Chapitre XXV
En les voyants, tous les sentiments négatifs qui avaient pris place en moi s'estompe. Mes ailes sont là. Elles sont de retours. Presque comme si...elles n'étaient jamais parties. Comme si depuis tout de ce temps, elles se terraient quelque part, attendant leur moment pour revenir. La seule différence, c'est leur couleur.
Tout doucement, mes doigts s'aventurent sur les plumes, sans jamais les toucher. Une certaine appréhension m'envahit. J'ai si peur que tout s'effondre... Que si je les touche, je me rende compte que c'est un rêve, une hallucination, et que Samantha est morte, couverte de sang dans l'arène...
Secondes après secondes, je réduis l'espace entre mes doigts et les plumes et d'un seul coup, je les sens. Elles sont bien là, bien réelles, aussi douces et tranchantes que dans mes souvenirs. Je remarque que la coupure, sur ma paume, a disparu. Je suis Ange à nouveau. A cette pensée, un petit rire m'échappe, ainsi que quelques larmes.
Tout doucement, le noir s'estompe sous mes doigts et je vois avec bonheur mes ailes retrouver leurs gris presque métallique originel. J'avais oublié cet instant de "mue" pendant lequel mes ailes virent du noir profond au gris, comme lorsque j'ai eu cent ans. Mais le voir se produire sous mes yeux, c'est une sensation nouvelle, une sorte de bonheur qui comble chaque parcelle de mon coeur meurtri par la vie.
Je ne remarque le silence que lorsque je sors de ma transe. Regardant alors autour de moi, je prends conscience des murmures de la foule, des regards noirs que les femmes me jettent et surtout, du regard blessé et trahis de la Reine, qui moud entre ses doigts de la poussière.
J'aurai pu me sentir coupable, si mon cœur compressé ne me faisait pas comprendre, à chaque battement, à quel point j'avais eu peur pour Samantha. J'ai pris une vie pour en sauver une autre, n'est-ce pas ce que ce combat allait faire de toute manière ? En parlant de la Banshee, je sens une main se glisser dans la mienne et je tourne la tête pour voir Samantha, à genou à côtés de moi. Sa main blessée est dans la mienne, tandis qu'elle tente s'essuyer le sang qui coule de ses blessures.
Elle a l'air si fragile et pourtant si forte, s'en est déroutant. Elle prend sur elle pour presser ma main deux fois, mais je ne peux ignorer le petit cri de douleur qu'elle lâche lorsque son bandage cogne ma paume. Aussitôt, mon esprit réagit et je lui lâche la main comme si elle m'avait brûlé. Je l'observe, mes yeux toujours rougeoyants, avec une certaine lueur d'inquiétude dans les prunelles.
— Comment tu te sens ?, je lui demande, essayant de reprendre un rythme cardiaque normal.
Samantha sourit et baisse la tête. A travers le Lien, je ressens sa honte et sa tristesse, bien que je ne le comprenne pas. Pourquoi se sent-elle honteuse d'avoir brillamment combattu ? Il faut du temps, avant qu'un guerrier ne parvienne à sa première victoire. Et il faut des échecs, pour qu'on apprenne l'importance desdites victoires. Je pose ma main sur son épaule, incapable de trouver les mots justes.
— Je suis désolée de t'avoir poussée à descendre. J'aurai voulu terminer ça seule mais je... Je ne m'en suis pas sentie capable. Tous ces gens qui n'attendaient que ça... J'ai trop pensé au lieu d'agir et ça a coûté deux vies, lâche-t-elle d'un ton lugubre.
Deux vies ? Je fronce les sourcils et cherche du coin de l'œil le corps du garçon. Après quelques secondes je le trouve enfin, allongé à côté de son épée. Il n'a pas bougé depuis l'onde de choc et je remarque que sa tête ne forme pas un angle très conventionnel. Le choc l'a tué, je pense que s'a été instantané. Quant à la garde que j'ai brûlée vive...
Je ne voulais pas lui faire ça. Mais je n'étais plus maîtresse de mes actions. C'est presque comme si quelqu'un d'autre avait pris ma place, ou comme si le Lien s'était exprimé à travers moi. Ou alors, c'était bien moi qui avait agi, et ma propre fureur me fait peur. Si je réagis ainsi dès que Sam' se trouve en danger... D'ailleurs, pourquoi dois-je réagir ainsi ? Mon cœur rate un battement lorsque la question parvient à mon cerveau et je me promets d'y répondre plus tard.
— Tu me connais, je ne tiens pas en place quand il y a un combat. Je serais descendue à un moment, que tu t'y sois vaillement battue ou non, je lâche, essayant de détendre l'atmosphère.
Samantha souffle et me prend dans ses bras, essayant de conserver son côté détaché et guerrier. Mais quand ses bras se referment dans mon dos, je sens qu'elle est sur le point de craquer. Mais cette fois, ce n'est pas la tristesse, ou le manque de maturité qui l'amènerait aux larmes. Ce que je ressens, c'est de la fatigue.
Une grande fatigue. Comme si elle n'en pouvait plus de toujours devoir se battre. Et c'est quelque chose que je comprends, que l'on partage. Alors, pour lui offrir un peu de protection, je referme mes ailes autour de nous.
Et ce petit cocon ne dure qu'un bref instant, au cours duquel la question que je me posais trouve une réponse. Et au lieu de m'effrayer, comme ça devrait le faire, cette réponse me donne la force qu'il me manquait pour répondre à toutes les autres questions qui me traversent l'esprit au même instant. Ainsi que celles qui y sont depuis des millénaires.
Mais ma bouche reste fermée, incapable de mettre des mots sur ces réponses, tant elles me semblent vives. Ce ne sont pas des sensations sur lesquelles on met des mots. Ce sont des choses qui se vivent, qui se partagent, qui nous font rêver. Mais mettre des mots dessus ne feraient que réduire leur impact.
— Aoile, s'annonce Penthésilée.
En entendant sa voix, le cocon se brise et je me redresse aussitôt, moi-même étonnée par la vitesse à laquelle mon visage a repris une expression neutre et détachée. Mes ailes se replient dans mon dos, sans pour autant s'effacer. Ce qui est une première. Mais je n'en tiens pas compte lorsque je dévisage Penthésilée, qui semble m'affronter du regard. Je tente de me redresser encore plus, dans l'espoir de l'intimider.
— Votre Majesté, je réponds.
Dans ses yeux, je vois brûler le feu de la tristesse et ma voix ne fait qu'ajouter de l'huile. Détournant les yeux pour quelques secondes, je sens qu'elle puisse dans le fond de son cœur pour ne pas perdre la face et se mettre à pleurer, ou à essayer de me tuer. Elle relève la tête et me fixe, entourée par, désormais, quatre femmes.
— Le combat est terminé. Bien que les termes même de notre accord n'aient pas été respectés à la lettre, je vais accorder une grâce d'une journée au combattant pour lequel Samantha s'est portée volontaire. Une fois ses blessures soignées, il ira combattre, conformément à nos lois. Mais vous deux, vous serez loin d'ici. Probablement sur Idan. Mon armée est tienne Aoile. Ce combat n'était pas nécessaire pour te le prouver. Tu le sais, je t'ai toujours vu comme ma fille. N'est-il pas normal pour une mère, d'aider sa fille ? Quand le combat commencera, fait-moi signe. Les Amazones seront prêtes à donner leurs vies pour ta cause, m'annonce Penthésilée, la voix enrouée par l'émotion.
Sans que je ne m'en rende compte, une larme a coulé sur ma joue pendant sa tirade. L'annonce de Penthésilée, ainsi que les mots employés m'ont ébranlée et je ne sais quoi répondre face à la gentillesse de cette femme. Je viens de prendre la vie de l'une de ses guerrières, parce que je ne pouvais maîtriser ma colère.
Et malgré ça, elle m'offre non seulement ses services et son armée, mais elle place la vie de ses sujets entre mes mains. J'essuie d'une main distraite la larme qui a coulé et hoche gravement la tête face à cette Reine remplie d'une bonté dont je ne saurais sans doute jamais faire preuve. Ma voix se bloque dans ma gorge alors qu'il y a tant de choses que j'aimerai lui dire...
Mais je ne m'en sens pas capable. Rien que par sa tirade, elle vient de me montrer pourquoi elle est devenue Reine. Et surtout pourquoi moi, je ne serais jamais digne de ce titre. Devant mon mutisme apparent, la Reine demande d'une voix forte et autoritaire à ses sujets de retourner chez eux, afin de se préparer pour le prochain combat, dans l'après-midi.
Ses gardes, derrière elle, rompent les rangs afin de l'attendre en dehors du bâtiment. Désormais seules, je vois Samantha restée figée, incapable de bouger.
— Je sais que tu ne comprends pas mes motivations Aoile. Mais je maintiens ce que j'ai dit. Tu restes ma Princesse, souffle Penthésilée.
Incapable de me contenir plus longtemps en entendant cet ancien titre, je fonds dans les bras de celle que j'ai appelé maman, l'espace d'une nuit. Les larmes roulent sur mes joues, mais ce sont des larmes de joie et d'humilité. Cette femme est tout ce que je rêverais de devenir. N'est-ce pas là le rôle d'une mère ?
— Et je maintiens ce que j'ai dit. Tu es celle que je veux appeler « maman », je murmure à son oreille, provocant chez elle une série de larmes.
Je me détache à contrecœur et observe le visage de la Reine. Je peux lire la joie dans ses yeux, ainsi que beaucoup de fierté. Mon cœur se gonfle et cette fois, il n'est sujet à un quelconque sentiment relié à la colère ou à la peur.
— Il y a une chose dont je n'ai pu te parler avant. Une chose que ton Père m'a confiée, en me disant qu'un jour, il viendra la chercher, m'avoue Penthésilée.
Je fronce les sourcils.
— Qu'est-ce que c'est ?
La Reine se penche vers moi afin de m'annoncer tout bas :
— C'est l'arme dont s'est servie Dieu pour bannir le Chaos de la Terre.
Je la regarde, sans vraiment y croire. Une arme ? Pourquoi mon Père l'aurait-il donné aux Amazones plutôt que de la garder en Enfer ? Personne ne risquait de lui voler !
— L'arme dont s'est servi... C'est une blague ?
La question de Sam' me sort de ma rêverie. Je croise le regard interloqué de la Banshee avant de reporter mon attention sur Penthésilée. Cette dernière secoue la tête.
— Pas du tout. Il s'agit d'une Fourche, que l'on garde si précieusement cachée que même moi j'ignore où elle se trouve ! Ton Père l'a caché, t'a laissé et il est repartit en me disant qu'un jour, il reviendrait pour prendre son trésor, m'explique-t-elle.
J'aimerai lui poser plus de questions tellement j'en ai, mais elle ne reste pas plus longtemps, et après avoir passé une main sur ma joue, elle quitte l'arène, retrouvant ses sujets et son titre. Pendant plusieurs minutes après son départ, je reste silencieuse.
Mon cerveau fonctionne si vite que je me demande comment il fait pour ne pas surchauffer. Une Fourche ? Sérieusement ? Est-ce qu'on peut faire plus nul ? Et en même temps, c'est brillant. Samantha en fait de même et je l'en remercie silencieusement.
Le mot « maman » me fait tilter à nouveau et je me rends compte que celle qui possède biologiquement ce titre n'attend que moi pour décider de son prochain sort. Je dois retourner aux Enfers et régler les dernières affaires qui m'y attendent. Obligée de bouger et de parler, je me tourne vers Samantha et trouve cette dernière en train de tamiser du sable avec sa main.
— Comme tu t'en doutes, on ne va pas pouvoir rester ici, je souffle.
Samantha hausse les épaules.
— C'est un mal pour un bien. Je ne crois pas être capable de supporter un combat de plus.
Un sourire se forme sur mes lèvres.
— Tu t'es bien battue. Je ne sais pas de quelle manière les Harpyes t'ont enseignés ça, mais tu es devenue une vraie guerrière ! Je devrais faire attention, un jour tu finiras par me botter l'arrière-train, je soupire.
Samantha rit.
— N'importe quoi ! Tu as plusieurs milliers d'années d'expérience. Si j'arrive à te frapper ne serait-ce que le dos, ça serait une prouesse, grimace-t-elle.
Je plisse les yeux.
— Et tu as choisi le dos comme exemple parce que... ?
Elle roule des yeux.
— Parce que ça m'est venu comme ça, lâche-t-elle.
Je fronce les sourcils.
— Vraiment ? Intéressant. Tu vas croire que je mens, mais c'est exactement le seul endroit de mon corps qui a été « brûlé » deux fois en l'espace d'un petit mois. Intriguant n'est-ce pas ?
Samantha feint la surprise.
— Alors là, sacrée coïncidence !
Je hausse un sourcil et marmonne un « hmm ». Samantha me frappe l'épaule et sourit, avant de reprendre un air plus grave. Autour de nous, les gradins sont désormais vides et il ne reste que le corps sans vie du combattant pour nous tenir compagnie.
Rien qu'en le croisant du regard, Samantha devient plus blanche et je sens une certaine fébrilité dans ses mouvements. Elle a tout de même échappé à la mort de justesse et ce, bien malgré moi. Je n'imagine même pas l'état de ce pauvre Archibald s'il a ressenti cette imminence ! Il a dû croire sa dernière heure arrivée...
Un sourire en coin apparaît sur mon visage tandis que j'imagine ma tante essayer de calmer ce bon vieil Archibald en lui expliquant que non, Samantha n'était sans doute pas en train de mourir puisque j'étais avec elle.
— Du coup, on retourne sur Idan ?
La voix de Samantha me sort de ma torpeur et je secoue la tête. Puis je soupire longuement, sans vraiment savoir pourquoi. La Banshee me fixe, attendant sa réponse.
— Oui, du coup oui. Si tu n'as pas entendu, on a été virée de l'île, je lui rappelle.
Elle fait une petite moue.
— J'ai surtout entendu que la Reine te voit comme sa Princesse, donc tu es ici comme chez toi non ?
Je souris devant le souvenir des paroles prononcées par Penthésilée mais grimace juste après.
— Je ne pense pas être capable de supporter les combats non plus. Et c'est quelque chose, venant de la part de la fille du Diable !
Samantha éclate de rire et s'approche de l'épée qu'elle a fait tomber pendant son combat. Elle la ramasse et la fixe, laissant la tranche éclairée par le soleil venir me taper dans la rétine. Je détourne les yeux avec un grognement de protestation et j'entends Samantha se moquer de ma « nature fragile ».
Puis, je tourne à nouveau la tête vers elle en entendant des bruits de pas. La jeune Banshee se rapproche de moi, l'épée suintant encore de sang dans les mains. Je remarque alors que ses poignets tremblent légèrement et je lui prends l'arme des mains avant qu'elle ne la lâche. J'observe enfin cette fameuse épée, qui ne ressemble en rien à celles que j'avais eues pour mes entraînements. Celle-ci est plus grossière, plutôt émoussées et les bords sont irréguliers.
— Même mes steaks je les coupe avec de meilleurs armes, je grogne.
Samantha étouffe un rire.
— Tu coupes tes steaks avec des armes ?, répète-t-elle.
Je soupire.
— Oui. Enfin non. Enfin... mes couteaux quoi, je me reprends.
Elle hoche la tête et n'ajoute rien de plus. Je sais qu'elle attend que je me coupe la paume pour qu'on s'en aille, mais je n'ai aucune envie de le faire avec ce truc. Déjà, ça risque de me faire mal : même si mes ailes sont revenues, je ne sais absolument pas si tout mon côté angélique est à nouveau en moi. Et ensuite, il y a du sang dessus, et pas que celui de Samantha. Or, je ne tiens pas à attraper le tétanos ou je-ne-sais-quoi.
— Tu n'as pas un meilleur truc pour nous ramener ? C'est assez sale de faire ça avec ce genre d'épée quand même, je proteste.
Samantha secoue la tête.
— Non je suis désolée, il n'y a que ça.
Je soupire.
— Je suppose qu'il faudra faire avec !
D'un ton décidé, j'appuie la lame sur ma paume et la retire d'un coup sec. Aucune douleur. Samantha pose sa main sur la mienne et je suis si déconcentrée que je mets plusieurs secondes à me représenter une image d'Idan dans mon esprit. Je nous sens chuter mais cette fois, je sais que mes ailes seront là pour me rattraper.
Et je sens un sourire gagner mon visage tandis que mes pieds se pose sur une herbe encore humide. Il doit être aux alentours de midi à présent. Samantha s'est battue si longtemps que j'en ai perdu toute trace de l'heure. Je rouvre les yeux pour découvrir l'océan en contrebas et la forêt dans notre dos. Nous sommes sur la crête sur laquelle nous étions avant notre départ. Combien de temps sommes-nous restés chez les Amazones ?
— Deux jours, techniquement, m'apprend une voix fluette à côtés de moi.
Si Samantha fait un bon sur le côté en entendant cette voix sortir de nulle part, je souris et remercie la jeune femme qui sort des bois. Portant seulement une fine robe blanche qui tombe jusqu'à ses chevilles, ainsi que de longs cheveux jusqu'au milieu du dos, l'Aziza qui nous fait face déploie doucement ses ailes translucides.
Son sourire est doux et tout chez elle transpire la bonté et l'intelligence. Comme toutes les représentantes de son espèce, elle est capable de lire dans les pensées de ceux qu'elles croisent, afin de juger leurs intentions. Je suppose que ma tante leur a demandé de patrouiller dans le secteur au cas où une menace potentielle surgisse des flots ? Elle sourit et s'incline devant moi.
— Votre Majesté. Et bien, votre tante veille à la sécurité de l'île, tout comme nous. Mais si je suis ici, c'est seulement pour cueillir les herbes dont j'ai besoin afin que ma fille puisse préparer une décoction. Malheureusement, je ne peux pas vous dire que l'état de son ami ne s'améliore, soupire l'Aziza en baissant la tête.
Je fronce les sourcils.
— Quelqu'un est mourant ?, je demande, inquiète.
L'Aziza secoue la tête.
— Pas mourant. Mais je pense que s'il continue sur cette voie, il le sera bientôt, avoue-t-elle avec tristesse.
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Hello !
Comment ça va ?
Avez-vous deviné de qui on parle, à la fin ?
Bref, comment s'est passée la semaine ? Vous avez réussi à lire ou écrire un peu ? Moi j'avoue que je croule sous la lecture entre mon blog et le concours dudit blog sur Wattpad...argh x) Je dois bientôt rendre les résultats (enfin, en juillet) et j'ai du lire que 10 romans sur 170 ! Ca va être choupinet tout ça ^^ ! Mais ça va, c'est assez "rapide", je commence par les histoires ayant le moins de parties x)
Sinon, qu'avez-vous pensé du chapitre ?
-> Qui est mourant ?
-> Qui est cette femme qui apparaît d'un coup ?
-> Le départ de chez les Amazones.... Est-ce qu'on les reverra ? Ceux qui suivent mon Carnet d'Ecriture connaissent déjà la réponse xD
-> L'ambiance générale ?
Enfin, on se retrouve dans une semaine avec vos diverses théories sur la suite et la fin du tome ! Et oui, la fin qui approche dangereusement vite... Cependant, pour vous, vous aurez des notifications jusqu'en septembre pour ce tome ! Après, je prendrais une petite pause pour avancer sur le tome 3 avant de le publier. Un tome encore plus sombre techniquement x)
Sur ce, à mercredi prochain !
[Je vous laisse avec une photo ULTRA ancienne de mon monstre ^^ Il a douze ans maintenant xD. Sur la photo, il venait d'avoir quatre mois et il était à peine arrivé chez nous ^^ Et il est sur mon lit, même si j'avoue ne pas reconnaître ces draps xD ]
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