Hinata, la déesse de la stratégie guerrière, discutait tranquillement avec son amie Sakura lorsqu'une tornade blonde appelée Naruto vint troubler leur conversation.

"- Coucou les filles ! De quoi vous parlez ?

- Naruto, nous étions en train de parler en privé ! , commença à s'énerver la déesse du printemps

- O-oui Na-naruto... Est-ce que t-tu pourrais n-nous laisser... ? , dit Hinata en bégayant.

- Bah Hina pourquoi t'es toute rouge ? "

La jolie Hinata sentait son cœur bondir dans sa poitrine. Elle avait peur, bien qu'elle soit immortelle, que son cœur ne tienne pas le coup. Depuis l'instant où elle l'avait vu, notre chère Hinata était tombée follement amoureuse du petit farceur.

En ayant seulement quelques siècles, le dieu de la lumière céleste pouvait presque rivaliser avec Kakashi (j'ai dit presque). Il avait de beaux cheveux blonds comme les blés qui s'accordaient à merveille avec ses yeux bleu azur. Quant à son corps, il possédait déjà une imposante carrure, très musclée et était plutôt de grande taille.

Naruto approchait dangereusement son visage de celui de la protectrice d'Athènes. Celle-ci était tellement rouge qu'elle aurait pu rivaliser avec les cheveux de la déesse Kushina.

"- Est-ce que ça va Hina ?, demanda le blondinet.

- O-oui... "

Et elle tomba dans les pommes.

En se réveillant, elle était accompagnée du dieu de l'amour.

"- Et bah alors Hinata ! On s'évanouit devant celui dont on est amoureuse maintenant ?, dit-il sur un ton un peu moqueur

- ...

- Besoin d'un petit coup de pouce ? "

Elle leva la tête vers son aîné de 322 ans avec une lueur d'espoir dans les yeux.

"- Tu ferais ça ?

- Bien entendu !

- Mais je ne peux pas le forcer à t'aimer, je peux seulement lui faire ouvrir les yeux sur les sentiments que tu as pour lui. Peut-être qu'il t'accordera un peu lus d'attention plutôt que de nourrir un amour à sens unique.

- Merci Gaï !

- De rien ma petite ! Il faut aider l'amour de la jeunesse... ! "

Il continua de parler d'amour et de jeunesse mais Hinata ne l'écoutait plus : elle se préparait psychologiquement à ce qu'il l'attendait.