"Tout ce que l'homme ignore n'existe pas. Donc l'univers de chacun, se résume à la taille de ses connaissances". Albert Einstein.

Plus le temps passe, plus j'en arrive à la déduction que l'être humain est foncièrement mauvais. Par ignorance, l'on s'efforce à penser, que dans la vie un mal pour un bien est une réalité nécessaire pour certains cas. Mais en y réfléchissant, quel bien pourrait-on créer ou produire dans un acte malsain ? L'on pourrait s'adonner à penser qu'aux vues de certaines circonstances ou contraintes imposées par la vie, l'on est imposé à agir comme si ou comme cela, mais n'est-ce pas là une raison bien égoïste ?

Déjà trois jours sont passés depuis le départ de Lucia pour Zürich, dans ses réflexions énervé, Arthur ne faisait que voir défiler dans son esprit, des raisons de faire la guerre.

Ils avaient cependant raconté à Émilie l'histoire de la bêtise de Stella, et cela vous paraîtra peut-être bizarre, connaissant le caractère de Émilie, mais c'est grâce à elle, que le jeune homme ne s'est pas encore précipité vers la Suisse.

Au contraire, pour détendre ces nerfs, elle lui demanda de l'accompagner au Maroc. Dans le pays de Mohamed six, nos deux amis devrais essayer de retrouver Naomi.

Mais alors qu'ils se dirigeaient pour ramener une Tyar, une autre préparait son retour.

C'est dans la région de Oromia en Ethiopie, que Sacha accompagné de Alicia, entretenait une réunion au siège d'Interpol en Afrique.

Addis-Abeba, Ethiopie :

Bureau d'Interpol :

C'est dans ces locaux, qu'une réunion des plus importantes se tenait. Alicia Valentino l'agent spécial, avait été reçu au siège par son homologue monsieur Emmanuel Edou.

Lui qui était déjà récalcitrant à l'idée de qu'elle vienne interférer sur ses terres. Mais néanmoins, il eût quand même accepté de l'écouter et en fonction de ce qu'elle avait à dire, il réagirait en conséquence.

Alors, elle l'expliqua alors les détails de la menace. Non pas qu'elle veuille s'immiscer dans son territoire, mais que celle qu'elle poursuit à une influence au niveau international et de plus, elle s'est déjà attaqué par deux fois à de grandes familles sur le continent. Elle lui proposa même, de l'apporter des indices sur des affaires, qu'il peine à classer.

Il compris l'importance et le sérieux des explications et informations apportées par Alicia.

Dans la salle de conférence, les choses purent se conclurent dans une atmosphère plus conviviale.

Mr Edou : Bon.....ma chère Alicia, je ne vous cache pas ma réticence, mais je dois avouer que la menace est de taille.
Alicia : Je vous en remercie, et je vous promet de ne pas m'immiscerais pas dans vos affaires.
Mr Edou : D'accord, je vous prend au mot et je vous promet de vous aider en cas de besoin.

Alicia lui serra la main, mais afficha néanmoins un sourire malicieux.

Alicia (Ne vous inquiétez pas Mr Edou..... je vais tellement me mêler de vos affaires, que vous aurez l'impression que je veuille vous faire la cour......).

À l'extérieur, Sacha et les autres attendaient, lorsque Alicia arriva, ils se dirigèrent vers le parking. Et c'est là que le contact de Alicia fût enfin surface.

Devant leur voiture, se trouvait une belle voiture de luxe, une Mercedes Benz modèle diesel 2016. Lorsque le pare brise fut baissé, ils virent tous la jeune femme, qui n'était autre que......

Julius : Émilie Wattson ?

En début de l'année 2021, après une régularisation de la pandémie, un grand nombre de personnes avaient perdu la vie. Et vous vous en doutez bien que dans des hautes structure, des gens y sont aussi passé ; ce fut ainsi le cas de certains agents du MI6. C'est donc à cette période, que grâce à son immense réseau d'information, Émilie Wattson entra dans les services secrets britanniques.

Elle avait ainsi la rencontre d'Alicia lors d'une soirée, où les deux femmes devrait échanger des informations. C'est après cela, que comme à son habitude, Émilie profita de cet échange pour se nouer une relation de bon profil.

Julius : V..... vous êtes la riche PDG de Wattson-entreprise, l'un des géants de l'immobilier dans toute l'Europe....on vous considère comme le génie, qui a sauvé ce géant de l'immobilier en remaniant son système économique.....

Littéralement, Julius était sous le choc. Mais alors que lui était ému, Sacha elle, ne se trouvait pas dans le même état d'émerveillement ; elle savait qui était et qui est Emilie Wattson.

Sacha : Émilie Wattson hein ?
Emilie : À qui ai-je l'honneur ?
Sacha : Michaëlla... Sacha Michaëlla Tyar !
Emilie : Oh !
Sacha : Alors, c'est toi le contact ?

Tous restèrent sans voix, et Émilie pour sa part éclata de rire.

Emilie : Je vois, vous avez tous cet humour particulier dans la famille...... c'est pas croyable !

Emilie proposa à l'équipe de monter, et ensemble, ils foncèrent directement à l'aéroport de la ville, où un avion les attendaient.

Sans trop tarder, ils décollèrent rapidement.

Dans l'avion, Emilie lisait un livre passionnant. Un livre dont les mots étaient si impactant qu'elle en versa même une larme ; Alicia en fut assez étonnée au vue de se spectacle.

Alicia : Tu pleure ?
Emilie : L'innocence c'est le jazz mélancolique de la philosophie, une mélodie qui se joue dans les interstices du temps et de la mort. La griffe d'un fauve, qui refuse de se laisser apprivoiser par la méchanceté crasse et l'imbécilité tordue des hommes.
Alicia : Euh......
Sacha : C'est du JANKELEVITCH!
Emilie : Jankélévitch était un philosophe, qui traînait son âme dans le monde de la pensée comme un vieux manteau usé. Il parlait de l'innocence..... pas celle des enfants ou des saints, mais celle qui survit dans le cœur des hommes fatigués par le poids des jours......un grand homme, qui m'a beaucoup marqué au travers de ces livres !
Julius : Moi j'ai beaucoup aimé monsieur Schopenhauer.
Emilie : Je n'aime pas particulièrement Schopenhauer.....ce goujat à toujours considéré la femme, comme un animal à cheveux longs et idée courte.

C'est dans cette atmosphère de sympathie et d'échange, que Jordan apporta du champagne qu'il servit un verre à tous.

Alicia : Je te connais déjà très bien depuis le temps Émilie, qu'est-ce que tu as à m'annoncer d'important pour que cela doit se faire à des kilomètres du sol.
Emilie : Mes pistes sur Naomi ont aboutis et en prime, Arthur à déclaré la guerre à Annabelle, ma sœur, qui n'est autre que la femme de Zürich.
Alicia : Quoi ?
Sacha : Naomi ?
Emilie : Alors vous comprenez enfin pourquoi il nous fallait de l'intimité ?

Sacha se leva un instant et attrapa la bouteille de champagne qu'avait posé Jordan. Elle prise une sacrée gorgée directement dans la bouteille, puis elle éclata de rire, ce qui inquiéta fortement Alicia.

Sacha : Alors comme ça, ma pétasse préféré est toujours vivante !

La situation était assez particulière, alors Émilie prise son temps et expliqua concrètement les choses à nos amis. Puis lorsqu'elle eût terminé, une question turlupinait notre chère Alicia, qui ne se priva pas de poser la question.

Alicia : Comment as-tu fait pour retrouver Naomi ?
Emilie : Eh bien...... disons juste que chaque magicien à ses petits tours de passe passe....et celui que je préfère, s'est celui avec les oiseaux.
Alicia : Comment ça ?

La sonnerie de portable, brisa l'instant de doute imposé par la blague d'Emilie, qui prise cet l'appel provenant de son téléphone ; et très rapidement elle perdit son sourire.

Alicia : Qu'y a-t-il ?
Emilie : Jordan, demande à Steve d'atterrir.....

Un coup de fil louche, un ordre d'atterrir inattendu, une mine inquiète, Émilie présentait tous les symptômes prouvant qu'elle est inquiète.

Alors le pilot exécuta la demande d'Emilie, ramenant le Jet à l'aéroport de Addis-Abeba.

Alicia : Émilie, que se passe t'il ?
Emilie : En Afrique, lorsqu'un Vieillard meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.......

Sans réponse de la part de son contact, Alicia refusa de se lever pendant un moment, mais elle comprise que cela ne servirait à rien d'insister, surtout face à Emilie Wattson.

Emilie : Je t'enverrai Jordan, il t'aidera à arriver en Afrique du Sud.
Alicia : Ce n'est pas nécessaire !
Emilie : Notre ennemi se rapproche à grands pas, il essaie déjà de nous déstabiliser......ah ! C'est là une partie d'échecs très difficile, même pour moi......
Alicia : Essai de ne pas prendre tous sur toi !
Emilie : Tu me demande de rester sur la touche ?
Alicia : Oui ! Du moins pour le moment, je voudrais que tu observes, écoutes et réfléchis......
Emilie : C'est complètement Insensé, c'est comme voir les Lakers en mauvaise passe, mais décidé tout de même de gardé king James sur le banc.
Alicia : Oui, mais si c'est nécessaire, je veux bien tenter le coup. 
Emilie : Moi je suis en mode CR7.....
Alicia : Pour que comme à chaque fois un mauvais truc se passe.

Emilie prise une bonne gorgée de champagne, et dévisagea drastiquement Alicia d'un regard particulier.

Emilie : Je ne vois absolument pas de quoi tu parles.
Alicia : Sérieux ? À chaque fois que tu n'en fait qu'à ta tête, des gens finissent toujours par mourir.
Emilie : J'en suis désolée, mais je ne suis pas parfaite.
Alicia : De mieux en mieux !

Se retournant et s'en allant, Alicia avait prise le chemin de l'extérieur du jet jusqu'à ce qu'elle ne soit interpellée par son contact.

Emilie : Je vais essayer de.....de ne pas être présente. Du moins, jusqu'au troisième quart temps.

Ses mots plaisants dessinèrent un sourire de satisfaction sur le visage d'Alicia.

Emilie : Hé Na.....

Avant qu'elle ne termina, Jordan se rapprocha d'elle et lui chuchota rapidement quelque chose à l'oreille.

Alicia pour sa part, descendit du jet et retrouva ses coéquipiers avec qui elle prise leur voiture, qui étonnamment pour Julius les attendaient à la sortie de l'aéroport.

Dans la voiture, Sacha n'arrêtait pas de fixer Alicia. Celle-ci n'eut rien dit au début, car cela ne l'avait pas encore agacé plus que ça.

Alicia : Si c'est par rapport à ce qu'a dit Émilie, notre boulot n'est pas d'aller récupérer ta sœur.
Sacha : Hein ? Mais pourquoi ?
Alicia : Nous avons une enquête en cours et chaque jour nous avons l'impression de faire un petit pas de plus vers la solution.... alors il n'est vraiment pas de notre intérêt de faire des détours.
Sacha : Mouais.....tu es trop méchante !

Dans un léger soupir, Alicia déclara se retourna vers Sacha et lui parla avec le cœur.

Alicia : À défaut de cela, nous allons rendre une petite visite au reste de ta famille.
Sacha : À Johannesburg ?

Alicia ocha donc la tête pour dire oui, et la une légère tristesse se dessina sur le visage de la jeune fille, nostalgique d'un retour en terre patrie.

Sacha : Juin 2014, alors que les jeunes de mon âge mataient la coupe du monde au Brésil, moi j'étais au Koweït pour une mission d'extraction. Octobre 2017, pendant que mes frères terminaient leurs formations et recevaient leurs diplômes, moi j'étais en Afghanistan pour une mission d'aide militaire.
Alicia : Sacha !

Les yeux de la jeune femme laissaient s'échapper quelques larmes de tristesse, mettant Alicia dans une position particulière.

Sacha : Et bien sûr, en Avril 2018..... pendant que je me faisais arrêter en Argentine.....ma....ma mère se faisait tuer dans une explosion. Deux semaines plus tard, alors qu'elle se faisait enterrer, moi je prenais trente ans pour un crime qu'on m'a collé au cul.
Alicia : Sacha !
Sacha : J'ai jamais su avoir le timing pour les évènements importants. Je comprends maintenant, ce que voulait dire ma vieille.

Elle demanda ainsi à Jordan de s'arrêter, et descendit de la voiture. Alicia tenta de la convaincre en vain de rester avec eux, mais Sacha refusa catégoriquement.

Elle continua à pieds, pendant que Julius et Alicia continuèrent en voiture.

Alicia s'en voulait pour cette situation, car n'en sachant rien, elle n'a pas fait attention à ses mots qui ont réveillé de vieilles blessures.

Julius : Vous ne devez pas vous en faire vous savez ! Ce sont des situations, que nous vivons au quotidien et le mieux à faire, c'est de laisser Sacha toute seule un moment.
Alicia : Tu as sûrement raison.

Quelques heures plu tard, dans la ville Sud africaine de Johannesburg, Arthur continuait son rite de transit entre ses différents sentiment. Il se trouvait dans un bar de l'hôtel de Émilie dans la ville.

Il avait déjà vidé deux bouteille de scotch à lui tout seul et en commanda même un autre.

Lorsqu'il se servit un nouveau verre, au loin on lui cria de poser ce verre.

Lorsqu'il leva la tête, il vit que c'était elle. Elle prise se verre et la bouteille, qu'elle remise au barman.

Elle l'amena à l'extérieur vers la piscine. Assise sur un transat, elle posa la tête du jeune homme sur ses cuisses. Il se couvrit le visage avec son bras, couvrant son visage honteux.

Emilie : Qu'est-ce qui t'arrive ?
Arthur : De quoi tu parles ?
Emilie : Tu me prend pour une idiote ? Ce n'est pas ton genre de t'asseoir dans un bar et de descendre des litres de scotch.
Arthur : Abbon ? Et en y pensant, où est la bouteille que j'ai commandé ?

Elle s'énerva sur le coup et l'envoya faire un petit tour dans la piscine. Il se laissa bordé par l'eau et commença à parler, jusqu'à ce qu'il n'arrive sur le sujet sensible.

Arthur : Elle me l'a prise. Elle a ma petite princesse ! Cette femme, cette sorcière qui se prend pour la reine du monde.
Emilie : Et qu'est-ce que tu as décidé ?
Arthur : Elle a aussi mon frère, ça complique les choses...... quoique j'aurais pu l'abandonner, car après tout......

Il s'arrêta, il ne pu terminer sa phrase..... comme si intérieurement, il ne pensait pas vraiment ce qu'il disait.

Emilie : Vas-y, dit le !

Emilie lui tendit la main, il l'attrapa. Mais au lieu de sortir de l'eau, il tira plutôt la jeune femme dans la piscine, se qui l'énerva énormément.

Emilie : Tu voulais dire que tu aurais abandonné Georges car après tout ce n'est pas ton frère, mais toi même tu ne crois pas en ce que tu dis n'est-ce pas ?
Arthur : Il commence sérieusement à faire froid.....

Il sortit de l'eau, laissant Émilie dans la piscine. Elle sortit, le rejoignit et s'interposa devant lui.  Elle lui colla une gifle mérité, puis se dirigea vers sa chambre.

Elle se changea, lui se déshabilla et mit un pantalon. Il prit place sur le lit.

Emilie arriva, Arthur était allongé sur le lit, alors elle s'allongea près de lui.

Arthur : Je suis désolé !
Emilie : De quoi ? D'avoir reçu une gifle ?
Arthur : Oui un peu !

Il se retourna et commença à embrasser la jeune femme.

Emilie : Le sexe doit-il forcément être un moyen d'échange, dans ce genre de situation ?
Arthur : Euh.....non, mais.....

Elle se leva et lui demanda de la suivre. Elle l'amena au salon, où elle lui servi un café bien serré.

Emilie : Maintenant, explique moi concrètement, qu'est-ce qui t'arrive ? Tu es littéralement la personne qui d'après moi est la plus stable de tous. Tu as toujours su te calmer, te poser et réfléchir même lorsque la difficulté de l'épreuve était extrême. Mais là, j'ai du mal à te reconnaître.
Arthur : Émilie, j'ai tout perdue, mon père, ma prétendu mère, mes supposé sœurs.....et mon frère..... m'a vie actuellement, se résume à deux choses. Un malicieux mensonge ou une succession de perte.

Le début de matinée pour ses deux là devrait être vraiment long.

Arthur : Autre fois je me complaisais dans ma bulle, me disant tant bien que mal, que je n'arriverai jamais à me faire à cet atmosphère. Celle dégagé lorsque nous sommes entourés de gens que nous aimons et qui nous aime.
Emilie : Mais la réalité t'a vite rattrapé et tu as enfin ouvert les yeux sur ce monde bourré de noirceur.
Arthur : Au niveau de réflexion où je suis arrivé, je me suis senti obligé de me poser une question..... est-ce que ce que nous faisons est une vision des choses qui nous tient à cœur ?
Emilie : Comment ça ?
Arthur : Il nous manque de la vision...... pour faire simple, pourquoi les jeunes doivent ils faire des études ?
Emilie : Eh bien pour avoir des diplômes !
Arthur : Et après ?
Emilie : Trouvée un travail, je suppose.
Arthur : Oui logiquement, et après.
Emilie : Euh..... fondé une famille peut-être.

Emilie ne comprenant pas où voulais en venir le jeune homme, continua malgré tout à répondre à ses questions plutôt incompréhensible.

Arthur : Se marier tu dis....ok, mais après !
Emilie : Avoir des enfants.
Arthur : Des enfants.....oui ce n'est que normal. Et après avoir fait autant d'enfants que possible, quoi d'autre ?
Emilie : Eh bien......
Arthur : Il mourra de vieillesse.
Emilie : Oui surement, mais.....

Soudain Arthur se mit à sourire, puis il en fit une conclusion simple et récapitulative de cet échange.

Arthur : Donc, pour en résumé, un jeune homme doit faire des études, pour mourir à la fin..... c'est bien ça !
Emilie : L'on fini tous par mourir un jour...... mais, si je repense à se que tu as dit au début..... rien de tout ça n'est une forme visionnaire de la vie, c'est plus.....
Arthur : Un idéal, une ambition..... mais concrètement, si l'on devrait avoir une meilleure vision de la vie, l'on accomplirait des actes majeurs pour l'avenir.
Emilie : Cela ce tiens...... bâtir une école ou un orphelinat, des hôpitaux.....je vois dès à présent.

Une discussion assez particulière, et une leçon de plus que Arthur appris à Émilie, alors interrogeons nous, que pourrait représenter la vision de ce cher Arthur ?

Le lendemain, toujours à Johannesburg, un avion atterrissait à l'aéroport, transportant à son bord l'équipe de Alicia Valentino, escorté par l'un des subordonnée de Mr Emmanuel Edou.

S'est donc au environ de 12h20, que le cortège de trois voitures, gara dans le parking du bureau de la famille Tyar.

Un ensemble de six agents s'avancèrent donc jusqu'à la réception, où Glenda la réceptionniste les accueillait. Elle avertissait Béatrice, qui en l'absence de Arthur, était la plus haute responsable en tant que Vice Présidente de l'agence.

C'est donc dans la salle de réunion, que l'escorte se dirigea, accompagné de la réceptionniste.

Après une minute d'attente, Béatrice arriva.

Cependant, dans l'une des voitures garé au parking, Sacha avait préféré attendre avec les autres agents d'intervention.

Observant de nouveau après plusieurs années, les bâtiments de chaque service, sans compter le personnel qui entrait et sortait, elle eût une pincée de nostalgie.

Alors elle sortit finalement de la voiture, allant ainsi faire un tour.

Elle se dirigea vers la cour arrière du bâtiment central, où avait jadis été conçu le cimetière famille.....lieu où reposait également sa mère.

Elle qui s'en voulait tellement de ne pas avoir été là, elle qui se détestait d'avoir laissé sa mère toute seule, elle qui se traitait de tout les noms, se disant d'avoir été une horrible fille.

Rebroussant chemin par peur, elle alla finalement acheté une bouteille de Whisky.

Elle hésita ainsi de nouveau plusieurs fois, avant de finalement se décidé à y aller.

Lorsqu'elle arriva, elle vit son chère petit frère assit sur la tombe.

Sacha : Même si pieds sous terre, elle tient toujours cette tronche !