L'orage

J'ai enfin terminé la préparation du curie, je n'ai plu qu'à le laisser cuire tranquillement. Je m'affale sur le canapé histoire de me reposer deux minutes de cette journée qui m'a complètement épuisé.. pour résumer, j'ai était en retard, un débile de Marimo c'est amuser a me trimbaler sur son dos dans tout le lycée, j'ai oublier mes clefs, et je me retrouve à faire la cuisine pour se mec.

Je soupire longuement  avent de tourné ma tête et de remarquer une sorte de petit balcon. Je me lève du canapé et j'ouvre tant bien que mal la baie vitrée pour me diriger vers l'extérieur prendre un peu l'air et, pourquoi pas, me fumer une petite clope. Je sors une cigarette et me l'allume avent de tiré une longue taff. J'expire la fumer  de mes poumons lentement, sa fait du bien. Je sais que se n'est pas bon pour la santé mais qu'est-ce que sa calme. Subitement , un grand coup de vent glaciale me traverse me faisant frissonner de froid, l'air est fraie se soir.

-CLACK-

Ah.. je me retourne doucement en appréhendant que se bruit brutal soit se que je pense. La porte c'est refermée, Hmm, il n'y avait pas de serrure je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas l'ouvrir de l'extérieur de toute façon. Je m'écarte de la rambarde et je dirige vers la baie vitrée toujours fermer. J'attrape frénétiquement la poignée et tente de l'ouvrir.

-AHHH mais c'est pas vrai c'est quoi cette journée de merde!

Je me laisse simplement glisser le long de la vitre. J'abandonne cette journée est maudite. Toujours accroupis, j'aperçois de l'autre coter une ombre se déplacer dans la pièce. Quand l'ombre se fit plus net, j'eu un mouvement de recule qui me fit tomber sur les fesses. Je m'attendant pas à voir Zoro sortir à moitié à poile de la salle de bain c'est carrément perturbant là. Je me relève rapidement et lui fait signe pour qu'il puisse m'apercevoir,oui, j'ai l'air con.

-Allo coucou par ici s'il te plaît regarde moi tête de cactus!

Il fait demi tour ? Mais imbécile revient ! Je sens une goute d'eau me tomber sur le bout du nez, me dite pas que.. il commence à pleuvoir? Je lève la tête et aperçois des nuages bien trop sombre et imposant pour que se soit une simple pluie qui arrive. Merde j'ai peur de l'orage je ne peux pas rester ici il faut que je trouve un moyen de rentrer dans la maison. Je pose mes mains sur la vitre essayant de voir si Zoro était revenu mais rien. Je « toc », enfin, je « frappe » brutalement sur la glace en verre. Pitiés reviens ..
la pluie s'abat sur moi, elle est gelé et le vent ne fait que renforcer cette impression. Puis, l'orage se fit entendre. Des grondements puissant accompagnés de flash lumineux aveuglant, je n'ai rien trouver de mieux que de m'assoir  par terre et cacher mes yeux entre mains, je suis effrayer, depuis mon enfance je suis traumatisé des éclaires, serte ils sont magnifiques, mais ils sont tellement effrayants. Je sens mes larmes montées, je suis vraiment qu'un gamin, incapable de me calmer je commence à sangloter et supplier qu'on viennent m'aider. Soudain j'entend  un bruit de glissement, c'est la baie vitrée je reconnais se bruit! Je me retourne brusquement, les yeux en larme et complètement trempé de la tête au pied. Zoro me regard choqué , il ne doit pas comprendre se qu'il m'arrive. Je m'attend à qu'il se moque de moi ouvertement, mais à la place il se précipite sur moi et me sert contre lui. Je suis tellement terrorisé que se contact me rassure et me calme, j'en profite pour le serrer plus fort contre moi, je n'ai qu'une envie, c'est de me cacher sous un drap.

-Putain désoler Cook, c'est bon je suis là calme toi on retourne à l'intérieur.

Il me dit ça avec une voix tellement rassurante, il caresse doucement mes cheveux comme pour me consoler avent de m'accompagner à l'intérieur. Je me rassois sur se canapé que je n'aurai jamais du quitter et essaye de calmer mes sanglots. Il doit me prendre pour un gosse à pleurer comme je le fais pour de pauvre rayons lumineux dans le ciel. Il sort de la pièce un instant, je me sens soudain seul et le stresse remonte d'un coup en moi, je me lève rapidement pour aller le rejoindre, je ne supporte pas être seul dans ces moment là. Avent que je n'ai eu le temps de quitter la pièce, il était revenu avec un plède entre ses mains. Il a l'air doux et chaud.

-Pourquoi tu t'es lever? Retourne t'asseoir. je suis juste aller te chercher ça, tiens.

Il me tend le plède avec douceur, c'est fou il ne c'est pas moqué une seule fois de moi, il est même très attentionné et protecteur.. c'est étrange. Après m'être enroulé dans cette couverture qui est définitivement la plus douce que je n'ai jamais touché, je me rappel que j'avais laisser le curie cuire , j'espère qu'il n'a pas brûler je vais aller voir.
Je me lève mais deux mains fortes me rassoient sur le divan. 

-Ne bouge pas je t'ai dit.. Le repas n'a pas brûler je suis aller le sortir toute à l'heure quand tu n'étais pas là.

Ah c'est pour ça qu'il avait disparu soudainement..

-M..Merci..

Il se retourne vers moi et me lâche un sourire magnifique avent de se diriger vers la cuisine. Waw je ne l'avais jamais vue sourire comme ça, il était tellement beau..

Il revient avec deux beaux plat rempli à ras bord de curie. Je peux savoir rien qu'à l'odeur que je ne me suis pas raté, ça sens extrêmement bon j'en est l'eau à la bouche. Zoro s'assoit à coter de moi et me tend une paire de baguettes. Il me sourie légèrement avent de lancer un :

-ITADAKIMASU!

Il se jette littéralement sur son plat et le dévore, on dirais qu'il n'a rien manger depuis un siècle, je lâche un petit ricanement avent de moi aussi, dévorer mon plat.

Le repas fini je me lève en vue de faire la vaisselle, Zoro m'attrape par le poignet, il aborde un air inquiet.

-Oi ça va ? Tu veux de l'aide ?
-Je ne suis pas un enfant tu sais, je peux me débrouiller tout seul.

Après avoir sortie ses mots je me rappel soudainement de toute à l'heure, « pas un enfant »hein.. peu être bien finalement. Je sens mon visage se décomposer, je me hâte de récupérer les assiettes et me dirige vers l'évier. 

J'été complètement absorbé dans mes pensées et dans la vaisselles, quand deux bras se mirent à entourer ma taille, je rougis instantanément fessant alors glisser une assiette de mes mains.

-Qu..Qu'est-ce que tu fais Marimo? Je vais bien tu n'as pas besoin de me consoler.

J'attendais une réponse de sa part, mais rien. Seul l'étreinte qui se resserrait sur moi me répondait. Sa tête était posée contre mon dos, il était silencieux, très calme, un peu trop.

-Tu sais Sanji, j'ai eu peur toute à l'heure.
-Quoi? Peur de quoi ? Toi aussi tu as peur de l'orage?

Ça m'étonnerais de sa part d'avoir peur de ça , il est pas vraiment du genre a avoir peur de quelque chose enfaite, c'est plutôt lui qui fais peur en générale.

-Non imbécile, j'ai eu peur qu'il te sois arrivé quelque chose. Quand je suis sortie de la douche tu n'étais plu là, j'ai cru que tu étais partie essayer de rentrer chez toi ou quelque chose comme ça.. après j'ai vue que le plat était dans le four et que sa commencer à sentir le cramer, ce n'est pas ton genre de gâcher de la nourriture tu ne serais pas partie en lançant un plat au four. J'ai donc cru que quelqu'un était entrer par la baie vitrée et t'avais enlever un truc de genre.. quand je t'ai enfin trouver tu étais en larme, trempé par la pluie, je m'en suis voulu à mort de pas avoir pensé plutôt à regardé ici.. je suis stupide.. désoler..

Je reste sans voix. Ce n'est pas du tout le type de mec à déballer se qu'il pense et se qu'il récent comme ça. D'habitude il ne décroche pas un mot ou alors si, des insultes. Il s'inquiétait pour moi? J'ai du mal à y croire enfaite il m'aime bien au fond. Je baisse la tête et joue avec les bouts d'assiette que je viens de faire tomber. Je ne sais pas quoi lui répondre je me sens complètement gêné. Je me retourne vers lui, abordant mon plus beau sourire moqueur pour le défier.

-Ah? Tu t'inquiètes pour moi toi maintenant ? C'est mignon dit moi tu t'es ramolli aujourd'hui? Où est le dur à cuire  Roronoa Zoro? Le fameux homme insensible et imperturbable  ?

-Tss, t'es vraiment con.

Je suis content d'avoir retourner la situation, j'aimais pas cette ambiance chelou qui c'était installer  entre nous. Je lui lance un torchon au visage et lui balance :

-Aller vient m'aider à essuyé tête d'algue.

Il retire le bout de tissus, dévoilant son sourire carnassier, celui qu'il utilise avent de se battre.

-Bah alors bébé a besoin d'aide pour essuyé les petites assiettes? Je croyais que tu étais un grand garçon maintenant !

Son rire diabolique résonne dans toute la pièce, il ne peut pas s'empêcher de rétorquer à mes piques. J'aime bien se petit jeux que nous avons ensemble. C'est comme habituel.

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