Beatriz
Nous avons reussit notre pari.
Après toutes les épreuves que la vie nous à fait endurer.
D'abord un début de vie difficile. Vivre sans parents n'est pas chose facile. Babeth à perdu sa maman très tôt, d'un cancer. Son père, enfin son géniteur l'a lachement abandonné à la naissance. Quel pourriture.
Heureusement que la grand mère de Babeth était là. C'est un peu aussi ma grand-mère, même si nous n'avons pas les liens du sang qui nous unissent, les liens du coeur, ça, c'est encore plus fort que les gènes.
Mes parents eux, ha la bonnes blague, si on peut appeler ça des parents. Comment vous expliquer.. Ils reussit leur vie professionnelle trés tôt, ils devaient partir en voyages d'affaire aux quatres coins du monde tout les quatres matins. Ils n'avaient pas envie de s'emcombrer de leur petite fille. Manou étant notre voisine de l'époque, elle avait le gentillesse de me garder. De fil en aiguilles, les choses se sont déroulées comme ça. Mes parents ne pouvant assurer leurs rôles, ils m'abandonné lâchement, sans le moindre scrupule.
Je me suis toujours posé la question. Mais non de dieu, pourquoi enfanter si c'est pour abandonner son enfant par la suite? Pourquoi ne pas tout simplement avorter?
Malgrès cette lâcheté, j'ai eu une enfance heureuse, vraiment. Manou m'a donner tout l'amour que j'ai eu besoin, autant que Babeth, amour égal. Et elle, Babeth, elle m'a soeur, elle mon tout.
Manou est une femme en or, exceptionnelle, la douceur incarné. Un coeur énorme qui déborde d'amour pour les personnes à qui elle tient.
Elle aussi a eu la vie dur, elle à perdu son unique fille, la mère de Babeth, et ensuite, des années plus tard, son mari.
On pourrait croire que nous avons un mauvais karma.
Confucius a dit : " le karma c'est de la merde"
Le karma c'est de la merde.
Ensuite le cancer à frapper de plein fouet ma meilleure amie. Le jour où elle m'a annoncer sa maladie, j'ai cru mourir. Je ne lui est rien laisser paraître. Mais c'est comme si le monde s'effondrer autour de moi.
C'est ma moitié, ma sœur, ma meilleure amie. Je l'aime plus que tout.
Je ne sais pas ce que je deviendrais si elle venait à disparaître. Je ne veux même y penser.
Tout le temps qu'elle a passer à l'hôpital, je n'ai eu de cesse de pleurer. J'ai eu si peur. Je ne pouvais imaginer la perdre, comme Manou a perdu sa fille de la même maladie.
Le karma c'est de la merde, la roue tourne. Bordel, Dieu, si tu existes, je te le dis le karma C'EST.DE.LA.MERDE. OK ? et je t'interdis de me prendre ma meilleure amie. Sinon je ne donne pas chère de ta peau quand je te verrais !
Maintenant qu'elle est guérit je ne vais pas la lâcher d'une semelle.
Essayons de penser à l'avenir et ne pas revenir sur le passé, cela n'apporte rien de bon.
Cette mauvaise période étant passer, nous avons pû réaliser notre rêve avec le cocoon.
Après avoir repousser l'ouverture, tout le monde tenait à dire de repousser l'ouverture mais Beth ne voulais pas. Elle est têtu. Elle voulais absolument ne plus perdre de temps, elle veut foncer.
Il faut dire que nous avons reussit notre pari.
On est jamais sûr, lorsqu'on est sur le point de devenir entrepreneur.
La peur de ne pas réussir. La peur de ne pas rentrer assez d'argent pour rembourser le prêt. Bref c'est en vous donné un ulcère à l'estomac.
Pour l'instant nous avons une bonne étoile je crois.
Elle a rencontré quelqu'un, Bruno, je suis heureuse pour elle. Sincérement.
Elle le mérite plus que quiconque.
Il est venu me voir au restaurant.
Oui parce que, la queue entre les jambes mon connard de patron m'avais appelé pour me demander de faire des extras. Ce pauvre type n'arrive pas à trouver du personnel compétant.
En même temps qui voudrait pour lui, il est prétentieux, imbu se sa personne. Il est aimable comme une porte de prison avec son personnel. Un vrai connard je vous dit !!
D'ailleurs j'ai toujours pas cuisinés ses couilles. Va falloir que je me penche sur la question.
Je ne lui avais bien sûr pas réveler que j'avais besoin de travaillé encore quelques temps, à cause de la maladie de Babeth. Je lui avais fait clairement comprendre que ce n'étais certement pour lui que je faisais ça.
J'avais pitier de Mickael, et je ne voulais pas le laisser dans la panade, alors par solidarité de mon collègue, j'accepter. Sous condition d'un salaire horaire plus elevé que ce que je pouvais avoir auparavant.
Il à bien sûr accepté, il n'avait pas le choix, non sans juré que j'étais une petie peste, mais je m'en fouter, je l'avais eu à son propre jeu.
Dans ton cul patron !
D'ailleurs, pendant mes extras, j'ai pû voir, Bruno, il est venu au restaurant, désespéré. Il n'avait pas de nouvelles de Babeth, il s'inquiété. Il ne savait pas si elle aller bien ou même si elle avait coupé les ponts avec lui.
Voyant son désarroi, j'ai faillit à la règle des meilleures amies.
J'ai bien vu comment il était mal, de ne plus avoir de ses nouvelles. Il est accro.
Je lui est donc tout raconté en détail, pour sa maladie.
Il a compris alors pourquoi il n'avait plus de nouvelles, il s'est litérallement décomposer en emprenant cela. Les larmes aux yeux il m'a supplié de lui dire ou elle se trouvait, dans quel hôpital.
Il m'a remercié, et à filer en moins de deux, démarrant sa voiture en trombe, la rejoindre.
C'est un homme bien, du peut que je le connaisse, quel homme ferait ça pour une femme qu'il connait à peine?
Un homme amoureux, un homme fou d'amour, qui à eu le coup de foudre, sinon il aurait pris ses jambes à son coup, sans se retourner, et n'aurait plus donné de nouvelles.
Je l'envie, elle a de la chance, j'espère qu'elle ne va pas le laisser filer.
Quand on rencontre son âme soeur, il faut tout faire pour le garder, quoi qui l'arrive.
Tout le monde a une seule et unique âme soeur. Quand on a de la chance, on la rencontre. Et quand c'est fait, on est frappé en plein coeur, il n'y a plus personne qui compte. Michael Connely
Alors est ce que ce châpitre vous à plu ? Qu'avez vous penser du point de vue de Beatriz?
J'avais envie de de vous la faire découvrir de son point de vue à elle.
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