Chapitre XIII
Suivant mes recommandations, T'Shael arrête de bouger et se contente de faire baisser sa température corporelle, afin de sembler froid au touché. Je sens son mécontentement grâce à des images mentales assez violente, m'impliquant notamment étranglée, ce qui me fait vaguement sourire. Vous prendriez au sérieux les menaces d'une peluche vivante ? À cette pensée, T'Shael s'offusque et arrête son bombardement d'image.
Un coup de crosse dans l'estomac efface mon petit sourire et je grogne en retour. Il est sérieux le gosse ? Alors quoi, on lui file une arme et il ne se sent plus pisser ? Je serre les dents et le fusille du regard, ce qui n'a pour effet que de le faire reculer. Idiot mais pas trop donc. Mon regard balaye le reste du tunnel. Je ne vois que deux autres personnes. Que des hommes. Le seul jeune me tient en joue. Celui qui tient Thomas est plus dans la quarantaine. Le dernier semble être le chef, les cheveux eux grisonnants.
Face à moi, le jeune commence à laisser paraître sa panique. Je peux voir la transpiration couler le long de son visage, tandis que sa main tremble de plus en plus. S'il continue, il va lâcher le flingue et un coup pourrait partir tout seul. Pas que je m'inquiète de ma survie, mais je ne tiens pas à revivre une mort. Des bruits de pas dans ma direction me font tourner la tête vers le chef, qui pose sur moi un regard emprunts de curiosité.
— Qui êtes-vous ?, demande-t-il d'une voix forte.
Des cheveux gris rasé court, avec quelques blessures au niveau des bras. Le reste de son corps couverts de vêtements noirs, assez large. Sa démarche et sa façon de vouloir m'intimider pour avoir des réponses ne m'indiquent qu'une chose: cet homme a bossé comme policiers ou dans l'armée. C'est le seul des trois a être parfaitement calme, sans la moindre trace de sueur. Il a aussi plusieurs armes quand les autres n'en ont qu'une. Et c'est lui qui pose les questions.
D'un geste sec, il prend des mains –ou rattrape, vu la frayeur du petit– l'arme du jeune et tape le canon deux fois contre ma tempe assez doucement, de manière à me faire comprendre qu'il aura ses réponses. Quel que soit la manière d'obtention. Contrairement à Thomas, j'ai les mains libres. Mais un seul mouvement suspect de ma part et ce dernier finit dans la tombe. Encore. Je plonge le regard dans celui de mon nouvel agresseur. Ses yeux bleus glacés me sondent, sans doute à la recherche de réponses. Bonne chance, même moi je galère à en trouver.
— Nous ne sommes pas des menaces, je réponds placidement.
Le vieil homme ricane et se tourne vers ses amis, pour se moquer de ma réponse. Puis, il revient vers moi et fait mine de réfléchir.
— Vraiment ? Parce qu'au dernière nouvelle, des extraterrestres envahissent notre monde, tuant tout humain sur leurs passages. Et vous, vous apparaissez d'un seul coup dans ce tunnel, juste devant leur porte d'entrée ? Je ne suis pas du genre à croire aux coïncidences. Mais je ne croyais pas non plus aux formes de vies aliens jusqu'à lors, crache-t-il en ma direction.
La gifle mentale que je me mets est assez forte pour que je grimace. Comment aurais-je pu me douter que ce fichu tunnel était habité aussi ? Je croyais tous les humains morts ! Comprenant que les humains ont vus quelque chose de surnaturel, T'Shael sort de sa transe et bouge. L'homme braque à nouveau l'arme sur moi, je peux voir un éclair de panique passer dans ses yeux. Thomas sert un poing et fixe la poche de mon sweat. Le jeune recule encore jusqu'à rejoindre Thomas et l'autre adulte et je lève un sourcil, peu convaincue par leur manège.
— Vous n'allez pas nous tirer dessus, alors lâchez le gosse et laissez nous partir, je lâche avec un soupir.
Un rire nerveux sort de la bouche du vieil homme. Probablement policier alors. C'est une intuition, mais je pense qu'un membre de l'armée aurait gardé son sang-froid face à ce genre de discours. Il agite son arme face à moi et la pointe vers ma poche. Aussitôt, Thomas réagit en essayant de venir vers moi et je vois sa mâchoire se contracter. L'homme qui le tient resserre sa prise, lui donne un coup de pied dans le creux du genou droit, ce qui fait tomber l'Oracle sur les genoux. Pour le punir, il lui remet un coup de crosse, juste assez pour le rendre groggy.
C'est à mon tour de contracter la mâchoire. Je fusille mon adversaire du regard et baisse lentement les bras. Thomas relève la tête et sans ses iris, je lis toute sa peur et sa supplique muette. Je sais qu'en un seul coup d'aile, je peux assommer le chef, envoyer voler le gosse et si l'autre adulte tente de répliquer, j'ai juste à le griller comme un toast. Mais je dois essayer de faire ça de la manière douce. S'il ne reste que ces humains en vie, je ne tiens pas à décimer les derniers membres de l'espèce.
— Le gosse ? Tu te crois plus âgée blondinette ? Allez, sort l'animal de ta poche. Et vas-y doucement, demande brutalement le chef.
Avec précaution, je mets un genoux à terre pour permettre à T'Shael d'atteindre le sol plus facilement. D'abord réticent, je lui promets de veiller sur lui quoi qu'il arrive pour qu'il finisse par sortir une patte poilue. Une fois qu'il est totalement hors de ma poche, je vois le regard de mon assaillant changer. Ses iris s'agrandissent tandis que ses muscles se tendent. Évidemment, il n'a jamais rien vu de tel. De ses grands yeux bleus, T'Shael le dévisage et différents scénarios de morts défilent dans ma tête, envoyé par le petit Brownie. Ne menaces jamais la famille d'une de ces créatures. C'est plus vicieux qu'il n'y paraît.
— C'est quoi ce truc Greg' ? Un alien ?, demande l'adulte du fond, celui qui tient Thomas.
Le dénommé Greg' continue de dévisager T'Shael. Je suis sûre que si ce dernier le pouvait, il aurait déjà levé les yeux au ciel. Il aurait même probablement claqué des doigts pour remettre les idées de l'humain en place. Puis, de mauvaise grâce, le fameux Greg baisse son arme et son regard revient ensuite sur moi. Dans ses yeux, je lis toutes ces questions comme s'il me les avait posées.
— C'est une créature qui, pour vous, sort tout droit d'un bouquin pour enfant. Je ne peux pas tout vous expliquer en détail parce que vous nous prendriez pour des fous. Tout ce dont je suis certaine, c'est que nous trois, on est là pour en finir avec ces..."aliens". On est du même côté. Si vous tirez, vous allez les ameuter ici et vous nous suivrez dans la tombe. Alors on peut peut-être...discuter ?, répondé-je.
Un silence ponctue ma demande. Thomas ne lâche pas sa peluche du regard, tandis que les deux adultes s'observent. T'Shael se tourne vers moi et m'observe.
"Sérieusement ? Ces types veulent tuer tout ce qui ne ressemble pas à un humain et tu veux discuter ? Et puis quoi encore, du thé et des biscuits ?", lâche T'Shael.
Il a clairement passé trop de temps avec nous, piquant l'humour raté de Thomas et mon ironie naturelle. Cette créature me fatigue et m'impressionne en même temps. Je lui souris et me relève, gardant les yeux sur Greg. Ce dernier se tourne vers moi et hoche la tête positivement. En même temps, son ami relâche Thomas qui se lève en se massant la boîte crânienne. Alors qu'il tente de revenir vers moi, je le vois tituber et lui rattrape le bras gauche, tandis que le plus jeune prend son autre bras pour le soulever. Je me tends, mais accepte l'aide. Comme s'il était saoul, Thomas le repousse et marmonne :
— Toi, me touches pas.
Puis, le dernier coup ayant été assez fort et le contrecoup un peu trop violent, il tourne de l'oeil dans nos bras. Le jeune garçon le soulève et passe l'un des bras de l'Oracle derrière sa nuque pour le relever. T'Shael grimpe le long de ma jambe et retourne dans ma poche. L'adulte, font je ne connais pas le nom, rejoint le jeune pour soulever mon ami et je le retiens par l'épaule.
— Frappe-le encore une fois et je te castre. Compris ?
Ce dernier hoche la tête en silence et retire son épaule d'un mouvement sec. Greg s'approche de moi, rangeant ses armes. Devant nous, le duo attend les ordres de leur chef pour continuer d'avancer. Visiblement, nous allons nous enfoncer loin dans le tunnel... Mais je ne sais pas quoi penser de ces gens. C'est pourquoi je n'aime pas les voir porter Thomas et je le garde au coin de l'oeil. Le premier qui le touche est un homme mort. Semblant lire dans mes pensées, Greg ouvre enfin la bouche :
— Nous allons retourner dans notre camp. Je ne te fais pas confiance, ni à lui, ni à....la créature que tu balades. Le moindre geste déplacé et vous finissez six pieds sous terre. Mais vous semblez en savoir plus que nous sur la situation. Et vous n'êtes clairement pas humain, ni même de cette Planète, déclare-t-il.
Je hoche la tête d'un mouvement sec.
— Un choix avisé, Greg, laché-je, avant de m'approcher de Thomas.
Suivant le groupe, je m'aventure dans les tréfonds du tunnel. Visiblement habitués à la noirceur, les hommes n'ont besoin d'aucune lampe pour se guider. Mais je préfère savoir où je mets les pieds, donc je laisse mes yeux virer aux rouges pour discerner des choses. Je les suis à la trace, ayant trop de peur de laisser Thomas seuls avec eux. Surtout qu'avec ses soucis du moment, je ne donne pas cher de la peau du groupe si l'une de ses personnalités se réveille. Voyant le dénommé Greg' s'approcher, mes yeux redeviennent gris.
— Je préférerai que tu m'appelles Grégory. On ne se connaît pas et j'ai ma réputation de meneur à conserver. Je suppose que tu sais ce que c'est, vu que tu prends les décisions pour les autres. Comment dois-je t'appeler ?, demande-t-il d'un ton plus doux.
Ce n'est pas parce qu'il me confie son prénom que je dois en faire de même. Ou alors, pas totalement. Comme il le dit, nous ne nous faisons pas confiance. Il a beau être un meneur, il reste un humain. Les humains mentent, manipulent et utilises sans scrupule quand on leur confie la vérité dans un écrin. Si je dois m'abaisser à leur niveau, autant fausser les cartes dès le départ.
— Ifrinn, déclaré-je.
Puis, allongeant le pas, je rattrape le duo de tête, qui commencent à ralentir à cause de leur fardeau qui se réveille. Thomas, encore un peu groggy, donne des coups au hasard autour de lui en grognant. Avec un soupir, j'attrape l'un de ses bras et le plaque dans son dos, lui arrachant un petit cri plaintif. J'approche ma bouche de son oreille :
— Tient toi tranquille et obtempère. S'il reste des humains en vie, tout est pas nécessairement perdu. Et à partir de maintenant, utilises mon deuxième prénom pour me parler, chuchoté-je.
Je ne saurais dire si c'est l'effet des mots ou s'il a réellement compris mon message, mais il se calme et je l'aide à continuer en silence. Au bout de ce qui me paraît être une éternité, la noirceur se termine et j'aperçois des lumières. Celles-ci deviennent de plus en plus fortes au fur et à mesure qu'on avance. Je plisse les yeux pour m'habituer à la lumière, tout comme Thomas qui manque de tomber. Il grogne et se frotte les yeux, sans pour autant que je le lâche.
J'entends des rires et des gens qui parlent, des enfants qui crient. Tout cela se répercutent sur les murs et créent une joyeuse musique à mes oreilles. Le duo, que j'ai finis par déchiffrer comme étant père et fils, disparaissent après un tournant. Il se passe plusieurs minutes avant d'entendre des cris de joie, célébrant sans doute le retour de nos deux compères. Je suppose que partir en mission ne veut pas forcément promettre revenir. Greg m'arrête et me fixe droit dans les yeux, l'air grave.
— À partir d'ici, vous êtes des prisonniers. Vos informations seront entendues de tous, au moment voulu. Le reste du temps, vous la fermez. Et Ifrinn, s'il prend l'envie à ce gosse de jouer au dur, j'hésiterai pas à le descendre, c'est assez clair ?, gronde-t-il.
Je redresse Thomas et fixe Grégory dans les prunelles. Je sens son malaise après quelques secondes et profite de cet instant pour terminer :
— Parfait. Mais si vous, ou l'un des membres de votre groupe touche à l'un de mes hommes, je ne garantie en rien votre survie. C'est clair ?
Un grognement guttural répond à ma demande et je lâche Thomas, qui titube avant de s'appuyer contre un mur. Il sort petit à petit de sa léthargie et m'interroge du regard. Pour le convaincre de suivre mon plan, je tends les mains face à moi, vers Greg, qui s'empresse de les nouer avec de la corde fine. Je baisse les yeux vers son travail, assez serré pour me retenir et me faire un peu mal. Il hausse les épaules.
— Va trouver mieux avec ces monstres dehors. C'est pas comme s'ils vendaient des menottes chez Carrefour, se plaint notre charmante hôte.
Sans se débattre, Thomas fait pareil que moi. Puis, je vois Greg prendre Thomas par le coude et le pousser dans ma direction. Ce dernier grimace et fusille le vieil homme du regard avant de soupirer. L'humain s'approche de moi et je le vois hésiter à prendre T'Shael hors de ma poche. Je secoue la tête et fait un pas en arrière aussitôt.
— Hors de question. Si vous n'en parlez pas, personne ne saura qu'il est là, il sait très bien imiter les peluches. Personne. ne touche. à la bestiole, j'assène sèchement.
Levant les mains en signe de reddition, Greg reprend Thomas par le bras et m'invite à la suivre d'un geste. Avec l'égard donné à un chef je suppose, il ne m'impose pas le supplice de me faire traîner par l'un de ses hommes de mains jusqu'à ma paillasse de prisonnière.
Suivant le chemin pris par le petit duo il y a plusieurs minutes, nous finissions pas entrer dans une sorte d'alcôve naturelle, dans laquelle plusieurs dizaines d'humains nous fixent. Le silence fait place tandis que Greg nous exhibe comme des animaux de foire. Je ne vois que des familles. Hommes, femmes, enfants. Pas une arme. Ne sont-ils que trois guerriers sur cette....presque centaines de survivants ?
Dans leurs yeux, je ne lis pas de peur, ni de dégoût. Seulement de la curiosité. Chez certains, de l'espoir. Chez d'autres, une sorte d'admiration. Je ne sais pas ce qu'ils ont pu dire de nous pour causer de telles réactions. Toujours est-il qu'après dix minutes de marches en plein silence, nous quittons l'alcôve lumineuse pour un coin plus sombre et à l'écart.
Je ne pensais pas qu'une ancienne station désaffectée cachait autant de chose. Mais nous voilà dans des sortes de catacombes. Après un long couloir, dans lequel je distingue plusieurs autres ouvertures menant je-ne-sais-où, Greg s'autorise une pause. Devant une seule pièce assez sombre, dans laquelle il nous laisse. Il n'y a pas de porte, nous pourrions facilement sortir. Mais je suppose qu'une des ouvertures vues précédemment donne sur l'armurerie, où des guerriers nous attendraient pour nous descendre.
— Soyez mignon et restez sage d'accord ?, sursurre Greg.
Bien que je sache qu'il veuille faire plus "dur à cuire", je ne peux m'empêcher de rire à cette remarque. S'il savait... Il me dévisage avec un mélange de surprise et de colère. Je souris, lève mes mains liées et hausse les sourcils.
— C'est vous le boss, soufflé-je.
Satisfait, Greg quitte notre nouvelle demeure, suivi de quelques amis à lui, me laissant seule avec T'Shael et Thomas. Je me laisse glisser le long du mur et le jeune homme m'imite. Le sol gelé accueille mon derrière. Après avoir attendu que les bruits de pas s'estompe, T'Shael se remet à bouger. Le Brownie décide de sortir de mon sweat et je pose une main rassurante sur son pelage.
"Merci de m'avoir défendu tout à l'heure. Tes liens sont très serrés, tu veux que je les défasse ?"
Je lui fais un clin d'œil et secoue la tête. Je vais jouer le jeu jusqu'au bout. Ils finiront pas voir que nous ne sommes pas de méchantes personnes. Thomas se tourne vers moi et me montre ses mains liées avec colère.
— Tu m'expliques ? Aux dernières nouvelles, ils voulaient nous tuer. Ils m'ont frappés à multiples reprises, ont menacés T'Shael et t'ont même totalement manqué de respect. Et toi, tu laisses couler ?, s'énerve le jeune homme.
Je lève les yeux au ciel et tandis que T'Shael s'approche de son propriétaire pour le rassurer, je resserre encore plus la pression des liens. Je peux presque sentir la corde mordre ma peau. C'est vraiment fait avec les moyens du bord, mais ça tiendra.
— Je suis menottée aussi espèce de génie. S'ils t'ont frappé, c'est peut-être parce qu'on a débarqué sur leurs terrains comme par magie, alors qu'ils combattent ce qu'ils pensent être une forme de vie extraterrestre ! Tu voulais quoi, que je les envoies au cimetière, dévoilant qui nous sommes ? Ce sont des humains Thomas ! Des survivants ! Si on peut les aider, autant le faire. Alors contentes-toi de jouer le jeu et ils nous laisseront bien partir à un moment, soupiré-je.
Le jeune homme tient T'Shael entre ses mains liées et porte le Brownie prend de son torse. Je peux lire sa peur dans ses yeux. Nous ne savons que trop bien ce que c'est que le rejet à cause de notre différence. Cette situation est la même que celle que j'ai pu vivre auprès des Démons ou des Archanges. Je soupire et frappe ma tête contre le mur derrière moi. Rien n'est idéal à propos de ce que nous vivons ici, mais c'est nécessaire.
Puis, je me tends. T'Shael se réfugie dans ma poche tandis que je me redresse, suivie par Thomas qui ne comprends pas trop le mouvement. Ma tête se tourne vers le couloir qui mène vers nous, tandis qu'après plusieurs minutes de silence, de lourd pas se font entendre. Puis, une silhouette masculine se dessine. L'agresseur de Thomas se tient devant nous, le visage fermé. Sans nous adresser un mot, il attrape Thomas par le coude et fait signe à un autre homme, que je n'avais pas vu, d'en faire de même avec moi. Décidée à ne pas faire de vague, je me laisses faire.
— Qu'est-ce que vous nous voulez ? On vient d'arriver, crié-je.
L'adulte qui me tient referme sa prise sur moi, espérant sans doute me faire taire. Peine perdue.
— J'attends. Et je ne bougerai pas sans réponse.
Finalement, le premier homme se tourne vers moi.
— Votre présence a été demandé. Les informations que vous avez nous seront utiles, on ne va pas vous garder éternellement, lâche-t-il.
Et dans sa bouche, cette dernière phrase prend une tournure beaucoup trop fatale pour moi.
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Coucou ! Comment allez-vous ? J'espère que votre semaine a bien commencé ^^ La mienne ouais. Retour en Angleterre, reprise des cours, on entre enfin dans les trucs un peu compliqué donc je me concentre à fond ^^ ENFIN ! xD
Alors, on en pense quoi des survivants humains ? Plutôt une bonne chose ou pas ? En tout cas, Aoile a décidé de jouer leur jeu et ne pas se rebeller.... Combien de temps va-t-elle encore tenir à votre avis ? Je veux dire, c'est AOILE. Elle ne va PAS continuer d'en prendre pour son grade par des êtres chétifs et mortels quand même... si ? Pour protéger Thomas et T'Shael.... Je sais pas. Vous en dites quoi ?
Quelques questions héhé....
- Pensez-vous qu'Aoile va continuer de jouer leur jeu ?
- Pensez-vous que Thomas va respecter les règles ? Jusqu'ici, il n'est pas franchement partant....
- Pensez-vous que les humains se débarasseront d'Aoile et de Thomas après que les infos sortent ? Après tout, peut-être qu'ils ont un plan.... ^^
Dites-moi vos théories haha ^^ !
Sur ce, je vous dis à la semaine prochaine et prenez soin de vous !
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