Chapitre 5

   -Dégage de là sale pervers! hurla Mao Mao dont le cri résonna dans toute la pièce.

   -Je...

  - Il n'y a pas de justification! Tu.est.un.sale.pervers.et.tu.vas.dégager.d'ici.AVANT QUE JE TE BUTES !!!

   -Mais attend ce n'est pas ma faute, se défendis Jinshi, qui s'était retourné à la vue du corps de la jeune femme, bien qu'intrigué par celui-ci.

   - Et ce serait la faute de qui, donc? gronda-t-elle

   -Tu ne répondais pas quand j'ai tapé à la porte, donc...

   -Donc il t'arrives souvent d'entrer chez les gens quand ils prennent leur douche parce qu'ils ne t'ont pas répondu!

   -Oui! Je m'inquiète! Et ne sait pas que les gens en question sont sous leur douche! Je ne suis pas divin!

  -Je m'en fous dégage!!! lui cria la jeune femme, encore plus en colère.

   Jinshi sortit de la salle et Mao Mao s'affala sur le sol de la douche. Cela l'aurait contrariée que le jeune homme découvre ce qu'elle a toujours gardé comme souvenir depuis sa naïveté à l'âge de 7 ans.

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   Tous les regards étaient tournés vers Mao Mao. Celle-ci venait de se lever brusquement de table( elle était au banquet de l'empereur), avait saisi une tasse de thé brulant et l'avait renversée sur la tête de Jinshi. Celui-ci venait de poser sa main sur la cuisse de la jeune femme, et l'avait caressé pendant plusieurs secondes; Après quelques avertissements de celle-ci, il se retrouva avec du thé bouillant sur la tête et un regard froid de Mao Mao.


   - Mao Mao, qu'as-tu fais ? la questionna l'empereur.  

-Cet homme m'a agressé! rétorqua  l'intéressée.

   -Je ne pense pas que Jinshi t'ai agressée, Mao Mao.

   - Il m'a caressé la cuisse !

   - Et tu appelle ça être agressée ! ria son supérieur, bientôt suivi par l'assemblée.

Tout le monde rit de bon cœur. Mao Mao était de loin  la plus appréciée de la coure intérieure après l'empereur et les 4 concubines.

   - Si toucher la cuisse d'une femme est toléré, alors je m'en vais ! bouda la jeune apothicaire en tournant les talons et en se dirigeant vers la porte.

  - Non, reste ici ! s'écrièrent le souverain et Jinshi en même temps.

Jinshi appréciait la jeune femme et souhaitait qu'elle reste. Surtout qu'après le repas, un bal était prévu et seul les hommes accompagnés d'une dame étant accordée à sa tenue y étaient acceptés. Le jeune homme souhaitait inviter Mao Mao. Il avait déjà choisi sa tenue. Elle était dans une sale réservée à cette effet. Seul les hommes présents au banquet  étaient au courant. Il lui avait toucher la cuisse car il voyait que la jeune dame grelottait en silence. Il n'aimait pas toucher les gens sans raisons. Mais avec elle, il se sentait attiré par sa personne. Elle l'intriguait et il souhaitait découvrir ses plus grands secrets. Cela n'irait pas plu loin. Enfin, pour l'instant.

Mao Mao  fus surprise que sa présence était souhaitée. Elle se résigna donc à rester à table, bien que distance avec Jinshi.

Ellipse du repas

Après avoir mangé, mangé et encore mangé, on servi au clients du banquet du vin pur. Mao Mao senti une odeur familière. Elle approcha le rebord du verre de sa bouche et y trempa ses lèvres. Ce fut un mélange de douceur et d'acidité qui brula la gorge de la jeune apothicaire. Du poison. Elle en raffolai. Mais pas sur que ce soit le cas des autres

   - Stop ! hurla Mao Mao. Ce vin a été empoisonné !









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