La rencontre
"Il n’est plus ici, car il est ressuscité comme il l’avait dit. Venez voir l’endroit où il était couché." Saint Matthieu
Le monde est entrain de partir en vrille, le passé refait surface et nous envahit. J'ai l'impression, de ne plus savoir qui je suis réellement ; comme si mon présent n'est basé que sur un rafistolage de mensonges vrais et vérités fausses. Pour la petite explication, un vrai mensonge, c'est croire que la démocratie existe dans les pays africains ; en ce qui concerne une fausse vérité, c'est de se dire que Magellan à terminer son tour du monde. Dans l'un ou l'autre cas, vous avez des mensonges, qui ne sont vrai que parce que l'on y croit.
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Chez les Tyar, lors d'une réunion du bureau, l'on présenta une note venant d'Interpol.
Dans cette note, il était question d'un ordre d'arrestation contre la famille. Mais cela n'était qu'un ultimatum, visant à demander à ces derniers de ce calmer.
A la lecture de ce document, les discussions commencèrent entre les différents groupes de la salle. Puis, Béatrice sortie un autre document, relatant les divers faits enregistrés par Interpol concernant la famille. Notamment les actions d'il y a cinq ans, comme le débarquement d'une unité d'espion des Tyar en Alger ou encore, l'assassinat d'un premier ministre argentin.
Il ne manquait donc pas de sujet de débat pour ceux la, lors de cette dite réunion du conseil.
Mais nous n'allons pas nous appesantir dessus, car nous nous projetons du côté de la Suisse, où un Jet Intéressant atterissait.
Zürich, Suisse 09h13 :
James et son escouade venaient d'atterrir, ils prirent des voitures qui leurs attendaient. Toujours très intrigué, Georges ne disait rien à personne, gardant le silence, car ne sachant pas dans quoi son revenant de père irait l'entraîner.
Après plus d'une trentaine de minute en voiture, ils arrivèrent sur les lieux d'une propriété magnifique.
Cette demeure était consacré sur une superficie de quinze mille mètres carrés, contenant en son centre un manoir bâti sur près de cinq mille mètres carrés. Au Nord, c'est à dire à l'arrière de ce manoir, a été aménagé un coin détente avec piscine, coin barbecue et un espace pour observer le paysage. À gauche du manoir, se trouve un mini ranch où des chevaux résident. À sa droite, une magnifique et immense serre où de presque toutes les fleurs y étaient cultivées. À l'avant, c'était une belle fontaine entouré de fleurs, gardé par de beaux arbres, délimitant le passage au véhicule. Le tout étant encerclé par un portail immense.
Cette propriété était telle un château de compte de fée. C'était tel que la stupéfaction de Georges était à son paroxysme.
Lorsqu'ils furent arrivés, ils furent reçu par Franklin le majordome, qui leurs informa que sa majesté les attendait.
Georges (Cette femme, qui fait trembler Stella comme une feuille..... elle, que mon géniteur appel sa majesté.....je vais la voir !).
Moya : Ne stresse pas temps petit toutou, ma mère ne mange pas les gens tu sais ! Mais sache juste qu'elle ne parle pas très bien français, et donc faudra se contenter de l'anglais ou alors du Russe.
C'est ainsi qu'ils pénétrèrent l'entre du manoir de Zürich !
Pendant ce temps, à Liverpool, notre chère Émilie Wattson venait d'arriver avec ces nouveaux éléments.
Mais alors qu'ils furent accompagné au manoir Wattson, elle avait d'autres plans en tête.
Elle se dirigea vers le musée, où elle devrait trouver quelqu'un d'autre à ajouter à sa liste de rechercher.
Il s'agissait d'une femme, une métisse du nom de Margerie kaltim. Une ancienne de l'armée congolaise, qui avait servi en Libye.
Elle était assise à contempler des sculptures anglaise du 18e siècle, et c'est là que Émilie arriva. Elle s'assit juste prêt de Margerie, lançant un débat très intriguant.
Lorsque l'attention de Margerie fût captivé, elle l'informa qu'il ne servirait à rien de faire quoi que ce soit, car elle avait des hommes partout.
Puis elle regarda les sculptures, puis elle changea d'attitude devant celles ci.
Emilie : Terrifiant !
Margerie : Je vous demande pardon ?
Emilie : J'ai entendu dire que l'artiste s'est fait connaître par ces marionnettes, bizarre non ?
Margerie : Je..... ne crois pas !
Emilie : Cela me rappelle un spectacle de clowns, qui ma marqué. Ma mère m'y avait emmené voir quand j'avais environ, quatre ou cinq ans......ouh, j'ai été morte de trouille. Mais ce n'était pas à cause de la sorcière non, c'était les clowns.
Margerie : Hein ?
Emilie : Vous vous imaginez vous ? Une marmite qui se met à parler ? Oh my god..... après ça, j'ai dû éviter la cuisine pendant plus d'un an.
Margerie (Qui est cette femme au juste ? Et de quoi elle parle ?).
Emilie : Quelle terrifiante expérience pour les enfants, on devrait interdire c'est gens chez les moins de huit.
À cet instant, Margerie se mise à regarder de partout, et c'est ainsi qu'elle vit les hommes de Émilie.
Margerie : Écoutez, je ne sais pas ce que vous croyez obtenir, mais vous perdez votre temps. Je suis la uniquement pour poursuivre ma retraite.
Emilie : Qu'est-ce-que je regrette Michael Jackson. Vous savez, cet homme incroyable qui nous émerveillait de sa pop. Ahh......on en fait plus des comme lui, un véritable génie de l'industrie musicale et du show business.
Puis Émilie sortie de son sac à main, une arme qu'elle pointa sur les côtes de Margerie. Celle ci se leva donc instantanément, sans rochinier.
Emilie : Bon, je commence à avoir faim ! On rentre ?
Margerie (Bordel, dans quoi est-ce que je me suis encore fourré moi ?).
Margerie se trouvait dans la plus grande des incompréhensions, mais néanmoins elle n'était pas la seule.
Dans ce même état, se trouvait Sacha, au côté de Alicia sa nouvelle amie.
Il s'était écoulé environ une semaine depuis son évasion. Elle ne faisait qu'une seule chose depuis la, accompagné Alicia dans des centres commerciaux, des visites de musées, et parfois des conférences sur le climat et la biodiversité.
À ce jour, elle accompagnait à nouveau Alicia pour une entrevue avec des personnes qu'elle avait déclaré importante.
Elles se dirigeaient vers le plus impressionnant building de Dubaï, j'ai nommé le Burj khalifa.
À cette tour gigantesque, elle avait prise rendez-vous au quatre-vingtième étage.
Là elle devrait y retrouver deux hommes, deux pro russes, qui pourrait les aider dans sa mission.
Mais pour en revenir à ce rendez-vous avec cette rencontre avec la femme de Zürich, nos amis se trouvaient actuellement devant elle. Elle était comme ont l'avait décrite, même si Georges n'en était pas convenu.
James : So to conclude, your majesty, I present to you my eldest son Georges. I would like to integrate him into my group, so if......
Alors qu'il allait terminé sa phrase, James n'avais nullement prévu que son fils tenterait quoi que ce soit. Et encore moins qu'il essaierait de tué leur hôte.
Dans un calme absolu, il avait attrapé une fourchette, qu'il avait lancé à toute vitesse. Mais son majordome Franklin fût très rapide et réussi à empêcher un malheur. Il avait mis son bras en avant, afin de recevoir le coup.
Cet action était tellement incroyable, quelle amusa follement.
Anna : Are you serious, Mr. James ? Is this the type of guy you would like to put at my service ?
James : I'm sorry your majesty......the fact is......
Cette déclaration de Annabelle était mérité, elle se leva s'approcha de Georges. Ce dernier affichait comme un sourire narquois pour son acte
Lorsque Anna fût approché de Georges, elle le regarda droit dans les yeux. Elle se mise même à sourire, tout comme cet idiot.
Puis délicatement, elle lui caressa la goue gauche. Il était assez septique de cette attention, avant de se relaxer.
Franklin : But your majesty, what are you doing ?
Lorsqu'elle eût terminé avec ses pommettes, elle descendit jusqu'à son ventre en passant délicatement, par son coue, son épaule gauche, son torse....... lorsqu'elle toucha son pantalon, elle se mise à sourire, et bien évidemment cet idiot fût de même.
Anna : You see Franklin, just like animals, man has this primary characteristic of wanting attention. Sometimes this is requested in a physical way, caresses here and there......
Cet dans cette déclaration, qu'elle fît quelque chose d'inattendu elle aussi. Elle attrapa la ceinture du pantalon de Georges de sa main gauche et son cou de la main droite. D'une force dont il a pu s'en rende compte, elle leva dans les airs avant de le faire chuter sur la table. Serrant fort le cou de ce cher Georges, elle ajouta ironiquement......
Anna : And you see, it’s so pathetic! How sad, such a pretty boy !
Georges (Bordel, mais c'est qui cette femme ? Le vieux m'a dit que normalement, il s'agissait d'une meuf de trente pige, mais là..... c'est une femme qui est de la promotion de ma vieille et en plus, elle a une force de dingue putain.....).
Anna : So little rat, I'll clarify things ok ? When you're in front of me, you turn your dirty little dog face down. You don't speak without authorization, you don't try anything against me. Moreover, when you address me in the future, it would be under the title of your majesty! Is that clear ?
Georges : Yes.....your...... majesty !
Elle perdit son visage effrayant et retrouva son sourire aimant, avant d'envoyer ce cher Georges dans le décor.
Anna : You know what James, I like him. He is exactly as you described him to me, cheeky, stupid and very brave. He will be part of my close guard, I feel that with him my days will be less boring from now on.
Sur ces mots, elle s'en alla dans sa chambre. Vue sa mine joyeuse, James ne pu que se plier à ses ordres.
Ce cher Georges, venait de signer sa propre mort. Il venait de s'engager avec le diable lui même.
Cependant, quelqu'un d'autre allait se rendre compte qu'il avait signé avec un véritable monstre prêt à tout.
Retournons au Burj khalifa, où entre Alicia et Sacha, la tension allait devenir très forte.
Dubaï, 16h35 :
Au 60e étage, Sacha et Alicia devraient avoir rendez-vous avec des personnes très importantes d'après la déclaration de Alicia.
Mais bizarrement, arrivé au 80e étage, Alicia donna une arme à Sacha, l'informant par la même occasion qu'elle devrait être prête à tout.
Cela l'étonna assez ; arrivé au niveau requis, l'ascenseur s'ouvrit. Alicia fît une petite roulade et dès qu'elle fut en place, tira trois coup. Atteignant ainsi les trois hommes qui gardait le couloir.
Elles avancèrent et près de de la porte, un homme et une femme leurs tombèrent dessus.
L'homme emporta Alicia et la femme envoya un bon coup de pied à l'ancienne dans la figure de Sacha, au point où celle-ci perdit connaissance.
Alicia pendant se temps affrontait l'homme en question. Dans un premier temps, Alicia lui donna coup de coude dans le dos, enchaînant avec un autre jusqu'à ce qu'il la lâche.
Par la suite, elle fût assez déloyale en lui donnant un bon coup entre les jambes, suivi d'un coup de genoux dans la figure. Il s'écroula par la suite, mais avant qu'Alicia n'eut de répis, elle reçu un coup de poing de la femme à côté.
Acculé et à terre, Alicia vit la femme se rapprocher d'elle. Profitant d'un instant d'inattention, Alicia tenta de renverser son adversaire avec un coup dans les jambes, mais celle-ci fut très prudente.
Elle attrapa les jambes d'Alicia, et l'utilisa comme punching-ball en frappant notre amie contre le mur, un peau de fleurs..... mais avant qu'elle ne puisse frapper Alicia sur un autre mur, celle ci pû attraper le poignet d'une porte.
Elle profita de la gène, prise appuis sur le sol et réussit un gros effort physique en envoyant valser son adversaire, qui se prise un mur.
Après les avoir traîné tous les trois dans la chambre du rendez-vous, Alicia se servit un verre de bourbon bien sec.
Après quelques claques bien soignées, les deux espions se réveillèrent.
Alicia les avaient attachés sur des chaises, et était assise face à eux avec des documents plein les mains.
Alicia : Alors, monsieur Grégory Skalof et Henrietta Skalof ! On peut enfin débuter notre rendez-vous comme il se doit.
Bien évidemment, ce n'était pas comme si ils allaient se mettre à jouer au jeu de la radio RFI. Ils auraient forcément l'art de garder le silence.
Alicia : J'ai ma méthode pour vous faire parler mes chéris.
À cet instant, Sacha qui était allongé sur le canapé se réveilla, elle vit Alicia attrapé l'homme et le balancer par la fenêtre du 80e étage. Cela décrocha littéralement Sacha du peu de sommeil qu'elle pouvait encore avoir en elle.
Sacha : Putain ! Mais t'es complètement givré ma parole ! Personne ne peut survivre depuis une telle hauteur. Ça fait genre.....100m de haut ?
Alicia : J'ai une mission de la plus haute importance, de ce fait je suis prête à tout pour accomplir ma mission.
Ses paroles froide de Alicia firent carrément trembler Sacha, mais cela fît aussi le même effet à notre amie, qui se mise à pleurer.
Alicia : Alors madame Skalof, prête à répondre à mes questions ?
Dans la plus grande des peurs, elle hochait vaillamment la tête.
Alicia : Bien ! Alors, commençons par un truc simple. Qui vous envoie ?
Sacha venait de comprendre à son tour, qu'en se bât monde, il existe des femmes capable du pire pour arriver à leurs fins.
Pour faire chuter la pression, retrouvons Georges au manoir de Zürich. Il vient de se réveiller après l'explication de la femme de Zürich.
La tête sur les cuisses de Milena, il avait l'impression de rêvé. C'était comme si un train l'était passé dessus.
Georges : Où suis-je ?
Moya : Dans ma chambre !
Complètement perdu, il se leva pour retrouver ses repères.
Moya : Ma fois, tu es quelqu'un d'extrêmement courageux ! Personne depuis Gabriel Wattson ne l'avait autant défié.
Georges : Ah oui, je me souviens maintenant. Elle est vachement forte la vieille, elle me rappelle ma mère.
Sur ces paroles, Milena se mise à rire, puis elle se leva et se rapprocha de la fenêtre.
Georges : Donc la femme de Zürich, c'est ta mère !
Moya : Ce nom de merde !
Subitement, la jeune fille changea de ton. Son sourire disparu, laissant libre cours à sa haine.
Moya : La grande et puissante Anna Léonard. Celle qui a réussi à bâtir un empire sur des cendres et du charbon, la femme que même certains États craignent. Celle à qui l'on offrit le surnom de la femme de Zürich.
Georges : Moya....?
Moya : À ta différence Georgi, mon père était mon héro, celui là qui réussissait toujours à nous faire rire et notamment, à calmer ma mère dans ses folies. Je l'en veux beaucoup, car il s'est offert à lui tout seul, ce bonheur de partir pour un monde meilleur..... pour le paradis des saints. C'est là un monde que je ne pourrai jamais atteindre, car aujourd'hui j'ai été souillé......
Georges : Hum...... souillé ?
Moya : T'inquiète ce n'est pas de ma virginité dont je parle. J'ai tué des innocents, des femmes, des enfants....... je l'ai fait sans pitié !
À cet instant, Milena versa une goutte de larme, avant de relever un visage tout souriant, comme si de rien n'était.
Moya : Mais, c'est le prix à payer lorsque l'on vit avec le diable comme mère.
Georges : Humm, je vois ! Moya !
Moya : Oui Georgi ?
Georges : Est-ce que tu détestes ta mère ? Et est-ce que tu en as mare de cette vie de merde ?
Moya : Eh bien...... dire que je la déteste...... c'est un peu vite dit......
Georges s'approcha alors d'elle et prise cette dernière par les épaules. Elle baissa alors la tête et commença à pleurer.
Georges : Répond moi franchement !
Milena leva donc ainsi la tête les larmes aux yeux.
Moya : Je la déteste, je la déteste, je la déteste ! Et je déteste tout autant cette vie......j'en ai mare.....
Elle s'effondra sur Georges, pleurant dans ses bras comme une gamine de quatre ans.
Milena : S'il te plaît Georges, aide moi !
Georges : T'inquiète, je vais te libérer de tes entraves.
Sur ces mots, elle embrassa le jeune homme. Sans complexe, il la suivie dans son geste avant que cela ne se termine dans son lit.
Dans ce genre de lieu, il n'est pas rare que l'on retrouve des caméras de surveillance dans toutes les pièces. Et bien sûr, qu'il y'ai un point de surveillance.
Cela était le cas de ce manoir. Dans une pièce bien gardé de la maison, ce trouvait la salle multimédia. C'était le terrain de jeu d'un certain Fang Chio un chinois de quarante ans qui travaille pour la famille Léon de Zürich.
Dans cette pièce, il était avec James surveillant les différentes pièces, notamment la chambre de Milena, qui se trouvait avec Georges.
Fang : Vous croyez qu'il a marché ?
James : C'est une évidence, Georges est comme sa mère, il s'excite trop vite. Il a juste fallut que Milena verse un peu de larme et après qu'elle soulève sa jupe......ahhh, quand il m'a parlé de sa femme, j'ai crû qu'il était enfin devenu sérieux.
Fang : Sérieux ? Si pour vous être sérieux signifie se taper une autre dans le dos de sa femme......
Ce pauvre Georges, continue lamentablement de perforer l'entre du démon.
Il est actuellement 18h23 à Zürich et 20h23 à Liverpool.
C'est à cet heure que Émilie Wattson, reçu son invité de marque tant attendu.
Alors que son invité prenait place dans la salle de séjour, elle se trouvait dans la cave avec sa nouvelle amie et un certain Mctominer des ressources financières.
Emilie : Alors mon cher, on m'a dit que c'est vous qui gérez mes finances ?
Le monsieur avait été ligoté sur une chaise et complètement mit à nu.
Mctominer : Mademoiselle Wattson, je vous en prie, je ne voulais pas.
Emilie : Vous m'avez volé et menti......tu te rends compte Margerie ? Ils ose me baiser et me faire payer, mais c'est pas croyable.
Mctominer : Je vous en supplie !
Emilie : Qui t'as aidé ? Donne moi un nom et peut-être tu auras la vie sauve.
Il dévoila une liste de cinq nom, ce qui mit Émilie toute en joie. Elle se leva et se retourna, vers Margerie.
Emilie : C'est bien Mr Mctominer, je vous pardonne de vos péchés.
Mctominer : Je vous en remercie mademoiselle Wattson.
Dès qu'elle eût terminé de mettre ses gants, elle sortit une arme et lui tira une balle dans la tête.
Emilie : La loyauté est très importante, tout comme la solidarité entre frères.....ahhhh, il faille donc que je vous apprennent tous ? Bon nettoyer moi ça, j'ai un invité qui m'attend !
Jordan : Bien mademoiselle !
Margerie (Qui est cette femme ?).
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