Prologue
- La Terre. Berceau de l'humanité, mais l'humanité le fléau de la Terre. Après avoir exploité toute les ressources et pollué airs et mers, L'humanité décida de s'exiler sur Mars. Les premiers hommes mirent les pieds sur Mars en 2050. Après quelque année de recherche et de travail acharné, les première colonie virent le jours. L'économie de cette planète ce concentrait sur l'exploitation minière. En 2105, les colons commencèrent à déclarer leur indépendance. Mais celle-ci fut refusé. Après la Convention de Montréal en 2106, Il fut décidé que Mars serai terraformé, pour de meilleur condition de vie pour les colons. Après le long procédé de terraformation de la planète, l'ONU décida de donner l'indépendance à Mars....
- ALTAÏR JE VOUS DERANGE!!!
Un jeune homme au fond de la classe se réveilla en sursautant. Le jeune martien avait les cheveux Brun et les yeux gris.
- Eh quoi, non c'est bon vous pouvez continuer, répondit-il au professeur.
Le professeur se mit derrière son bureau et remit le documentaire holographique en route. La fin des cours sonna et les élèves sortirent de classe. Altaïr venait de finir sa journée. Il sortit de l'Université et s'assit sur un banc. Altaïr était en terminal GPE. Son cursus scolaire lui permettrait après les examens de rentrer chez les GPE. C'est à dire chez les Gardiens de la Paix et de l'Environnement. Les examens commençait demain. Une personne s'assit à côté de lui. Altaïr le reconnue, c'était Regulus son meilleur ami. Regulus était un Elrim. Les Elrims sont une espèce apparue après la terraformation. Ils ont la même capacité cérébrale que les humains et sont humanoïde à part le fait qu'ils ont la peau bleu nuit et la tête ressemblant à à ceux des chats. L'elrim prit la parole.
- Alors cette journée ?
- Épuisante et toi ?
- Passionnante !
Altaïr le regarda étonné.
- Non ! C'était ironique.
Regulus faisait la même formation que lui. Ils parlèrent un peu des cours et Regulus lui proposa de réviser chez lui, mais Altaïr refusa. Il n'aimait pas faire ses devoir avec quelqu'un. Pour lui c'était plus un moyen de se disperser que de réviser. Ils rentrèrent chacun chez eux.
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Spica courait à en perdre haleine. Son sac sur le dos remplie de vivre et un gang qui lui collait au cul et qu'elle n'arrivait pas à les semer. Elle commençait à en avoir marre. Elle tourna dans une ruelle mais elle était tombé dans une impasse. Elle se retourna. Trois hommes lui bloquaient le passage. Un était assez grand, fin et chauve. Il était armé d'un pied de biche. Un deuxième était plutôt petit et trapue il avait un merlin dans les mains. Le troisième était grand et barraqué sa machette en main il était près a attaquer. Spica ne se dégonfla pas elle sortit sont couteau à cran. Le petit trapue s'avança vers elle il brandit son Merlin prêt à l'abattre. Elle esquiva le coup et planta son couteau dans la gorge de son agresseur elle se tourna vers le premier homme qui tenta lui fracasser la tête mais elle para l'attaque enfonça la lame dans la chair de son adversaire. Elle l'acheva en le dénuquant. Le dernier malfaiteurs fut plus vif qu'elle le pensait. Elle reçu un coup dans la mâchoire qui la fit vaciller. Elle reprit vite fait les esprits et elle lança sa lame qui se planta dans le crâne du grand barraqué. Ses agresseurs à terre, elle reprit ses occupations. Elle était en train de faire son stock de vivre. Elle prit la rue principale et pilla quelque magasin par-ci par-là.
Londres n'était plus la vile qu'elle avait été. Les bâtiments était en ruine, les rues était un bordel sans nom. Les ponts c'étaient effondrés. Spica était une des seules personnes à vivre encore sur terre. C'est ancêtres avait jugé qu'il ne leur était pas nécessaire de s'exiler sur une autre planète. Elle les hait, ses ancêtres et les gouvernements d'ailleurs. Lors du grand exile vers Mars les quatre cinquième de la population terrienne à foutue le camps. Les gouvernements sont eux aussi partie en laissant le reste de la population sur terre sans stabilité politique ni de ressources quelconque. L'anarchie à vite prit le pouvoir et la loi du plus fort à fait de nombreuses victimes. Spica en avait marre de cette vie. Elle voulait une vie normale et sans encombre.
Spica crocheta la serrure d'une maison et rentra. Elle changeait tout les jours de domicile pour éviter que les gang de la ville auquel elle aurait fait du tort ne la retrouve pas. Elle posa son sac sur la table du salon. La maison n'était pas très grande mais elle n'avait pas besoin de plus. Après avoir fait un petit tour d'inspection, elle se posa sur le canapé tout usé par le temps. Elle mangea des raviolis en concerve. Spica alla dans la salle de bain elle passa un coups d'eau sur son visage et se regarda dans le miroir. Elle été plutôt fine ce qui été plutôt normal par le fait qu'elle mangeait pas à sa faim faute de manque de vivre. Elle avait les cheveux roux et ondulés, il était long et lui arrivait en bas du dos. Ses yeux vert. D'après son père mort depuis quelque année elle les tenait de sa mère. Elle s'allongea sur le canapé. Il commençait à faire nuit. Elle décida de dormir une autre journée complexe l'attendait demain.
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