Zürich (1)
"Il faut se concentrer sur ce que l'on a, et non sur ce que l'on a perdu". Arthus Bertrand.
La vie est mystère insondable, que chacun d'entre nous cherche à concrètement à définir. Mais parfois il nous prends de toujours vouloir récupérer un passé parfois perdu à jamais. Ainsi nous n'arrivons pas à voir les biens fait de ce que nous avons dans l'immédiat, car nous sommes submergé par les angoisse d'un passé qui nous tient par la gorge. Un jour Antoine de Rivarol à écrit "L'homme passe son temps à raisonner sur le passé, à se plaindre du présent et à trembler devant l'avenir". Essayons juste de voir les choses en face, aussi difficile soit la tâche car cela nous permettra de nous concentrer sur ce qui est plus important...... le présent !
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Le Convivium avait commencé, Annabelle Léon avait rassemblé les Saints ministres de ce banquet. Au bord d'une table droite et longue, où siégeait entre autres, Ismail le ministre de guerres, Karmia Stépanof le ministre des Finances, Alfredo Brandilo le ministre des ressources, Anaia Tamar le ministre des affaires. Bien sûr, il y'avait Jocelyne Olivier Yacine Charles Eliott et sa sœur Milena Olivier Yacine Alexandra, le tout présidé par Annabelle Léon Wattson.
Sur la table, celle qui présidait la table n'avait qu'une chose à faire... poser le dossier de la cible.
Annabelle : Bien le bonjour mes Saints ministres, moi Annabelle Léon Wattson, successeur première de sa majesté Anna Léonard, ait convoqué en ce jour le sixième Convivium de l'histoire du saint empire de Zürich.
Les regards direct des ministres, furent comme attiré par Annabelle.
Tous observèrent la jeune femme avec attention, ne montrant aucun désintéressement à ce qu'elle leurs racontait.
Annabelle : L'ordre du jour est simple, nous avons deux paquets à éliminer. Ma demi-soeur Émilie Wattson et la famille Tyar, à l'exception de Arthur Léon Ryan's. Je vous ordonne de les éliminer, comme vous.......
Avant qu'elle n'eut terminé sa phrase, Annabelle fût interrompu par le ministre de guerres. Il n'eut qu'à lever sa main pour arrêter la jeune femme dans son discours
Puis il baissa sa main et resta sans rien dire, ce qui déstabilisa momentanément Annabelle. Puis Ismail pointa les autres ministres du doigt.
À leur regarder, Annabelle comprise que plus aucun d'entre eux n'était concentrer sur ce qu'elle disait. Soudain, leur téléphone se mirent à sonner. Karmia se leva et alla répondre dans un coin tranquille, tout comme Alfredo. Pour sa part Anaia prise son appel devant eux, tout en profitant des petits douceur de la table.
Annabelle ne comprenait rien à ce qui était entrain de se produire.
Ismail : Ma chère Annabelle Léon Wattson ! Nous représentons certe le ministère de guerre de votre mère, et nous sommes disposé à répondre présent à la demande. Mais sachez une chose, nous n'avons aucun intérêt à éliminer des proies aussi facile.
Le ministre de guerres frappa dans ses mains et l'ensemble des ministres reprirent leurs places à la table.
Ismail : Nous n'avons aucun intérêt à jouer avec des souris, de plus nous n'avons pas assez de temps pour vos jeu enfantin, mais......
Dans ces discussions inutile, qu'ils avaient entre eux, Moya en eu très vite mare et laissa cours à ces émotions. D'un coups ferme sur la table, Moya calma et attira l'attention de tous.
Moya : Un Saint ministère mon cul ! J'ai traversé les pires tourments, j'ai accepté le rôle de l'idiote, je suis toujours resté au second plan.
Joyce : Moya ?
En l'attente de son nom, Moya afficha un regard d'une telle noirceur et une telle haine à son frère, qu'il passa à deux doigts de se pisser dessus.
Le ton de la voix de la jeune femme avait drastiquement changé, il était plus imposant, ce qui changeait de sa douce et belle voix.
Moya : Toi, le fils à maman, chialeur de ton état ! Tu me fais chier comme personne, bouffon de ta race.......
Joyce : Mo.......
Moya : La ferme !
Il ferma immédiatement sa bouche et pris place.
Moya : Vous tous n'êtes qu'une bande de vieux croulant fatigué et dépressif. On dit de vous, que vous êtes les maîtres de guerres de la femme de Zürich...... mais moi, je ne vois là que des vieux fou et des vieilles dames radine.
Elle attrapa la nappe de la table et tira assez fort pour renverser toute la table.
Elle commença à tourner autour de tous le monde.
Moya : Rentrez chez vous bande de peureux, je vais chasser les souris moi même.
Alors qu'elle s'en allait, Ismail commença à applaudir. C'est à cet instant qu'elle se retourna.
Ismail : Voilà comment parlerais le véritable successeur de la femme de Zürich...... Anaia ?
Anaia sortie une tablette de son sac et une sorte de micro puce, qu'elle connecta à sa tablette. Puis Alfredo sortie un téléphone satellite et lança un appel, pour sa part, Karmia sortie son PC.
Anaia : Émilie Elizabeth Wattson, âgé de 25ans, jeune riche PDG des sociétés Wattson-entreprise. Elle a reprise les reines très tôt à papa, qui s'était échappé en Écosse. Elle a apportée un renouveau à la société, qui ne dis pas son nom...... putain c'est une génie !
Alfredo : J'ai eu quelques amis et vous ne devinerez jamais quoi ! Notre chère Émilie travail en tant que informatrice au MI6.
Karmia : De mieux en mieux ! En termes financier, notre petite souris ne se plein pas. Elle a un portefeuille aussi large, que celui de Bill Gates......et bien-sûr, ce n'est pas forcément de l'argent durement travaillé......
Le groupe dans son ensemble venait de décortiquer Émilie Wattson dans son ensemble. Mais cela n'arrangeait pas encore la situation.
Anaia : Trafic d'armes ou revente de bien confisqué de force à des hommes du milieu...... Émilie n'est pas aussi cline, que ça. Elle travaille avec des yakuza d'Osaka, avec qui elle a réformé une ancienne légion d'informateur.
Ismail : Donc, elle peut voir venir un danger à des centaines de kilomètres à la ronde ?
Anaia : C'est peut de le dire, elle est capable de connaître des gens qui ne sont pas sensé exister. Avec un pied dans l'ordre et l'autre dans le milieu, elle quitte de l'échelle de petites souris à grosse baleine bleue.
Le sourire de Moya et Ismail était en véritable accord. La jeune femme retourna alors s'assoir à la table pour continuer ce fameux Convivium.
Moya : Alors, messieurs et mesdames...... comment on chasse la baleine bleue ?
Le Saint ministère pouvait amplement entré en fonction, malgré un début des plus catastrophique. Mais surtout, une question devait se poser...... à quoi joue réellement Moya ? Le jour, elle est une alliée, le soir un rouage dans la machine qui détruira le monde. Quel est véritablement son plan ?
Cependant, du côté de Johannesburg, les Tyar poursuivait leurs préparation par rapport à leur combat des plus imminent.
À l'Institut de formation de la famille, Liliana et Roxane continuaient d'entraîner Naomi, espérant toujours qu'elle retrouve ses capacités d'antan.
La tâche semblait néanmoins très ardue, car c'était plus une torture pour la jeune femme, qu'un entraînement pour les deux autres.
Au moment où elles étaient prêtes à baisser les bras, Arthur arriva malgré lui avec un nouvel allié, qui changerai probablement la donne.
Roxane : Qu'est-ce qu'elle fait là ? T'as décidé d'organiser le come back de cette traîtresse ?
L'effet de Stella sur les autres n'avait pas gardé une bonne image au fil du temps.
Arthur : Elle veut nous aider ! Et en ce moment, nous avons réellement besoin d'aide.
Liliane : Elle fait quoi ton informatrice ? Cette Moya !
Stella : Moya.....? Comme Milena Olivier Yacine Alexandra ?
L'étonnement de Stella surprise assez Arthur, car de ce qu'il savait Moya devait l'envoyer du renfort.
Stella : La plus grande manipulatrice de tout les temps. Elle passe son temps à afficher un sourire mignon aux yeux de tous, mais dans l'ombre c'est une stratège de dingue, qui a des penchants aussi tordue, que ceux de Anna elle même.
Les paroles de Stella ne rassuraient pas vraiment. Elle venait certe de mettre le groupe au courant de la véritable nature de leur allié.
Naomi : Toi !
Lorsque leur regard se croisèrent, Naomi eu comme un choc. Elle se serait elle même très fort tout en tremblant comme une feuille. Des violents maux de tête lui faisaient crier et se tordre de douleur.
Stella : Naomi ? Tu es vivante ?
Naomi : C'est....c'est elle ! La femme de mes rêves...... celle avec qui je.....
Sans terminé, elle se mise à hurler. Elle ressenti comme une douleur, qu'elle ne pouvait expliquer.
Roxane l'attrapa et essaya tant bien que mal de la calmer, jusqu'à ce que Liliane n'aille à l'infirmerie, d'où elle reviendra avec un bon calmant.
Après avoir reçu le calmant, Naomi s'en dormi un moment.
Liliane : S'était quoi ce bordel ? Pourquoi tu lui fais cet effet au juste ?
Stella : Euh......?
La réaction de Liliane était toute a fait légitime, car il n'était pas normal que Naomi ait un tel choc rien qu'à la vue de Stella.
Arthur (Si j'en crois les informations d'il y'a cinq ans, c'était Naomi qui avait tendu une ambassade......le pourquoi reste encore un mystère...... mais j'ose croire que c'est les agents de Zürich qui l'ont abattu pour préserver leur élément !).
Liliane : Et toi !
Liliane se précipita sur Arthur, l'attrapant par le cole de la chemise. Elle lui cria dessus pendant un bon moment. Pendant ce temps, Stella accompagna Roxane à l'infirmerie pour y laisser Naomi.
Observant Naomi allongé, Stella en était toute nostalgique. Elle prise place sur une chaise et se remémorait le passé.
Stella : La première fois que j'ai vu Naomi, je venais d'avoir quinze ans. Elle fût ma première et seule vraie amie ; ma mère n'avais pas pû me donner des frères et sœurs, mais même avec mes demi-frères je n'ai pas vraiment su m'y faire.
Roxane à l'entente de seulement, se rapprocha de Stella.
Stella : On avait réussi à s'entendre peut-être parce qu'elle et moi étions aussi tordue l'une comme l'autre. Mais ce jour là, lorsque devant moi, elle reçu ses six balles dans le corps. J'ai eu un choc ! Sans compter, que l'on avait jamais réellement pû retrouver son corps......
Les larmes de la jeune femme se mirent à couler, car elle ne pouvait plus réfréner ses émotions.
Stella : J'avais perdu ma seule amis, ma partenaire de crime ! Même à la mort de Natacha, je n'ai casiquement rien ressenti, si ce n'est que de la joie !
Roxane : Comme c'est poétique !
Stella : Je le reconnais, je ne suis pas un modèle de sainteté, et je reconnais avoir commis des atrocités, mais je suis sincère quand je dis être soulagée et reconnaissante que ma seule amie aille bien.
Le mélodrame de Stella était passé outre le ressenti de Roxane, qui était persuadé des véritables sentiments de Stella.
Stella : Je voudrais savoir une chose, un conseil d'une véritable mère.
Roxane : Humm ?
Stella : Qu'est-ce-que je peux offrir d'assez grand pour me faire pardonner de ma petite Nour......
Roxane, sur cette question, resta sans voix. Elle se leva et alla chercher son portable.
Roxane entra dans l'album photo de son portable et montra quelques photos à Stella.
Roxane : Parfois il suffit de la plus petite action, que viendra les plus grandes joies. Offre à ta fille l'expression de l'amour dont à réellement besoin.
De mère en mère, aussi indigne se dit-elle, Stella venait d'avoir la bénédiction de Roxane pour retrouver les faveurs de sa fille.
L'imminence du combat se faisait sentir, les deux parties se préparait...... mais entre temps, que faisait la justice dans tous cela ?
L'informateur de Alicia au rang des Léon n'avais fait aucune nouvelle déclaration, donc l'unité d'Interpol avançait à l'aveugle.
Mais le n'était pas qu'il n'y avait rien à faire, mais qu'il ne pouvait se manifester.
Au Convivium, les dossiers posés sur la table furent pris en charge par le Saint ministère, qui en avait fait une affaire personnelle.
Ismail : Nous avons des cibles que nous devons éliminer sans trace...... Anaia.....?
Anaia : L'on peut gérer facilement les Tyar, un simple accident bien préparé et tout ira sans problème.
Alfredo : Il n'existe aucun commissariat où je n'ai au moins un contact ou amis, qui ne me doivent de service.
Karmia : Faites le devis et je verse les fonds.
Le plan pour héraldiquer les Tyar avançait bien. Mais le débat sur Émilie Wattson avait comme été mis en stand bye.
Annabelle : Et pour Émilie Wattson ?
Ismail : Avec elle, nous n'aurons presque rien à faire, si ce n'est qu'attendre qu'elle ne s'offre d'elle même à l'abattoir.
Annabelle : Comment ça ?
Ismail : Anaia ?
La jeune israélienne se rapprocha avec sa tablette. Elle présenta le fruit de ses quelques recherches approfondies sur le compte de Émilie.
Anaia : C'est une femme qui joue avec les médias et leurs impacts. Être plus forte que tout le monde est son hobbie, alors et si on l'utilisait contre elle.
Annabelle : Comment ça ?
Anaia : Ce genre de personne porte en elle un orgueil démesuré.......
Annabelle : Si seulement vous saviez !
Le plan de mademoiselle Tamar était assez simple, elle voudrait retourner la presse vers Émilie, non pas en les mettant à dos, mais de leurs forcé à plus s'intéresser à Émilie.
Anaia : Pour ce faire l'on va créer une propagande, selon laquelle Émilie Wattson la riche PDG, n'est en réalité qu'un espion du MI6.
Moya : Humm ?
Anaia : De ce fait, les fouineurs iront creuser et en espérant qu'il trouve des choses croustillantes.
Ce plan vise notamment tous les ennemis influents ayant des problèmes ou un compte avec le MI6. Un agent aussi léger soit il peut être porteur d'information.
Anaia : Vous vous direz sûrement que le MI6 pourra facilement renier tous cela et l'histoire sera bouclé......et bien, j'y compte bien.
Par ce procédé, le MI6 n'acceptera jamais de se mettre en avant, donc ils n'auront plus que deux choix ouvert à eux. Décrédibiliser Émilie et s'attirer ses foudres, en espérant que cela entraîne un conflit entre la jeune femme et l'agence, qui voudra plutard se débarrasser d'elle.
Anaia : Et la deuxième hypothèse étant que l'agence face à tout le monde et décide de fourer son nez dans les affaires d'Émilie.....et en espérant qu'ils trouvent quelque chose d'intéressant.......
Moya : Et bien-sûr, vous allez jouer les bons samaritains en leur montrant la bonne piste à suivre.
Anaia : Je plaide coupable !
Dans tous les cas, Émilie serait prise en tenaille avec un tel plan, car comme la précisé mademoiselle Tamar, elle a un défaut......son orgueil, qui peut l'amener à se battre contre tout le monde à la fois.
Moya : Mais......!
Annabelle : Mais ?
Alfredo : Oui, et si elle arrive à s'échapper de ton piège ?
Anaia : Ne vous inquiété pas, j'ai prévu cet éventualité......si la presse n'y arrive pas, ce sera encore à moi de jouer !
Moya : Et donc ?
Anaia : On va infiltré un mouchard et créer la discorde.
Après la presse, mademoiselle Tamar voudrais créer un cafouillage au sein des rangs de Wattson.
Anaia : Le jeu est simple, on va jouer avec la profondeur de ses pensées.
Annabelle : Quoi ?
Le but d'Anaia était de mettre un espion infiltrer chez Émilie, qui viendrait émettre des idées de tromperie et trahison. Puis l'on programmera son assassinat, tout en n'oubliant pas un message, qui fera réfléchir Émilie.
Moya : Ingénieux, le parfait portrait de l'assassinat de celui qui posait trop de questions.
Puis comme l'a imaginé mademoiselle Tamar, Émilie se mettra à réfléchir sur ce qui arrive à son entourage et cela la forcera à se méfier.
Anaia : Mais néanmoins......! J'ai espoir, que ce n'est pas un hasard si notre adversaire est où elle est, sans un peu de jujote donc.....
Elle prévoyait deux cas de figure, le premier, Émilie traquera les traîtres aussi nombreux soit-il en faisant une véritable razzia autour d'elle. Le second cas de figure étant celui où, elle accuse que les problèmes survenu plus tôt et l'assassinat du pion, ne soit qu'un début. Ceci poussant notre amie à s'éloigner de ses proches, se reculant au loin histoire de prendre une décision mûri et réfléchi.
Anaia : C'est là, que l'unité d'assassin du général Ismail entre en jeu...... je n'aurai qu'à leur transmettre les coordonnées.
Moya : Je comprends pourquoi, le Mossad se devait de se débarrasser de vous...... votre cerveau est à lui seul, une menace, mais avec vous pour l'utiliser......
Anaia : Je vous remercie du compliment...... mais !
Et oui, ce génie n'allait pas ce contenter de réfléchir à comment gagner, elle s'était offert le droit de penser à si Émilie Wattson gagnait cette partie d'échecs ?
Moya : Vous êtes réaliste !
Anaia : Oui, surtout que je n'ai ni confiance en vous, ni en votre entourage...... donc j'anticipe la possibilité, que notre adversaire ait un tour d'avance sur nous.
Bien évidemment, il serait prétentieux de croire, que seuls eux pourraient piéger avec ruse.
Anaia : Je parie même, qu'actuellement une tope suit de très près cette discussion.
Annabelle : C'est une possibilité, mais si tel est le cas, il ne sortira jamais aucune information d'ici. Cette maison est un véritable piège à Ours ; disons qu'elle fait plus office de base...... même le siège du Mossad ou de la CIA n'ont rien à venté face à ce domaine.
Il était clair, que Annabelle n'avais rien comprise à la situation.
Moya : C'est officiel, ma famille est constitué en majorité de sombre idiot.....
Annabelle : Je te demande pardon ?
Anaia : Mesdemoiselles !
Alors, il fallait encore mieux expliquer la situation. La situation était certe en leur avantage, mais néanmoins il montrait une faille, qui poserait de nombreux problème.
Anaia : La tope qui existe selon moi, est une personne que je qualifierais d'assez insignifiante pour pouvoir avoir les privilèges d'une personne d'intérêt.
Par cette hypothèse, l'on comprend que l'espion serait un membre considéré comme faisant partie de la famille, mais restant constamment à sa place. De ce fait on ne le soupçonnera pas.
Anaia : Et donc, vous aurez tendance à croire, que c'est l'un d'entre vous..... frères et sœurs, qui veut nuire à la famille.
Sur ces mots, les regards de Moya et Annabelle se croisèrent.
Annabelle (Petit génie, tu marques un point......donc aurais-je tors ?)
Anaia : Et même si c'était le cas, ce qui est fort probable.....ce ne serait pas à toutes la famille, qu'il voudrait s'en prendre.
Moya (C'est officiel, je commence à détesté ce génie !).
A cet instant, l'heure était venue de se séparer. Anaia remise son matériel dans son sac. Tous les ministres se levèrent de leurs chaises. Le Convivium touchait à sa fin, les saints ministres se devaient d'aller vers d'autres horizons.
Moya : La réunion est-elle déjà fini ?
Ismail : Malheureusement ! Nous savons ce qui vous ennuis, le reste ne vous concerne plus.
Soudain un hélicoptère surgit de nulle part, le copilote fît pendre une échelle de corde.
Anaia : Bon timing, mon taxi viens d'arriver.
Annabelle : Comment avez vous faites, pour qu'il puisse arriver sans être repéré ?
Anaia : Bah voyons, c'est du gâteau ! Vous pensez, que j'ai fait comment pour échapper à près de 136 pays ?
C'est ainsi, qu'elle embarqua et disparus. Avant qu'ils ne puissent s'en rendre compte, que Alfredo lui aussi avait déjà disparue.
Ismail pour sa part sortie par la porte de derrière. Quand à Karmia, sa voiture l'attendait à l'entrée. Chacun des Saints ministres étaient tous reparti, disparaissant de nouveau dans la nature.
Il sera donc bon de retenir, que lors de se rendez-vous spécial des Léon et leurs proches, une mise à mort fût déclaré pour les Tyar et une menace d'anéantissement pour Émilie Wattson. Doit on vraiment s'inquiéter ?
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