Tu te souviens de moi ? (3)

"La vie est merveilleuse, il faut trouver en toi : la justice, la grandeur, la simplicité, le bonheur.". Jean d'Ormesson.

La mort est un concept bien tragique, un homme, une femme, un enfant ou même un embryon..... quelqu'en soit la personne qui décède, la douleur est la même. La perte d'un être aimé, quelqu'un nous ai cher, n'est jamais facile..... parfois l'on saccage des maisons ; pour d'autres, ils picolent sans s'arrêter ; certains entre dans une dépression immense, perdant ainsi tout goût à la vie. Mais moi..... comment dire ? Lorsque j'ai perdu ma mère, je n'ai pas foncièrement eu de la colère, ou même de la tristesse, et encore moins du regret. Le sentiment qui me tenait, n'est autre que.......

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C'est dans le cimetière de la famille Tyar, que Arthur comme à son habitude, se trouvait en ce début de matinée. Il avait apporté un livre, qu'il lisait.

Il racontait aussi parfois des anecdotes sur sa nouvelle vie de papa, contant les crises qu'il pouvait piquer chaque jour.

Parfois il l'arrivait de verser quelques larmes, quand il se rappelait de ces moments passés avec Isabelle.

C'est alors qu'il racontait une blague, qu'elle arriva. Une bouteille à la main et des larmes aux yeux.

Sacha : Qu'elle enmerdeuse tu ne crois pas...... le rouky ?

Cette voix, il ne l'avait que trop côtoyé.

Arthur : Sacha ?

Le visage en larme de Sacha l'émouva lui aussi, au point qu'il versa quelques larmes de joie de voir ça sœur.

Sacha : Même six pieds sous terre, elle tient toujours cette tronche ?

Cependant dans la salle de réunion, les agents d'Interpol patientait la venue du président, mais ils furent surpris lorsqu'ils virent entrer une jeune femme.

Béatrice, avait pour habitude de géré l'ensemble des taches de ce cher Arthur, ne faisant ainsi de lui le président que de nom. Dans les coulisses, c'est elle le bras droit, qui gérait tout les soucis.

Donc c'est elle, qui devrait s'occuper de l'accueil des agents d'Interpol.

L'atmosphère était assez tendue, et c'est dans cet hostilité que le subordonnée de Mr Edou, monsieur Zaher Malick.

Zaher : Alors si je comprends bien, votre chef est déjà arrivé, mais il est trop occupé à autre chose.
Béatrice : Dit comme ça......
Zaher : Savez vous ma chère, qu'il s'agit d'une situation particulière ?

Alors que monsieur Zaher remontait les bretelles à Béatrice, Alicia terminait une discussion avec un contact, qui l'informa de quelque chose de particulier.

Zaher : N'êtes-vous pas d'accord mademoiselle Valentino ?
Alicia : Hein ?

Elle n'avait rien comprise à leur chamaillerie.

Alicia : Il est plus que temps, que nous débutons cette entre vu, avec ou sans votre chef. Si vous êtes là, alors cela ne veut dire qu'une chose...... vous venez après lui ! Et si j'ai bonne mémoire, c'est avec vous que j'ai discuté au téléphone......si la réception m'a transféré directement à vous alors......il se pourrait que, compte tenu des pratiques de votre chef, ce soit réellement vous qui dirigiez cette boîte.
Béatrice (Elle est perspicace ! Elle a tout de suite comprise la situation à laquelle nous faisons face.....une vraie enquêteuse. C'est officiel, on a vraiment les flics, qui nous collent aux bask.).
Alicia : Alors mademoiselle Okin, peut-on commencer ?

Béatrice souria, calmement elle alla s'asseoir. Elle sortit ses lunettes, ses dossiers sur l'entreprise et sa tablette.

Béatrice : Alors, mes chers amis d'Interpol......et si l'on commençait ?
Alicia (Elle n'a pas froid aux yeux..... je sens qu'elle va me plaire celle-ci !).

Alors que les grands parlaient affaires, les enfants eux, se remémoraient le passé.

Parlant de leurs bons moments avec leur mère, tout en descendant cette bouteille de scotch qu'à apporté Sacha.

Mais dans le tas, Arthur interrogea sa sœur sur son arrestation. Elle pour sa part, lui demanda comment il a fait pour redresser le navire.

Sacha commença, elle l'expliqua comment les évènements se sont déroulés et comment elle avait rapidement été jugé, comme si tout était prémédité.

Arthur : Un complot !

Est-ce vraiment cela ? Question que se posait Sacha, mais ça, c'était une question que son cher frère lui ne pouvait se poser connaissant leur bouro.

Sacha : Complot......? J'en sais foutrement rien, mais j'suis sûre d'une chose..... le coup sur la vieille était calculé.
Arthur (Bien-sûr, Julie m'avait parlé d'avertissement que Isabelle avait et aussi.......).
Sacha : Ma nouvelle boss, m'a parlé d'un ennemis que nous avons en commun..... je ne sais pas pourquoi, mais je pense que tout ce bordel c'est lui qui l'a commis....... le bâtard !
Arthur (Sa nouvelle boss ? Je me demande qui ça peut-être, mais encore plus, j'aimerais savoir comment elle à fait pour réduire et effacer la peine de Sacha.).
Sacha : Sinon, tu peux m'expliquer comment t'as fait pour épouser cette allumeuse de Stella ?

Arthur ria sur le coup, non pas parce que c'était amusant..... mais parce que à chaque fois qu'il entend le nom Stella, il se rappelle Lucia et ainsi, ce dernier pique une colère noire.

Sacha : Je parie que cette fille à papa doit être dans un salon de coiffure ou devant son miroir.
Arthur : Peut-être bien oui.......
Sacha : Mouais !
Arthur (Du moins, j'aurais aimé qu'elle soit effectivement cette fille à papa..... que d'être une espionne, qui travaille pour notre ennemis.).

Alors Arthur expliqua comment il avait réussi à relever le niveau de la famille. Grâce à la détermination de son oncle, l'intelligence de Béatrice dans le management et l'argent des Alkazair, ils avaient remonté l'entreprise qui avait casiquement chuté.

Il insista ainsi sur le fait, qu'il n'a presque rien fait. Que leur renommée est revenue de plus belle, grâce à la publicité des Alkazair et ou les talents diplomatique de Béatrice. Sans compter les contacts de Zacharie, qui étaient pour leurs parts resté fidèle.

Arthur : Alors en épousant Stella, qui est l'héritière des Alkazair, je pouvais par son intermédiaire profiter de tous les biens fait.....je profite encore pour faire remarquer que je n'ai presque rien fait de très spécial.
Sacha : Toujours aussi modeste, mais ça ne t'aidera pas de fuir les projecteurs. Moi je me dis, que malgré tout les atouts de ces coincés, il leur fallait un élément précieux pour réussir....... un leader !

Cette déclaration réussi à atteindre ce cher Arthur droit au cœur, lui remontant ainsi le moral.

Arthur : Venant de toi, ça me fait très plaisir.
Sacha : Ouais je sais ! J'ai toujours eu ce don pour encourager.

Pendant que les enfants ce riait de leur prouesses, les grands entraient dans une phase décisives.

Alicia présenta un arsenal d'événements, s'étant produits dans la période 2017-2019. Elle insista notamment sur l'infiltration de Marc en Algérie, suivis d'une mission d'extraction mené par Sacha. Sans compter l'histoire de la mort de Annabelle à Manchester ; mais aussi l'histoire entre Angela et Naomi.

Effectivement, lors de ces événements, les Tyar étaient plus ou moins impliqué.

Béatrice : Oui, je dois l'avouer......ce sont là des évènements que nous aurions aimé oublier.
Alicia : Abon ? Mais dites moi madame la responsable, vous êtes vous déjà demandé ce qui se disait dans ces pays ?
Béatrice : Euh......

Bien évidemment, avec tous les soucis qui leurs sont tombés dessus ses dernières années, sans compter les morts enregistrer, la famille ne s'est jamais posé cette question.

Alicia : Mais qu'est-ce que vous êtes gonflez vous les Tyar ! Vous foutez un bordel pas possible et vous vous imaginez que l'on va nettoyer derrière vous ?
Béatrice (C'est vrai...... l'on ne s'est jamais posé cette question, pourtant Isabelle, elle aurait pû y penser.......).
Alicia : Vous n'imaginez pas comment cela a été difficile de calmer les choses, nous sommes passé à côté d'un désastre international.

La colère de Alicia était vraiment justifier, surtout que leur désordre avait fait dans le monde.

Alicia : L'Italie, l'Angleterre, la France et par extension, l'argentine, le Cameroun et même l'Afrique du Sud n'en na pas échappé. Vous vous prenez pour qui au juste ?

L'exposition de tout ce désastre aux yeux de Béatrice, qui comprise l'ampleur des dégâts.

Soudain, un appel interrompu le sermonage de Alicia. Elle sortit de la pièce et s'en pressa vers l'extérieur.

Elle prise l'ascenseur pour migrer vers le bas, et lorsqu'elle sortie de l'ascenseur, elle croisa quelqu'un.

Yeux dans yeux, les deux se regardèrent avec un tel désir...... lorsque Arthur lâcha Alicia, il souria légèrement.

Arthur (Ce regard......il ne me trompe pas...... c'est .......!).
Alicia (Arthur de la famille Tyar...... le regard ténébreux, la mine perdu, la peau douce.......).
Arthur : Vous êtes une belle femme !
Alicia : Hein ?

Soudain la jeune femme se mise à rougir, ses yeux pétillaient et ses mains tremblaient. Mais cet à ce même moment, que Sacha arriva une bouteille de scotch à la main. Elle était complètement soule, sa démarche inspirait même l'amusement.

Alicia : Dites moi que je rêve ! Hé Sacha, comment tu fais pour être soule à une heure pareille ?
Arthur : Hein ?

La réaction de Alicia étonna Arthur, mais cela lui fit comme un choc.

Alicia s'en alla tirer les oreilles à Sacha.

Sacha : Désolé boss, j'ai eu une petite soiffe.....et en plus c'est le frangin qui a commencé.
Alicia : Le frangin ?

Arthur se rapprocha, avec un regard devenus soudain très froid et sérieux. Il attrapa le bras de Alicia.

Arthur : Le blouson.....il cache bien cet insignes sur cette poitrine..... sans compter l'arme, qui est confortable la dessous.
Alicia (Il a l'oeil...... c'est vraiment incroyable !).
Arthur : Mais c'est cool ça, ta nouvelle boss c'est un agent d'Interpol.
Sacha : Ouais, et elle est super canon, tu ne crois pas ?

Soudain, un homme à l'accueil, il portait un masque. Il sortit une mitrailleuse et là.....

Arthur : Attention !

L'individu commença à tirer dans tous les sens, visant tous les présents. Arthur par son intervention rapide, réussi à s'interposer pour protéger Alicia.

Sacha réussi à sortir de ce piège, elle utilisa son arme. Deux balles fût tiré par la jeune femme, l'une dans la cuisine gauche de l'individu et l'autre dans son bras droit.

Alicia : Ar.....thur.....?

En s'interposant, Arthur reçu deux balles dans le dos.

Alicia : Oh non ! Vous..... vous.....!

La jeune femme fondi instantanément en larme devant son sauveur, lui qui la regardait avec ces yeux affectif alors qu'il crachait le sang.

Il s'écroula alors ainsi sur la jeune femme, s'endormant sur elle.

Arthur (Cette sensation, elle me rappelle......ah mais oui, c'est la douceur apporter par une belle femme. Et.....non ce n'est pas ça ! C'est elle qui me fait cette sensation, elle.....me rappelle.....N.....N......).

Il s'endormit sur la jeune femme, qui commença à appeler à l'aide.

Lorsque qu'il ouvrit les yeux, il avait la tête sur les genoux de Alicia, qui le maintenait éveillé.

Les secours l'embarquèrent vers les urgences du bureau. Il fut rapidement pris en charge par les meilleurs médecin présent, surtout celle que tous connaissaient comme étant le docteur miracle.

Après une bonne heure, Arthur était bon, il se reposait dans une chambre. Béatrice arriva accompagné de Alicia.

Arthur : La belle femme d'Interpol !
Alicia : Le roi des Tyar !
Béatrice : Cousin ! J'ai eu tellement peur...... j'ai cru....

Elle fondit ainsi en larme sur les genoux de Arthur, qui n'arrêtait pas de son cousin.

Alicia : Je vous ait tant attendu vous savez ?
Arthur : C'est une qualité chez vous d'être aussi belle ?
Alicia : C'est une qualité chez vous de faire coque ?

Les deux se mire soudainement à sourire, jouant ainsi à un petit jeu de fixation.

Arthur (J'ai eu une impression tout à l'heure...... mais je ne ressens plus rien tout d'un coup alors peut-être que......).
Alicia : Je crois que nous n'avons pas été présenté, je suis l'agent spécial Alicia Valentino d'Interpol.
Arthur : C'est bien ça, vous avez réussi votre vie.
Alicia : Vous vous êtes.....
Arthur : Amoureux !

L'étonnement de la jeune femme était plus que évidente. Le jeune homme, voulais jouer à un petit jeu de séduction, mais avant de ce laissé prendre, elle ne devait oublié qu'elle doit accomplir une mission.

Elle exposa les faits et les diverses conséquences sur le monde, mais elle ne fît pas que cela, elle se fît plaisir et offrit un ultimatum aux deux représentants de la famille.

Alicia : Ce genre de dégâts et de répercutions ne doivent plus se reproduire à l'avenir ! Quelqu'en soit vos problèmes ou vos soucis.....si à l'avenir, le nom d'un seul Tyar se retrouve mêlé à une histoire d'envergure internationale, vous aurez affaires à moi.

D'un ton fort, elle avertissit Béatrice et Arthur.

Arthur : On vous a déjà dit à quelle point vous êtes belle lorsque vous êtes fâché ?
Alicia : Plaisanté si cela vous amuse, mais mon avertissement est passé.

Alicia se retourna pour s'en aller, jusqu'à ce que.......

Arthur : Alicia..... c'est bien ton nom n'est ce pas ?

Le sérieux avec lequel il l'appela, l'imposa à s'arrêter.

Arthur : Tous les problèmes que nous avons orchestré ou avons subi, c'est à cause d'elle.
Alicia : Elle.....?

Droit dans les yeux, Arthur énonça l'incident à Cuba. Alicia resta focus sur une incompréhension des faits, comme si elle n'en savait rien..... mais oui, elle n'en savait réellement rien.

Arthur : Vous devrez bien le prendre en compte mademoiselle Valentino, sachez que j'ai un contentieux à régler avec la femme de Zürich..... croyez moi, ça va être sanglant.
Alicia : Je retirerais alors la licence de tous vos agents. Voulez vous vraiment envoyé tous votre personnel à la retraite, pour un caprice ?
Arthur : Elle a causé la mort de ma mère et ma tante, elle a fomenté un coup bât et ma sœur a prise 30ans, Naomi a reçu six balles avant de s'écrouler dans la mère, mon frère Ronaldo et ma sœur Julie ont grandi caché comme des animaux, car elle a essayé de leur tuer...... sans compter qu'elle a probablement fait tuer mon frère Georges.......
Alicia : Hein ? Mais......
Arthur : Et il y'a peu, elle m'a prise ma petite Nour....... alors ma très chère et belle Alicia, si pour vous ces raisons ne sont que l'expression d'un caprice, alors commencez des à présent à retirer la licence de tous notre personnel, car nous sommes vraiment nombreux.

Cette déclaration de Arthur, calma rapidement les ardeurs de Alicia.

Les mots de Arthur étaient pleines de sérieux et de détermination, il avait trop longtemps joué comme remplaçant, mais le jour où il serait titulaire approche à grands pas.

Le soir venue, notre amie Alicia, rentra toute seule à l'appartement prévu pour son équipe ; Sacha était rentré à la Casa, Julius à Addis-Abeba, alors il ne restait que Alicia.

Dans cet immense appartement, notre amie repensait fortement aux événements de la journée, notamment de sa croisade avec Arthur à la sortie de l'ascenseur.

Alors qu'elle se remémorait ces événements assez amusant, son téléphone se mit à sonner.

Alicia : Émilie ! Tu ne croira jamais ce qui c'est passé aujourd'hui......
Emilie : Vas-y chéri, raconte à maman.
Alicia : Je l'ai enfin vu !

Cependant, dans les rues de Johannesburg, Arthur faisait une petite balade en compagnie de Sacha. Alors qu'une pluie débuta, Sacha proposa à son frère d'aller boire un coup, patientant la fin de la pluie.

Au bar, ces deux là burent assez pour que Sacha décide d'aller faire un tour au toilette. À son retour, elle reçu un appel des plus importants et fût obligé de s'en aller sans prévenir.

C'est donc après une trentaine de minutes, qu'elle envoya un message.

Abandonné à lui, il termina son verre et décida de rentrer, lorsqu'elle prise place en face de lui.

Arthur : An.... Anna Léonard.....?
Anna : Bonsoir Arthur, c'est maman !

Le jeune homme ne s'y attendait pas vraiment, c'était un moment plus que jamais effrayant pour lui.

À ce moment même, une descente de commandos se préparait. Au alentour du port de Johannesburg, alors qu'une unité spéciale dirigé par Zaher opérait, l'unité de commandos dirigé par par les Léon s'effectuait.

Les deux missions coïncidaient car pendant que l'unité d'Interpol cherchait à récupérer une cargaison de drogue, l'unité des Léon voulait faire pareil.

Alors un affrontement débuta, rapidement Alicia fût mise au courant, alors c'est pour l'épauler, que Sacha avait abandonné Arthur.

Sur place, les coups de feu retentissaient de vive voix. Alicia et Sacha qui venait en renfort, furent littéralement la différence.  Alors que Alicia fonçait dans le tas, Sacha elle s'occupait d'abattre à distance les ennemis, grâce à ces talent de sniper.

Le duo fit ainsi jusqu'à réussir à évacuer les blessé, mais malheureusement, cela n'eut pas suffit concrètement. Alicia fût bloqué par un dernier agent, qui n'hésita pas dévoiler son visage.

Alicia : Hein......?

Il s'agissait de Jonathan Léon, le frère et sosie de Arthur. Dans cet obscurité, Alicia et les autres le confondirent, mais pas une en particulier.

Johnny : Alors, tu te souviens de moi.....ma petite n......

Une balle fût décocher vers eux, puis une deuxième, et une troisième, ainsi de suite jusqu'à ce que Jonathan.

Elle se rapprocha d'eux, donnant un coup de main à Alicia pour évacuer. Mais alors qu'ils s'en allaient, une troupe les encerclèrent et là, elle entendit cette voix si familière qui l'appelait.

La jeune femme hésita énormément, elle ne se retourna même pas. Mais c'était bien ça voix, la voix de.......

Sacha : Papa.....?
James : Alors mon petit canard, tu te souviens de moi ?

Lorsqu'elle se retourna, il était là en face d'elle, lui qui jadis l'avais sauvé au péril de sa vie. Cet homme qui avait toujours veillé sur elle, celui qui l'avait tout appris......cet homme qu'elle et ses frères et sa sœur admirait comme étant le meilleur agent de protection rapprochée.

Sacha : Non..... putain c'est impossible.......!
James : Alors tu te souviens de moi ! C'est super ma petite puce, et si......

Lorsqu'il fût un pas, elle tira une balle dans le vide. Lorsqu'il essaya à nouveau de s'approcher, elle tira de nouveau.

Sacha : Putain..... ne t'approche pas de moi......t'es fantôme c'est ça ? Un putain de fantôme......
James : Un fantôme ?

Face à la terreur de sa fille, James éclata de rire.

James : Mais ma fille, je suis bien là devant toi......si tu veux, tu n'as qu'à demander à ton frère !

C'est là qu'il sorti de l'ombre, celui qui était récemment apparus, mais nouvellement connus comme le sosie de Arthur.

Sacha : De quoi tu parles ? C'est pas mon frère ici, il le ressemble peut-être bien, mais c'est pas mon reuf.

Alors que les deux hommes se moquèrent, Sacha observait la zone. Autour d'eux se trouvait des conteneurs à perte de vue, mais au dessus d'un se trouvait une pile de tuyau en métal retenu par un câble. Elle réussit à prévenir Alicia et les autres du regard, puis elle tira sur le câble, jusqu'à ce qu'il lâche.

Alors que les tuyaux tombaient sur James et ses hommes, Sacha et les agents réussirent à s'enfuir.

La journée se terminait sur une assez mauvaise note, les nouvelles et les jeux violent se sont enchaînés, sans compter les émotions et les sensations.......les Tyar sont-ils vraiment maudis ? Nous le saurons bien assez tôt !

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