Chapitre XIV
A nouveau, nous voilà errant dans le couloir sombre. Cette fois, la lumière de fin d'après-midi est plus visible, sans doute sommes-nous orienté Ouest.
Par conséquent, l'impression lugubre qui s'en dégageait lors de notre arrivée s'estompe peu à peu et je distingue plus de détails.
Dans les murs en pierre, qui s'effritent, des inscriptions ont été gravées mais je n'ai pas le temps de les déchiffrer. Nos aimables accompagnateurs nous imposent un rythme assez rapide.
Trop rapide à mon goût d'ailleurs. Je tourne la tête autant que je le peux, quitte à m'en donner un mal de crâne, afin de voir où se situe l'armurerie.
Mais dans chaque encadrant se tient une personne, qui nous dévisage avec le fameux air dégoûté qu'il manquait lors de notre première arrivée.
Décidément, ces humains ne cesseront jamais de me surprendre par leurs réactions. Devant moi, Thomas est bien plus calme. Résigné, il bouge à peine, si ce n'est les jambes afin de marcher. Comme s'il était en pilote automatique.
Quelque part, j'aimerai qu'il oppose un peu de résistance. Mais ça serait allez à l'inverse de ce que je lui ai demandé. Du coup, je calque mon attitude sur la sienne et laisse mon geôlier m'emmener où il le souhaite. Sortant du couloir, nous sommes de retour dans la cavité d'arrivée.
Les familles y sont toujours, discutant et riant ensemble. Peu daigne nous regarder tandis que nous passons au milieu d'eux. Pendant un instant, j'ai presque cru qu'ils nous ramèneraient là où nous sommes arrivés, mais non.
Au centre de la cavité, nous tournons légèrement sur la gauche et un nouveau long couloir nous attend. Heureusement pour nous, il est aussi orienté Ouest, donc la lumière nous suit et me permet de voir où nous allons. Cette fois, c'est un simple couloir sans le moindre intérêt.
Mais le débouché en vaut la peine : une petite pièce, creusée dans la roche par je-ne-sais-quel moyen. Mais clairement, c'est la plus belle salle qu'on ait pu traverser.
Les murs en pierre brune sont recouverts d'une légère couche de mousse, arrosée fréquemment au vu de l'odeur qui s'en dégage. On distingue des gravures également mais plus anciennes que sur les autres murs et recouvertes de mousses, donc illisibles.
Il y a des trous creusés aux quatre points cardinaux pour laisser la lumière passer. Creusé par les hommes, se trouvent quatre sièges, situés sous les ouvertures.
Visiblement, ils ont vraiment voulu insister sur les points cardinaux. Enfin, nos chers amis nous lâchent et sortent de la pièce. Thomas et moi sommes au centre, face à quatre personnes. L'une d'elle est Gregory, assis sous la lucarne qui apporte le plus de lumière.
Encore à l'Ouest, ça devient une habitude. Dans les autres sièges, rudimentairement creusés, se trouvent deux femmes et un autre homme. L'une des femmes est très âgée, tandis que l'autre approche plus des trente-cinq ans. Le dernier inconnu doit avoir cinquante ans. Peut-être plus.
Ils sont habillés de manière assez classique. La plus âgée porte un chemisier à fleurs avec un pantalon souple blanc un peu tâché. L'autre femme, une jupe longue avec un tee shirt basique. L'homme inconnu, un costume deux-pièces.
Quand à Greg, il porte la tenue dans laquelle il nous a abordés. Je suppose qu'ils n'ont pas eu non plus la chance de pouvoir monter à la surface changer de vêtements non plus. Ils nous observent, tandis que Greg m'adresse un bref signe de tête. Je réponds d'un geste sec tandis qu'instinctivement, je me mets dos à Thomas, afin que nous ayons une vue d'ensemble.
Cela semble faire rire Greg, qui descend de sa chaise mal taillée. Ce truc doit être inconfortable au possible ! Mon regard fuit brièvement vers notre seule issue, non barrée, même pas gardée.
Décidément, leurs mesures de sécurité sont assez basses. Gregory s'approche de la femme âgée et lui murmure quelque chose à l'oreille. Celle-ci acquiesce tout en faisant signe aux deux autres pantins de suivre sa procédure. Sans doute un code que nous ne pouvons comprendre.
— Gregory, je peux savoir pourquoi nous sommes là ? Je pensais assez clair que vous prendriez le temps de débattre sur notre cas avant de nous amener pour un jugement, demandé-je.
Ce dernier se détache de l'ancienne et va se rasseoir. Je distingue une grimace fugace et intérieurement, je jubile. Bénissons donc les constructeurs de trône... Au moins, ils nous les font confortable ! Mais je reste tout de même à l'affût.
Je n'aime pas les messes basses, encore moins quand elles me concernent directement. Je n'ai pas besoin d'avoir une ouïe super développée pour savoir qu'ils parlaient de nous. Je sais qu'ils veulent les informations. Le souci, c'est qu'ils sont loin d'être prêt à les entendre.
Qui plus est, le fait que Samantha soit toujours dans la nature, confrontée à je-ne-sais quel danger me rend pratiquement malade. Le lien ne s'est pas manifesté à nouveau, mais il ne saurait refaire surface.
Et à ce moment-là, loin de la barrière protectrice des Enfers ou d'Idan, ça me mettrait sérieusement en danger, moi aussi. Devant mes yeux, le regard de Grégory passe de moi à celle qui semble être désignée comme la supérieure. Cette dernière sourit et se lève, attirant sur elle tous les regards. Y compris les nôtre.
— Vous avez confié à Grégory que vous seriez en détention d'informations cruciales à notre survie. Je ne vois pas pourquoi nous vous ferions attendre si tel est bien le cas. Ainsi, nous vous avons fait demander. Je m'appelle Olga et je préside cette Assemblée depuis la Venue, réplique l'ancienne.
Je me force à tourner mes poignets dans mes liens pour m'empêcher de rire. La "Venue" ? Ils n'ont pas trouvé plus nul ? Sérieusement, je pense que même le Chaos serait plié devant une telle ânerie ! Thomas se tourne vers moi, incertain. J'avoue moi-même ne pas savoir quoi répondre à cette tirade.
Cette fameuse Olga ne laisse aucune place à une possible réponse ici. Je la regarde se tourner vers les deux pièces restantes du puzzle et leur sourire chaleureusement. Je suppose qu'ils vont se présenter ?
Sincèrement, je préférerais qu'on passe directement à l'important plutôt que de devoir apprendre à retenir les prénoms de chacun. Mais finalement, c'est comme les réunions diplomatiques auxquelles Lucifer me laissait venir.
Des ambassadeurs venus des quatre coins des Enfers qui se réunissaient pour parler de politique. Il me fallait connaître les prénoms, tout en priant pour ne jamais avoir à les utiliser de ma vie. Dommage.
— Mon nom est Laora et le dernier représentant est Jean, mon mari. Comme l'a dit Olga, nous sommes ici pour vos informations, répète machinalement la jeune femme.
Je me retiens de lever les yeux au ciel. Un perroquet bien dressé, ni plus ni moins. Elle a à peine une intonation et se limite au strict minimum en termes de parole. Un discours briefé à l'avance.
J'ai horreur d'arriver à une discussion quand celle-ci tourne autour de ma personne, alors imaginez une discussion préécrite. Je suis bien obligée de ronger mon frein, puisque nous sommes toujours observés, au centre de la pièce, les mains liées. Et puis j'ai du mal à voir en quoi savoir leurs prénoms sera utile.
C'est Olga qui parlera le plus, avec l'appui de Grégory puisque c'est lui qui nous a "trouvé". En parlant de ce dernier, il vient de quitter à nouveau son bloc de granit pour s'avancer vers Olga. Les deux autres ne bougent vraiment pas, s'en ai tordant. J'ai tellement envie de les secouer....
En croisant le regard de Thomas, je vois qu'il pense pareil et je lui adresse un sourire complice. Dans ma poche, T'Shael s'amuse à dépeindre des sketchs sur diverses manières de les faire bouger, mais rien de réalisable.
Réalisant peut-être que nous sommes là, Olga et Greg s'approchent de nous. Ce dernier se glisse subtilement derrière moi, tel un chat. Les yeux plissés, je l'observe à la dérobé, grâce à T'Shael qui me renvoi presque en temps réel des images.
Olga observe Thomas, passant au peigne fin son visage. Je ne sais pas ce qu'elle espère y trouver, mais cela semble la contenter puisqu'elle indique à... Jean, je crois, de venir à son tour. Ce dernier bouge tel un robot, s'approche de Thomas et lui détache les mains.
Surpris, ce dernier se masse les poignets tout en m'observant. Je suis aussi étonnée que lui. Haussant les épaules, je lui fais signe de rester calme et de ne rien tenter de stupide. L'échange ne passe pas inaperçu, Olga s'approche désormais de moi.
Son regard perçant se balade sur mon faciès. Je peux enfin mieux l'observer. En dehors de ces vêtements assez simples et de sa peau ridée par le temps, les yeux d'Olga sont différents. Vert, cerclés de bleus autour des iris, ils ont un reflet hypnotisant et effrayant.
La femme fait un geste et j'entends Greg marmonner un "désolé" avant de sentir son pied frapper le creux de mon genou gauche. Sans un bruit, je tombe au sol et serre les poings malgré les liens.
Mon sang bout dans mes veines, je l'entendre battre dans mon cou à une vitesse folle. Ce bruit accapare mes tympans quelques secondes avant qu'Olga n'attrape mon visage de ses mains ridées.
Les mains de Greg se posent sur mes épaules et y appliquent une pression suffisante pour me maintenir au sol. S'il savait ce qui l'attend, il ne resterait pas bêtement là, à suivre les conseils d'une grand-mère. Prunelles contre prunelles, notre bataille de regards n'en finit pas.
Je ne sais pas si Thomas a bougé, j'ai juste brièvement entendu un bruit de pas, puis plus rien. Sans doute a-t-il été arrêté dans son élan. Olga se détache enfin de mon visage pour me juger de haut en bas.
— J'ai vu assez de personnes dans ma vie pour savoir quand une âme perd son humanité. Et toi, tu laisses la colère prendre le dessus. Les gens comme toi sont trop violents pour vivre sous mon toit, informations ou non, assène Olga.
Un petit ricanement sort de ma gorge tandis que mes yeux virent aux rouges. Je sens la colère s'infiltrer dans mes veines. Quelque part, elle a raison. Je suis violente. Trop pour elle et sa constitution fragile. Mais je ne touche pas aux innocents.
Et je doute qu'elle est connue beaucoup de "gens comme moi" dans sa vie. Je me relève malgré le poids de Greg' sur mes épaules. Ce dernier repasse devant moi, protégeant son aînée comme tout homme est supposé le faire.
Cette dernière m'observe avec stupéfaction, tout comme Greg qui découvre enfin mes yeux rougeoyants. J'entends Thomas soupirer mais il n'intervient pas. Dans ma poche, T'Shael m'encourage même à leurs botter les fesses et sortir d'ici.
Jean ouvre et ferme la bouche tel un poisson tandis que sa femme pousse un petit cri d'horreur. D'un geste brusque, je brise les liens qui m'entravent, faisant reculer tout le monde.
— Les gens comme moi ? Que savez-vous des gens "comme moi", vous qui n'êtes probablement jamais partie de votre propre pays ? Que savez-vous réellement du monde qui vous entoure, vous qui passez votre vie à vous croire au centre de l'Univers ? Vous vous pensez envahi par des Aliens, alors que ce sont eux qui ont foulés cette Planète les premiers. Vous êtes les Aliens. Vous n'avez pas idée de ce qui peut vivre parmi vous ou autour de vous, parce que vous êtes trop occupés à vous regarder le nombril. La colère que vous trouvez trop présente, la violence dont je peux faire preuve, vous n'avez qu'une vague idée de la destruction qu'elles peuvent provoquer. Et je vous assure qu'informations ou non, si j'avais voulu vous tuer, vous seriez déjà morts. Alors au lieu de critiquer, ce que votre espèce fait trop facilement, soyez reconnaissants, j'explose.
Jean et Laora se précipitent vers Grégory et Olga, lâchant Thomas qui s'empresse de récupérer T'Shael. Trop occupés à me dévisager, personne ne remarque le Brownie. Ils sont tous face à moi, trop terrifiés pour bouger.
Pourtant, je n'ai fait que changer la couleur de mes yeux. Si je déploie mes ailes, vont-ils faire une attaque cardiaque ? Je vois Greg' remuer les lèvres, mais la colère assourdissant mon ouïe, je n'entends pas.
Seul Thomas semble comprendre et il agrippe mon bras, le secouant. Je me tourne vers lui les sourcils froncés, avant d'entendre le premier coup de feu. Tiré depuis le couloir, il a mal visé et m'a manqué. Il ne sera pas aussi malchanceux la prochaine fois je parie.
Prenant Thomas avec moi, je le repousse derrière moi, créant un barrage avec mon corps. Si la balle me tape, tant pis, je reviendrais. Thomas n'a pas vraiment cette chance. Visiblement, si tu oses t'opposer à mémé, la cavalerie arrive dans la seconde.
Je grimace en regardant mon bras, qui a essuyé une balle. Elle a seulement frôlé la chair, mais ça sent presque le brûlé et j'ai une longue trace. Heureusement, Thomas n'a rien et c'est tant mieux.
J'ai pu dévier cette balle. Greg me regarde avec surprise. Il s'attendait sans doute à ce que je tombe à terre en hurlant, touchée au bras ? Mon pauvre garçon, tu ne sais même pas à quoi tes amis s'exposent...
Pas besoin d'avoir l'unanimité au Conseil des Démons pour savoir qu'une tentative de meurtre envers leur Roi ou Reine ne passe pas de manière....diplomatique. Ils règlent ça dans un bain de sang.
Dans le chaos qui se forme devant nous, j'essaye de distinguer les têtes pensantes de tout ce vacarme. Les quatre idiots qui se faisaient masser les fesses par du granit. Grâce à sa chevelure d'un blond presque blanc, je remarque Olga.
Un simple coup d'oeil vers elle me suffit pour savoir qu'elle a repris ses esprits et demande à arrêter la fusillade. Plus de bruits et les créatures nous retrouveraient sans problème, malgré les murs de pierre. Dans la salle, il ne reste que moi et Thomas.
Ce dernier, derrière moi, respire de manière saccadée, ce qui a tendance à m'ennuyer profondément. Greg sort ses armes, mais laisse ses mains le long de son corps, quand environ cinq soldats différents me visent avec leurs armes.
Pour autant, je ne reviens pas à mon argenté habituel. Hors de question de les laisser gagner. Ils m'ont assez ennuyé comme ça ! Rapidement, on entend des petits cris venir de la salle circulaire, où les familles sont réunies.
A tous les coups, on me dépeint comme une grande méchante incontrôlable. Parmi les soldats qui me pointent de leurs armes, je remarque le petit jeune de la dernière fois. Plus malin que les autres, il pointe Thomas et non moi directement. La tension est à son comble, personne ne parle ou ne bouge.
Sans compter le stress d'un gamin, dont la balle part instantanément. Aussitôt, afin de protéger Thomas, je déploie mes ailes, déclenchant la panique générale. Un cri de rage empreint de douleur sort de ma gorge malgré moi quand je sens la balle se loger dans mes plumes.
C'est un peu comme si on venait de me tirer dans le dos. Chez les humains, ce n'est pas mieux. Si Olga tente de faire régner le calme, ses soldats sont de moins en moins enclins à lui obéir.
Désormais, mes ailes grises métalliques emplissent la pièce, cachant totalement l'Oracle qui me souffle un "merci" du bout des lèvres. Mes poings se serrent et se desserrent. Je ne sais pas si je dois attaquer ou rester en position de défense face à cet ennemi.
Après qu'ils m'aient tiré dessus, j'aurai du mal à les voir comme des amis. Surtout que mes ailes ont une guérison bien plus lente que le reste de mon corps. Le gamin un peu -trop- fier de son acte s'avance vers moi avec son arme.
Tel un animal mis en cage, je ne fais qu'observer, cherchant le meilleur moment pour lui sauter dessus et lui retirer sa tête d'arrogant.
Avant même que j'en ai la chance, le jeune homme tombe raide par terre. Dans son cou, deux petites électrodes brillent pendant quelques secondes avant de s'éteindre. Aussitôt, son père se précipite et ramasse le corps inanimé de son fils. Il a eu de la chance d'être tasé.
Profitant de cette accalmie, Olga s'avance vers moi, passant devant ses soldats. Je me tends aussitôt, méfiante. Cette femme n'est pas un bon présage et je viens d'en avoir la preuve. Avant même qu'elle ne puisse ouvrir la bouche, trois coups de feu retentissent.
Aussitôt, la foule se fige et personne n'ose bouger ou parler. Pas même Olga. Dans l'ombre, une silhouette se détache du couloir. Le bras encore en l'air, canon vers le haut, la jeune soldat s'avance vers nous. Son visage est couvert par un châle de couleur sombre, tandis que ses cheveux tressés en une natte française lui donnent un côté très dur.
En passant à côté d'Olga, elle lâche son arme qui s'écrase au sol, résonnant dans le silence. Elle vient de planter à côté de moi, retirant par la même occasion son châle avant de s'exclamer :
— Le prochain qui lève une main sur eux, je l'envoie à la surface. C'est compris ?, gronde-t-elle.
Sous le choc de la menace, je vois des visages se fermer et d'autres blanchir. J'expire d'un coup, comprenant que je viens de gagner un sursis. Je dois quand même trouver un moyen de nous faire sortir d'ici.
Mais rapidement, je reviens sur le visage de leur sauveuse. Le visage me parait beaucoup de trop familier, bien que la manière de s'exprimer et la dureté des traits me soient inconnues.
Une fois certaine que tous ont assimilés la menace, l'inconnue se détourne et déchire son châle en deux. La jeune femme se met face à moi et doucement, vient poser sa main, sur ma blessure à l'aile.
Quand sa peau entre en contact avec mes plumes, je me fige. Je fronce légèrement les sourcils, le cœur battant et au bord des lèvres.
— Sam' ?
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Helloooooooooo !
Comment ça va ?
La semaine fut bonne ?
Parce que j'arrive avec plein de super nouvelles héhé x)
Que ça soit pour la fiction ou les personnages ! Si si, je vous assure !
Bref, SAM EST DE RETOUR ! Et elle n'a pas l'air d'avoir froid aux yeux la petite.... Elle s'impose comme ça, au calme. Mais bon, ça devrait rendre Aoile fière.... xD Même si pour le moment, elle n'y croit pas trop. Mais......QUE FOUS SAM AVEC DES HUMAINS DANS LES TUNNELS DU MÉTRO ?! Aux dernières nouvelles, Sam' est loin d'être humaine aussi.... Ceci dit, ils ne savent pas (encore) qui est Thomas xD
Bref, les questions !
-> Les retrouvailles entre Sam' et Aoile ? [pour Thomas ça viendra, pour le moment il est coincé derrière les ailes d'Aoile il n'y voit que dalle. Pareil pour T'Shael].
-> Est-ce que c'est vraiment Sam' d'ailleurs ? xD
-> Aoile est blessée à l'aile.... :'( Est-ce que ça va guérir ? :/
-> Est-ce que les humains accepteront les nouveaux ou réussiront-ils à partir ?
-> Greg', ami ou ennemi ?
-> Olga, qu'en pensez-vous ?
J'ai adoré Aoile dans ce chapitre. Elle explose, elle dit tout xD Elle est parfaite en appuyant bieeeeen là où ça fait maaaaal xD
Bref comme toujours, prenez soin de vous et à la semaine prochaine pour la suite !
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