Le troisième frère
"Rester neutre devant l'injustice, c'est choisir le Camp de l'oppresseur". Desmond Tutu.
L'injustice, est souvent considéré comme étant tout acte n'étant pas juste. Dans un certain sens notre famille entière a été victime d'une odieuse machination, une injustice de grande ampleur. Celui qu'autre fois j'appelais mon père, nous a honteusement trahis..... que ce soit volontaire ou pas, il n'a rien fait pour qu'un jour, l'on puisse croire le contraire. Il a beau ne pas avoir tendu l'arme qui a servi à détruire notre famille, mais nous le considérerons à jamais comme étant celui qui a appuyé sur la gâchette......au final, qui es-tu vraiment James ?
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Dans la salle à manger, la tension était vraiment monté d'un sacré cran. Georges qui demandait des comptes à son père.
La colère et la haine du jeune homme était telle qu'il arrivait à peine a se retenir
Georges : Tu sais, tu étais son héro. James, le meilleur agent de protection rapprochée.....tu vois de qui je veux parler hein ? Déjà jeune, il te regardait comme un dieu. Celui là, qui dompter la lionne, celui que chaque jour, nous gamin attendions de voir rentrée.......
Georges leva la tête vers le magnifique plafond, avant d'admirer les membres de la famille noble.
Georges : Nous étions enmerdant à l'époque, je te le concède. Nous étions envahissant, je l'admet..... mais nous ont aimait notre père ! Tu nous as fait croire que tu es mort, t'es tu demandé ce que nous ressentirons ? Non bien-sûr.....
Moly : Georgi......!
Georges : Tu es allé je ne sais où.....et aujourd'hui tu reviens......ma mère ! Putain !
Il sortit de table, alla dans les cuisines et revînt avec une tomate. Devant son père, il pressa assez fortement la tomate afin qu'elle explose.
Georges : Ma mère a été tué par une putain de bombe de 100kg ! Et tu sais ce qui est le plus amusant le vieux ? C'est que ça ne te fasse ni chaud, ni froid !
Moly : Georges......!
Georges : Tu as sacrifié ma mère, juste pour être prêt d'elle ?
Oui, il pointait Anna du doigt et se faisant, des larmes commencèrent à lui coulé sur le visage. Au vu de ces déclarations, James afficha un visage assez empathique.
Georges : Ah non, misérable vermine, n'affiche pas ce regard de bâtards ! Tu as voulu te la joué bad boy hein ? Dès que t'as fini d'arrondir ma vieille, il te fallait de la chaire fraîche.......je l'admet majesté Anna est une bombe pour son âge....... mais sérieux.......
Puis Georges se retourna pour s'en aller, mais il fût retenue par les domestiques armés qui étaient assez septiques.
James : Attend un moment fiston !
Georges : Fiston ?
De colère, il se retourna avec un coup de pied dans la figure de son père, l'envoyant bouler dans les canapés ! Puis il hurla violemment.......
Georges : Ma mère, Naomi, Sacha, Arthur, Julie, Ronaldo et moi, tu as perdu le droit de nous appeler ainsi.......
Puis il s'effondra à terre et se mit à frapper le sol les larmes aux yeux.
Georges : Tu as tué ma mère, tu as tué ma sœur...... tu nous as tous tué ! La famille à traîné notre nom dans la boue, nous sommes tombés bien bas..... pendant ce temps, toi tu prenais du bon temps !
Il se leva et s'en alla, laissant son père dans un état et choquant le reste du groupe.
Après ce moment qui parut assez amusante pour Anna, elle demanda à voir Georges dans son bureau.
Malgré ses réticences, il se joigna à Anna. Dans ce bureau, il y'avait des livres et des tableaux qui décoraient la pièce. En son centre un bureau assez traditionnelle, fait d'un bois de chaîne très rare, sans compter que pour l'ensemble des livres, la couverture était fait avec de la peau d'ours et de cert.
Anna était assise prêt de sa cheminée où elle lisait un livre ; lorsque Georges arriva, elle l'invita à s'asseoir prêt d'elle.
Elle lisait les fables de la montagne, une version française du livre de Jean de la fontaine.
Elle lui lisait le Corbeau et le renard, cela pourrait paraître étrange, mais au contraire...... c'était un assez bon moment !
Georges : Je n'aurai jamais imaginé que vous parliez français et encore moins que vous lisez si bien.
Elle se mise à rire et avec son drôle d'accent assez britannique, elle avoua à notre jeune amie......
Anna : Disons my soon, que je déteste brièvement cette langue. It's...... comment vous dites déjà ? Horrible à mes oreilles.
Elle posa son livre et s'allongea, posant sa tête sur les genoux de Georges.
Anna : My soon, Jonathan Andrews Léon. Je l'ai eu avec ton père c'est vrai.
Georges : Je m'en étais rendu compte...... alors comme ça, il s'appelle Johnny hein ? Ahhhhh.....
Anna lui caressa délicatement la goux, et souria avec tendresse.
Georges : Pour une femme de votre genre.......
Anna : Une femme de mon genre ? Oh my soon, tu n'as même pas idée du genre de femme que I'm.
Georges : Hein ?
Elle se leva et dans une vieille armoire, elle sortit un projecteur à bande. Mais aussi des tas de cassettes et des albums photos très ancien.
Georges : C'est quoi ça ?
Anna : How cute you are. Ça, c'est la vérité !
De quel vérité s'apprêtait-elle à lui déclarer ?
Cependant, dans le salon, Jonathan discutait avec ses frères. Ils prenaient le thé, jusqu'à l'arrivée de James.
Johnny : Hey padre ! Alors, déjà remis du super kick que le reuf t'as collé ?
James : Dois-je m'inquiéter des évènements à venir ? Parce que lorsque les Léon sont rassemblés, quelqu'un finit toujours par mourir.
Joyce : Ça sonne assez faux, mais dis moi Code C', t'aurais pas peur ?
Moly : Faut pas stresser Jamy, s'est pas bon pour la peau.
L'insouciance avec laquelle faisait preuve les enfants, prêtait à croire que James était fou, pourtant......
Annabelle : Alors, reprenons je vous prie......en ce qui concerne l'usine de production d'armes en Australie, Milena tu devras te déplacer pour entreprendre personnellement la transaction avec les talibans. Toi Jocelyn, tu dirigera l'introduction des filles aux Mexique, elles rejoindront le service de Villahermosa, avant d'être envoyé pour une part au Guatemala et le Brésil.
Joyce : Des jeune femme ! L'idée du trafic de femmes ne me met pas vraiment en joie, mais........
Annabelle : Détrompe toi, si tu pensais qu'il s'agissait d'une question.
Moly : Comme d'hab tu prends tes grands airs à ce que je vois hein ?
Moly se leva et s'en alla, puis Joyce reçu le bordereau de mission du majordome, avant de s'en aller à son tour.
Johnny : Et moi ?
Annabelle : Je t'envoie pour une mission diplomatique avec notre contact en Afrique du Sud. Il paraît que notre service de renseignement basé dans l'Atlantique aurait été piratée par Interpol. Ils nous ont ainsi écrit une lettre pour le recrutement d'un expert des technologies avancées.
Johnny : Donc je dois faire du recrutement hein ? Quel galère......bon il y'a au moins du bon la dedans !
Lorsqu'il déclara cela James eu comme un frémissement entre les jambes.
Annabelle : Ah oui ?
Un sourire sournois, voilà se qu'affichait Annabelle en regardant Johnny.
Puis elle se leva et s'en alla, James lui, avait toujours ce sentiment de craintes.
Après cette passionnante discussion, Johnny alla voir James dans sa chambre pour discuter.
Leur discussion assez passionnante, tourna à un sens assez particulier. Le lendemain venu avant le petit déjeuner, les Tyar récurrent un invité de marque.
Johannesburg, Afrique du Sud :
Casa Ryan's, 07h03 :
Chez les Ryan's, la vie en famille paraissait nettement meilleur, comme si aucun problème ne pourrai arriver.
Comme a son habitude, Lucia était la première à se lever. Elle alla dans la chambre de ses parents et fît un bon saut sur ceux ci.
Et comme à son habitude, Arthur lui l'interdit de recommencer, jusqu'à ce qu'elle se mette à pleurer et que sa mère ne la calme.
Puis elle descendit du lit et se dirigea vers le salon, où sur l'immense télé de la pièce, elle regardait un dessin animé.
Après plusieurs minutes, ses parents descendit enfin. Alors que Stella se dirigeait vers le salon, elle entendit la jeune fille discutait avec quelqu'un.
Elle se cacha derrière un poteau de la pièce, pour observer et lorsqu'elle vît le visage de l'individu, elle fût prise de stupeur et sortie de sa cachette.
Nour : Maman, je te présente mon oncle Johnny !
Johnny : Oui, bonjour maman......ou dirais-je code C01 !
Il se leva et approcha de Stella, qui elle, essayait de s'éloigner, jusqu'à ce qu'elle ne rencontre la table de la salle à manger.
Johnny : Quoi ? Tu ne me reconnais pas ?
Elle attrapa un couteau sur la table et essaya de le lui planté dans le cou, mais celui-ci fût plus habile et intuitif. Il attrapa le bras de la jeune fille, effectua une pression dessus afin qu'elle lâche son couteau, puis il l'attrapa par derrière.
Johnny : Hola chéri ! Tu ne vas pas faire de mal à ton bien aimé n'est-ce pas ?
Stella : Quoi ?
Johnny : Tu m'as donc oublié ?
Pendant ce temps, dans la salle de bain, Arthur venait de terminer sa douche. Il alla se changer et descendit directement à la cuisine. Il n'aurait pu se douter de quoi que ce soit, car sa petite fille bien aimé chantait le générique de son dessin animé comme d'habitude.
Il fît le petit déjeuner comme d'habitude, puis il dressa la table et se dirigea vers le salon. Lorsqu'il arriva, il le vit lui aussi et bien évidemment, son intrigue fût haut plus haut.
Sa fille se trouvait dans les bras de son invité, qui a soigneusement attaché sa femme sur une chaise, avec une bombe sur elle.
Johnny : Bien le bonjour mon frère, je m'appelle Jonathan Andrews Léon.
Arthur : C'est quoi ce bordel ?
Johnny posa Lucia sur le canapé et s'avança sur la table à manger. Il prit place et commença à manger les œufs fait par Arthur, puis il attrapa un verre et pris une bonne gorgée de jus d'orange.
Johnny : Il n'avais pas menti, tu es un cordon bleu.
Arthur : T'es qui toi ? Et surtout..... pourquoi tu me ressemble autant ?
Johnny : Autant de questions n'est-ce pas ?
Johnny se leva et regarda sa montre, puis il se servit à nouveau un verre de jus d'orange, qu'il avala tout sec.
Il prit a une frite au passage et fît une tapette sur l'épaule de Arthur.
Johnny : Ouh là, l'heure passe si vite lorsque l'on est en famille. Bon frangin, je te laisse, j'ai du travail.
Il s'avança vers la porte et s'arrêta l'instant d'après.
Johnny : Lucia ! À la prochaine ma puce......eh frangin, tu veux savoir qui je suis ? Appel moi, le troisième frère !
Dès lors il s'en alla. Des qu'il eût disparu, Arthur fonça vers Stella. Il réussit in-extremis à désactiver la bombe sur sa femme. Celle-ci lui sauta directement dessus après cela et fit de même sur sa fille avant de se mettre à pleurer.
La frustration de Arthur était au paroxysme. Son poing serré, montrai à quel point il était se sentait menacé.
Il amena sa fille à l'école accompagné de son épouse, car après ce qui s'est déroulée, cela paraissait inquiétant de rester séparé.
Après avoir déposer la petite à l'école, les deux parents ont eu une discussion avec les enseignants pour les informer qu'il y aura des conditions pour rentrer avec la jeune fille.
Après cela, les deux parents retrouvèrent l'extérieur, où leur attendait une surprise. Devant leur voiture, avait garé une berline Diesel année 2016. Intrigué, Arthur se mit légèrement à sourire.
Puis ses soupçons se disparurent lorsqu'il vit le chauffeur de la voiture.
Jordan : Mademoiselle vous attend.
Ils entrèrent dans la voiture et virent une vieille connaissance.
Arthur : Je me doutais bien que j'avais déjà vue cette berline et qui plus ait, je ne connais qu'une personne passionnée de voiture de luxe...... n'est ce pas..... Émilie Wattson !
Puis la voiture démarra et prise la direction du bureau de la Tyar.
Emilie : Mon amour d'enfance et mon éternelle premier et dernier amour ! Je suis aussi extrêmement contente de te voir..... ainsi que t'as...... malheureuse épouse.
Stella : Je suis aussi très contente de te voir...... petite peste !
Une vive tension animait déjà les deux femmes il y'a longtemps, mais aujourd'hui, la flamme paraissait encore plus vive.
Arthur : Eh bien, le temps à beau avoir passé, je sais que tu ne m'as jamais fait faire une balade inutilement.
Emilie : Je vois que tu n'as pas perdu de ta légendaire perspicacité mon tendre amour. Non, ceci n'est en aucun cas une visite de courtoisie.
Stella : Tu n'aurai pas quelque chose à me dire avant tout ?
Emilie : Ah oui, tu as raison......
Jordan attrapa des documents envoyés par Émilie, qu'il remis à Stella, qui était assise à l'avant avec lui.
Stella l'ouvrit et vît de quoi il s'agissait. Ses documents, présentait des informations qui pourraient aider Stella, car il s'agissait d'une affaire familiale.
Stella : Ma....ma..... Malick ?
Les larmes de la jeune femme prirent le dessus, elle en fondu carrément, se donnant à vive voie.
Emilie : Malick qui avait mystérieusement disparus, s'était fait embarqué dans une histoire de drogue, où il fût rapidement intégré au groupe de narco. En été 2019, il fût abattu dans les rues de Brest...... quelle tragédie, mais vois le bon côté des choses......
Arthur : Stella.....!
Emilie : Tu reste la seule en lisse sur le patrimoine familial......5milliards d'euros et une multinationale, qui fait des bénéfices trente fois supérieur à celle que tu touches à la base.
Les larmes de Stella, pour la première fois étaient sincère depuis la mort de sa petite sœur. Arthur le remarqua assez vite, car il avait réussi jadis à faire la différence entre les états d'âme de cette dernière.
Arthur : Merci..... Émilie ! Après la disparition de Natacha, Stella n'avait plus qu'une dernière personne à ramener parmi les siens...... vraiment merci !
Emilie : Il n'y a pas de quoi !
Stella demanda ainsi à Jordan de s'arrêter, et elle descendit. Puis Jordan continua dans sur ça route. N'étant plus qu'à deux, Émilie entama une tout autre discussion avec Arthur.
Emilie : Bien, ton ignoble épouse nous a quitté. Parlons à présent de chose pour adulte.
Arthur : Je me disais bien, que tu n'aurais pas fait tout ce chemin, juste pour faire pleurer Stella.
Emilie : L'heure est grave mon cœur ! Nos ennemies vont bientôt passer à l'acte, alors pour nous qui avons des ennemis en commun, nous devons nous rassembler et faire fasse main dans la main.
Arthur : Tu parle d'elle ? La femme de Zürich ?
Émilie sortie une bouteille de champagne et deux verres, elle remise un à Arthur et lui servi. Après avoir trinqué, elle enchaîna deux verres.
Emilie : Il y'a dans l'homme un traître qui se nomme vanité, qui livre les secrets contre de l'encens......Paul Valéry !
Elle enchaîna un troisième verre, avant de poser son verre. Puis elle sortit une enveloppe et l'ouvrit.
Arthur : Tu semble prétendre qu'il y'ai un traître dans mes rangs ?
Émilie éclata d'abord de rire, puis elle sortit le mémo que renfermait l'enveloppe, ainsi qu'une clé USB.
Emilie : Tu es tellement mignon.....ta soit disante femme est une tope, ça ce sens à des dizaines de kilomètres.
Arthur : Hummm..... je m'étais déjà faîte à cet idée, sans compter que je sais qu'elle travaille pour la femme de Zürich..... mais......
Emilie : Ceci est un mémo, il contient des informations tellement confidentielles, que tu devrais faire de la prison, rien que pour avoir appris son existence.
Elle réussit à déchiffrer le dit mémo et lu la description finale. Ce mémo, présentait l'évasion d'un prisonnier de la légendaire prison sous-marine.
Arthur : Que dit-il ?
Emilie : As tu déjà entendu parler de la prison des fonds marins ?
Arthur : Non pas vraiment !
Jordan envoya un sac à l'arrière, dans ce sac Émilie en sortie un petit ordinateur sur lequel elle brancha la clé. De là, elle ouvrit un dossier spécial et vît une fiche de renseignement, provenant des......
Arthur : Service spécial britannique.....?
Emilie : Voici Jonathan Andrews Léon, communément appelé Johnny ! Il a été chef d'une unité secrète Russe entre 2014 et 2017. Après quoi, il aurait été accusé de trahison et d'entretenir des relations avec des cellules terroristes du proche Orient......
Arthur resta immobile un instant et mit la main sur son visage. Sur la photo, il s'agissait bien de celui qui lui avait rendu visite plutôt.
Emilie : Je sais chéri, il te ressemble comme deux gouttes d'eau, mais t'inquiètes tu es plus mignon que lui.....
Arthur : Ce type......c'est mon frère !
Emilie : Je le sais.....
Elle prise son téléphone et contacta un numéro, face à elle, se trouvait un Arthur complètement dépassé par les évènements. Il n'arrivait pas à y croire, mais voyons voir à qui Émilie passait un coup de fil.
Dans la Casa Ryan's, Stella était finalement rentré après la nouvelle qu'elle avait apprise. Assez chamboulé, la jeune fille s'enferma dans sa chambre et pleura un coup. Mais alors qu'elle refaisait le tour du dossier, elle remarqua un cadre de chiffres. Dans ce cadre, un chiffre similaire était répliqué et à l'intérieur, des chiffres se démarquaient.
Après avoir ressorti tous ces chiffres, elle se rendit compte que le tout était assez bizarre. Car plus que pour être un numéro, elle réfléchissa énormément jusqu'à penser à une alternative.
Alors rapidement sur son ordinateur, elle entra dans un navigateur le numéro -6.48825,148.40315249999998...... ceci représentant, les coordonnées géographiques de.....
Stella : La Papouasie Nouvelle Guinée ?
Exactement, 6.48825 en latitude et 148.40315249999998 longitude.
Dans la voiture, Émilie Wattson avait terminé l'appel qu'elle passait. L'appel était très brève et les mots employés très technique.
Emilie : Tu m'a l'air très surpris !
Arthur : Oui et c'est normal ! Je vois que tu as beaucoup changé, tu n'es plus la fille orgueilleuse que j'ai connu.
Emilie : Si c'est un compliment, je l'accepte avec plaisir.
Arthur : Oui, même si sur certains côtés tu es restée la même......
Emilie : Nous devons accepter le changement, mais conserver nos principes...... sinon, tu es disponible ce soir ?
Arthur : Euh..... techniquement oui, pourquoi ?
Lorsque la voiture gara sur le côté, elle remis une carte de visite et un somptueux baisé au passage.
Emilie : Tu sais où me trouver maintenant !
Il sortit de la voiture, car celle ci était arrivée à son lieu de service.
Emilie : Eh Arthur ! Apporte une bonne bouteille de vin.
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