Le cocoon

Un mois après.

Voilà un mois que cet épisode de ma vie est terminer. Bien sûr j'aurai des contrôles régulier au début. Mais c'est en bonne voie pour que le cancer ne revienne pas.

J'ai assez perdu de temps comme ça.
Il est temps pour moi de vivre. Et ça commence avec l'ouverture du Cocoon.

Pendant ma convalescence Béa et Luc ont étaient des amours, ils ont terminé de réaménager le local. Etant donné que Bruno à passer le plus clair de son temps à me soutenir à l'hôpital, ce sont eux qui ont bien avancés sur le projet. Je ne leur dirais jamais assez merci.

Le cocoon est presque éclot, il manque quelques détails à finir, et nous serons fin prêt pour l'inauguration de samedi.

Tout le monde à voulut que je prenne mon temps, que nous repoussions l'ouverture, mais il en était hors de question pour moi, je ne veux plus perdre de temps, je me sens bien. Je me sens prête.

Nous nous sommes tous reunit au Cocoon, pour finir les quelques bricoles qui restent à faire. Ensuite nous dinerons tous ensemble.
Nous mettons la journée à finir les quelques petits détails qui rester à faire.

L'ambiance à était bon enfant. C'est fou comme en si peut de temps nous avons tant d'atomes crochus. Nous avons l'impression de se connaître depuis toujours tous les quatres.

La soirée se poursuit avec des pizzas et deux bouteilles de vin pour accompagner celle-ci.

Luc propose à Béa de la raccompagner chez nous.

Je suis sûr qu'elle va l'inviter à boire un dernier verre.

Le courant est plus que bien passer entre ces deux là. Ils n'ont eu de cesse de se chercher toute la journée.

Les voilà partis, pendant que je nous prépare un café, j'entends au loin de la musique.

Vivaldi Arr for piano from Concerto for strings in G Minor, RV 156 de Antonio Vivaldi, Florian Christl.

Je la reconnais car c'est une de mes musiques préféré.

Pensant que la musique provient des enceintes, je me rends compte que ce n'est pas le cas quand je vois celle-ci éteintes.

Je me dirige donc vers la source de la musique, et je reste stoïque devant le spectacle qui s'offre à moi.

C'est Bruno qui est derrière le piano et qui joue de cette douce mélodie.

Il a les yeux fermés, concentré sur sa musique. Je ne savais pas qu'il joué, c'est une agréable surprise pour moi.
Il est tellement beau lorsqu'il joue. Il dégage tellement d'expressions à travers sa musique.

Je reste là, à le regarder joué pendant quelques minutes.

Il rate une touche lorsqu'il s'aperçoit de ma présence, et mon cœur, lui, un battement.

Il me sourit, tendrement, de son sourire à fossettes qui me fait tant craqué. 

Je m'approche doucement de lui. Je me pose derrière lui, je lui carresse doucement le dos .
Je remonte dans sa nuque qui bouge et frissone légèrement sous mes carresses.

Ma bouche se pose sur son lobe d'oreille et descend lentement dans son cou.

Il se retourne et se met fais face à moi. Il attrappe ma tête des deux côtés, glisse ses mains dans mes cheveux et dépose délicatement ses lèvres sur les miennes.
Il ne faut pas longtemps à celle-ci pour lui répondre. Notre baiser est passionné, doux et fougeux à la fois. Je me pose à califourchon sur lui. Notre baiser s'intensifie et nos langues se rencontrent.  De là il me soulève et me porte jusqu'à un canapé ou il me dépose avec douceur. 

Il entreprends rapidement de retrouver ma bouche et nos langues ne mettent pas longtemps à se rejoindre.

Ses carresses se veulent plus entreprenante.
De ses mains il effleure délicieusement mon sein. J'apprécie sa délicatesse de ne pas carresser le côté délicat. 
Elles ont le don de me donné des papillons dans le bas du ventre ainsi que des frissons à chaques carresse de sa part.

La fin de soirée fût douce agréable.

J'ai craqué pour cette musique 🎶
Dès que je l'ai entendu.  Je la trouve magnifique. 

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top