Chapitre 4

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Ashley, Paris, 1 heure du matin.

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Comme c'était ennuyeux ! Un examen a passé en fin d'année... Totalement ringard ! Tout le monde révisait à fond et personne ne se voyait plus ! Certains avaient peur d'échouer mais Ashley ? Pff même pas peur !

Les maths sont tellement prévisibles ! Pas moyen de trouver un truc compliqué !

Le français, à part les figures de style, rien de bien compliqué.

Les langues : l'espagnol et l'anglais, même pas besoin de réviser ! Les mots jaillissaient, tout seul dans son esprit, Pas besoin de les connaître !

Vient ensuite.... L'histoire de l'art. On avait tenté de lui expliquer, mais rien à faire. C'était comme parler à une tête de mule...

Au moins là-bas pense-t-elle, il se passait des trucs palpitants, tiens prenons la révolution par exemple: des hommes, des femmes, et même des enfants étaient prêts à sacrifier leur vie pour leur nation, comment témoigne l'œuvre de Delacroix, la liberté guidant le peuple. Mais ici il ne se passe rien absolument rien.

J'étais en train de m'endormir sur mes cours d'histoire de l'art, lorsque soudain, en éclaire ses bras, le ciel qui était jusque-là tout bleu.... La pluie s'abattît avec véhémence. Surprise, je me levais. Quelle drôle de revirement de situation ! J'aperçu une voiture qui avançait allure dans l'allée menant jusqu'à chez moi. Elle y dépose une fille, puis reparti. Choqué, je descendais les escaliers quatre à quatre, j'avais vu cette même jeune fille grelottant de froid sous la pluie battante, et n'avais pas hésité une seule seconde. Il fallait l'aider ! Et je m'en assurerai personnellement. Lorsque j'ouvre la porte, je restais sur le perron pendant quelques secondes, béate.

La jeune fille avait complètement disparu...

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