Convivium
"La plus grande erreur que vous puissiez faire dans la vie, s'est d'avoir peur d'en faire." John Fitzgerald Kennedy.
Les Hommes ont été créés de Dieu. C'est une bonne chose, que d'exister, mais avons nous seulement mérité ce qui nous arrive ? L'on dit que la crainte de Dieu est le début de toute sagesse, que se conformer à toutes ses règles, nous permettra d'éviter ses fureurs. Je ne contre dirais pas ces mots, mais j'aimerais poser une question, est-ce légitime de penser qu'à la fin de sa vie, Dieu sera t'il vraiment le bourreau de l'histoire ? Moi je dis, que le choix est accordée à l'humanité sera son bourreau au dernier jour. Car après tout, qui d'autre pourrait mieux nous en tenir rigueur que le poids de nos choix passé ?
————————————————
La victoire précoce de Émilie sur Annabelle, ne laissa pas celle-ci indifférente. Une mission l'avait été confié, celui de prendre la tête des entreprises Wattson. Mais il s'est avéré, que la tâche fût plus argneuse que prévu.
Qu'allait penser sa mère ? Comment pourrait elle bien revenir devant le regard de sa mère avec un échec aussi lamentable ? Et qui plus est, face à sa jeune sœur.
La colère de celle-ci n'avait nulle égal, sa haine était sans précédente. Son honneur et sa fierté avait été traîné dans le désarroi. Elle n'avait plus d'autre choix, plu d'idées et plu d'initiative, que celle de demander de l'aide à sa mère.
Mais c'était là une mission casi impossible, sauf si elle emploi un procédé particulier.
Annabelle : Allô......ici Annabelle ! Je convoque le Leon Convivium !
Le banquet des Léon, comme on le dit, n'est pas un rendez-vous comme les autres. Au cours des années, Anna a organisé ce rassemblement cinq fois. Comptant à chaque fois des membres très proche d'elle et notamment, les membres important de la famille Léon.
Ce rendez-vous est tellement important et sérieux, qu'il ne se fait pas à la hâte. En 2013, pour des raisons purement politique, Anna eût des problèmes avec une société concurrente. Ce problème était d'une telle ampleur qu'elle aurait pû tout perdre.
Alors qu'elle peinait au fond du gouffre, elle eût en idée de faire appel à ces alliés. Elle convoqua donc cinq hommes et femmes, ayant des liens très profond avec son organisation, des personnes ayant atteint le statut d'hommes de confiance.
Elle appela Ismail Rafa, un ex-militaire iranien. Ensemble ils s'étaient affronter du temps de la guerre froide, où après la victoire de l'URSS, il fût sauver par Anna.
Il y'avait aussi, Karmia Stépanof, une ancienne fiscaliste à la banque mondiale. Elle avait avec un groupe tenté de détourner des centaines de millions d'euros, mais ils furent attrapé. Après des mois de cavalle, Karmia Stépanof fût coincé par Interpol à Hambourg, où lors d'une fusillade elle fût considéré comme morte. Mais l'histoire vraie témoignera d'un tour de magie de Anna.
Nous avons aussi Alfredo Brandilo, un riche entrepreneur Brésilien. Il avait créé une société de production agricole, où il faisait des cultures variés. Après des années dans le domaine, cet homme à la connaissance de la culture inégalée, réussi à s'imposer à l'échelle mondiale. Mais un jour, il fut complice d'une tentative d'escroquerie, visant sa propre société. Les choses n'allant pas en sa faveur, le conseil d'administration de sa propre société avait trouvé le moyen de le mettre à la porte, alors il eût l'idée de voler sa propre société. Mais alors que le coup avait marché, quelques jours plus tard, la police frappa à son domicile. L'histoire retiendra , qu'au dernier moment, il avait disparue de chez lui sans laisser de traces.
Dans le même type, Anna fût aussi appel à une femme. Une véritable prestidigitatrice, une femme qui depuis ces vingt ans s'est faite oublier du monde. Une femme qui n'existe pas, n'est personne et que personne ne connait. Une femme qui au dernière nouvelle s'appelait Sarah McCoy ; d'après interpol, il s'agirait en réalité de Anaia Tamar. Une israélienne, ancienne au Mossad où après une infiltration au talibans, elle fût déclaré morte après une mission non reconnu par l'État juif. Alors que notre chère Anaia échouait une tentative de meurtre sur des ministres juifs, elle tomba sur une charmante femme, qui joua le rôle d'ange gardienne pour elle.
Pour la cinquième personnes, Anna fût appel à un membre de son organisation. Un super espion travaillant à la CIA, un jeune prodige qui en avait mare des pratiques illicite de son organisation. Un homme avec qui elle eût plus qu'une relation d'amitié, l'agent qui deviendra plutard son bras droit..... James Gilbert Ryan's.
Anna avait donc réussi à se procurer un comité de malfrats en tout genre et qui plus est, des personnes détestant particulièrement leurs pays. Le pire étant qu'elle leur aura tous sauvé au meilleur des moment, se faisant voir à leurs yeux comme un ange gardien.
Elle avait donc contacter un ministre de guerre (Ismail), un ministre des finances (Karmia), un ministre des ressources (Alfredo), un ministre des affaires (Anaia) et enfin un ministre de la défense (James). Avec la présence de son amant Marcellus Olivier Yacine, ainsi qu'un ancien camarade du KGB, ils formèrent l'octagramme qui siégea au Convivium.
De ce banquet, dit Banquet des Léon, fût décidé pour la première fois de comment gérer une telle situation reliant parfois des nations.
Lorsque le ministre de guerres s'occupait d'éliminer les nuisibles, ils se ressourçait chez le ministre des ressources, qui faisait jouer ses contacts. Recevaient ils le financement depuis l'ordre du ministère des Finances, et les actions de Ismail pouvait se faire sans craintes, grâce à la magie du ministre des affaires. Un véritable travail d'équipe, de l'équipe d'élimination par excellence.
Tous ces hommes et femmes ensemble, formaient l'ordre du Saint ministère. Et comme à chaque fois que fût convoqué le Convivium, des têtes furent coupé. Que ce soit des hommes politiques, des milliardaires, des riches PDG où même des présidents, la cible fût toujours abattu et sans aucune preuve laissé, ni aucune explication concrètes.
Ces donc ses hommes et femmes, que Annabelle Léon appela d'urgence, décision appuyé par son frère Joyce. La date étant prévu pour la fin de la semaine, ignorant les projets de Moya et la famille Tyar.
Mais par chance, celle ci fût averti assez vite par son frère, évitant ce qu'elle eût raison de surnommé catastrophe.
Elle en profita ainsi pour décaler le jour de l'assaut sur Zürich, évitant ainsi l'échec de la mission. Mais dans sa grande malice, le stratège des Léon omise de mentionner à son partenaire de conflit, la raison de ce brusque décalage.
Le plan avait été casiquement embrouillé, car les imprévus, n'étaient vraiment pas prévu. Les Tyar prêt à partir, furent violemment déstabiliser par cette nouvelle. Notamment ce cher Arthur, qui se verrait dormir plusieurs nuits encore sans border sa petite fille chérie.
Le Convivium tombait mal pour nos deux partenaires, mais peut-être était-il encore plus difficile pour notre chère Moya ?
Après quelques jours, c'était la veille du Convivium. Un samedi comme on en voit plus. Sur la terrasse à l'étage, sur la face ouest du manoir, les Léon étaient assis et prenait le café en lisant le journal.
Un léger vent frais, leur frappait à la peau, attendaient ils le levé de soleil qui ne leur fît pas attendre.
Joyce se leva de la table et alla s'asseoir au piano. Il joua un air particulièrement agréable à l'oreille, un son doux et chaleureux.
Annabelle : Le Convivium aura lieu demain, et je vais émettre le sujet Wattson. Des oppositions ?
Sans daigner répondre, Moya attrapa sa tasse de café et prise une gorgée. Joyce pour sa part joua deux note pour répondre non.
Dans cette même atmosphère, Joyce se donna à son tour.......
Joyce : Moi je veux, l' annihilation complète de l'entière famille Tyar.
À ces mots, Annabelle et Moya eurent comme le souffle coupé l'instant d'une seconde. Puis Moya se mise à rire, tant dis que Annabelle lui jetta un regard particulier.
Le jeune homme n'étant pas content, s'arrêta soudainement de jouer. Il retourna à la table et emporta cette fois-ci sa tasse de thé.
De nouveaux assis au piano, il joua un air plus violent. Sa frustration et son ressenti face aux moqueries de sa jumelle et l'indifférence de son aîné, le mis hors de lui.
Joyce : Pourquoi, ne pourrions nous pas ?
Moya : D'après toi ?
Il y'a longtemps, Anna avait émis un ordre particulier. Cet ordre visant ces agents et autres de ne pas s'attaquer aux Tyar.
Annabelle : Tu sais parfaitement, que mère n'est pas pour cet option, aussi capital soit-elle.
Moya : Oui, mais.......
Effectivement, lors d'une discussion il y'a des années, Anna avait décrété un tel ordre, mais elle avait fait une dernière remarque.
Joyce : Oui bien-sûr ! Mère avait certe interdit de toucher au Tyar, mais elle avait dit autres choses.
Moya : S'il nous vient de penser, que les Tyar sont une menace, bien vouloir l'informer et elle tranchera.
Bien évidemment c'était les mots de Anna, qui pouvait se débarrasser de cette famille qui aura élevé son fils. Mais ceci dit, ce serait à elle d'avoir le dernier mot.
Annabelle : De mieux en mieux !
La situation était toute particulière, car Annabelle pouvait leurs apporter son soutien indispensable.
Moya : Tu n'est pas n'importe qui Annabelle ! Tu es le sosie de mère...... que dis-je, son clone littéralement. Alors tout comme tu as le pouvoir de faire appel au Convivium....... alors.....
Annabelle : Je t'arrête tout de suite !
Déjà qu'elle avait profité de l'absence de Anna pour faire appel au Convivium, voulait-elle aussi avoir à porter le poids de ce choix ? Car après tout, Anna affectionne particulièrement les Tyar.
Dans ses réflexions, Annabelle se leva et se rapprocha du balcon.
Annabelle : La vie est une sacré garce. Vous vous réjouissez d'elle comme un cadeau, mais au fond c'est le plus lourd fardeau que l'on puisse avoir........
Puis elle se retourna, afficha un regard d'une telle noirceur.
Moya : Tu as son regard ! Le regard de haine, qu'elle se coltine sans arrêt.
Joyce : Le regard de la femme la plus crainte, et la plus respecté du monde.
Annabelle se retourna de nouveau vers l'horizon, leva la tête vers le ciel et commença à rire.
Annabelle : Vous êtes complètement fous ! Mais bon, pourquoi ne pas ? Après tout, je fais parti la femme de Zürich.......
Sur cet déclaration, Joyce exulta de joie. Il prit une nouvelle gorgée de thé et se précipita vers sa chambre, laissant les deux sœurs sur la terrasse du deuxième salon.
Dans un silence de mort, les deux jeunes femmes ne faisaient que se fixer du regard. Ne laissant aucune intention s'échapper, donnant une quelconque impression à l'autre.
Ce petit jeu de regard dura un bon moment, assez pour qu'elles manque de café. Alors Moya fît appel à Fernanda pour en rapporter. Le temps que la domestique n'en rapporte, le jeu du regard repris de plus belle. Mais cette fois ci, aucune ne voulait que l'autre puisse penser qu'elle observait l'autre.
Puis Fernanda revint avec du thé et un journal. Après avoir servi de nouveau le thé, accompagné cette fois de petit biscuits.
Puis Fernanda se mise à lire le journal, portant l'actualité du monde.
Elle lu jusqu'à tomber sur une partie très intéressante, parlant du plus grand criminels des Etats Unis, ayant trahi son pays. Elle insista sur la façon dont la justice pourrait s'occuper de lui. Après ce passage, Annabelle demanda à Fernanda d'arrêter de lire.
Moya après cette lecture, avait du mal à avaler une gorgée de plus.
Annabelle : Tu vois, comment s'est facile de tuer un traître sœurette ?
En l'attente de ses paroles, Moya s'étouffa presque avec son café chaud.
Annabelle : Surtout lorsque le traître est si proche de vous...... hein sœurette ?
Un nouveau silence s'instora sur la terrasse, imposant un nouveau jeu de regard entre les deux sœurs. Des regards d'un sérieux extrême, poussant à croire que quelque chose se préparait.
Fernanda, observant la situation, se recula légèrement vers l'arrière.
Moya : Tu insinues des choses et fait des hypothèses, mais dit moi..... sœurette ! M'accuserais tu de quelque chose ?
Annabelle : Oui, j'en ai bien peur.
À nouveau, Fernanda recula. Dans cet échange de de regard plus que palpitant, Moya et Annabelle donnait l'impression de devoir se sauter au coup.
Mais le déchirement devrait attendre, car le téléphone de Moya se mit à sonner.
Alors elle se leva sans crier garde et s'en alla.
Dans sa solitude, Annabelle attrapa un biscuit et prise une nouvelle gorgée de thé.
Cependant, dans la même mâtiné, Alicia et son équipe furent convoqué par leur supérieur en chef, Gustavo Roque.
Alors qu'ils se plaignaient de l'heure dans la voiture, Alicia exigea à Sacha et Julius de ne pas sortir de la voiture jusqu'à son retour.
Mais c'est exactement à son départ, que le téléphone de Sacha ce mit à sonner.
Sacha : Allô......!
Arthur : Sacha.....! C'est Arthur.
Sacha : Salut mon reuf, alors bien ou quoi ?
Arthur : Tu as quelque chose de prévu la semaine prochaine ?
Sacha : Euh..... rien qui ne peut être reporté......!
Arthur : Alors ça te dit, d'aller te venger ?
Sans crié garde, Sacha qui était allongé à l'arrière de la voiture sursauta. En l'attente de cela, elle prise soudainement un air sérieux.
Sacha : Quoi t'es sérieux ?
Arthur : À lundi !
Était ce là le mot pour s'inviter à l'assaut de Zürich ?
De son côté, Alicia venait d'en apprendre plus sur le motif réel du Convivium. Selon leur informateur infiltré chez les Léon, il aurait lieu le lendemain de ce jour, soit le dimanche de cette semaine.
Et bien évidemment, l'information selon laquelle une tope chez les Léon existe, n'était plus qu'une évidence. Comment l'a su Annabelle, ça l'informateur l'ignorait. Tout comme le pourquoi le pensait elle ; mais l'informateur était sûr d'une chose, ce n'était pas lui que l'on soupçonnait.
Alicia : Ça reste néanmoins une situation très critique, je propose que l'on active le protocole back stop.
Ce protocole étant une sorte de mise en sommeil temporaire des agents infiltré, visant à ce qu'ils rompent toutes communications avec Interpol jusqu'à nouvel ordre.
Gustavo : Mais si l'on fait cela, on n'aura aucune information sur le Convivium et les évènements qui en suivront.
Alicia : Oui, mais c'est un risque à prendre pour protéger la couverture de notre agent.
L'informateur avait toujours su se montrer prudent, mais là ça changeait la donne. Ne voulant pas mettre ce dernier en danger, Alicia préféra opter pour un moyen des plus radicale.
Mais cela permettra t'il à l'informateur de conserver sa couverture ?
Sinon, un jet privé faisait son atterrissage dans l'aéroport de Genève. De ce Falcon X, en sortie l'un des saints ministre....... Karmia Stépanof, la russe qui s'occupe des finances de la femme de Zürich.
À son arrivée, une voiture blindé l'attendait sur la piste. Maria la majordome et garde du corps de Annabelle l'attendait.
Karmia : Vous vous moquez de moi ? Une seule femme pour ma protection ?
Maria : Veuillez me pardonner madame !
Ouvrant la portière, Maria s'inclina pour s'excuser. Puis sans raison valable, Karmia entra.
Maria se dirigea donc vers un des hôtels de la ville, où pourrait résider madame Karmia.
Chez les Tyar, la patience était plus difficile à tenir que prévu. Liliane et Roxane avait du mal à tenir. Alors pour passer cet envie de se déchaîner sur quelqu'un jusqu'à ce que ça puisse aller, elles décidèrent d'entraîner Naomi. Ce processus comme l'a suggéré le docteur d'une certaine manière, permettra à celle-ci de recouvrer plus rapidement la mémoire.
Donc dans cet optique, elles passèrent la journée à enseigner l'art du combat et celui du maniement des armes.
La journée n'eut pas la tournure escompté par l'amnésique. Elle passa littéralement la pire journée de sa vie, du moins c'est ce qu'elle croyait.
Assise dans la bibliothèque, après avoir enfin échappé au deux extrémistes de la violence, Naomi eu l'occasion de lire un livre. Elle ne s'y attendait pas, mais Arthur n'arrêtait pas de l'observer.
Arthur : C'est l'histoire de Thomas Sankara, que tu lis ?
Effrayé, Naomi préféra rester sur ces gardes. Elle paraissait franchement épuisé, comme si elle avait courut toute la journée, ce qui était presque le cas.
Arthur : T'inquiète, je ne suis pas venue pour te faire de mal......je veux juste apprécier le bien fait d'un livre.
Il n'avait pas pour autant gagné les faveurs de cette chère amnésique. Alors il fît très attention, et pris place sur le canapé.
Il passèrent ainsi toute la nuit à lire dans le calme et la tranquillité.
Mais pendant que certains ce détendaient, d'autres concrétisaient leur assistante.
C'est à 22h50, que le Jet de Ismail eût atterri dans un aérodrome de Zürich. À sa sortie du jet sous une pluie torrentielle, il vît Maria qui l'attendait sous la pluie.
Lorsqu'il arriva devant elle, il remarqua le regard de la jeune femme, qui le fit penser à celui qu'il avait de son temps dans les forces spéciales iranienne.
Maria s'inclina pour le saluer, et l'ouvrit la portière de la voiture.
Elle l'accompagna jusqu'à un petit hôtel très caché et très discret de Zürich. Il avait peut-être pris de l'âge, mais il avait gardé ses vieilles habitudes de soldats.
Tous les ministres étaient donc déjà tous présents en Suisse, chaleureusement accueilli et salué par Maria, qui se tracassait vraiment parfois pour venir à leurs rencontres et parfois pour le choix de leur hôtel, sans compter leurs crises telle des adolescents.
Mais n'empêche que le Léon Convivium pouvait avoir lieu, pour sa sixième édition. Le plus meurtrier de tous les banquet organiser par une femme intracable et inarretable, où elle discute assassinat avec un Saint ministère, constitué de personnes supposé mort ou juste inexistant par 97% des nations du monde.
Ainsi donc, le lendemain pour le petit déjeuner, dans l'entre du domaine de Zürich.....il pourrait commencer.
Assise à l'extrémité de la table, siégeait celle qui pouvait prétendre au titre de femme qui fait trembler les nations, au même titre que sa mère..... celle qui pouvait tout comme sa mère, invoquer le banquet des Léon, pour gérer ses problèmes dépassant le cadre de conflit d'intérêt.
Annabelle Léon Wattson, considéré comme le successeur premier de Anna Léonard, donna donc le gong pour commencer la séance.
Annabelle : Mes Saints ministre, nous pouvons aisément débuter se sixième Convivium !
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top