Détresse de deux frères !
"La parole c'est le corps de la pensée, l'éloquence en est la vie". Louis-Auguste Martin
L'instabilité du monde me fait vraiment chaud au cœur, non mais sérieusement...... vous vous voyez dans un certain confort, à courir et jouer avec vos amis et proches lorsque vous êtes gosse. Puis vous grandissez et comprenez la dure réalité de la vie. Ces côtés sombres, ses excès, ces obligeances...... vous allez sûrement dire que s'est ainsi que les choses sont faites et que l'on y peut rien. C'est peut-être vrai, mais es ton vraiment heureux ainsi ? N'avons nous donc jamais pensé que l'on pouvait briser cette roue du destin ?
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Dans le Saxon hôtel, Arthur et Émilie, ressassaient un passé, qui n'aurait peut-être pas été souhaitez.
Il se trouvait la dans les bras de Émilie, qui malgré ses efforts pour le réconforter, ne pouvait que regarder.
Arthur : Quelle chance, ma vie n'a été qu'un ramasser de mensonges, dans lequel je me...... si la vie est considérable à une rivière de souffrance et de malheur perpétuel, alors pourquoi vivons nous ? Où est la logique d'un tel monde ?
Emilie : Tu n'aura pas toujours des situations évidentes, des moments de joie ou de bonheur..... mais tu auras un sourire par ci et par la, qui te donneront l'impression que tu mérites de vivre. Qu'importe qui tu es réellement, car pour ce qui t'aime, tu es ce que tu es, et rien pour cela.....
Des larmes commencèrent à tomber sur sa main, alors Arthur la retira et vit ces larmes de joie et se sourire que lui affichait Émilie.
Emilie : Tu as ta petite Lucia, tu as les Tyar.....et....et tu m'as moi.....
Il se leva et afficha un léger sourire de réconfort, alors il prit Émilie dans ces bras.
Emilie : Ce n'est qu'une fois que l'on perd tout, on se rend compte de la valeur de ce que l'on avait ! Ne te renferme pas et ne vacille pas, car nous sommes là.......
Arthur (Cela ne fait aucun doute, tu n'as pas changé d'un pouce......tu as beaucoup grandit depuis le lycée. Ton audace à évoluer tout comme ta confiance et ton courage, mais cette perle, cette fille si fragile que j'ai connu n'a pas changé......).
Puis la jeune femme s'écarta et essuya rapidement ses larmes, elle en était toute gênée. Arthur lui ça lui faisait bien rire, mais il l'aida quand même à les essuyer.
Arthur : La vie n'est un cadeau pour personnes, elle s'amuse à nous faire de sacré coups bâts...... mais c'est bien ça qui nous fait évoluer et grandir.
Il embrassa la jeune femme et commença à lui raconter des anecdotes sur ses cinq années qui s'était écoulé.
Cependant, dans la ville de Zürich, Georges croisa de nouveau Annabelle. Elle fumait une cigarette sur la terrasse, observant les étoiles.
Georges se rapprocha et se plaça juste derrière elle. Tous deux ne dirent aucun mots, jusqu'à ce que Georges en eût marre et lança le débat.
Dans le ciel, ils pouvaient observer les constellations de la grande Ours et celui des Gémeaux.
Georges : Deux entités représentant un être dans deux époques différentes.....tu s'est ce que c'est que le clonage ?
Sur ces mots, Annabelle arrêta sa respiration un moment. Elle fût comme mise sur pause l'espace de quelques secondes.
Georges : J'arrive toujours pas à y croire......
Annabelle : Qui te donne le droit de me parler ainsi ? Tu veux que je te fasse couper la langue ?
Georges : Mon frère et moi, avons énormément de traits de ressemblance, mais en ce qui concerne Anna et toi.......
Avant qu'il ne termine sa phrase, elle l'attrapa par le cou.
Georges : Ahhhhh...... vous deux, c'est plus que de la simple ressemblance, vous êtes identique...... comme deux gouttes d'eau.
Elle lui envoya la fumée qu'elle avait dans ses poumons avant de le relâcher.
Annabelle : Fait extrêmement attention gamin......et lorsque tu t'adresse à moi, fait le avec respect, sinon......
Georges : Sinon quoi princesse ?
Il se rapprocha d'elle et mit ses mains sur les épaules de la jeune femme. Il y mit aussi une certaine précision, visant à l'intimidé, mais il n'eût pas réellement le résultat escompté.
Elle se mise même à sourire, comme si la situation l'avantageait.
Annabelle : Je vois, elle ta montré les cassettes hein ? Ce qui explique pourquoi tu arrives à remarquer cette ressemblance inexplicable.
Georges : Alors...... mais..... qu'est-ce-qui t'amuses ?
Annabelle : C'est simple, lorsque tu as ne serais ce que appris l'existence de ces cassettes, tu nous as vendus ton âme mon chère.
Elle commença à rire, un tel rire qui effraya se pauvre Georges.
Annabelle : Tu connais l'étendu de mes actions et plans...... tout mon business t'as été dévoilé.
Furieux de se sourire narquois, Georges commença à secouer la jeune femme dans tous les sens, jusqu'à ce qu'elle ne décida de réagir. Elle l'écrasa le pied, pour qu'il se calme, avant d'enchaîner avec une claque somptueuse du revers de la main.
Georges (Quelle force ! C'est identique à celle de Anna.......).
Annabelle : Alors, comme tu es officiellement à moi, tu vas beaucoup m'être utile.
Georges : Qu'est-ce qui te garantis que je vais sagement t'obéir ?
Annabelle : Trois raisons suffise, un : tu es un traître, qui m'a longtemps servi. De deux : tu n'es ni important, ni précieux et je peux te faire tuer à n'importe quel moment ; de trois : il faudrait une armée comme toi pour m'inquiéter.
Elle se retourna et continua sa cigarette paisiblement, puis......
Annabelle : On va commencer par tester ta loyauté, tu vas tuer quelqu'un pour moi.
Georges : Tu rêve ma pauvre ! Je ne te dois rien à toi..... peut-être à la femme de Zürich, mais tu n'es pas la femme de Zürich.
Elle se retourna avec un regard déçu, puis elle commença à nouveau à rire, comme si elle avait entendu une blague.
Georges : Encore ce rire, tu commence vraiment à m'agacer.
Il s'avança dangereusement vers elle, il envoya un coup de poing qu'elle contra avant de lui donner un coup au ventre, suivie d'un second coup dans le menton.
Il ne s'arrêta pas la, il revint à la charge avec une salve de coups plus rapide, mais même jusqu'à là. Annabelle esquivait et contrait chaque coup avec une telle aisance.
Puis elle commença à contre attaquer, une claque de la main gauche qui assomma notre ami. Puis deux coups de pied direct, dans la jambe droite de Georges et un autre sur la gou gauche. Il s'écroula comme mort, Annabelle sortie un mouchoir et s'essuya les mains avant de le balancer sur Georges.
Annabelle : Une minute ? Quelle déception monsieur Tyar, bon sinon je crois que nous en avons terminé. Alors ta cible sera Lucia Alkazair Méphisto Tyar, je veux sa tête pour mon retour d'Amsterdam.
Georges : Fille.....de mon frère.....? Jamais je ne...... ferai une telle chose à mon frère......
Annabelle : Oh, comme c'est poétique ! J'en verserai presque une larme, mais dit moi, qui t'a dit que c'était ton frère ?
Georges : Hein......? Mais qu'est-ce que tu racontes ?
Annabelle : Bonsoir monsieur Tyar !
Elle s'en alla, laissant un Georges amoché et surtout très intrigué.
Au même moment, plus à l'ouest, l'agent d'Interpol Alicia Valentino, se préparait déjà pour sa futur mission en terre africaine.
Lyon, France 21h02 :
Dans son appartement, Alicia avait décidé d'héberger Sacha chez elle. Comme elle possédait une couverture particulière, elle déclara à la réception, que Sacha était une cousine éloigné.
Dans le salon, Alicia faisait quelques étirements. Sacha qui regardait la télé, n'arrêtait pas de fixé Alicia. Cela énerva assez rapidement la jeune femme, qui lui envoya un regard assez particulier.
Sacha : T'essayes de me faire les yeux doux ? Si c'est le cas......
Alicia : Qu'est-ce que tu dirais......
Sacha : Oh la miss.....! Je n'ai aucune idée de ce qui se trame dans ta petite tête, mais j'suis une putain d'hétéro !
Alicia se retourna avec comme un sourire de réconfort, ce qui piqua la curiosité de Sacha.
Alicia : Alors arrête de me regarder comme ça..... c'est vrai, on pourrait croire que je t'excite. Genre si tu étais un mec, ça ferait longtemps que je t'aurais mise à la porte.
Sacha : C'est pas exactement ça t'inquiète. Enfaite c'est tes traits physiques, tu as un corps absolument ouf......
Sacha se leva et se rapprocha de Alicia, qui commença presque à avoir peur. Puis Sacha commença à toucher Alicia d'une façon particulière.
Alicia : Mes qu'est-ce que tu fais ?
Sacha : Arrête avec tes bêtises....... j'suis pas attiré par les filles, mais lorsqu'elle sont bâti comme toi....
Elle lui palpa les cuisses, les bras, l'abdomen et les hanches, jusqu'au fesses et là Alicia s'écarta en rougissant.
Alicia : T'approche plus de moi.....
Sacha (Sa corpulence le cache bien, elle a une taille très fine, ce qui nous ferait croire qu'elle tient juste la ligne. Mais il y'a plus, ses cuisses sont extrêmement travaillé, ses bras pareil..... elle possède des abdos digne d'une athlète pro.).
Alicia : Euh.....je peux savoir pourquoi tu souris comme ça ?
Sacha : Je veux la vérité ! Dis moi, qui est Alicia Valentino ?
Le regard déterministe de Sacha était plus que sérieux, alors Alicia a son tour commença à sourire. Elle se releva avec un retourné arrière, et enchaîna avec un saltos arrière.
Puis elle s'en alla dans la chambre, sans répondre à Sacha, qui resta assise par terre.
Après quelques minutes, Alicia s'était changer, elle avait mise un pull et des chaussures de course.
Elle lança sur Sacha un pull et une autre paire de chaussures.
Alicia : Suis moi !
Elles sorties courir, mais après une dizaine de minutes de trotinage, Alicia commença à accélérer la cadence. Elle commença même un sprint improvisé. Sacha complètement largué, ne se cassa pas la tête et accepta le défi et se mise elle aussi à courir.
Sacha réussi à rattraper Alicia et ensemble, elles débutèrent une sorte d'endurance vitesse.
Alicia se mise à sourire un moment, ce qui énerva assez Sacha. Puis Alicia augmenta encore la vitesse de course et la, Sacha qui ne voulait pas se laisser distancer, fît de même.
Malgré sa volonté, au bout d'un kilomètre de course, Sacha commença à ralentir. Alicia elle, ne faiblissait absolument pas. C'était comme si elle était porté par l'air.
Puis après quelques minutes, Sacha rattrapa Alicia dans un parc. Sacha qui respirait à peine n'en revenait pas que Alicia, était aussi résistante.
Sacha : Plus jamais je ne ferai ça !
Alicia : Quoi ? Tu es déjà fatiguée ?
Sacha : Moque toi de moi......
Alicia : Bon alors, comment est-ce que l'on rentre ?
Sacha : Moi je prends un taxi et toi tu fais ce que tu veux.
Alicia éclata de rire, puis elle pointa du doigt un immeuble juste à la sortie du parc.
Alicia : Tu ne t'en est même pas rendu compte, mais nous sommes déjà arrivé. Et m'a question c'était pour savoir si on devrait faire la course ou pas.
Sacha : Ok miss..... je vois que tu n'as pas l'intention de me répondre, alors laisse moi vérifier un truc vite fait......
Sacha se leva et se rapprocha calmement de Alicia, assez calmement pour que celle-ci s'en inquiète.
Puis Sacha changea de mine, elle adopta un visage sérieux et sans froid. Puis elle se mise en position de boxe, comme pour parer un coup.
Alicia : On peut savoir ce que tu fais ?
Sacha : Attaque moi..... mais sache que si tu me ratte, tu finiras à l'hosto !
L'espace d'une minute, aucune des deux femmes ne fut un geste. Oui Alicia avança légèrement vers Sacha, elle envoya un coup de pied que Sacha bloqua avec son bras gauche. Sans perdre de temps, Alicia usa de son autre jambe pour enchaîner avec un coup dans le menton que Sacha évita.
Elle lâcha les jambes de Alicia et envoya un coup de poing, qu'Alicia évita. Alicia esquiva avec un coup de genoux dans le menton de Sacha, suivis d'une claque sèche dans la gou gauche de la Tyar.
Alicia : Fin du combat !
Alicia alla s'asseoir sur le banc et leva la tête vers les étoiles, puis elle posa une question à Sacha.
Alicia : Alors, qu'est-ce-que tu voulais vérifier ?
Sacha : Tes défenses et ton adresse. Tu as un physique olympique, et de bonne compétences pour la défense de base. C'est cool, je kiffe......
Alicia : Pourquoi ai-je l'impression qu'il y'a un mais ?
Sacha : Il y'en a ! Tu te suffit trop, tu dégage une telle assurance et un tel charisme lorsque tu te bats, mais tu te suffit trop.......
Alicia : Comment ça ?
Sacha : Genre, tu peux mieux faire. Tu as une technique incroyable et des bons mouvements, mais tu as une facilité à te suffir d'un peu d'effort.....tu me rappelles beaucoup quelqu'un.
Alicia se leva et commença à marcher, elle fit un signe à Sacha qui la suivi.
Alicia : Qui te fais tant penser à moi ?
Sacha : Mon frère, il est quelqu'un de très bizarre. Et tout comme toi, il a cette facilité à se suffir du moindre effort.
Alicia : Intéressant ça !
Sacha : C'est très intriguant, car tout comme lui, tu as quelque chose que tu cache...... enfin je ne dis pas que c'est exactement ça, mais c'est l'impression à chaque fois que je le vois, comme si il avait quelque chose de lourd qui l'empêche d'être lui même.
Alicia : Et d'après toi, c'est pareil pour moi !
Sacha : Bah, comme pour le combat de tout à l'heure, tu aurais pu m'avoir d'un seul coup. Mais tu as hésité au dernier moment......
Alicia (souriant) : Abon ?
Sacha : Ouais et la seule fois où j'ai affronter Arthur, il a fait pareil. Mais à la seule différence, qu'il ne m'a même pas touché et à fini à l'hosto lui.
Alicia : Ah d'accord..... heureusement, que moi j'ai pas vraiment hésité......
Le lendemain, lorsque Sacha se réveilla plus tôt, pour aller pisser, elle remarqua que Alicia n'était plus là.
Lorsqu'elle passa par le salon, elle vit Alicia faire des tractions et des pompes.
Alors elle rentra dans le salon, alluma la lumière et fît les exercices avec Alicia.
Ce même matin, plus à l'est de la France, dans la ville de Zürich, une discussion importante allait être dérangé.
Zürich, Suisse 09h45 :
Dans le manoir, la famille Léon accueillait le ministre des affaires Suisse.
Monsieur Ignazio Cassis, venait pour une discussion avec la chef de la famille, qui pourrait emmener un changement important dans les relations extra du gouvernement fédéral.
Il a été manqué de préciser, que Anna Léonard est le gouverneur de Zürich.
Dans la salle de réunion, la dame recevait le ministre. C'est au point le plus décisif, que Georges arriva tout en rogne. À la porte, il croisa la femme de ménage, qui revenait avec un plateau vide de thé.
Elle l'informa que la réunion qui se dirigeait à l'intérieur était d'une importance capitale et qu'en aucun cas, l'on ne devrait l'interrompre. Mais le jeune homme ne voulut pas l'écouter et voulut forcer l'entrée, mais.......
Fernanda : I see that the gentleman has not fully understood the situation, so please allow me to explain it again. His Majesty is in a meeting and does not wish to be disturbed !
Georges n'avais nullement l'envie de s'en aller, alors il décida de passer à l'action. Mais par précaution, il fît mine de se résigner.
Fernanda : Perfect sir, you made the right choice !
Elle parla malheureusement trop vite, et Georges passa à l'action. Il tira violemment le chariot de service, ce qui fit tomber la jeune servante. À cet instant, il attrapa le plateau et frappa violemment la jeune femme avec.
Lorsqu'elle s'écroula, il ouvrit la porte et entra dans la salle de réunion.
Georges : Salut à tous, Anna il faut que l'on parle et tout de suite !
La scène était assez impromptue, les présents en était vraiment scandalisé. Anna elle, était tellement dépassé par l'audace et le courage de Georges. Cela suscita une certaine fureur en elle.
Alors que Georges arriva devant elle, il prit place comme si de rien n'était et commença à se plaindre du comportement de Annabelle à son égard.
Lorsqu'il eut fini, celle ci n'avais qu'une seule envie, le tué de tellement de manière, que même le monde en serait surpris par certaines formes.
Anna : Really, I am sorry, Minister, for this inconvenience. Let's say that this is an unpleasant situation, because a fly got in by chance.......
Dans la pièce, se trouvait un homme très proche de Anna, Ismail Rouch, un iranien à la solde des Léon.
Ismail : If his majesty allows it, I will take care of it.......
Lorsqu'il claqua du doigt, son homme de main présent se dirigea vers Georges. Avec ses deux mètres zéro six de haut, le colosse emporta Georges dans les airs, puis sur son épaule pour l'évacuer.
Anna : Joyce my boy, do you want to show our friend where we throw the garbage ?
Joyce leur accompagna jusqu'à la cour arrière où l'on balança Georges, comme un mal autrui.
Après cela, Georges se dirigea vers la bibliothèque. Il prit l'un des albums photos et commença à regarder les photos, jusqu'à ce qu'à la porte il vit Fernanda.
Il lui fit signe de se rapprocher, lorsqu'elle arriva, il lui demanda de lui masser les épaules. La jeune femme répondit qu'elle n'était pas habilité à ce genre de tâche et surtout, pas à son service.
Malheureusement, alors qu'elle s'en alla, il l'arrêta de force.
Fernanda : Mister Please !
Georges : Hé bien quoi ma petite Fernanda ? Et si tu restais un peu avec moi ?
Fernanda : I have a lot of work sir, I'm sorry.
Georges palpa malicieusement les fesses de la jeune femme, qui eût réagi vivement.
Georges : Tu sais on pourrait prendre du bon temps, genre avec des galipettes !
Fernanda : I don't know what nonsense it is, but if you continue to bother me, I should consider you a nuisance and there......
Il se leva et commença à poser ses mains sur les hanches de la jeune femme, puis il l'embrassa le coup. Bien évidemment, le corps de la jeune femme réagi à cela, ce qui ne plu réellement à celle-ci qui commença à serrer le poing. Puis ses mains remontèrent le long de la taille fine de la jeune femme, jusqu'à sa poitrine et là, même à se moment elle ne fît rien.
Georges : Je vois bien que malgré ton calme et ton sérieux, ton corps réagit à mes baisers et mes caresses. Alors si tu ne veux pas t'y mettre, laisse moi faire le reste.
Fernanda : You have despicable and disgusting manners, not to mention that you are a despicable character, who likes to take advantage of others.....which for me, proves that you are unacceptable and therefore a threat.
Lorsqu'il toucha à la fermeture de sa robe de service, elle lui donna un coup de coude dans l'abdomen......
Fernanda : And if you are a threat, I must reframe you......
Puis elle lui donna un autre coup de coude mais cette fois-ci dans la gorge, suivi d'un coup de pied dans la jambe gauche. Et pour finir un uppercut du droit dans le visage, pour qu'il s'écroule dans le rayon des livres d'histoire.
Fernanda : Rule 27, article 34 paragraph 5, stipulates that for an agent in an apron, the use of brute force on an agent of rank is not permitted and tolerated. But the next rule also states that the agent in the apron can react if he judges that the situation is favorable......
Georges se leva en titubant, il prit appuis sur l'une des chaises pour se relever. Il afficha un regard d'énervement total.
Fernanda : And as you can see sir, I reacted because you were sexually assaulting me......I think that's what is being said in this situation, isn't it ?
Georges : Salope, je t'en foutrais moi des agressions sexuelles. Crois moi, lorsque je vais en finir avec toi, on te reconnaîtra à peine.
Fernanda : This time, it is about threats to personnel, and as principle number four is titled, Her Majesty is our mother and we are her children.....whoever threatens her majesty's children, threatens His Majesty. And if you threatened his majesty.......
Il sauta sur elle et l'attrapa, mais alors qu'elle s'écroulait avec lui, elle réussit à le projeter. Puis elle se releva avec dynamisme, il essaya de l'avoir avec un coup de pied surprise, mais elle anticipa et l'attrapa par la jambe. Elle l'attira vers elle et lui servi un coup de poing serré, suivi d'un second, puis d'un troisième.
Après ces enchaînement de coup de poing, elle lui donna un coup dans les jambes et termina avec un souplexe (prise de catch).
Il agonisait à terre, elle tranquillement reprise son chariot de service et s'en alla.
Fernanda : Monsieur doesn't really need me, so I'm leaving.
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