Partie I chapitre 2 Retour au manoir.

Mon descriptif des personnages n'est pas terrible, je dois encore réfléchir aux détails. J'espère que cela ne vous empêchera pas de comprendre la suite. :)

Il n'y a rien à signaler dans ce chapitre, bonne lecture à vous. ;)


Louise a les yeux noisette, des cheveux ondulés couleur miel, un visage en coeur, des pommettes hautes, un petit nez et une petite bouche charnue. La demoiselle a eu il y a peu ses vingt ans.

Les yeux d'Herbert sont deux puits sombres. Des cheveux chatain foncés souple, un nez droit avec un visage ovale, un teint doré, des lèvres fine marquant des petites fausette. Ayant huit ans de plus qu'elle, l'homme a vingt-huit ans sur cette partie.

Igor a les cheveux court gris souris légèrement bouclé, un grand front, des pattes d'oie une sorte de petit pli au niveau du coin extérieur des yeux, un regard bienveillant, et des joues rougit par le froid. Il doit avoir soixante ans.

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Pendant le trajet ils avaient décidé de ne pas dire un mot, car Igor les entendrerait, et il pourrait mal interpréter leur propos.

Chacun étaient dans son coin, même si que l'atmosphère était moins tendue. À la station la plus proche, le chauffeur avait trouvé un mécanicien, qui s'était proposé d'effectuer les réparations nécessaire sur place de la voiture étant donné le model. Il avait fait le chemin avec Igor, lorsqu'il le ramena en scooter des neiges jusqu'au véhicule en panne et sa boite à outil.

Le chauffeur laissa traîner un fond de musique jazz, qui avait le don d'adoucir les moeurs les plus tendue, disait-il pendant leur chemin du retour. Puis il se mit à fredonner quelques paroles.

C'était un bon vivant car il voyait le côté positif des choses, enfin à part ce qui était vraiment triste, où il préféra rester silencieux, par respect du recueillement de la famille. Puis il attendait que ça aille mieux, avant de recommencer sa farandole habituelle.

Louise l'aimait bien, il était plus âgé que ses parents, et ce dont elle n'arrivait pas à parler avec eux, elle discutait parfois avec lui de certains sujets. Le vieil homme avait toujours ce mot pour la faire rire. Ce rire chaleureux qu'on ne pouvait se lasser.

Ils passèrent les grilles de l'entrée principale de la propriété en voiture. La porte utilisait un système automatique, s'ouvrant en présentant un badge devant une borne.

Ils étaient enfin arrivé devant le manoir dont les murs furent fait de marbre blanc, et le parterre de la route étaient jonchées de pierres. Dans ces cloisons qui restaient tout le temps froid quelques soit les saisons.

La grand mère de Herbert, la comtesse Aston descendit dans le jardin, comme à l'accoutumée. Le protocole voulait de par son statut, que Louise ne dépasse pas Herbert de quelque façon qu'il soit.

La demoiselle avait le droit de se retrouver au même niveau que lui mais pas plus. Étant donné qu'elle appréciait peu sa présence depuis son adolescence, elle prit l'habitude de garder une distance de sécurité entre eux.

À moins qu'un jour, il ne lui soit nécessaire d'être plus ou moins côte à côte, mais elle ne permettra à personne de l'obliger à en arriver là.


Ils arrivèrent devant la grande porte d'entrée massives, et bien souvent, Herbert lui proposa malgré tout, de passer le pas de la porte avant lui.

C'était l'exception au règlement, et ils partirent ensuite vaquer chacun à leurs occupations, une fois à l'intérieur. Leur travail se mettait à tourner en boucle, à l'infini définissant une routine qui s'était installée.

Louise partit à la lingère pour retrouver sa mère madame Juliane Fortin, afin de l'avertir de son retour de balade en voiture avec monsieur Limonail Junior.

_ Maman, je suis de retour. Désolée de t'avoir inquiété. Louise prit sa mère dans ses bras pour lui faire un câlin.

_ Bonjour mon poussin, j'espère que tu as réussi à dormir étant loin de nous. Sa mère lui offrir son plus beau sourire. La demoiselle ne trouva rien à lui répondre.

Celle-ci fut très occupée comme à l'accoutumée, mais Juliane ne s'en était inquiétée outre, la sachant avec Herbert. Car s'il y avait eu un réel problème, les Limonail aurait remuée ciel et terre, pour partir à la recherche de leur héritier, en employant tous les moyens possible.

Louise sortit de la pièce distraite par ses pensées, en lui disant qu'elle allait voir son père Léandre en cuisine. Il travaillait là-bas, et il était entrain de couper les légumes pour le repas.

De nature bienveillante, il lui proposa de monter plus tard, un repas copieux pour elle, sachant bien que sa fille n'avait pas du manger la veille au soir. Il demanda qu'elle dise à Herbert qu'il lui apportera son souper dans sa chambre.

_ Installe-toi ma puce, il y a du pain frais et ce qu'il faut pour le petit déjeuner, du beurre demi-sel, de la gelée de groseille, et du thé que j'ai fait infuser.

_ Papa, je n'aurai pas du sortir hier, pardon...

Louise voulut s'excuser de l'avoir inquiété, mais son papounet la rassura, qu'il se calait sur les humeurs de son épouse. Tant que Juliane allait bien, il ne s'alertait pas.

Louise eut des difficultés à comprendre la façon de penser de son père, et elle se dit que cela venait du fait qu'elle soit encore assez jeune, pour que ça lui échappe ainsi.

Léandre la congédia tout comme sa mère, lui disant qu'il avait besoin de se concentrer à sa tâche. Après l'avoir pris dans ses bras, et d'y déposer un bisou sur son front.

Louise sortit des cuisines pour retourner dans le hall où l'attendait Herbert. Elle allait lui dire qu'elle se metterait au travail, mais il lui donna l'autorisation de monter dans sa chambre pour se reposer dans son lit.

_ Je ferai bien de m'ateler à ma tâche.

_ Avec l'autorisation de la comtesse, nous sommes de repos aujourd'hui.

La demoiselle ajouta que son père s'occupera personnellement, d'apporter le repas d'Herbert dans sa chambre.

L'homme lui dit qu'il n'en attendait pas moins de lui, car après plusieurs année à travailler pour eux, Monsieur Fortin procédait déjà de cette façon.

Herbert expliqua à ses grand parents, le comte Richard et la comtesse Aston qu'ils leur faudraient se reposer ayant à peine dormi la veille, ce qui n'était pas faux.

Il ne mentionna pas qu'ils dormirent dans la voiture, et qu'il y faisait froid malgré qu'ils restèrent collés l'un contre l'autre.

Ou ils leur auraient fallu pratiquer une activités plus collés serrée qui les auraient mis en mouvement. Donc ils leur étaient nécessaire d'avoir un sommeil réparateur, afin d'être au mieux de leur forme demain.

Ses grands-parents approuvèrent la décision d'un signe de tête, avant de lui permettre de quitter leurs appartements. Herbert dit à Louise qu'elle pouvait y aller, car lui aussi ira dans sa chambre pour dormir.

Il ne souligna pas le fait qu'il se sentait à l'étroit dans son pantalon, cela aurait été trop embarassant, n'étant plus dans cette intimité juste tous les deux. "Un caprice à deux."

Il auvait besoin de s'accorder une petite douceur en solitaire, à sa partie basse, tout en laissant son esprit fureter à des passages plus adultes.

La jeune femme le regarda sur le côté, et elle s'aperçut que ses joues avaient rosie. Puis elle lui rappela qu'il devait monter avant qu'elle ne puisse y aller. Cela était sorti de la tête d'Herbert, la voyant déjà partager le même statut que lui.

_ Après vous messire Limonail, Louise fit un geste pour indiquer l'escalier.

_ Milles excuses Louise, où avais-je la tête, dit-il confus.

Herbert posa sa main sur les omplates de Louise, les retenant fermement, en s'emparant de sa main gauche avec son autre main, afin de permettre à la demoiselle de conserver son équilibre, et la faire avancer à son rythme.

L'homme n'était pas du genre à prendre son temps, vu que les marches allaient tout droit. Une fois en haut, ils prendront chacuns leur direction.

Le temps était venu, ils ne s'adressèrent qu'un regard, et ils partirent rejoindre leur lieu de tranquillité qui n'appartenait qu'à eux. Il prit le couloir ouest, tandis qu'elle se dirigea vers l'aile est où se trouvait sa famille, ainsi que les plus anciens employés.

********

Louise était enfin seule, et il est vrai qu'elle ne se sentait pas prête à entamer une journée de travail.

Après avoir défait son manteau, délassée ses chaussures près de la porte sur le porte manteau, elle s'en alla vers son lit prise de vertige.

Son corps tomba sur le lit présentant son dos, puis elle songa à ce qui s'était passé. Les endroits qu'il avait touché, sa tempe, sa joue, son cou, son bras, sa taille, le creux de son dos, elle les toucha avec ses doigts, effleurant et ressentant des picotement.

Louise eut l'impression que ces gestes se gravèrent en elle, les parcelles y étaient plus sensible, et ils lui firent faire des bonds sur place, arquant son dos.

Elle retraca le parcour effectuer en fermant les yeux, tout en se redécrivant la scène. Les sensations réprimées qu'elle pouvait enfin exprimer tout haut sans gêne.

Les deux fois où il était sur le point de l'embrasser, lui faisant caresser sa joue puis toucher sa bouche, d'avoir été si près de lui, qu'elle en venait à regretter de l'avoir repousser. Oui, elle aurait voulu sentir ses lèvres se presser sur les siennes.

Si la demoiselle avait été plus honnête avec elle-même, Louise lui aurait dit tout haut sa pensée, et il n'aurait pu hésiter, le mettant au fait accomplit. Elle sait qu'au fond de lui, il l'avait ressentit qu'elle le voulait, ça ne pouvait pas être autrement.

La tension était palpable quand le corps d'Herbert fut au dessus du sien. Tout en étant allongés et que leurs ventres se pressaient avec force l'envahissant de chaleur, son être qui réclamait de la libérer d'un désir trop longtemps réprimé, ou qui n'avait pu s'exprimer librement, tel que la demoiselle l'aurait voulu.

Sa main se promèna sur son ventre, sa poitrine, sur son cou où son poul s'agitait, en cherchant les coins et recoins qui avaient été en contact, avec la température corporelle de cet homme.

Louise se demanda ce qui se serait passé, en ayant eut plus d'audace tout à l'heure en haut des escaliers. La demoiselle se serait précipitée vers lui, pour se soulager en se serrant contre lui, en s'emparant pleinement de sa bouche, et d'y glisser une main dans ses cheveux souple, soyeux.

S'arrêter pour lire dans ses yeux, ce qu'elle pourrait lire dans les siens de la passion, et lui laisser la porter dans ses bras en direction de sa couche.

Sa main était partie vers le début de sa toison pubienne, elle se relèva interdite "non!", cachant avec son autre main cette émotion furtive sur sa bouche.

Comment pourrait-elle laisser un homme l'approcher?

Alors qu'en se trouvant dans cet état, Louise n'acceptait pas de franchir cette limite. Ce geste lui parut proscrit, depuis sa première et dernière fois.

Il n'y avait que pendant les soins quotidien qu'elle y parvenait, car elle ne pensait qu'à se laver, et le vide prenait place ne pouvant l'entraver.

Louise sait à quel point celà se révèle frustrant pour un amant, de ne pas pouvoir y aller jusqu'au bout, parce que sa partenaire devient frigide pour x raison.

Elle se devait d'y réfléchir plus sérieusement, avant de foncer tête baissée la-dedans.

Qu'est-ce que qui lui permettrait de se laisser-aller?

La jeune femme laissa la fatigue la prendre, elle ferait mieux de se concentrer, sur des choses plus importante comme leur amitié naissante.

********

Pendant ce temps, Herbert était partie dans la salle de bain privée raccordée à sa chambre. Il s'était déjà débarrassé de son manteau plus tôt dans la journée, quand il avait été dans le hall, pour l'aider à conserver un visage serein, lors de l'audience devant ses grands parents le comte Richard et la comtesse Aston.

L'homme se déshabilla entièrement, avant d'aller sous le jet d'une douche tiède, puis il frappa la cloison. Son membre fut plus dur et douloureux, cela seulement parce qu'il avait posé sa main sur le dos de Louise, le temps de survoler les escaliers. Même en lui ayant dit qu'ils devaient tout se dire, Herbert devra lui cacher cet état et prendre sur lui.

Maintenant que Louise était plus réceptive à ses conseils, ceci à condition qu'il ne dépasse pas les limites de l'amitié.

L'homme serait dans la panade, si elle le classe dans la friend-zone. Le genre de relation qu'il faut absolument conserver intacte, car elle n'était que trop rare, et précieuse entre un homme et une femme. Il souhaitait développer plus, et qu'un jour elle devienne sa promise.

Herbert frictionna ses cheveux avec énergie avec un gel douche aux senteurs marines de qualité, qui l'aidait à raffraichir son corps habituellement.

Il se regarda plus bas, mais son ardeur n'avait pas bougée d'un chouïa, même en pensant à des choses qui ont tendance à le dégriser, tel un homme tout huileux faisant du culturisme, à faire bander ses bras.

Herbert dut reconnaitre, qu'il devrait utiliser la méthode habituelle. Il s'était lavé, savonné et rincé tout le corps. Et avant de sortir de la douche il s'essuya, puis il attacha une serviette autour de ses hanches, pour aller vérifier que le verrou de la porte de sa chambre était bien fermé.

La porte était encore ouverte, l'homme sentit comme un courant d'air lui glacer la peau. Avec toutes les servantes qui passaient dans le couloir, le voyeurisme c'était très peu pour lui.

Surtout que certaines l'interpreteraient comme une invitation à la luxure. L'homme s'enferma à double tour, et il prit place sur son lit, où il défit le drap pour s'allonger dessus.

Herbert ferma les yeux en cherchant à ne plus penser à rien, surtout pas à Louise. À se répéter que cela ne lui sert qu'à satisfaire un besoin physiologique, rien de plus et que les choses se dérouleraient comme d'habitude, en l'impliquant dans son rôle de dirigeant.

Puis que la demoiselle passera le lendemain, pour s'occuper de l'agencement des chambres du couloir ouest de sa famille.

Il fit une fixation sur elle, ne pouvant se l'enlever de la tête, étant déjà dans un état second, cela lui fit perdre toute rationalité.

Sa main avait déjà défait la serviette qui couvrait son anatomie, l'autre main commençait à effectuer des caresses sur son sexe, son dart se mit à perler un nectar épais, qui facilita le mouvement de sa masturbation.

Herbert voulait éviter de penser à elle, mais ce fut impossible! Les images de ce qui arriva dans la voiture lui revinrent en tête, les expressions sur son visage tantôt hésitante et rougissante.

La façon dont ses lèvres furent entre-ouverte lorsqu'elle se retrouva juste en dessous de lui, les refermant d'un air gêné. Leurs respirations s'accélèrent, et elle parut manquer d'air, réclamant qu'il s'empare de ses lèvres.

Son mouvement de va-et-vient avec sa main se fit plus pressant, haletant, "Louise je viens!" Il avait appliqué sa serviette sur lui, avec les derniers relent de sa paume, puis il se relâcha dans le tissus, prit de spasmes. Le jet eut le temps d'éclabousser son torse. Puis il essuya les gouttes tombées sur lui, lorsqu'il avait agrippé son membre.

Herbert se recouvrit le corps tel quel avec le linge de lit, en prenant soin de déposer sa serviette sur sa table de chevet.

Il ne pouvait supporter de s'habiller d'un pyjama après s'être laissé aller, comme il venait de le faire.

Sa température était trop haute, et seul le contact du drap de soie sur lui, permit de tomber aussitôt dans les bras de morphée.

Il laissa défiler des images d'elle dans des position équivoque, lui faisant l'amour. Ce qui lui semblait peu probable qui arrive dans l'immédiat.

Dans une autre vision, il prit ses lèvres sans ménagement, il la désirait tant, et elle lui répondit avidement, se confondant dans la sensation donnée, et par la tournure des choses.

Il n'y a qu'après ça qu'il les fit s'arrêter, car il savait qu'elle n'avait pas vraiment eut d'expérience.

Il pouvait le palper de ses doigts, dans ses tentatives où Louise le repoussa juste pour un bisou, ne comprenant pas qu'il n'aurait pas franchit la limite, la sachant pas encore prête.

Herbert aurait voulu qu'elle accepte ses sentiments, et quand elle jeta les armes sans la moindre défense, il eut besoin de beaucoup de volonté pour se retenir.

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Le lendemain serait un autre jour, où Herbert devra reprendre son sérieux devant le personnel.

Et Louise fut toujours particulière dans son coeur, enfin elle est passée de petite soeur à femme désirable depuis sa majorité, car les protocoles au sein de sa famille continuerait d'être, "tu ne toucheras point une femme n'étant pas encore adulte, où ses grands parents s'occuperont eux-même de l'envoyer derrière les barreaux!"

La maison mettait un point d'honneur, à cette règle fondamentale d'un bon fonctionnement.

Il n'y a que depuis que Louise est adulte, qu'il s'autorise à la voir tel une femme à part entière. Puis il avait continué à la taquiner juste pour qu'ils restent en contact.

Les surnoms qu'il lui donna auparavant était divers tels, mignon, adorable, trop chou, belle bouille, poussin, petit canari. Les deux derniers comme vous pouvez vous en douter, provient de la couleur de ses cheveux.


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Oui j'ai mentionné la fidèle main droite. Sachez que c'est un acte utile, qui est censé vous faire du bien, libérant par la même occasion des tensions ou envie de sexe, quand ça va dans la tête et dans le corps.

Enfin, je ne sais pas si toutes les personnes n'ayant pas d'attirance sexuelle le ressente aussi, avec cette pratique.


Le prochain chapitre parle de la raison pour lequel Louise bloque avec les hommes.

Et comme ils ne se sont pas embrasser, je me demande si Louise aurait été capable de lui mettre un autre vent, et cela lui aurait fait se sentir mal à la jeune femme.

La demoiselle continue à se dire, pour l'instant qu'il fait partit du lot des impatients.


Prochain chapitre "À ses seize ans"


Merci aux personnes qui me lisent et à bientôt. :)

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