Loin des bruits de la ville, loin des grands bâtiments et des magasins, tellement loin que le silence remplissait se dessert florissant entre les champs verdoyants et du bruit silencieux des vaches qui broutait l'herbe fraiche se trouvait une maison perdue dans les vastes champs.
  Dans cette maison perdue deux âmes perdues dans des souvenirs, des vieux souvenir, pas des souvenir de rires et blagues, des cauchemars qui les hantait...
Des souvenirs que même leur amour l'un pour l'autre avait pu les effacés.
Pourtant la vie continuait et le passé restait derrière, oublié, effacé comme des grains de poussière dans le dessert de sable, perdue dans l'infinité d'histoire d'une époque tellement incompréhensible que l'on préférait l'oubliée, l'efface, la perdre dans l'horizon.
  Mais l'être humain ne l'oublie pas, celui qui la vécu peut difficilement l'oublié, il peut faire comme si de rien était, vivre, rire mais le passé brillera toujours dans ses yeux sur le point de couler en flots et de jamais s'arrêter.
Leurs histoires dans leurs souvenirs les plus profonds avaient jamais été racontés car la douleur était trop dure, trop dur à l'exprimer à voix haute. Il n'y a pas de mots qui exprime leur histoire et de ceux qui l'avait vécu avec eux.  Ils n'y pas de mots pour décrire les personnes incroyables qu'ils avaient rencontré. Rien ne pouvait leur donner l'hommages qu'ils méritaient, pas une plaque dans leur tombe, pas de cérémonie lugubre, rien.
Mais leur histoire celle de Jeanne et de Oscar celle de Salomon, de Marie, de Martin devrait être raconter et pas oublier dans leur souvenir. Perdue.
Les mots se créaient dans la main de Jeanne, les larmes coulait dans le papier, sont histoire se décrivait le long de pages de son cahier de cuivre.  Mot après mots, sa vie, ses souvenir se lisait le long de son cahier. Son dernier souhait avant de rejoindre ceux qui l'avait quitté.
Les premiers mots se lisait et ainsi commença son témoignage, son histoire.
"Dans une longue nuit d'été "