Les problèmes d'une famille
"Trop de bonté dans les parents, cause la perte des enfants". Charles Perrault.
L'inattendu nous guette, la peur du passé nous fait frissonner, le présent n'est plus qu'une espérance et le futur un idéal. La morale a déserté les lieux et l'ignorance est le nouvel étendard des inconscient et des froussard. Ahhh..... sinon, parfois la vie me désespère, le ciel accueil la pluie et les étoiles chaque jour sans se poser de question. Les nuages dans le ciel se pavanent comme si de rien n'était, sans attache, ni contrainte, ni problème. Tel qu'est ma famille, on se croirait dans un tableau au fond noir, où moi au centre, je serai là tâche de sang !
Après leur retour dans l'appartement, Alicia et Sacha pouvait enfin respirer un bon coup.
Après avoir fait deux bonne tasse de thé, Alicia retrouva Sacha au salon. Celle-ci, était toute pensive ; son attitude se confondait entre la colère et ou de la tristesse et à un niveau, on pouvait desceller de la joie.
Alicia posa une tasse de thé près de Sacha et commença à lui raconter une anecdote sur son passé. Puis Sacha se retourna vers Alicia, elle mise sa main sur l'épaule de son amis, puis l'autre dans son sac. De son sac, Sacha sortie son arme à feu........
Alicia (À quoi tu joues Sacha ?).
Sacha pointa l'arme sur la tête d'Alicia, et pressant au passage la gâchette. La réaction de Alicia était à cet instant plus sérieux que jamais, elle jeta un regard d'une telle noirceur.....
Sacha : T'as déjà essayé, de butter un membre de ta famille ? Ou du moins, l'intention ?
Alicia : La mort ma chère Sacha, c'est l'expression d'un caprice, dû au parie absurde, lors d'une partie d'échecs qu'aurait perdu la vie, face au destin.
Aux mots et au regard de Alicia, Sacha se mise à sourire, comprenant qu'elle n'avait pas tout comprise. Alors elle rangea son arme et se leva, allant ainsi se chercher une bière bien fraîche dans le frigo. Elle prise de nouveau place sur le canapé avec Alicia, déclarant avec une telle clarté d'âme......
Sacha : Perso, je préfère la bière. Le thé c'est pour les princesses Disney et Pixar. Et aussi, peut-être les meuf sexy comme toi, ça te permettra de gardé se corps qui rend fou mon reuf.
Alicia (Je vois, le retour de son père, la rend assez nostalgique...... mais ne sachant pas concrètement quel passif ils ont vécus, je ne vais pas pousser la conversation plus loin...surtout, que moi aussi......).
Sacha : Ce regard que tu as affichée tout à l'heure.......je l'ai déjà vue chez quelqu'un, que je connais très bien !
Alicia se leva, termina son thé, et se dirigea ainsi vers la cuisine. Puis, elle alla se coucher.
Le lendemain, Sacha et Alicia retournèrent au bureau de la Tyar, où une rencontre avec Arthur s'était arrangée, pour discuter de ce qui s'était produit la veille. Mais, elles allèrent se faire surprendre, par la présence de quelqu'un d'inattendu, car dans le bureau, lorsqu'elles arrivèrent, elles virent Arthur qui discutait avec une certaine.....
Alicia : Émilie Wattson !
Emilie était venu sous l'interpellation de Arthur, qui voulait débuter la concrétisation de ses projets de sauvetage.
Emilie : Agent spécial Alicia Valentino, une femme aussi belle qu'imprévisible.
Arthur : Tu la connais ?
Emilie : Oui, mon cœur ! Nous avons eu à travailler ensemble sur une affaire, qui reliait le MI6 et Interpol. Je dois dire, que c'est une femme qui est difficile à oublier.
Sacha et Alicia, prisent place afin de discuter du point du jour. Mais, hors mis cela, mademoiselle Valentino avait une question particulière, qui bloquait dans sa tête.
Alicia : Je croyais que c'était votre frère, qui était le Casanova de la famille !
Arthur : C'est se qui ce dit ?
Alicia : Vous êtes marié, mais je mettrai ma main au feu, qu'entre vous et Émilie, il y'a quelque chose.
Emilie tout comme Arthur, regardait Alicia avec une expression faciale particulière, différente de celles qu'ils avaient entre eux. Puis les deux éclatèrent de rire, comme si Alicia avait dit quelque chose de drôle.
Emilie : Peut-être y'a t'il quelque chose entre nous deux, mais ne t'inquiètes pas, car loin de moi l'envie de vouloir l'épouser.
Alicia : Mademoiselle aurait t'elle peur de s'engager ?
Par cette question accompagné d'un sourire, Alicia pensait avoir bloqué notre chère Émilie. Celle-ci, souria un instant, puis avec un visage sérieux elle se retourna vers Alicia.
Emilie : Si le mariage était véritablement une bénédiction, à l'état aussi désirable que ça, devrions nous avoir besoin de l'habiller de dentelle ? De soie et de fin freluche ? De jonché le sol de pétales de roses au passage de la promise ? Non, mais nous le faisons parce que le mariage est un voyage sur un chemin de prime vert, qui conduit la femme à sa destruction.
Sur la table, se trouvait des gâteaux, Émilie en mangea un, puis elle ajouta de nouveau.......
Émilie : Ce n'est rien d'autre, que l'anéantissement le plus absolue d'une femme et de sa personnalité. Il lui enlève absolument tout : son apparence, son indépendance, et jusqu'à son âme, et il ne lui offre rien en retour.......du moins, rien qu'elle ne voudrais. Voilà mes sentiments sur le mariage ma chère Alicia Valentino !
L'ensemble des présents de la pièce, en était subjugué, casiquement ébahis par les propos fort et soutenu de Émilie.
Emilie : Ils sont bons ses gâteaux, c'est du fait maison ? Parce que j'adore le fait maison !
Alicia souria, avant d'éclater de rire par la suite.
Alicia : Ok Émilie, tu restes fidèle à toi même...... c'est bien, mais sinon.......
Sacha se leva et se rapprocha du bureau, elle regarda son frère droit dans les yeux. Il comprit qu'elle était inquiète, qu'elle était confuse.
Arthur : Dois je m'inquiéter ?
Sacha : Les morts sont de retour !
Arthur : Ils sont nombreux !
Sacha : Mais ont ne s'attendaient pas à son retour à lui.
Soudain le regard du jeune homme et sa respiration furent bloqué un instant. Puis il se leva et s'approcha proprement de Sacha.
Le moment entre les deux étaient assez électrisant, la tension montait en flèche.
Arthur : Il est mort devant mes yeux !
Sacha : Et moi, je l'ai vu vivant avec mes yeux !
Le regard des deux, traduisaient l'arrivée d'une violence imprévisible. Le regard de Sacha laissait à croire qu'elle sortirait son arme pour tirer sur son frère, et le regard de Arthur, lui décrivait sa volonté à vouloir éjecter Sacha de la pièce. Voilà en quelques sortes, les intentions que pouvait lire respectivement Alicia et Émilie.
Mais soudainement, alors qu'ils avaient l'air de s'être calmé, Arthur et Sacha passèrent à l'action.
Non pas l'un comme l'autre comme le croyait Alicia ou encore Émilie, mais pour sauver ces deux femmes qui compte pour eux. Arthur attrapa Émilie et Sacha attrapa Alicia, ensemble ils réussirent à sortir du bureau, car au loin quelque chose arrivait.
Une rocket passa par la fenêtre vitré du bureau de Arthur, avant de tout détruire dans une explosion.
Emilie : C'était quoi ça ?
Arthur : Les problèmes d'une famille !
Ils se dirigèrent vers le raid de chaussé, où un message à prendre au sérieux les attendaient.
À la sortie de l'ascenseur, ils virent Béatrice attaché sur une chaise. Sur l'ensemble de son corps était attaché des files relié à une bombe à hydrogène, typiquement le même modèle posé sur Annabelle Wattson il y'a plus de cinq ans.
Toute l'assistance était sous le choc, et dans la bouche de Annabelle, avait soigneusement été placé un téléphone pré payé.
Sans peur ni frayeur, Arthur se rapprocha de sa cousine, qui pleurait à chaude larme. Il retira le téléphone de sa bouche, ce qui suivit par un appel des plus étonnant.
Au téléphone, c'était une voix féminine. Une voix reconnaissable entre mille, une voix qui le mit dans tous ces états.
Arthur : C'est bien toi....... Annabelle ?
Tous ceux qui connaissaient Annabelle Wattson dans la pièce, furent choqué par la prononciation de ce nom par Arthur.
Annabelle : Mister Arthur ! Cela faisait un bail, n'est-ce pas ?
Arthur : Pourquoi..... pourquoi tu fais ça Annabelle ?
Annabelle : La vie Mister Arthur..... elle me paraît si calme et surtout, d'un ennuis. Ahhh, je regrette le temps où l'on jouait à essayer de me protéger, ça s'était amusant.....
Les mots de la jeune femme, mirent le jeune homme dans une colère noire.
Annabelle : Devine avec qui je me trouve actuellement ? Cette douce et fragile petite Lucia......
La frayeur, voilà ce qui commençait à se lire sur le visage d'un Arthur, qui posa littéralement un genoux à terre. C'était comme si le jeune homme n'arrivant plus à respirer normalement, il était comme pris un horrible cauchemar, et plus encore, lorsqu'il entendit sa voix à elle......
Nour : Allô ! C'est bien toi papa ? Je suis avec la gentille madame.....tu viens quand me chercher ?
Là, il posa le deuxième genoux, ce qui surpris tous les présents.
Annabelle : Alors, j'ai entendu dire, que tu allais venir me rendre une petite visite....... j'ai hâte, tellement que je veux que tu arrives maintenant ! Et crois moi, je ferai tous pour que tu arrêtes d'hésiter.
Arthur à cet instant, Arthur était partagé entre la colère et la peur.
Annabelle : Constitue rapidement ton équipe et on s'affrontera, mais attention, ça doit rester entre nous..... hein Mister Arthur ? Tu as deux semaines pour venir jouer avec moi ; passe ce délai, et je tuerais un par un ceux qui compte pour toi !
Arthur : Ann.... Annabelle....!
Annabelle : Aujourd'hui, je pardonne cette jolie petite Béatrice, mais fais gaffe Mister Arthur.....tu es prévenu !
L'appel était terminé, mais le message était passé. Mais, comme l'a dit Annabelle l'heure n'est plus à l'hésitation.
Arthur se releva et avec une rahe indescriptible, il attrapa la bombe attaché sur Béatrice. Il arracha avant de la jetter au loin. Il respira un bon coup et retrouva son calme habituelle. Puis il se retourna vers Sacha et les autres.
Arthur : La récré est terminée, les enfants..... ils est tant de se préparer.
Béatrice l'attrapa de justesse par le bras, les larmes aux yeux, elle déclara......
Béatrice : Pourquoi notre famille à t'elle tant de problème ? Pourquoi depuis ces dernières années, nous sommes la cible de tant de mal ? Et toi, que comptes tu faire ? À quoi dois ton se préparer ?
Sans aucune réponse dans un premier temps, Arthur se retourna et souria à Béatrice.
Arthur : C'est de ma faute ! Mais ne t'inquiètes pas, cette guerre ne regroupe pas tous les Tyar, juste la maison Ryan's.
Puis il continua sa marche vers Sacha, mais la peur de Béatrice ne disparus pas pour autant malheureusement.
Arthur : À oui Béatrice, je te confis les clés de la boutique......et prépare nous le Jet.
Il s'arrêta exactement devant Sacha, regardant celle-ci droit dans les yeux. Puis de nulle part, sortie des têtes, qui n'avaient plus été revue au bureau.
Liliane : Alors, c'est déjà l'heure ?
Roxane : J'ai tellement attendus cet instant !
Liliane, celle qui avait fait les présentations entre Arthur et Angela. Elle avait été affecté à la grande résidence Alkazair à protéger les deux petites sœurs de Stella ; elle avait été annoncée morte avec les deux jeunes sœur de la femme de Arthur.
Roxane, nous ne la connaissons que trop bien.
Arthur : Sacha !
Sacha : Ouais frangin ?
Le sourire des deux marquaient le début d'une union fraternelle, qui ferait sûrement la perte de Zürich.
Arthur : Et si on allait chercher le deuxième pistolet de la maison ?
Sacha : Alors, cette pétasse est toujours en vie ?
Arthur : Faut croire, qu'on a la peau dure dans la famille.
Mais l'attitude de Arthur changea, lorsqu'il se retourna vers Émilie et Alicia.
Arthur : Comme je l'ai dit tout à l'heure, et que je l'ai annoncé à Béatrice ma propre cousine, ce n'est pas un tournoi mondiale...... mais un putain de problème familial, alors je ne veux mêler personne d'autre à cette guerre d'où nous ne reviendrons pas !
Sur ces mots, les deux jeunes femmes se misent à sourire.
Emilie : Quelle éloquence, mais toi et moi, je croyais que c'était plus fort que ça !
Alicia : Ma petite Sacha, j'ai pas fait autant d'effort pour que tu me lâche comme ça !
Arthur : De mieux en mieux !
Le soir venue, à l'aéroport de Johannesburg le Jet des Tyar étaient prêt à décoller. Alors que les au-revoir se faisait, un personnage inattendu refus surface, lui qui avait comme disparus.
Alicia : Sacha, tu me feras un bon plaisir de ne pas mourir avant de m'avoir payé ta dette ok ?
Sacha : T'inquiète boss, dès qu'on récupère le paquet je te rejoins direct.
Sur ces mots, Alicia offrit une arme et un petit truc à Sacha, faisant comprendre quelle représentait interpol.
Et lorsqu'ils se separèrent, Arthur se rapprocha de Alicia
Alicia : Émilie va être jalouse, vous savez ?
Arthur : Je croyais qu'entre nous, c'était moi le comique...... merci !
Alicia : Hummmm ?
Arthur : Je suis intriguée par vous, mon corps reconnaît cette sensation de toucher, mais mes yeux eux sont perdus.......
Alicia : Qu'est-ce que je dois comprendre ? Que vous êtes tombé amoureux ? Si c'est le cas, oublié ça rapidement...... je ne veux pas de quelqu'un qui n'a qu'une seule envie, me voir nue dans un lit.
Arthur : Humm..... pourquoi seulement sur un lit ?
Cette réponse amusa cette chère Alicia, qui regarda le jeune homme avec un regard particulier.
Arthur : Une fois j'ai déclaré ma flamme et une gamine prétentieuse m'a envoyé balader de la même façon. Je dis plutôt, que j'ai l'impression forte de vous connaître !
Alicia : Hein ?
Puis Arthur afficha un sourire idiot et se retourna vers la piste, il leva la main et déclara......
Arthur : C'est peut-être l'expression d'un de mes fantasmes, mais bon......!
Lorsqu'il retrouva Sacha, elle était accompagné de Marc. Jadis, il était celui qui ouvrit le dossier des Alkazair, celui là même qui aura conduis les Tyar à la situation où ils se trouvent actuellement.
Ensemble, ils prirent le vol prévu.
En retournant à l'accueil, Alicia trouva assise sur le banc, son contact.
Elle trouva près de cette chère Émilie, un journal et un café. Alicia attrapa le journal et le café, puis elle prise place prêt d'Émilie.
Alicia : Une nouvelle cargaison d'armes déplacé jusque l'Asie...... mais c'est l'affaire que les officiers d'Interpol basé ici en Afrique devait gérer......
Emilie : Votre petit échec au port pour récupérer la marchandise était vraiment une aubaine pour elle. Mais ne t'inquiètes pas, j'ai géré......et tu ne devineras jamais la meilleure !
Alicia : Les armes, elle n'était pas vraiment des vrais ! Oui je m'en suis rendue compte, lorsque j'ai essayé de m'occuper d'un des agents de Zürich.
Emilie : Cette pétasse est vraiment maline, elle nous fait croire qu'elle gère un business d'armes à feu ici, mais seulement nous ne nous sommes pas compris......
Alicia : Oui, car ces armes sont pour un tout autre usage, vue que ce sont des jouets !
Nous rappelons que, dans la République populaire de Chine, Anna Léon possède une immense Industrie de jouets en tout genre. Alors pour détourner les regards d'Interpol et la police locale, elle a usé de se stratagème pour détourner l'attention.
Oui détourner l'attention, car son véritable but et la véritable marchandise qu'elle devait faire pénétrer en Afrique du Sud, n'est autre......
Emilie : Un conteneur entier de femmes prête pour la prostitution.
Alicia : Le trafic de femmes......!
Emilie se leva donc, attrapant le café que tenait Alicia dans les mains.
Alicia : Je ne l'ai même pas encore goûté !
Emilie : Les Tyar vont entrer en guerre et crois moi, ni toi ni personne ne pourra s'interposer.....au mieux, nous ne pouvons que nous préparer à ramasser les fruits qui tomberont.
Elle s'avança vers la poubelle et jeta les deux café, puis elle sortit un mouchoir et s'essuya les mains.
Emilie : Je ne m'y ferai jamais, le café des aéroports est d'un mauvais goût.
Soudain, Jordan arriva avec un manteau et un café fait maison, qu'il offrit à Émilie.
Emilie : À chaque jour suffit sa peine, moi je rentre en Angleterre...... puis je ferai un tour à Tokyo pour mes vacances personnel.......
Elle suivis ainsi Jordan vers la piste où son Jet à elle était prêt à décoller, mais une question persistait dans son esprit.
Dans le Jet, alors qu'elle buvait un verre de champagne, Jordan se rapprocha d'elle avec une bonne bouteille de vin.
Jordan : Je me suis dit qu'une bonne bouteille de vin blanc sec vous irait mieux que du champagne mademoiselle.
Il servit le vin et remarqua au passage l'état de Émilie, qui semblait réfléchir énormément.
Lorsqu'il termina de servir, il mit un verre pour lui. Il prit place et sorti un jeu d'échecs, proposant une partie à sa patronne.
Jordan : Un homme avisé a dit un jour que "L'adversité est une route, qui conduit le plus sûrement à la vérité". L'on peut dire qu'au cours de votre vie, vous avez déjà vécu pas mal d'épreuve.
Emilie : La vérité est mythe. Un idéal conçu pour divertir les hommes, dans cette abime sombre que l'on appelle la confiance mutuelle.......il se doute de quelque chose, j'en suis convaincu !
Jordan : Un nouveau fantôme ? Il n'a pas besoin de ça.
Un débat peut expressif et avec une intrigue très inquiétante.
À son arrivée en terre patrie, Émilie décida de retourner au manoir. Sur le chemin du retour, celle-ci reçu un appel imprévu. Alors elle demanda à Jordan de faire un détour rapide vers l'entreprise familiale.
À son arrivée, un personnel l'attendait à l'accueil. L'un pris son chapeau, l'autre son manteau, une autre l'offrit le bilan du personnel, l'autre un café. Puis le dernier l'attendait avec face à l'ascenseur.
Lorsqu'elle arriva au trentième étage, elle se dirigea rapidement vers la salle de réunion, où le conseil d'administration l'attendait.
À sa grande surprise, elle vit à nouveau son visage après seulement quelques semaines.
Au bout de la table préside Émilie, mais à l'autre bout en face d'elle, ne se trouvait la seule personne qui pouvait nuire à son bonheur.......
Emilie : Ma sœur !
Annabelle : Émilie !
Devant Émilie, le secrétaire général posa une pile de dossier. Parmi ses dossiers, se trouvait un dossier en particulier. Celui de la légitimité de la suite familiale, et dans ce dossier, était indiqué l'ordre de succession de Gabriel Wattson.
Annabelle : Tu ne le lis pas ma sœur adorée ?
Emilie : Je n'en ai pas besoin, car je sais ce qu'il y'a dans ce foutu dossier.
Annabelle : Super......!
Alors dans une présentation confirme des part de la société, devant les yeux de Émilie, les choses basculaient inéluctablement. Sur les 57% de part que détenait les deux filles, et d'après les lignes contenus dans le dossier de succession, Annabelle recevra exactement......
Annabelle : 30%, et Émilie, 27%...... mais pour proprement régler se conflit de pouvoir, nous procéderons à un vote du conseil présent.
Au côté de Annabelle, se trouvait une femme faisant femme faisant dans la trentaine. Celle-ci habillé tel un majordome, proposa à tous de lever la main pour savoir qui voterai pour Annabelle.
Le choix terminé, les mains pour les uns étaient levé et baissé pour les autres. Emilie était sous le choc, car sur les dix membres du conseil d'administration, six avaient voté pour Annabelle.
Annabelle : Échec et mât...... Émilie, tu es viré !
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