Vérité (1)

"La plus haute forme d'intelligence humaine, est la capacité d'observer sans juger". Jiddu Krishnamurti

Ma plus grande peur a toujours été de ne pas être à la hauteur de certaines tâches, qui m'incombait. Ainsi parfois, je me détournait de certains objectif, ou au pire des cas, j'évitais de faire quelque chose que je ne pensais pas pouvoir faire.......ah, mais c'est bien triste ! Sinon, aujourd'hui j'ai l'impression que j'ai changé. Je passe mon temps à courir de gauche à droite, pour satisfaire les désirs d'une gamine pleurnicharde.......ma petite Lucia, dit comme ça, on pourrait croire qu'elle est insupportable. Mais la vérité est que c'est la lumière, qui est venue éclairer mes sombres journée, et je suis fière d'être son papa.

———————————————

Au Mexique, l'escouade de commando qui avait capturé Georges, avait retrouvé la base où leur chef attendait avec impatience, l'arrivée du Tyar.

Mais cependant, à Johannesburg, la famille se retrouvait dans une immense joie.

C'est dans le bureau du président, que Julie la sœur de Arthur avait amené la petite Lucia. Elle avait commencé à jouer, avant que le Papa de Lucia n'arrive et trouve ses deux là.

À l'entrée, il resta sans faire de bruit, observant ses deux demoiselle s'amuser......et surtout, qu'il aimait voir sa petite fille sourire.

Mais malheureusement, il y'a une fin à toute les bonnes choses. Le téléphone de Arthur sonna, se qui attira l'attention de ses demoiselle.

Nour : Papa !
Julie : Frérot ?

Il s'excusa et pris l'appel sans tarder. Au bout du fil, c'était Stella, qui l'appelait pour lui mettre au courant de la situation.

Elle lui informa ainsi qu'elle fût victime d'un accident, sans toutefois préciser la gravité de la chose.

Ainsi donc après son appel, Arthur retourna dans son bureau pour retrouver les filles qu'il avait laissé.

Nour : C'était maman ?
Arthur : Euh....oui mon ange, c'était bien ta maman.
Nour : Alors, elle revient quand maman ?
Arthur (Stella, qu'est-ce-que tu ne me dis pas ? Un léger incident hein ? Moi, je parie que c'est ton boulot de l'ombre, qui ta mise dans cet état......je devrais surveiller ça de plus prêt.).
Julie : Eh oh..... Arthur, ici la terre !
Arthur : Oui désolé, mais......

Il n'en croyait pas ces yeux. Alors, il fît le tour complet de la jeune fille qu'il avait en face.

Il avait passé plus de cinq années à distance de sa sœur, qui a mûri et ne paraît plus être la petite Julie dont il a le souvenir.

Julie : Quoi ?
Arthur : Julie ?

Elle se riait de l'étonnement de son grand frère, qui n'en revenait pas ses yeux.

Julie : J'ai tant changé que ça ?
Arthur : J'y crois pas !
Julie : Mais soit un peu sérieux frangin, ça ne fait que cinq ans !
Arthur : Oui, mais faut avouer que cinq ans, c'est pas cinq mois.

Face à ces retrouvailles, la petite Nour en avait complètement oublié son chagrin.

De ce faite, à cet instant même Georges lui aussi faisait une découverte......du moins une redécouverte, car le passé lui collait à la peau.

Il avait été débarqué sur la côte Est, où dans un hangar assez lugubre il fût légèrement torturé, avant l'arrivée du chef.

On recouvrait sa tête d'un sac noir, qui l'empêchait de voir.

Assit sur une chaise, dans une pièce sombre, c'est là que le chef entra dans la pièce avec deux gardes.

C' : Alors, c'est toi, qui a réussi à donner tant de mal à mes hommes ?

Le son de cette voix lui paraissait bien familière, surtout qu'il n'avait pas trouvé d'autre personne avec cette voix.

Georges : Alors, j'ai à faire au boss ! C'est cool ça......mais mon vieux, soit un homme et daigne me regarder droit dans les yeux avant de me tuer.

Sur ces mots, il reçu un direct du droit, de la part d'un des gardes de la pièce.

C' : Mais dit moi mon garçon, qui t'a dit que l'on voulait te tuer ?

Puis on lui infligea une série de quatre direct du gauche et du droit.

Georges : Ahh..... ça me rappelle des souvenirs ! Mais au risque de me répéter, espèce de lache, as tu peur de me regarder en face ?

Sur cette déclaration forte, le chef se mit à rire. Puis, on lui retira se sac sur la tête.

Lorsqu'il ouvrit les yeux, il vit dans un premier temps une carrure imposante et par la suite, il vit son visage.

Georges : Non !

Il reconnaissait se visage, qui lui rappelait son enfance. D'où la reconnaissance de cette voix, qui était si particulière.

Georges : C'est impossible, tu es mort. Oui ce jour là, tu es mort devant moi, sous mes yeux !
C' : Alors Georgi, tu te souviens de moi ?
Georges : Non.....tu.... tu.....!
C' : Je me souviens aussi de cet époque, barbante où je jouais à la belle famille......ah ! À l'époque, je me faisais appeler......
Georges : James Ryan's Gilbert..... mon père !

Des rebondissements surgissent de partout, la vérité refera bientôt surface.

Pour le moment, faisons un petit voyage dans le désert des Emirats Arabes Unis.

Dubaï, 01h47 :

L'hélicoptère ayant servi à l'évasion de Sacha, par l'agent d'Interpol Alicia Valentino, venait d'arriver. Ils se posèrent dans un coin éloigné des regards et où des véhicules les attendaient.

Les véhicules les avaient conduis jusqu'à un hôtel où ils feraient le point sur les différents ordres de mission.

C'était un hôtel assez classique, n'attirant pas vraiment l'attention. Ainsi leur couverture, serait encore meilleur.

Mais dans la voiture, avant qu'elles ne sortent, Sacha posa une question à Alicia.

Sacha : Est-ce que ma famille, a une quelconque place dans tout ce bordel ?

Question à laquelle Alicia ne répondit pas, elle souria et déclara ironiquement.

Alicia : La vérité est une plante, qui se nourrit de trois chose : loyauté, foi et confiance.

Après cela, elle sortit de la voiture en sifflotant, laissant une Sacha dans une situation délicate.

Sacha (Ma parole, cette meuf est typiquement comme mon frangin..... compliqué !).

Dans la chambre d'hôtel, tout paraissait normal en comparaison, de se que pensait cette chère Sacha.

Elle était surprise du fait que pour un agent d'Interpol, Alicia soit aussi détendu, vue que la menace qu'elle doit affronter doit être très rude.

De ce fait, en parlant de menace, il y'a cinq ans, l'unité de Stella, c'est présenté au près d'une femme, qu'ils ont surnommé Sa majesté.

Une femme mystérieuse, au point où nous n'avons jamais su qui elle était vraiment. Mais tous les secrets, s'appliquent à la même règle.......shute !

Nous nous dirigeons, dans le nord de la Suisse, dans la ville de Zürich. Ici, dans un vieux domaine, subsiste depuis des années un manoir. Cette propriété ayant subi de nombreuses rénovation au fil du temps, à longtemps appartenus à l'une des lignées nobles de Zürich.

Au environ de 1998, elle fût rebaptisée en musé, avant d'être abandonné en 2002. Durant ce labs de temps, les nobles de Zürich traversaient une période difficile.

Au début de l'année 2005, Ferguson Léon un des nobles de Zürich, fît affaire avec trois hommes. Ensemble, ils eurent investi dans l'immobilier. N'étant pas assurée, car tous trois aussi pauvres les uns que les autres, ils ont été emporté par les épreuves.

N'empêche, qu'ils avaient réussi à gravir ses montagnes, qui se dressaient devant eux. Celà par le début de l'exportation de leurs business à l'échelle nationale.

Mais à tous bonheur un malheur, en 2008, une monstrueuse crise économique frappa le monde. Leur société n'arriva pas à échapper à celà.

Ferguson Léon proposa à ses amis, de se lancer dans un nouveau business. Il c'était alliés avec un puissant cartel italien, qui venait de s'installer dans la ville.

Une violente altercation débuta entre les quatres. Mais après avoir vu les remontées des deux, qui ont décidé de participer, les deux récalcitrants décidèrent de se lancer pour voir.

Ainsi pendant trois ans, ils profitèrent de l'argent de la drogue, afin de relancer leurs projets d'immobilier.

Mais les fleurs du mal ne sont jamais éternelles. À l'été 2012, le quatrième associé mourut, après une altercation avec les forces de l'ordre, qui l'avaient coincé dans son domicile en France.

Après cette perte, ils prirent la décision de s'arrêter là. Le noble de Zürich décida de rester dans la drogue, pendant que ces acolytes se décidèrent à repartir à leur business de départ.

Les deux amis parti, réussirent à se refaire et devenir internationaux ; pendant ce temps, le noble de Zürich perdu tous lorsque le cartel chuta en 2014.

Sa famille se trouvait dans le déni, il prit ses amis pour les fautifs et les accusa même d'avoir volé son entreprise.

Mais une lueur d'espoir brilla en fin 2014, avec le retour de sa fille qui était allé en Russie pour faire ses études.

Elle revint et reprise la famille, consolant les pleureurs et écoutant les sornettes de son père. Elle entra ainsi en guerre contre les hommes, qui d'après son père l'ont trahi.

Ainsi, en août 2015, elle racheta la propriété familiale et la renova. Puis pendant toute ces années, elle ne cherchait qu'une seule chose, trouver le moyen de se venger.

Jadis la petite fille, âgée aujourd'hui de 28 ans est prête à concrétiser ses plans, détruisant ses ennemis au passage. La douleur dans le mensonge, rappel un incendie causé par l'ignorance d'un enfant jouant avec le gaz.

Zürich, Suisse 22h17 :

Dans le manoir, la femme déterminer se tenait à la fenêtre, observant le ciel étoilé. Et c'est là qu'un de ses subordonnés, l'approcha.

La femme en question, se nommait Annabelle Léon. Son majordome, Franklin, lui apportait du thé et un message de la plus haute importance.

Franklin : Le thé est prêt mademoiselle !

Elle se retourna et lui fit signe de servir. Puis elle vint s'asseoir, prise le journal et commença à le lire.

Franklin : Les nouvelles ne sont pas très bonne mademoiselle. Nous.......

Elle leva sa main, l'interropant dans son discours. Elle prit une gorgé de thé et sortie son téléphone, le passant à son majordome.

Il appela le premier des deux seuls numéro, que contenait le dit téléphone.

Elle posa son journal et attrapa sa tasse, puis elle se leva et se rapprocha à nouveau de la fenêtre.

Lorsque l'appel fût pris par le destinataire, le majordome mit le téléphone sur haut parleur, et c'est là qu'il prononça un nom qui nous est familier.

Franklin : Mr. Joyce ! C'est Franklin.

Puis il posa le téléphone sur la table et s'en alla.

Cependant, plus au sud, en Afrique du Sud, les Ryan's se retrouvaient à nouveau chez eux.

Cette maison que Julie avait connu à l'époque, n'avait presque pas changé. Pourtant, on l'avait faite comprendre qu'elle avait volé en éclats lors de l'accident de leur mère.

Il était 20h et Arthur, avait fait coucher Lucia, qui s'était endormi très tôt ce soir.

Alors il rejoignit sa sœur au salon où une séance de vérité devrait débuter.

Julie : Alors par quoi veux tu commencer ?
Arthur : Où étiez vous ?
Julie : Je vois que tu ne va pas sur les contours toi...... comme d'habitude ! Alors, sa t'irait si je te disais, que j'étais en mission ?
Arthur : Quoi ?

Il y'a exactement cinq et six mois, Isabelle reçu un message. Le dit message, lui fût apporter par un livreur de pizza.

Elle en était très intrigué, alors elle n'en parla à personne. Dans ce message, une expression l'intriguait : "La mort s'habille en rouge et porte une croix, réfléchis et agit".

Elle cogita dessus pendant des semaines, jusqu'à ce qu'un jour, alors qu'elle se baladait avec sa dernière paire de jumeaux, un incident se produisit. Alors qu'elle garait la voiture dans un parking, pour faire les courses, les jumeaux se disputaient à propos de savoir qui porterait les sacs de course au retour. C'était donc à cet instant, qu'une moto passa, le tireur armé d'une mini mitrailleuse, lâcha une salve de balle sur la voiture.

Malgré ses réflexes, Isabelle ne pu sauver au mieux ses enfants. Julie et Ronaldo reçurent trois balles chacun, et par chance, aucun point vital ne fut touché.

Après cela, elle les conduisit à l'hôpital le plus proche. Cet action permis que leur état ne s'aggrave pas plus que cela.

Pendant un bon moment, les jumeaux furent caché, jusqu'à leur guérison. Et donc se jour où Arthur réparti pour la France avec Georges, se fût le moment où Isabelle reçu un deuxième message.

Dans ce message, il était question de jeu dans la neige, de ski et de gros manteau. Se messages là était plus complexe, sans qu'elle ne puisse réellement deviner qu'elle en était la source.

De retour ce jour là à la maison, Ronaldo lui présenta un vieil album photo, où Isabelle vît et se rappela de quelque chose.

Sa grande tante Elène, qui vit en en Syrie, leur avait fait une promesse lorsqu'elle était plus jeune. À sa sœur Cynthia, son cousin Zacharie et elle, qu'elle viendrait les chercher un jour pour les emmener.

Alors elle alla voir sa sœur, à qui elle racontait tout. Mais arrivé chez Cynthia ce jour là, elle reçu un nouveau message, cette fois ci par téléphone.

Ce dernier message était tiré d'un compte pour enfants, le petit chaperon rouge :

"— Mère grand, que tes dents sont pointu !
— Mais oui mon petit, car c'est pour mieux te manger !"

Dès cet instant, alors qu'elle se tenait déjà devant la porte, Isabelle rebroussa chemin. Et se même soir, elle mise ses petits dans un hélicoptère en direction du nord de la Russie.

Julie : Ainsi, nous avions atterri chez notre grande tante Elène, où nous avons passé ces cinq dernières années.
Arthur (Ma grande tante Elène, j'ai entendu parler d'elle. Elle fût la meilleure de son domaine, en son temps. Elle fût la garde du corps d'un chef d'armée Russe lors de la guerre froide, qu'elle épousa plus tard..... une femme étrange !).
Julie : Mais......

Des larmes, notre jeune amie, versa des larmes alors qu'elle commença à parler de la mort de sa mère et de ces conditions.

Julie : J'aurais dû être là..... elle s'est sacrifiée pour nous...... j'aurais.......

Sur ces mots, Arthur posa sa main sur l'épaule de sa sœur et essuya ses larmes.

Arthur : Je me suis dit exactement la même chose petite sœur. Mais..... même si nous étions tous là, sa n'aurai rien changé.
Julie : Oui..... mais !

Pour sa première fois, il montra un véritable signe d'affection en prenant cette dernière dans ses bras.

Arthur : Garde ton énergie sœurette, réserve là pour quand on mettra la main sur les responsables.
Julie : Oui !

Des révélations assez particulière nous arrive, mais quoi d'autre aurons nous ?

Après une semaine passé dans cette planque au Mexique, le bataillon de James le père des Ryan's, devrais faire un long voyage pour la Suisse.

Un hélicoptère, se posa alors que Georges mettait de nouveaux vêtements.

Son père rentra dans la chambre où il se changeait, dès lors un immense silence s'abattit dans la pièce.

James : Salut fiston, prêts pour le grand départ ?

Sa question fût ignorer complètement par son fils, qui le traversait comme si de rien n'était. Il sortit de la chambre, laissant son père seul à l'intérieur.

Celui-ci, ignoré par son fils ressenti un sentiment particulier, un sentiment de frustration.

Alors il se précipita vers l'extérieur où il attrapa son fils, et le bloqua contre le mur.

James : Petit ingrat, comment oses tu m'ignorer ? Sais tu ne serais ce qu'une infime partie de ce que j'ai fait pour toi ?

Sur ces mots très éloquents, Georges se mit à rire. Puis il s'arrêta un instant, regardant froidement son géniteur avant de se remettre à rire.

James : Sale gamin, décidément tu n'as pas changé ! Tu es toujours le petit garçon effronté que tu étais dans le temps.

Encore cette fois, Georges se mit à rire au regard de son père. La colère de celui-ci n'en était que plus belle, mais il se calma lors qu'arriva sa seconde.

Il s'agit là de la jeune Milena Olivier Yacine Alexandra, jeune diplômé de Oxford en réseau et Telecom et Bachelor en électronique.

Comme vous l'avez sans doute remarqué, elle a un nom qui vous rappelle quelqu'un que nous connaissons très bien.

Ils y'avait des traits de ressemblance entre ces deux là.

Alors la belle Milena se rapprocha d'eux, déclarant que sa majesté veux les voir sur le champ. Ainsi pour le départ, elle s'accrocha fortement au bras droit de Georges.

Moya : Alors trésor, on est pas très bavard à ce que je vois !
Georges : Tu veux pas me lâcher ?
Moya : Moi, je m'appelle Milena Olivier Yacine Alexandra !
Georges : Tant que ça ?
Moya : Oui je sais, mais tu peux faire comme tout le monde, et m'appeler Moya.
Georges : De mieux en mieux !

Ils s'en allèrent jusqu'à l'aéroport le plus proche, et ils prirent un Jet privé en direction de Zürich.

Cependant, de l'autre côté du monde, une guerre se terminait.

Osaka, Japon 21h17 :

Nous sommes dans une bande lieu de Osaka où une sorte de conquête se terminait. Cela se faisait entre une unité de mercenaires et des yakuza de la ville.

Après une séance de tirs et l'apparition d'un bain de sang, ce cinéma prit fin.

Le groupe de mercenaires était dirigé par la géante Émilie Wattson ; elle avait un magnum 351 modèle c. Elle même avait abattu près de six personnes, mais néanmoins, il restait un nombre assez conséquent parmi les yakuzas.

Emilie : Sakayanagi Hiromuta, head of the yakuza in the northern district of Osaka.
Hiromuta : Who are you ? And what do you want ?
Emilie : I heard that you and your men...at least the remaining ones, were part of one of the largest intelligence organizations in the world. At this tragic time when the emperor dissolved this organization, you did not rest on your laurels. Through generations you have continued this art.
Hiromuta : Who are you ?
Emilie : Me ? Let's say that I am Madam Luck and today, I smile at you ! You and I are going to do great things.

C'est sur cette discussion assez improvisé, que Émilie engagea un groupe de yakuza, qui autres fois étaient les meilleurs de toute l'Asie dans le domaine du renseignement.

Quelques minutes après son départ, elle se dirigea vers une de ses auberge encore traditionnelle de la ville. Elle alla ainsi dans les sources thermales, où elle prise un bain.

Pendant sa pose détente, son majordome arriva, l'informant d'un appel très important.

Emilie : Qu'est-ce qui est plus important qu'un bain de source thermale Jordan ?
Jordan : Votre amie mademoiselle ?

Au téléphone, la voix de son amie était celle d'une femme.

Emilie : Mon amie......oui, je vois ! Les Tyar ? Mais je...... d'accord !

Elle mise fin à l'appel et se mise à sourire, et même à en rire.

Emilie : Jordan !
Jordan : Oui mademoiselle !
Emilie : Demande à Géraldine de nous faire son spécial soupé et que le manoir rayonne...... nous avons un invité de marque pour demain soir.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top