Chapitre 5

Deux mois avais passé, la douleur devenait plus sourde plus légère à porter mais elle ne disparaissait pas. J’avais essayé de reprendre ma vie du mieux que je pouvais, je travaillais plus afin de occuper mes penser à autres chose que l’histoire de ma vie.


   J’avais repris contact avec des anciens amis du collège afin de leur demander les cours. Cella faisait un ans que j’avais quitté le collège.

Au début cella me paraissait la solution la plus logiques et celle qui garantissait un futur pour ma famille. Aujourd’hui quand je me surprends face à la mort je désire tout à coût apprendre, savoir, être autre choses qu’une femme de ménage toute ma vie. Je veux être ceux que je désire sans aucun inconvenant.
 
Ainsi je passais toute mes nuits à étudier les résumer effectuer par mes amis, je m’appliquais à recopier à étudié tout les mots. Je dormais à pêne quelques heures. Les journées étaient longues et fatigantes.

  Je me réveillais au levé du matin afin d’aller de maison en maison rendre le linge propres.

Un jour j’allais chez Madame Lefèvre quand je passai par l’orphelinat de St Catherine. D’habitude j’évitais si possible ce chemin-là de peur du croisé dans la rue. Cela peut paraître bête mais depuis ce jour-là je luis avais pas rendu visite, car je le doutais qu’elle parlerait de lui.

J’avais peur de me blesser, de voir les larmes coulé à flou quand j’avais pris tellement de temps à m’en remettre.
Elle me manquait. Son sourire, sa compagnie…

Je me souviens de m’avoir senti mal ce jour-là. Car je l’avais pas visiter, je l’avais abandonner. Je me sentais coupable d'avoir trahit notre amitié.

Ce jour-là eu enfin le courage d’entrer, quand la journée fut terminée je n’allai pas me reposer dans ma chambre comme d’habitude.

Je fonçai de toutes vitesse vers l’orphelinat, J’avais peur de renoncer à mi-chemin ainsi j’accéléra en pédalant de toutes mes forces.
Je faillis écraser un enfant dans le trottoir mais je me déviai de justesse. J’entendis tout de même la mère râleuse protesté.

Une fois en face de l’immeuble je sentis à nouveau cette peur qui me poussais à retourner chez moi. Je respirai et gravis les escaliers. J’ouvris la grande porte qui donna sur un grand hall illuminer par deux grandes fenêtres des verre turquoise.
La lumière du jour qui pénétrait dans hall donnait un air accueillant à cette immeuble lugubre et simple.

J’admirais stupéfier les plafonds ornés de sculpture élaboré quand une Sœur m’aborda :
- Bonjour. Vous venez pour ?
- Eh...Je voudrais voir une amie. Marie Perez.
- Je ne vois pas de qui vous parler. Vous vous été probablement trompe d'orphelinat.

Je la regardai surprise je ne comprenais pas ce qu'elle voulait dire, j’étais sûre de pas m’être trompe. Ma mère m’avait bien dit l’adresse au cas où, si je voudrais la voir.

- Je vous assure que je ne me trompe pas, elle est venue il a deux mois un peu près.
- Je vous assure que personne en se nom n’est arriver. - elle me sourit mais j’aperçue dans ses yeux de la peur.
- Elle s’appelai Esther Alcalai. - je murmura car j’avais promis de plus jamais prononcer son nom.

Elle regarda autour d’elle comme si quelqu’un aurait put nous entendre, elle me pris par le bras et me diriga vers une petite salle au fond d’un couloir. Elle me poussa a l’intérieur et me dit:
- Attendez ici, je vous l’apporte. Ne faite pas de bruits.

Elle me ferma la porte me laissant seule avec mes penses.

Je pris le temps de observer la petit chambre où je me trouvait. Elle était exigus et étroite, il y avait juste un petit canapé et une petite fenêtre. Je m’assis sur l’inconfortable canapé en attendant impatiente.

J’attendais plusieurs minutes quand enfin la porte se ouvrir et une sœur entra, pas celle que J’avais rencontre un plus jeune. Elle ferma la porte derrière en silence et se retourna vers moi en me regardant dans les yeux.
Ella avait les yeux vert ! Un sourire typique de Esther !
Elle enleva sont voilé et je l’ai reconnue, c’était Esther !
Je courra l’embrasse, elle m’avait tellement manqué ! On rigola ensemble comme dans les beau vieux temps.

Je la traîna ver le canapé et on s’assit ensemble.
- Que fait tu habillé de sœur ?
- Il y a deux semaines les allemands sont entrer dans l’orphelinat de St. Michelle juste a deux pas d’ici à la recherche de juifs. Depuis plusieurs rafale on couru. Plusieurs juifs on été pris. Sœur Catherine a décidé de m’intègre comme sœur.

Elle me raconta cella d’une traité les yeux brillant et la douleur toujours visible dans son visage. Elle était terrifiés ses mains tremblais quand elle m’avait raconté cella, elle avait peur, elle se sentais mal, coupable d’être en vie. Je le voyais quand elle de tournais ses yeux des miens.

     Il y avait un écart qui c’était formée entre nous, on vivait dans deux monde différents, jetait chrétienne elle était juives. Cella n’avait jamais été un problème avant… maintenant tout était différents. Elle vivait des choses que a l’époque je ne connaissais pas. Elle avait grandis beaucoup en une seule nuit, elle avait vue des choses où elle avait du mal à mètre de mots tellement c’était douleureux.
Elle avait vue la mort.

On se regarda en silence, à la recherche de quelque chose dans le regard l’une de l’autre, à la recherche du passé, du présent, du futur.

On se parla quelque minutes de plus tout en faisant l’attention d’éviter les sujets douloureux.

J’allais m’en allé quand elle me pris pars le bras et me dit :
- Tu n’est pas venu pour parler du beau temps.- elle me regarda dans les yeux on pleurait les deux- C’est vrai, il t’aimais il en parlait toutes les nuit du Chabat  quand tu était pas là. C’était tellement fatiguant de l’entendre rêvasser pendant des heures—elle rigola comme ci elle le voyait à nouveau.

- Il pouvait être tellement têtu… Mais il était le plus gentils et généreux de nous trois. Il méritait vivre plus que moi e que toi..- sa voix se brisa en des pleurs mais elle continua à parlé comme ci s’était indispensable.
- Cette nuits là, des  infermières entraient elles essayait de nourrir tout le monde. Désespéré. Il nous donnèrent de l’eau et du pain. Il n’en mangea pas. Il donna à ses petits frères. Je protesta. Il me disait : »ils content  plus que mas vie ». Il avait froid, faim. Mais il donna tout à ses frères, à moi, à ses parents.. Quand ils nous ordonnèrent de monter sur des bus il n’arrivais pas à marché vite. Un le bâta a coup de pied, puis il lui tirèrent dessus… il tomba…

Ces yeux était brouiller de larmes, sont regard était perdu. Elle avait mal, elle avait peur.
Je la pris dans mes bras, elle était tellement fatiguée et fragile. Je pleura dans c’est bras, toutes la douleur et tristesse que j’avais essayer de retenir.

Quand je reparti j’avais les cœur gros, la douleur des mots et du récit que Esther m’avait raconté.
Mais quelque part dans mon cœur j’avais retrouver un peut de courage et de repos.

C’était dur, trop dur.
Mais quelque chose m’empêchait de me jeter, d’abandonner.
Je voulais me battre, je voulais que tout ça ce termine.
Je voulais prouver que ça vie n’était pas en vain.
Qu’il était mort pour quelque chose plus grand que lui.
Pour ce qu’il pensait.
Pour se qui était juste.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top