10 - CAMPING (HAITANI SIBLINGS).
Cet os est inspiré du média si dessus, Ran et Rindo ont donc les cheveux comme sur l'image. Ren est une oc (i guess ?) qui sera peut être présentée un jour s'il elle refait des apparitions, elle est évidemment à respecter !
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Le soleil brûlant tapait sur ma peau, je me sentais bronzer. J'étais allongée sur le sable, a plat ventre. J'entendais le bruit des vagues roulant les cailloux sur leurs passages, et les mouettes. Il y avait une légère brise, rafraîchissant de peu les peaux sous le soleil. En bruit de fond, j'entendais le crissement de mes deux frères se battant verbalement pour savoir qui était le plus beau.
- Ran ! Tu racontes que de la merde, c'est moi le plus beau ici ! Hé ! Ren, dis-lui toi !
- T'as pas le droit de prendre Ren pour cible, ça compte pas. Ran fronça les sourcils.
- T'as juste peur qu'elle dise que je suis plus beau que toi !
Je voulais juste profiter de cette journée mais ces deux imbéciles étaient bien décidés à la gâcher.
- Raah ! Mais fermez-là. Vous êtes aussi beaux tous les deux. Je venais de laisser tomber ma tête sur mon t-shirt, plié au-dessus du sable.
Quelques secondes s'étaient écoulées, et j'eus a peine le temps de crier victoire en entendant le silence que déjà, quelqu'un m'aggripa les jambes et quelqu'un d'autre me pris sous les aisselles et je fus levée a quelques centimètres du sable. Je me doutais bien que mes frères y étaient pour quelque chose.
- Nan ! Les gars, lâchez-moi ! C'est pas drôle. Je tentais de me débattre sentant ce qui allait arriver mais mes frères étaient plus forts que moi.
- Fallait répondre !
- Rindo la vie de ma mère que je vais te tuer si tu me jettes a l'eau ! Pareil pour toi Ran. En plus ayant été allongée a plat ventre sur le sable, mon corps était orienté vers le sol et je ne pouvais pas voir le visage de mes frères.
- La vie de ta mère ? Laisse-moi rire !
Et, sur ces belles paroles, je vis le sol bouger de droite à gauche et de haut en bas. Je sentis la pression sur mes membres se desserrer, puis je vis seulement le sol se déplacer vers la droite et le contact entre mon corps et l'eau. La mer était froide, enfin, seulement parce que j'étais sous le soleil depuis assez longtemps pour avoir une chaleur corporelle plus élevée que la normale. Et ce fut comme si deux secondes avaient disparues quand j'atterris dans l'eau, seule la sensation de mes fesses touchant violemment le fond de l'eau était perceptible.
Quand je me releva, assise dans l'eau, je vis les deux avec leur main sur leur bouche se retenant de rire. Et Ran pointait quelque chose derrière moi. Je sentis quelque chose arriver.
Soudain, une vague me frappa dans le dos et je fut recouverte par celle-ci. Quand je pus ouvrir les yeux, je vis une mèche de mes cheveux devant ma vision, mais surtout Ran et Rindo pliés en deux en train de rire.
- C'est vraiment pas marrant ! Rindo je croyais que t'étais de mon côté.
- Genre je suis le méchant dans l'histoire ? Ran affichait une expression faciale offusquée et s'était rapproché de moi pour me pincer la joue.
- De base oui, mais maintenant vous l'êtes tous les deux.
- Fais pas la gueule Ren, en plus y'avait un connard qui avait lancé un regard a ton boule quand tu étais allongée.
- Oui. Je savais que j'aurais dû emmener ma matraque.
˟˟˟
Je marchais tranquillement dans les rues du camping, un panier dans les mains. Un panier avec du linge, le linge crade de mes chers frères. Il fait chaud, encore, le soleil tape. Le bruit des mouettes et des vagues est audible de là où je me trouve. Aussi, les cris des enfants, jouant sur le terrain de foot. Je sens mes tongs frapper le sol, des gens marchent de tous les côtés de l'allée, certains marchent sur la route puisque de toute façon dans ce camping les piétons sont prioritaires par rapport aux voitures. J'arrive bientôt à la laverie, mes frères m'y attendent déjà.
Je pousse la porte et m'apprête a rentrer, quand je vois Ran assit sur le banc, parlant avec Rindo, appuyé sur une machine. Ces deux-là ont vraiment trop la classe. Ils rigolent tous les deux, je serais presque jalouse d'être pas arrivée plus tôt.
- Je suis là ! Je m'approche d'eux, pose le panier par terre et souris.
- Ren ! Rindo me fait un bisous sur le front, au même moment où Ran m'assieds a côté de lui et passe son bras gauche sur mes épaules.
- Allez Seigneur Rin, je vous invite a récupérer les habits propres et a faire une deuxième machine avec le stock que je vous ai ramené. Avec tout mon amour et ma reconnaissance évidemment.
Il se tourna dos a moi pour ramasser le panier, et me fit un doigt. Je m'exclama alors :
- Bon toutou !
Ran explosa de rire, suivit de moi-même.
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J'ai jamais réussi à finir cet os convenablement et je le ferais surement jamais, donc il est un peu dépourvu de sens mais bon, voir un Rindo si peu toxique fait toujours chaud au coeur.
- MAX.
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