chapitre 4: Le Gastronome

Altaïr n'avait pas dormit de la nuit. Le stress de la journée à venir et la soirée spéciale qu'il venait de passer lui en empêchait. Une nuit blanche avant une grosse journée de travail. Il alla déjeuner. Il hésita à mettre la télé. Il savait ce qu'il trouverait à l'écran une fois allumé. Il décida de la laissé éteinte. Il en valait mieux ainsi pour sa santé mentale. Il prit son petit déjeuner en silence. Il fit le vide dans son esprit. Fixant un point, il s'obligea de ne rien penser. Il réussit à faire le vide pendant long moment. Sa montre vibra. Il recevait un appel d'un numéro inconnu. Il prit le risque et répondit.
- Allô ?
-Allô ! Oui c'est moi Ambre.
- Ambre? Ah euh oui!
- J'appelais pour savoir si tu allais bien.
- Oui ça vas! Mais c'est plutôt moi qui devrait te demander si ça va. Ça vas ?
Ambre mit un peu de temps avant de répondre.
- euh... Oui ça va.
- Euh... Non je crois que ça vas pas. Qu'est ce qui se passe ?
- Ouais. Il y a quelques complications. Les médecins l'on pris à temps et ont retiré la balle. Toute allait bien quand au coup des deux heures du mat' il a fait un arrêt cardiaque. On ne sait pas la cause. Mais en faisant des analyses ils se sont rendus compte qu'il aurait été contaminé par un produit toxique ou plutôt radioactif. On ne sait pas si il va s'en sortir. Les médecins lui ont donné des médicaments. Nous verrons si il feront effet.
- Attend tu dis "un produit radioactif" ?
- Ç'est ce qu'on dit les médecins. Pourquoi il y a un problème ?
- Oui il y a un gros problème. Le nucléaire est interdit sur Mars. De plus l'extraction de minerai radioactif est sévèrement puni par la loi.
- Quand tu le dis. C'est vraiment bizarre.
- Je vais essayer d'éclaircir tout ça. Bon je te laisse je dois aller au boulot. Je ne voudrais pas être en retard pour mon premier jour.
- À plus! Et... Merci.
Ambre raccrocha. Altaïr fit de même. Il n'avait jamais été aussi proche de la fille qu'il désirait depuis ce jour. Il était heureux et peu fier. Il profitait du malheur de celle-ci pour conquérir son cœur. Ça le rendait malade. Il se persuada qu'il le faisait juste parce qu'ils étaient juste amis. Mais ils ont jamais été amis. Ils n'ont jamais de relation telle quelle soit. Juste celle de camarade de classe au collège. Altaïr chassa ces pensées et alla se laver avant de commencer ça journée de travail. Après avoir mis son costume, il prit ça voiture et se dirigea vers le plus grand bâtiment de la ville. Le QG des GPE. Il se gara devant la tour et sorti de la voiture. Il entra dans le bâtiment. Il passa dans un détecteur de métaux. On lui demanda de présenter sa montre. Les agents de sécurité firent un contrôle d'identité et le laissèrent passer. Le hall était géant que se soit en surface qu'en hauteur. L'accueil se trouvait au centre du hall. Il y avait peu de monde en cette heure. Il se dirigea vers l'accueil et se présenta. La secrétaire était plutôt jolie. Brune cheveux attachés en chignon. Un sourire rayonnait au milieu de son visage. Altaïr contempla les yeux de la secrétaire. Il était bleu. Mais un bleu tirant vers le vert avec quelque touche de marrons. Elle dû lui demander plusieurs fois ce qu'il voulait avant qu'il n'arrête sa contemplation.
- Vous voulez ?
- Euh... Oui. Je suis nouveau. Je voulais savoir où se trouve mon bureau et tout ça.
- Rappelez moi votre nom ?
- Smith
- Altaïr ?
- Oui!
- Merci!
- Ça a une signification spéciale ?
- Oui. Ça vient d'une langue terrienne. L'arabe. Ça veut dire aigle.
- Et si je me rappelle de mes cours de physique. Altaïr est une étoile ?
- Aussi!
La secrétaire lui sourit. Il lui répondit lui aussi avec une risette.
- Alors! Vous êtes au bureau 8. Étage 4.
- Merci.
Altaïr prit le chemin des escaliers. Il s'arrêta et reviens vers l'accueil.
- Excusez-moi. Quelle est votre nom ? Demanda t-il
- Aphrodite !
- La déesse de l'amour !
- Oui!
Altaïr prit pour de bon le chemin de son bureau. Aphrodite. Il faudrait qu'il l'invite â dîner un jour pensa t-il en souriant.
Il demanda plusieurs fois son chemin. Au quatrième étage. Il arriva dans une grande salle rempli de bureaux. Au fond de la salle un attroupement de personnes attira son regard.
- Bonjour ! Tentât-il.
Le groupe entier se retourna. Un homme en chemise le fixa.
- Altaïr, je suppose ?
- c'est bien lui
- Léonidas. Je suis votre supérieur.
- Enchanté.
Léonidas était un grand homme chauve, marqué par l'âge. Une cicatrice se voyait sur le côté du visage. Il avait une carrure et une musculature qui imposait le respect. Malgré cela on pouvait voir de la bienveillance sur son visage. Le bleu serra la main de son supérieur. Altaïr fixa le regard de son chef. Il avait les yeux marrons et gorgé de sagesse. Rien qu'au premier regard le petit nouveau su que c'était une chance de commencer sa carrière avec ce vétéran comme commandant.
- Alors nous faisions un briefing sur l'enquête sur la quelle nous travaillons. Commença Léonidas. Comme vous le savez tous, hier soir, une discothèque à été prise pour cible par des terroristes. Des dizaines de morts et de blessés. Nos sommes là pour les venger et arrêter ces salops. Nous avons peu d'indice. Des balles, des armes, et des témoignages. Des terroristes ont été arrêté. Je tiens à préciser que parmi nous nous avons une personne qui a sauvé des vies et aidé à l'arrestation des trois criminel. Le regard du vétéran se dirigea vers Altaïr. Tout le monde tourna la tête vers lui. Il ne savait pas quoi dire ni quoi faire. Léonidas reprit son discours.
- Cette enquête sera compliqué et pénible. C'est pour cela que je voudrais dans cette enquête une équipe soudée. Un boulot irréprochable. Des preuves et indices en béton. Je veux ces connard qui tué ces gens soit sous les verrous le plus vite possible. Aller! Aller! Foggy, Nelson, Matt, Jeff et Hoffman, allez recueillir des témoignages. Antoine, Jess, et William, allez voir le médecin légiste. Tic et Tac surveillé la toile et prévenez moi si on revendique l'attentat. Le nouveau, Wilson, Hercule, et Carter avec moi en interrogatoire.
Tout le monde pris son poste. Altaïr suivit son supérieur. Il fut accompagné de trois autre personne. Un Elrim baraqué comme jamais, faisant trois têtes de plus que Léonidas. Un homme au cheveux blond et yeux bleu. Puis une femme rousse aux apparences sévère. Ils descendirent au sous-sol où se trouvait les cellules et les salles d'interrogatoire. Ils restèrent dans une salle. Au milieu était positionné un bureau et sur un mur une fenêtre d'où on pouvait voir ce qui ce passait dans l'autre pièce, mais qui était opaque à l'extérieur. Léonidas se positionna devant le fenêtre. La femme aussi. Altaïr suivit l'exemple. Dans la salle se trouvait un homme menotté à la table. Il était chauve et son regard était porté dans le vide. L'Elrim et l'homme blond rentrèrent dans la salle d'interrogatoire. Il se placèrent devant celui-ci et de façon que ceux qui regardait depuis l'autre pièce puise voir le prisonnier. L'Elrim prit la parole.

-Alex Reise, trente-cinq ans, célibataire, travaillant dans le bâtiment pour GTR Construction. Que va faire votre patron quand il apprendra qu'un de ses ouvriers est impliqué dans un attentat.

- Vous le savez. Ce qu'il va faire.
- Oui on le sait. Reprit le deuxième agent. Il va vous viré et vous serez fiché à vie. Mais on peut toujours arrangé certaine chose et pour ça il faut au moins un nom.
- Je ne sais rien. On m'a juste embauché.
- Qui?
- Je ne sais pas.
- Vous savez on a peu de temps pour résoudre cette enquête. Et le conseil planétaire nous à donné carte blanche pour la boucler. Alors je répète qui?
- Même si je le savais je ne vous dirais rien.
Les deux inspecteur se regardèrent. L'elrim reprit.
- Bon, sachez que nous sommes pas d'humeur à se genre de chose. Beaucoup de personnes qui sont passés dans cette salle, on dénié de parler. Mais ils finissent toujours par donner un nom. Alors si vous voulez qu'on vous cuisine, c'est votre choix mais je tiens à préciser que beaucoup de personnes sont sortis de cette salle en pleurs et avec le regret de ne pas avoir eu la jugeote de parler tout de suite.
- Bon, reprenons. Continua le blond. Vous avez été embauché. Mais par qui?
- Je ne sais rien. On m'a contacté par mail. J'ai reçu de l'argent et j'ai fait mon boulot voilà.
- Et le mail était signé ?
- Nan.
- Vous l'avez toujours ce mail ?
- Nan.
- Forcément !
Les deux compères se fixèrent et sortirent de la salle. Firent leur entrée dans la salle à côté. Et demanda ce qu'ils en pensais. Léonidas et la femme était perplexe.
- Il paraît coopératif mais j'ai l'impression qu'il nous cache quelque chose je vais continuer l'intégration. Fit la femme.
Elle entra dans la salle d'interrogatoire. Elle fit le tour de la table et s'assit devant le criminel.
- Bon, Monsieur Reise. Comme vous l'ont dit mes collègues nous somme pas d'humeur à jouer. Et moi je commence à m'impatienter. Ça m'agace un petit peu. Alors arrêtez de tournez autour du pot et dites tout ce que vous savez.
- Et c'est ce que j'ai fait.
- Bon je crois, que je vais devoir y aller à la manière forte.
Elle se leva et prit la tête du suspect et la fracassa sur la table. Le terroristes se mit à rigoler. Elle fit le tour de la table pris la tête qu'elle rejeta en arrière elle allait abattre son poing sur le visage plein de sang. Quand le criminel prit la parole en la rigolant.
- Ok,ok. On le surnomme.
Il se mit à rigoler. Elle prépara son coups quand il reprit la parole
- On le surnomme... On le surnomme "Le Maître"... Et vous n'avez aucune chance contre lui...
Il se remit à rigoler de plus belle. Après avoir rejoint ses collègues dans la salle adjacente, Léonidas la félicita.
- Bravo, Carter!
- Merci, chef !
- Bon, Wilson aller chercher dans les archives si nous avons un certain Maître dans nos fichiers. Le blond sorti de la salle. Hercule continue l'interrogatoire avec les deux autres et n'hésite pas à cogner.
- Compris.
- Carter, faite visiter le bâtiment au nouveau.
La concernée allait protester mais le regard de son chef lui fit comprendre qu'il ne fallait pas contester. Carter commença donc la visite des lieux. Altaïr l'écoutait à peine. Il pensait à se nom "Le Maître"

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