fait, elle ajouta du savon liquide dans la bassine, et se mit à frotter le tissus sans tirer sur la fibre. Elle versa l'eau dans la baignoire puis remplit d'eau clair pour la rincer. Elle ne pouvait pas laisser découvrir à sa mère ce qui s'était passé à la fête, elle le ferait sûrement un jour mais pas maintenant.


Chacune des familles allèrent dans des voitures séparées, ils se garèrent sur le parking et sortirent rejoindre les festivités. 

Le coeur de Louise fit un bond dans sa poitrine, quand elle aperçut Beruse avec ses amis. 

L'adolescente avait remarqué qu'elle était rentrée sans culotte, ne l'ayant pas aperçu avec sa robe, quand elle l'avait retirée. 

Il faudrait qu'elle retourne dans la chambre de la veille, pour la retrouver avant que quelqu'un ne tombe dessus, la honte au ventre. 

Louise se rapprocha du petit groupe, afin de dire bonjour à son petit ami. Elle voulut lui faire la surprise en faisant le moins de bruit, et vu que les autres étaient focalisés sur l'auditoire de celui-ci. 

Le regard de Louise se figea sur ce que Béruse tenait dans sa main, et elle la reconnue de suite. 

Mais que faisait-il à exhiber sa culotte ainsi devant tout ses potes? 

Elle avait cru qu'il ne l'avait pas vu arrivé, mais en fait, il l'avait tout simplement ignoré, comme si elle ne comptait déjà plus. 

Puis Béruse venta son exploit sexuel avec une soit disant bombasse plus expérimenté que lui, et qu'elle lui avait fait la totale, sous ses airs de sainte nitouche. 

Ces potes ne l'auraient pas cru, s'il avait dit que la femme était sexy, surtout avec des motifs aussi enfantin.

Avec de la dentelle voir un string il aurait été plus crédible. Mais là, Béruse annonça qu'elle lui en avait fait cadeau, en souvenir d'une nuit qui lui fut mémorable, pas étonnant vu qu'il a mis le paquet avec elle. 

La-dessus l'adolescent n'avait pas menti, il avait mis le paquet, et il aurait bien pu lui déchirer jusqu'à son autre trou, si elle ne l'avait pas arrêté. 

Car pour qu'il parle ainsi de leur nuit, elle ne devait être que cela à ses yeux, qu "UN TROU" à remplir avec son "TUYAU"! 

Louise préféra s'éloigner au plus vite, bouleversée, elle en avait assez entendu parler, ayant un goût nauséeux dans la bouche. 

Ce n'est pas qu'elle fut une victime privilégiée de sa machination, non, Béruse était conscient qu'en vivant chez la famille d'Herbert, des grand investisseurs de leur ville, il n'avait pas intérêts à salir le nom de Louise dans la boue, et mentionner qu'il détenait son sous-vêtement. 

Louise pleura toutes les larmes de son corps, en se réfugiant près de l'étang, dans la barque restée accrochée au ponton, pour se cacher du public. 

Herbert s'était caché derrière un arbre, ne rata pas une miette de la scène, se doutant que les choses s'était mal passé avec l'adolescent. Plutôt que de prêter attention aux hommes, proposant de financer leur étalage. 

Puis il sortit de l'ombre pour faire face à Béruse, tout en le trainant par le bras jusqu'au parking, à l'abri des regards indiscret. 

Ses potes s'etaient lassés d'autant de fanfaronnage pour une "Bitch", et il s'était montré trop insistant avec son histoire, qu'ils ont préféré se trouver une autre occupation. 

Herbert voyait rouge en apercevant l'objet que Beruse tenait dans ses mains, et il n'avait qu'une envie lui mettre une raclée, pour avoir touché à sa Louise, sans prendre soin de son bien-être. 

L'homme lui parla avec subtilité, pour lui faire sortir les vers du nez, qu'il avoue ce qu'il a fait à l'adolescente, pour la mettre dans un tel état. 

_ Ah bah tiens, tu as vu hier comment elle était bien roulée dans sa robe, franchement s'il lui avait resté plus de temps. Je me la serais bien envoyé dans ma chambre. (À l'empêcher de finir dans les bras d'un connard, l'enfermant à double tour), il prit un air décontracté en sa présence.

 Il avait voulu imiter un langage de jeunes, à la façon qu'un pote discuterait avec un autre de nana. Même s'il n'y était pas, ça lui était égale de lui paraître hors du temps.

_ Ah ouais, je comprends mieux pourquoi, Louise n'a pas pu, malgré qu'elle ait bu un demi verre de punch, et qu'elle en fut étourdie. C'est parce qu'en fait tu l'as pécho. Il fit son intéressant. Elle n'en pouvait déjà plus de s'en prendre une deuxième. Et dire qu'elle a simulée avoir mal, quand j'ai voulu rentrer. En fait, je ne pouvais plus réussir à la satisfaire, ayant prit la queue d'un homme, tout en se croyant malin. Franchement, elle cache vraiment bien son jeu! Puis ne t'en fait pas, maintenant que je sais qu'elle est à toi, je ne me permettrais pas de reposer mes main sur elle. Ces derniers mots eurent pour but de ne pas le fâcher. Et d'un geste banal il lui rend sa culotte, démontrant qu'il n'en dira rien.

Sa voix monta très haut tellement il était furieux, des flammes dansaient dans ses yeux.

_ Qu'as-tu dis sale vaurien?! Je vais te transformer en pâté tout juste bonne, à donner aux cochons de ton espèce. Prépare-toi à disparaître de cette carte, s'en est fini de ta famille, avec un bras il lui fit mordre la poussière en le plaquant au sol. 

Et devant lui, il passa un coup de fil annonçant le déménagement de leur entreprise. 

La famille de Beruse seront obligés, à partir le lendemain dans un jet privé, qui s'assurerait de leur départ, et qu'ils y soient installés définitivement.

L'adolescent avait la bouche grande ouverte, puis il recrachait la poussière de la terre, qui s'était coincé aux comissures de ses lèvres. 

Herbert avait trouvé un moyen infaillible, pour l'éloigner définitivement de Louise, et ne pas la nuire un jour alors qu'elle serait émechée.


Avec du recule Louise aurait du se rendre compte, que l'attitude de Beruse avec elle était anormal. 

Et jusqu'à présent, il arrivait à la jeune femme d'y repenser à cette soirée, qui depuis refusait un bon nombre de propositions, même si les hommes lui firent une multitude de promesses. 

C'est ce à quoi elle repensa pendant qu'elle dormit. En se réveillant, elle ne peut s'empêcher de pleurer, se recroquevillant sur elle-même.

L'une des choses qui explique pourquoi elle peut être agressive et distante avec les hommes, est que son premier rencard a été un fiasco.

Herbert évidemment en ayant remarqué son changement d'humeur, n'a pu s'empecher d'enquêter sur place! Ses méthodes sont radicale, et il a pris pour l'occasion un rôle de grand frère!


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"Cependant, il est nécessaire d'attendre d'avoir une certaine maturité, avant de commencer à avoir des rapports sexuels. Pour être en capacité d'arriver à dire non à son ou sa partenaire. En aucun cas, la personne ne doit autant insister, quand l'autre est en stress.

Si celle ou celui-ci n'arrive pas à mettre l'autre en confiance pendant l'acte, le partenaire actif se doit de proposer un moment que le passif soit plus réceptif. "

"Et en parlant de ça, ce n'est pas en faisant boire de l'alcool, ou prendre une drogue voir des substances illicites, qu'on entre dans ces critères de réceptivité. 

Et quand l'autre devient aussi insistant, il est préférable de refuser à construire une relation avec cette personne, qui sera là au bout du compte juste, pour vous faire souffrir. 

Ces gens-là ne veulent pas votre bonheur, même s'ils venaient à vous le répéter, à longueur de temps qu'ils vous aiment."




D'autres retour en arrière sont prévue, à bientôt 

Le prochain parle du lendemain du chapitre 2 

"Les chiffonneries"

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