Tu te souviens de moi ?
"La peur, ce sentiment de faiblesse. Mais si elle n'existait pas, l'on ne saurait pas ce que ça fait de prendre des risques." Arthur Tchinda.
À votre avis, qu'est-ce-qui est le plus difficile dans cette vie ? Affrontez ses peurs ou se retourner derrière ses échecs ?
Sinon salut à tous, sa fait un bail ! Alors comment faire le topo ? Je me suis marié avec une vipère, j'ai eu une gamine qui passe son temps à chialer, sans compter, que j'ai un boulot super casse couilles.......bref, l'éclate quoi ! Un retour assez conséquent de notre famille se devait, nous avons pu remonter la pente et redresser le navire. Sinon c'est reparti pour un tour......ah, quel galère. N'empêche repensé à ma question.
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Après tant d'années, oui cinq ans pour être plus précis, c'est là le temps qui s'est écoulé depuis le mariage de Arthur et Stella.
Le calme était revenu à Johannesburg et dans le monde en général. Du moins, c'est ce qui paraissait...... l'orage était juste passé, mais le feu brûlait encore au fond des cœurs à se jour.
Dans un coin perdu, sur une des îles des Caraïbes. Une zone de haut plateau, plus précisément au sommet d'une falaise.
Une maisonette de bois de chaîne y était construite, accueillant ainsi une charmante famille de quatre. Deux enfants jumeaux, Junior et Rébecca. Leur parents étaient très particulier, ils avaient décidé de s'écarter de la population, mais de façon discrète. Vivant le jour avec le reste de la population et faisant la fête avec eux ; puis le soir, retournant sur leurs terres et vivant entre eux.
Par ce mode de vie, l'on porte à croire qu'ils vivent parmi les foules, ce qui n'est qu'une image, ainsi personne ne saurait réellement où ils se trouvent réellement.
C'est donc sur cette famille, que le passé va se manifester.
Cuba, 11h47 :
C'est ici, sur cette île des Caraïbes, que vît un de nos anciens amis. Il avait réussi à se faire oublier de tous, et à vivre heureux avec sa bien aimée.
Il avait eu une fin d'adolescence assez agité et surtout pleine de désarroi et de terreur.
Voilà cinq ans, après que sa tête et celle de sa compagne ne soit mise à prix. Notre cher ami Georges Raul Tyar, qui s'était jadis enfuis au côté de Roxane, amie d'enfance qui se devait d'espionner l'organisation de la femme de Zürich.
Ils avaient réussi à disparaitre des radars, en s'évanouissant dans la nature. Fuyant les deux premières années comme des gibier bon pour la chasse.
Mais à ce jour, ils ont réussi à trouver refuge sur Cuba où ils vivent heureux avec leurs deux petits bambins, qu'ils se sont permis d'avoir.
À cet heure si généralement Georges se donnait d'escalader la falaise, qui se face à sa maison.
Et sa bien aimée, elle se trouvait en ville où elle avait été admise dans une école comme institutrice.
Alors que Georges terminal son escalade, il fît une rencontre des plus regrettable.
Une escouade de commando l'attendait au dessus. Il ne remarquait pas leurs insignes et ignorait à quelle organisation ils appartenaient.
Ils les craignait et se méfiait, il commença à se reculer doucement vers la forêt.
Le temps d'un instant, Georges ferma les yeux et inspira fort. Dans l'incompréhension, les commandos ne prirent aucune disposition, afin de prévenir une éventuelle menace.
Devant Georges, se trouvait deux petits cailloux de la taille d'une balle de baseball. Dans un premier temps, il exécuta une technique de dribble footballistique...... un sombrero, faisant volé le premier cailloux dans les airs, ce qui attira l'attention des commandos.
Puis dans un second temps très vif de temps et de réflexe, il attrapa le deuxième cailloux. Dans un troisième temps, il fît un saut jetté arrière. Lors de cet action, il visa habilement le premier cailloux avec le second. Avec l'effet qu'il mit, le choc entre les deux cailloux fût stratégique. Le premier désarma l'agent à l'extrême gauche et le second, eût fini dans la gorge de l'agent à l'extrême droite.
Tous furent surpris par cet action, les faisant encore plus baisser leurs gardes, de part leurs étonnement gigantesque.
Ainsi, Georges profita de l'intrigue pour s'enfuir dans le bois. Il courut aussi vite qu'il le pouvait, mais les agents n'en restèrent pas là. Ils le poursuivis jusqu'à commencé avec une salve de tire, une réussi même à toucher notre ami à l'épaule.
Acculé, il resta focus sur son objectif, fuir pour survivre.
Il arriva sur un sentier, un chemin menant à chez lui et l'autre menant jusqu'à la ville. Il prit la route vers chez lui et se cacha derrière des buissons, prît une pierre, qu'il lança sur le chemin menant à la ville. Cela envoya les commandos sur le chemin de la ville ; lui pendant ce temps, il retourna chez lui.
C'était là, une véritable chasse à l'homme qui se présente à ce cher Georges. Il pensait avoir trouvé un moyen, de pouvoir vivre en dehors de se monde, qu'il avait oublié...... malheureusement pour lui, le passé est une blessure qui ne guérit jamais.
Cette parole n'aurai pas tout son sens, s'il était le seul pourchassé par ce passé très affamé.
Dans la petite ville qui les avait accueilli, la vie est assez relaxe et paisible. Des boutiques et des magasins très accueillant. Des airs de jeux, sans compter une population très joyeuses.
À l'école public de la ville,
Roxane avait réussi à trouver du travail en tant qu'enseignante. Elle gérait une classe de primaire, où elle apprenait au enfants à lire et écrire.
Son lieu de service avait déjà été la cible d'une surveillance, ce qu'elle finit par remarqué. Cette sensation d'être constamment observé et parfois, d'être suivis.
À cet instant, la présence était plus imposante que les jours précédents.
Elle se sentait très gênée et ne pensait qu'à une seule chose, comment protéger ces enfants qu'elle enseigne, si un conflit se déroulait.
Elle changea drastiquement d'attitude et son visage souriant et toujours joyeux, que les enfants avaient pour coutume d'apprécier et de contempler.
Le jeune Miguel, très attaché à son institutrice se rapprocha donc pour savoir, ce qui mettait sa prof dans un état pareil.
Miguel : Hola ! Madame......
Elle scrutait les allant tour, afin de déterminer d'où vient cette présence imposante et notamment, elle voulait savoir de qui il s'agit.
Miguel : Seniora......? Vous avez un problème ?
Elle était tellement sérieuse, que lorsqu'elle jetta un regard froid de tueur à se petit Miguel, il fût effrayé comme jamais. La terreur qui se lisait sur le visage du garçon réussi à réveiller sa prof.
Roxane : Oh ! Miguel......!
Miguel : Qu'est-ce qui vous arrive madame ?
Roxane : Je m'en excuse vraiment, j'étais perdu dans mes pensées.
Elle avait réussi à remarquer qu'il y'avait un changement. Lors de la pause, elle se rendit au toilette et sentit qu'elle était suivi.
Elle avançait comme si de rien n'était, patientant une seule chose......se retrouver complètement seul avec sa poursuivante.
Arrivé au couloir, menant au toilette, elle croisa deux hommes qui sont supposés s'occuper de l'entretien. Mais il y avait quelque chose qui n'allait pas, elle n'en reconnaissait aucun d'eux.
Roxane (C'est bizarre, à t'on renouveler le personnel ? Non, c'est plus qu'une coïncidence. J'ai ressenti des présences et voilà maintenant..... deux hommes en arrivage, une femme derrière......).
Sans monter le moindre signe de frayeur, elle continuait d'avancer. Elle commença donc, à retirer sa blouse, doucement, imaginant un plan pour s'en sortir.
Elle avança, ne se trouvant plus qu'à quelques pas de ceux se trouvant devant elle.
Roxane (C'est vraiment mon jour...... bon c'est pas non plus difficile. Je vais juste attraper le bras du premier avec ma blouse. Puis utilisez l'arme qu'il cache dans son seau et là......).
Parmi les deux agents d'entretien devant elle, ce trouvait deux agents d'entretien avec leur chariot et derrière elle, une jeune femme en blouse blanche.
Elle avança jusqu'à une distance calculé d'un mètre, où tout devrait débuter.
Roxane : Attention, votre lacet est défait.
Elle profita de cette diversion ; elle donna un coup de pied sur le chariot, ce qui emporta le premier agent. Elle fût emporter par le second, jusqu'au mur ; elle retira habillement sa blouse avec laquelle elle attacha malicieusement les bras au corps du deuxième agent.
Croyant s'être débarrasser entièrement de la menace, elle négligea la femme derrière elle. Celle-ci profita de l'effet de surprise et envoya un bon coup de pied dans la figure de Roxane, qui boula dans le couloir.
Elle était casiquement assommé, mais savais une chose, si elle ne faisait rien, elle allait avoir de plus gros soucis.
Lorsque la femme s'approcha de Roxy, elle lui fit un croche patte ; puis d'une incroyable force elle se releva. Mais alors qu'elle s'en fuyait, elle entendit de nouveau ce bruit sourd. Elle s'arrêta un instant, car son adversaire eût sortie son revolver.
La jeune femme se rapprocha de Roxane, et pointa son arme sur son dos.
Roxane : Un Flash ball compact à 120 joule....! Jolie comme armes, mais ma puce, t'as fait une seule erreur......tu ne m'as pas tué !
Roxane envoya un coup de coude et attrapa l'arme de la jeune femme ; puis elle attrapa par les cheveux et frappa sa tête contre son genoux.
Roxane récupéra l'arme et s'enfuit de l'école avec sa voiture.
Cependant, dans le Sud du continent, Sacha devait recevoir une visite qui changerai le court des choses.
Ushuaïa, Argentine 19h37 :
C'est dans la prison d'Ushuaia, que Sacha purgeait sa peine.
Elle représente le détenu 2745, du bâtiment 3 et occupe la cellule 148. C'est là, que Camilla, la gardienne vînt prévenir notre amie qu'elle avait une visite.
Notre amie s'en alla vers la salle des réception, malgré son intrigue. Ce jour, n'était pas celui des visites ; alors elle resta sur ces gardes, car ceci était vraiment louche.
Arrivé dans la salle des visites, elle vit le directeur de la prison et deux gardes. Puis lorsqu'elle entra, elle vit une quatrième personne. Il s'agissait d'une femme très belle, son regard était perçant, sa chevelure lisse et d'un noir obscur frappait des le premier regard. Sans compter son rouge à lèvres, qui se mariait merveilleusement avec sa longue robe rouge.
La jeune femme discutait avec le directeur de prison, et lorsque Sacha prise place, le directeur et les gardes prirent congés d'elles.
Elles se trouvaient toutes seules dans cette pièce, sans personne au allant tour. Ni dans les couloirs, ni derrière les portes.
La jeune femme assise devant elle resta immobile, comme si de rien n'était. Elle ne disait aucun mot et Sacha non plus, ce qui mettait la Tyar dans une situation difficile.
Qui est cette femme ? Et que veux t'elle ? Voilà en outre les questions, qui pleuvait dans l'esprit de Sacha.
Pour brisé ce silence, la femme en rouge sortie de son sac un paquet de cigares. Elle en prise une et l'alluma. Elle prise un bon coup et poussa le paquet vers Sacha. Elle regarda le paquet, puis dévisagea celle en rouge.
Puis la femme en rouge se leva, tranquillement, elle s'avança vers Sacha et s'assise sur la table. Elle prise à nouveau une grande inspiration et déversa la fumée sur Sacha, qui s'étouffa presque.
Sacha : Sale garce !
Elle se rabaissa pour tousser, avant de remonter doucement son visage ; lorsqu'elle reprise son souffle, la femme en rouge l'attrapa par le menton.
Elle releva le visage de Sacha petit à petit, puis afficha à notre amie.
Qui est cette femme ? Que me veut-elle ? Voilà les principales questions que Sacha se posait, est-ce un nouvel ennemis ? Est-ce une alliée ? Que cherche t'elle ?
Sinon, les choses avaient prisent un semblant de sens du côté de Cuba.
Cuba, 18h45 :
Après sa fuite, Roxane était immédiatement retourné chez elle où, elle ne trouva personnes. Ni les enfants, ni son époux ; prise de panique, elle fonça dans sa chambre. À l'intérieur, elle poussa son lit vers la gauche et retira le tapis à terre.
En dessous du tapis, se trouvait une sorte de trappe. À l'intérieur, elle sortie une boîte, dans laquelle elle sortie son arme, un téléphone satellite, des liasses de billets.
Elle entra dans sa garde robe et sorti sa vieille combinaison, qu'elle enfila, même si sa serrait un peu.
Après quoi, elle utilisa son téléphone satellite et repéra la position de Georges et prise la voiture.
Elle roula jusqu'au centre ville où elle resta à observer dans sa voiture.
Après quelques minutes d'attente, Georges entra dans la voiture en quatre vitesse, et demandant à Roxane de foncer.
Elle activa le moteur et accélérant vers le Nord de la ville ; à leur trousse, des quatre quatre. Arrivé dans la zone portuaire, des coups de feu se mirent à retenir.
Alors que Roxane se battait comme elle pouvait, Georges assurait ses arrières en tirant sur leurs assaillants. Dans la foulée, il réussit à éliminer le chauffeur du premier quart quatre, le véhicule fut un accident et emporta avec lui les deux véhicules qui le suivaient.
Ils continuèrent à rouler, jusqu'à ce que d'autres voitures n'apparaissent de nouveau derrière eux, chargeant de balles l'arrière de leur véhicule.
Ils roulèrent jusqu'au quai, où Roxane arrêta la voiture.
Derrière eux, des commandos prêt à charger.
La vie était devenu assez difficile pour les Tyar, sans compter que des évènements plus qu'inattendu ne faisaient que se succéder les uns les autres.
Mais il n'empêche que ce n'est pas tous les Tyar, qui souffraient.....du moins, pas de la même façon.
Johannesburg, Afrique du Sud :
Casa Ryan's, 7h02 :
C'est dans la demeure familiale des Ryan's, que comme tous les matins, la jeune Lucia Méphisto Tyar Alkazair, allait faire éruption dans la chambre de ses parents.
La jeune fille, avait prise cette mauvaise habitude de venir sauter sur le lit de ces parents dès ses trois ans, année où son père a décidé de l'écarter de la chambre parentale.
Chambre parentale, qui était pour la plupart du temps occupé par le père, car la maman de Lucia se plaît dans un tour du monde.
À rappeler, que Stella Alkazair est une artiste musicienne très connu et adoré, pour sa voix et ses chansons. Elle cumul à se jour trois albums certifiés et des centaines de concert, au quatre coins du monde.
Une vie de star, qui se ferait rêver de tous n'est ce pas ? Oui surement, mais allé posé cette question à une gamine, qui pendant près de deux ans n'a pas vue sa mère.
Ceci est le cas de la jeune Lucia, qui à chaque fois qu'elle rentre dans la chambre de ses parents, n'attend qu'une seule chose, les cries de sa mère furieuse de son intrusion brutal.
Alors encore se matin, elle ouvrit la porte avec fureur et fît un saut plongée sur le lit avant de se faire rattraper dans les airs par son père.
Arthur : Raté ! Pas ce matin ma chérie.
Le sourire de la jeune fille était gigantesque, mais il disparut assez vite lorsqu'elle ne vit personne près de son père.
Il remarqua cela et réagi assez vite pour essayer de sauver le coup.
Arthur : C'est pas déjà l'heure de ton dessin animé ? Celui avec les chiens, les voitures et leur maître, comment on ça s'appelle déjà.......
Alors qu'il réfléchissait, la jeune fille s'écria tout en sourire......
Lucia : Pat patrouille ! C'est Raider et ses chiens......
Elle descendit en quatrième vitesse et fonça vers le salon. Aujourd'hui encore Arthur venait de sauver le coup, mais jusqu'à quand cela durera t'il ? Voilà la question que notre jeune papa se posait chaque matin.
Il se leva donc, dressa son lit et alla vers la salle de bain, remarquant au passage que le lit de Lucia n'était pas fait. Alors d'un cri autoritaire, il somma la jeune fille de monter faire son lit.
Bien évidemment, elle ignora l'ordre et resta au salon, sur le canapé, la tête en bas et les jambes en l'air.
Arthur pendant ce temps, attendait devant la porte, espérant que ça douce petite fille daigne le rejoindre. Mais malheureusement, c'était mal là connaître, car sous ses airs de mignonne petite princesse, ce cachait......
Arthur : Sale petite gamine !
Il avait littéralement fait un 100m de l'étage, jusqu'au salon qui est en dessous. Il avait une tête vraiment...... désespéré et surtout très en colère.
Nour : Quoi ?
Elle affichait un sourire malicieux et plein d'insouciance, comme si de rien n'était.
Arthur : Tu te moques de moi hein ?
Nour : Peut-être bien.......!
Elle entama une course folle et bien évidemment, son père s'élança à sa poursuite.
Ainsi après un mini marathon d'une quinzaine de minutes et une bosse sur la tête, la jeune fille faisait sagement son lit, sous la bonne garde de son père.
Nour : Tu es méchant !
Arthur : Je sais.....et toi une sale gamine.
Nour, qui signifie lumière, est le nom que petite Stella avait reçu de son père. Il est sensé témoigner de la valeur affective de la petite fille, pour sa famille. Une lumière, qui vient éclairer le sombre passif de sa mère et de son père. Ainsi en hommage au père mort de Stella, Arthur offrit tout comme Mohammed Alkazair à l'époque, à sa petite Lucia.
Après le lit, c'était le bain et enfin la voiture. Ensemble, chaque matin ils allèrent au bureau de la Tyar, où le travail appelait Arthur. Mais cela étant dit sans compter les heures passées à l'école, car la petite perle de son papa venait d'intégrer la première année de primaire.
Dans la voiture, la jeune fille boudait. Alors son père décida de lui rendre ce sourire, qu'elle aime tant afficher.
Il sortit sa spécial boite de biscuits, spécial Nour. Cette boîte de biscuits, était acheté au bout de la rue menant à la Casa. La jeune fille ne pouvait généralement pas y résister, mais là......
Arthur : Quoi ? Tu refuses vraiment un de mes biscuits spéciaux ?
Elle resta immobile, sans rien dire, continuant de bouder.
Ils arrivèrent au bureau, et là la petite fille lui fit une toute autre scène. Elle refusa de sortir de la voiture, malgré les flatteries de son père.
Il voulut essayer avec la boîte de biscuits, mais celle-ci était déjà vide. Alors il commença ded négociation, qui pourrait le mettre en grande difficulté.
Arthur : Ça te dirai une nouvelle poupée ?
Nour : Nan !
Arthur : Deux nouvelle poupées ?
Nour : Nan !
Arthur : Bon, alors, et si je disais..... deux poupées Barbie et toute la maison qui y va avec ?
Nour : Oui !
Arthur : De mieux en mieux !
Alors elle accepta de sortir, mais Arthur lui savais ce que voulait vraiment sa fille. Un besoin, que tous les enfants désir si ardemment.......
Arthur : Hey Nour......
Elle se retourna, avec un sourire si triste et si crispé.
Nour : Oui papa ?
Arthur : Qu'est-ce qui te ferait vraiment plaisir ?
Nour : C'est simple......je veux voir maman !
Un besoin de voir sa mère, un désir de voir le sourire jovial de sa fille, un souhait de survie pour les siens, où encore une envie de liberté...... voilà actuellement les différents souhait des Tyar au quatre coins du monde.
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