Vérité (3)
"l'art d'être sage, c'est l'art de savoir quoi laissé tomber". William James.
À nouveau, le malheur frappe à la porte des Ryan's. Ma tendre et douce petite Nour, ma petite princesse...... ils ont osé s'en prendre à elle. Je sens que j'ai été trop relaxe, ma vigilance ma fait défaut. Ceci dit, j'ai tant baissé ma garde, car je voulais à tous prix protégé mon enfant de cette vie...... les armes, la violence humaine, les poursuite. La réalité est bien cruelle, j'ai lamentablement échoué dans ma mission de père. J'ai décidé de ne pas tenir sa mère pour fautive, car en écartant le faite que j'ai une envie intense de la tué, je trouve que ce n'était pas son rôle, mais celui du père !
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Après le départ de Johannesburg avec la petite Lucia, l'équipe de Georges arriva sur Zürich le lendemain pour le déjeuner.
C'est dans l'arrière cours de l'immense manoir des Léon, qu'ils eurent atterrir, et qu'un accueil des plus chaleureux leurs furent accordé.....du moins Lucia en particulier.
Lorsque Georges ouvrit la porte, Anna et Annabelle, ainsi que Milena accoururent. Descendue de l'hélicoptère, la petite fille affichait une mine triste et un visage mécontent. Son départ imprévu ne l'avais pas vraiment plu.
Voyant cela, Anna s'approcha d'elle avec un bonbon.
Anna : Hello my little darling.
La petite Lucia prise le bonbon, et la mise dans la poche de sa veste.
Anna : Do you know who I am ?
Nour : Euh..... bonjour madame ! Je m'appelle Lucia, mais je ne comprends pas ce que vous dites.
Annabelle se rapprocha alors de Lucia, elle s'accroupit et souria à la petite fille, qui lui répondit par un visage septique.
Annabelle : Tu ne mange pas ton bonbon ?
En réponse dans un premier temps, la petite fille secoua la tête pour dire non.
Nour : Nan, mon papa m'a toujours dit "Nour chéri, lorsqu'un inconnu te donne quelque chose, tu dois d'abord me le montrer avant de l'utiliser"; alors j'attends mon papa pour lui montrer.
Sur cette déclaration vraiment sérieuse pour une gamine de son âge, Anna et Annabelle se mirent à applaudir. Puis Milena se rapprocha.....
Moly : Mais qu'est-ce que tu dis ? Le voilà ton papa, il est derrière toi !
La petite fille se retourna, et vît Georges, elle se rapprocha de lui, l'attrapa par la main et déclara aux dames.......
Nour : C'est vrai que le gentil monsieur il ressemble beaucoup à mon papa, mais c'est pas lui !
Cette vivacité d'esprit de la petite Lucia surpris tout le monde.
Annabelle : Tu as raison ma puce, ce n'est pas ton papa. Mais la dame à côté de moi, c'est ta grand mère !
Sur cette déclaration, la petite fille resta septique. Elle se souvenait parfaitement, qu'elle avait déjà une grand mère.
Nour : Mais qu'est-ce vous raconter madame ? Moi j'ai déjà une grand mère, elle est là haut dans le ciel, avec mon grand père.
Annabelle (Ah ouais, elle est maline la gamine ! Pour un microbe de son âge, ça réfléchis vraiment bien.).
Anna vint près de la jeune fille, et chuchota quelque chose dans ses oreilles. Puis Lucia changea radicalement de mine et d'humeur. Elle attrapa même la main de Anna, qui l'amena à l'intérieur.
À l'intérieur, Anna l'amena au premier niveau, devant la pièce juste à côté du sa chambre à elle.
Nour : Il y'a quoi derrière la porte madame ?
Anna ouvrit la porte et Lucia vît....
Anna : Ta chambre !
La pièce avait été refaite avec une telle précision et une telle adresse, à reproduire à l'identique la chambre de la jeune fille dans la Casa Ryan's. Elle fut toute émerveillé par cela, et en même temps très étonnée, car un détail faisait la différence.
Il y avait un cheval de bois au coin de la pièce, il était peint en rose et la crinière était multicolore.
Nour : C'est vraiment pour moi ?
Anna remua la tête pour dire oui, alors la petite s'en rapprocha. Mais hésita au dernier moment.....
Anna : Qu'y a-t-il my baby girl ? Tu ne l'aimes pas ?
Nour : Si, mais.....
Anna : Alors, essai le !
Nour : Vraiment ? Je peux ?
Anna : Yes !
L'approbation de Anna sonna comme une délivrance pour la jeune fille.
Cependant, plus en dessous, Georges cherchait Anna, avant de tomber sur Moly.
Il demanda à la jeune femme où était sa mère, mais au lieu de lui répondre, la jeune femme lui ria au nez. Puis elle lui tapota l'épaule, avant de s'en aller, sans rien vraiment dire.
Il se rapprocha cette fois-ci du majordome, qui est au courant de tous ce qui se passe dans le manoir.
Malheureusement, celui-ci lui racontait tout, sauf ce qu'il demandait réellement ce qu'il voulut savoir.
En cuisine c'était pire, lorsqu'il arriva, Fernanda terminait la vaisselle. Elle s'occupait d'essuyer les plats en sifflotant, mais lorsqu'elle entendit la voix de Georges, elle arrêta immédiatement de siffler. Avant même qu'il ne demande quelque chose, elle l'informa qu'elle ne savait rien.
Lorsqu'il voulut insisté, elle s'énerva tellement qu'elle brisa un verre en porcelaine, de la simple force de sa main. Cela fit fuir le jeune homme, qui se décida de commencé à chercher par lui-même.
Ainsi après quelques minutes, il croisa Anna et Lucia au escalier.
Georges : Enfin je vous trouve !
Étonné, les deux se mise à rire, Lucia, parce que Georges affichait la même tête que son père à chaque fois qu'elle se cachait et réapparaissait comme par magie. Anna elle était vraiment amusé, qu'avec toute les caméras du manoir, il n'a pas daigné vérifiée les vidéos de contrôle.
Alors il accompagna les deux jusqu'à la salle à manger, où le déjeuner était servit.
Se moment de partage entre Anna et Lucia, bien que gênée par la présence imposé de Georges, était assez charmant.
Nour : Alors, comme ça vous êtes aussi ma grand mère ?
Anna : Absolument !
Cette question et cette réponse, rendirent Georges plus que sérieux, voulant encore plus discuter avec Anna.
Nour : C'est génial alors ! J'ai toujours voulu avoir une grand-mère.
Anna : Et moi, j'ai toujours voulu avoir une beauty baby girl.
Lorsque Nour eût terminé son déjeuner, Anna l'essuya la bouche et retira la tablier inutile qu'elle avait placé, car la petite mange comme une grande.
Georges : Il faut que l'on parle votre majesté !
Il fît jusqu'à l'erreur même d'attraper le bras d'Anna, alors qu'elle s'en allait avec Lucia. Lorsqu'elle se retourna, elle lui jetta un regard si froid, que le jeune homme lâcha prise avec frayeur.
Georges : Je suis désolée..... votre majesté !
Elle se retourna et continua avec la petite Lucia. Elle l'amena cette fois-ci, elle amena Lucia dans la serre où elle cultivait ses magnifiques plantes.
Ainsi, grand mère et petite fille, firent un peu de jardinage. Anna était très enthousiaste de travailler avec Lucia, qui avait l'air de savoir comment arroser les fleurs. Anna avait éventuellement prévu une plus petite arrosoir pour sa petite fille, ainsi pendant que mami s'occupait de l'entretien, Lucia, elle pouvait gérer l'arrosage.
C'est vrai que le travail bien fait sans un peu de saleté n'est pas facile, mais à la fin du travail manuel, Lucia n'en avait pas vraiment échappé.
Anna confia la charge de nettoyer Lucia à Franklin, pendant ce temps, elle irait faire un tour dans son bureau.
Lorsqu'elle arriva, elle trouva Georges qui l'attendait à l'entrée. Au contact du jeune homme, elle changea drastiquement d'attitude.
Il se tenait devant l'entrée et n'attendait qu'un mot pour entrer à son tour.
Elle n'eut pas vraiment l'envie de lui faire entrer, donc elle ne lui dit absolument rien sur le coup.
Assise à son bureau, elle sortit une pile de dossier qu'elle vérifiait sans cesse. Et puis.......
Anna : Hey Tyar! Come here, I have something to show you.
Sans ce poser de question, il entra et prît place. Anna retourna le dossier qu'elle lisait, et l'envoya vers Georges.
Anna : Read this for me !
Au début il fut intrigué par la requête de la dame, jusqu'à ce qu'il ne voit la date à laquelle fût rédiger le dossier.
Georges : Hein ? "Rapport médical.....du 03/04/1997 à 20h12.....ici la déclaration du médecin généraliste, Albert William. Nous avons bien reçu les deux patiente, mais des des complications se sont produites lors des deux accouchement...... simultanée......"
Anna : Stop !
Sur ces mots, Georges s'arrêta sans hésitation. Elle retourna la page que Georges lisait, ainsi que la page suivante et c'est sur la troisième page qu'elle le permis de relire.
Georges : Alors....."Suite à la mort du premier né de mademoiselle Ryan's, nous avons procédé à une opération. Nous nous sommes rendus compte qu'il y avait un autre bébé. Alors par chirurgie, nous avons enlevé le deuxième bébé, qui présentait des signes de vie très faible. Mais il aura besoin de cellules souches très bientôt pour survivre.......".
Il s'arrêta et se mit à regarder Anna, celle-ci assise à son bureau, s'allumait un cigare.
Anna : Continue !
Georges : Ok....."La patiente Anna Léon à réussi son accouchement et nous a offert un magnifique bébé, qu'elle a nommé comme son père...... Arthur Léon ! Par un contrat bien établi, l'enfant Arthur Léon a offert ces cellules, sauvant la vie de son ami Arthur Georges Ryan's.".
Dans un froid de frayeur, Georges s'arrêta sur la dernière phrase. Il arrivait à peine à regarder Anna droit dans les yeux, car il ne se disait qu'une seule chose.......
Georges : Ma vie n'est qu'une succession de mensonge......
Sur un ton ironique, Anna se moqua ouvertement de Georges, riant aux éclats et sans retenu.
Puis elle se leva et se rapprocha de Georges, elle prise le dossier et continua de le lire.
Anna : "Dans un contrat de garde, le père James Gilbert, pris l'enfant Arthur Léon, afin de rentrer vivre avec lui et sa femme. Suite du rapport, Juillet 2005, le docteur Albert William continuait d'observer les deux Arthur qui grandissent ensemble. Une remarque est à noter, les deux enfants ont acquis une ressemblance sans pareille. Mais disons plutôt que le jeune Arthur Georges, qui ressemble semblablement à Arthur Léon ; mais il est aussi à noter, que les noms des enfants ont été changés par leur père. Arthur Léon, devient Arthur Ryan's Gilbert ; Arthur Georges Ryan's, devient Georges Raul Tyar.".
Après cette passionnante lecture, Anna éclata à nouveau de rire, faisant trembler ce cher Georges encore plus.
Anna : Quelle touchante story, tu ne crois pas my little boy ?
Georges : Excusez-moi je vous prie !
Il se leva et sorti du bureau de Anna. Au couloir, il était dans un tel état qui faisait peine à voir. Il monta à l'étage, s'écroulant sur la terrasse du toit.
Cependant, dans le bureau de Anna, Annabelle sa fille, arriva avec Lucia sa petite fille.
Mais elle n'arriva pas avec le sourire aux lèvres, mais avec de mauvaise nouvelle.
Anna : Lucia.....come on my soon !
Annabelle : Mother !
Anna comprise par cette simple appellation, que Annabelle avait un message important à passer.
Anna : So what is there lining ?
Annabelle : Mom, she is here and she brings us a very important message.
Anna : What message is this ? To the point where she dares to show up in my home. I really feel on one level I'm getting old, people have forgotten who I was and who I am.
Anna attrapa la main de la petite Lucia, et avec Annabelle, elles allèrent vers la salle de séjour.
Dans cette pièce, tous ceux qui étaient présents à la demeure se trouvaient. Il y'avait entre autres, Georges, James et Moly, sans compter la mère Lucia.
Anna et Annabelle arrivèrent avec la petite fille, Anna avait son fauteuil spécial et c'est dessus qu'elle prise place, avec sur ces jambes la petite Lucia, qui vit......
Nour : Maman !
Elle fonça in-extremis sur sa mère, qui sera fort la jeune fille.
Anna : I heard you had something important to tell me Alkazair! So what is it about ?
Stella : Hello your majesty, I am truly honored to be.......
Anna : Spare me the noise, what is this all about ?
Stella expliqua alors posément la situation, le comment Arthur avait pris la nouvelle de l'enlèvement de Lucia et le fait qu'il l'ait mit dehors de la Casa.
De plus elle mise Anna au courant des intentions de Arthur et Roxane, de venir récupérer leurs amours. Cette déclaration fit éclater de rire, face aux mots de Stella.
Anna : Wow ! So like that, he wants to make war on me...... how cute ! But on the other hand, it excites me enormously, because my fateful meeting with my son will take place on a battlefield...... I feel that it will be wildly exciting.
Moly (C'est officiel, la vieille est devenu complètement cinglé.).
Sur cette excitation de Anna, Annabelle posa une question assez vexante.
Anna : Wow! So like that, he wants to make war on me...... how cute! But on the other hand, it excites me enormously, because my fateful meeting with my son will take place on a battlefield...... I feel that it will be wildly exciting.
Annabelle : Are we even certain that he will come ?
En l'entente de cette question, l'atmosphère de la pièce changea radicalement, par l'attitude que Anna commençait à afficher.
Anna : Don't be stupid ! Arthur will come, he will come for his daughter...... for my little girl !
La certitude de Anna était tellement grande, qu'elle s'imaginait déjà la scène.
Mais est-ce que cet affrontement, se hâtait avec tant de hargne ?
À Johannesburg, la tension montait de minutes en minutes.
Bureau de la famille Tyar :
C'est dans les locaux de l'entreprise familiale, que Arthur pensait à réfléchir à un plan d'envergure.
Il se trouve actuellement dans la salle de réunion avec leurs différents associés, pour une réunion budgétaire.
Dans ce genre de réunion, il donnait toujours l'impression d'être complètement perdu, mais pour une fois il était tellement concentrer, qu'il faisait des remarques et propositions très intéressantes. Cela était tellement incroyable qu'il prenne réellement son rôle de PDG au sérieux, que pendant les présentations, Béatrice l'attira à l'extérieur.
Béatrice : La réunion se passe bien à ce que je vois !
Arthur : Euh.... cela ne devrait-il pas en être ainsi ?
Béatrice : Je ne dis pas non, mais c'est un peu rare de te voir aussi impliqué.
Arthur : À t'entendre, on croirait que je ne suis absolument pas intéressé par ce qui ce fait ici.
Soudain, le téléphone de Arthur sonna. Mais bizarrement, celui de Béatrice aussi.
Chacun pris l'appel le concernant ; Arthur avait au bout du fil Émilie Wattson, alors que Béatrice, avait pour sa part la réception, qui l'envoya directement un appel international.
En ce qui concerne Béatrice, l'appel relié provenait tout droit de Lyon.
Béatrice : Béatrice Okin's Tyar, j'écoute !
Alicia : Mademoiselle Tyar, bien le bonjour, je suis Alicia Valentino, agent spécial d'Interpol.
Béatrice : Oh ! Interpol ? Bah ça alors, mais qu'ais je donc fait pour que la police des polices s'intéresse à moi ?
Alicia : Oh, mais rien ma chère.....du moins, rien que je n'ai déjà trouvé.
Béatrice : Quoi ? Mais......
Alicia : Je serait accompagné par mon homologue, monsieur Emmanuel Edou, pour notre rencontre futur.
Béatrice : Je ne comprends plus rien ! Mais qu'ais je fais de mal ?
Alicia : Vous peut-être rien, mais le reste de l'immense famille Tyar...... alors à dans deux jours !
Un appel des plus étonnant, et qui plus ait bondé d'incompréhension des plus effrayante.
Lorsqu'elle se retourna, Arthur se tenait devant elle, et avait la même expression faciale qu'elle..... celle de quelqu'un intrigué et surtout plein de questions.
Lorsqu'elle voulut expliquer ce qu'y venait de se produire à son cousin, celui-ci ne voulut même pas savoir de quoi il s'agissait et déclara dans ça course.......
Arthur : Quelqu'en soit le problème, je te laisse gérer ça.
Et il disparut comme un ninja.
Il prit sa voiture et fonça jusqu'au port, où un yot l'attendait. Il remarqua facilement, grâce au indications que l'avait envoyé Jordan, le majordome de Émilie.
Sur le bateau, il vit la jeune femme sur le pont, lisant une revue de presse, sous un parasol et sirotant de la limonade.
Emilie : Afrique du Sud 27-9 Pays de Gall à la coupe du monde de rugby ! C'était un match de fou......
Arthur : Je ne suis pas un grand fanatique du rugby, mais je croyais que tu avais quelque chose d'important à me dire.
Emilie demanda à Jordan d'amener un siège pour Arthur, afin qu'il soit dans les meilleurs conditions.
Arthur : Tu pars en croisière ?
Emilie : Non, j'aime juste la vue sur la mère. Et en plus je n'ai pas le temps pour des croisières. Mais quoique si d'envergure, tu voulais.......
Arthur : Émilie Wattson !
Lorsqu'elle vit la détermination avec laquelle il l'interrompit, elle comprise qu'il y'a un problème. Elle arrêta alors son discours plus qu'intéressant pour enfin aborder un sujet d'une tout autre affaire.
Emilie : Cette fois-ci, je ne t'apporte pas de mauvaise nouvelle, du moins pas concrètement....... j'ai retrouvé Naomi !
Arthur : Abon ? Mais c'est une bonne nouvelle ça !
Emilie : Oui je l'admet, mais elle est dans une situation particulière, mais comment t'expliquer calmement ?
Pour faire simple, Émilie a longtemps fait des recherches sur les Tyar, les deux dernières années. Avec une équipe disséminés dans le monde et le soutien du MI6, Émilie réussi à trouver et surveiller chacun des éléments importants pour elle.
Donc, ses recherches et indices trouver sur les rives de Barcelone, l'on fait hypothétisé d'innombrables solutions....... mais l'hypothèse ayant abouti était celle selon laquelle, Naomi a fait le long des 20km qui sépare Barcelone de Ceuta. Une équipe de diriger par code C', avait aussi suivi cette piste. Et donc après la nuit de la tentative de meurtre de Naomi sur Stella, le corps criblé de balle de Naomi réussi à saborder jusqu'à la côte de Ceuta au Maroc.
L'équipe l'a retrouvé dans un hôpital de la ville, où elle avait été prise en charge par une équipe de médecin traitant. Elle avait eût énormément de chance, car après une telle situation personne de normalement constitué n'aurai pû réussir à respirer de nouveau.
Elle fut rapidement remise sur pied en maximum un an et demi, puis avec les rééducations, en deux ans net elle pouvait réintégrer la société. Mais une chose avait intrigué Émilie, raison pour laquelle elle a précisé, que cette bonne nouvelle n'était pas concrètement bonne.
Après sa tentative raté au passage de l'autre côté, Naomi en revînt avec pas mal de séquelles, notamment une perte absolue de la mémoire. Et donc, les agents de la famille Léon ont pris les devants et se sont permis de s'occuper de Naomi.
Sur ces nouvelles informations, Arthur resta stupéfait, il se leva même à un moment. Il fît deux fois le tour du pont du bateau.
Emilie : Ils l'ont créés une nouvelle identité et l'on fait croire que c'était la meilleure. Aujourd'hui elle est institutrice dans une école arabe, où elle enseigne les langues occidentale, dont le français, l'anglais et l'espagnol.
Arthur : Comment ont-ils pu ?
Emilie : Tu veux la voir ?
Sur le visage du jeune homme, ce n'était pas forcément de la réjouissance que l'on pouvait lire...... mais bel et bien de la colère.
Arthur : Ils me le paieront.....tous autant qu'ils sont ! Les écrasés jusqu'au dernier.......
Emilie : Oh ! Mais ça commence à devenir intéressant, alors on part en guerre et je ne suis même pas au courant ?
Cette situation, qui amusait Émilie, était peut-être l'un des multiples rouages d'une détermination qui ébranlerait le monde tôt ou tard.
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