Chapitre 6
Suite à cette visite bouleversante je décidai de lui rendre visite plus souvent, tout les jours après avoir amené tout le linge et nettoyé toutes le maison je me rendais à rue et je montais les escalier du grand édifice avec entre mes bras un sac de linge.
Suite à c’est rafale sœur Sophie avait décidé de m’employer comme femme de ménage afin de pouvoir me donner un alibi au cas où quelque chose se passerait.
Je rentrais dans l’immeuble sombre et montais dans les chambres au deuxième étage ou je commençai à empiler le linge quelque minutes après Marie rentrai habillé en sœur religieuse.
Elle jouait bien son rôle, elle imitait la marche des sœur, silencieuse et lourde, elle prenait cette air perdu et sérieux que seule les Sœur avait. Elle n’était pas reconnaissable de l’extérieur mais quand elle me regardait avec ses yeux verts avec cette lueur que seule moi arrivait à interpréter.
Elle rentrait dans la chambre où j’étais en faisant attention de refermer bien la porte à clefs.
On parlait de tout et de rien, on se moquait des sœurs en imitant leur démarche de manière exagéré. On éclatait de rire quand j’imitais la voix grave de sœur Sophie.
C’était des moment drôles et joyeux.
Mais ces moments on toujours une fin.
On était déjà en milieu du printemps quand la présence des allemands se fit sentir.
Partout à Paris les murmures peureux chuchotaient des histoires toutes plus terrifiante que les autres. Mais personne ne savait exactement ce qui se passait mais les murmures racontaient que un nouveau gendarme avait été nommée pour être à la tête de Gestapo Française. Son nom se murmurait tellement bas comme ci par mal chance il l’entendais.
« Henri Laffont » - murmurait les passant effrayée, les histoires disait que ce parisien était d’une nature monstrueuse et que tout ce qu’il détestait et le dégoutai il l’abatait le faisait disparaître.
Il avait été nommée commandant de la Carlingue (la Gestapo Française) afin de mettre fin à toutes existence juifs à Paris.
Depuis sont arrivé au commandement plusieurs arrêts et vérification avait été faite, souvent on pouvait entendre de bruits des fusils qui visait un nouveau juif découvert.
Parfois, si par mal chance vous vous trouviez prêt d’une patrouille vous pouviez les voir abattre quiconque était suspect. Ils abattaient plusieurs personnes dans la rues en plein public, on entend le bruits de la balle partir et les cris des femme affolé, les enfant pleurait effrayée et d’autres détournait juste la tête dégouté.
L’atmosphère de Paris était lourde depuis plusieurs mois, les gens s’affolaient autour de mois. Ma mère paniquait quand je rentrai quelques heures après de la norme, ma sœur dans la rue observait toujours les recoin de rue pour voir si une patrouille arrivait.
Mais j’aperçu le changement d’attitude quand sœur Marie m’interdit de visite Esther est rétorqua que Paris n’était plus sur pour elle. Malgré mes discutions elle m’interdit strictement de la voir et elle me dit dans un air preocupe que si tout ne se calmerait pas elle envoierait Esther à la campagne près de la Normandie, le plus loin possible de Paris dans une église inconnu dans les champs.
Je m’effondrai en larmes, j’avais peur de plus jamais la revoir ou pire de la perdre.
Ce fut à cette instant que sœur Marie m’informa qu’elle avait besoin de moi et de ma sœur, car elle n’arriverait pas à déplacer Esther discrètement. Les allemands surveillaient de trop près les orphelinats de Paris pour qu’elle hausse se risque.
Elle m’expliqua que samedi Esther irait avec nous en direction Normandie dans les rue sous le prétexte que ma sœur et moi allons rendre visite à notre grand-mère mourante et que Sœur Marie vous accompagnait pour notre sécurité.
Cette nuit-là quand j’expliqua la situation à ma mère et à ma sœur elles ont toutes les deux acceptée directement. Ma sœur et moi partiront le samedi au levé du jours dans une carrosse sur les routes de terres.
Mais avant l’aventure on a dit tout prévoir, ma mère a commencé a répandre l’histoire que sa mère était mourante mais que malheureusement elle ne pouvait pas quitter son travaillés. Ainsi tout le cartier était au courant de notre histoire nous donnât des témoins importants pour notre voyage.
Ma mère expliqua à sa voisine qu’elle ne pouvait pas laisser ses filles partirent seules ainsi elles seraient accompagné d’une sœur qui irait faire la cérémonie des funérailles une fois arrivé. Comme tout le monde le savait ma voisine adorait répandre les histoires ainsi nous eûmes que a raconté à une personne pour que tous le cartier soit au courant.
Pendant toutes ses maniquances je ne peux pas voir Esther, cela faisait longtemps, sœur Marie l’a cachait derrière une commode dans la bibliothèque de l’orphelinat. Elle m’informa qu’elle lui apprenait toutes les prières afin qu’elle soit prête à jouer son rôle.
J’était terrifié à l’idée de diriger une aventure tellement dangereuse, je voulais être courageuse avoir l’air brave mais j’avais la trouille que on soit découverte.
Les nuits je faisais de cauchemars les un pires que les autres, je me réveillait en pleurs sans savoir quoi faire. La peur me nouait au ventre et malgré cela je voulais le faire car il n’y avait pas d’autres manières de sauver Esther.
Je ne voulais pas la perdre, même si cela voulait dire ne plus la voir.
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