Chapitre 4
La routine repris son cours, je dut donc repartir de de maison en maison, avec un sac en main et des vêtements à laver.
Le quotidien avait repris sont droit mais en moi cette monotonie que je ressentait autrefois avais disparut à présent je ressentais que le goût des larmes sales sur mon visage et le désespoir dans les yeux des passants.
J’avais l’impression que ma vie était comme dans le film d’amour tragique, ou Roméo et Juliette n’eurent pas la temps de déclarer leur flamme ardente qu'il ressentait.
Ma vie était une tragédie.
J’avais aimé Salomon.
Pendant des années.
Mais en pensant que cella n’était pas réciproque je demeurait en silence. J’avais peur de brise notre amitié. Quitte à ne pas vivre l’amour parfait au moins notre amitié resterait intact.
J’avais souffert de années.
Et maintenant, mon rêve le plus cher c’était réalisé. Malheureusement il était trop tard pour le vivre, il était parti au Paradis dans un désert au fin fon du monde, trop loin pour l’attendre.
C’était un tragédie, mais pas comme dans les film car celle-ci était vrai.
Le pire c’était l’incertitude, que mon amour pour lui soit réciproque car il ne me l’avais jamais dit. C’était des mots venus d’une autre personne qui les avaient prononcé.
J’espèrais que ses mots soit vraie même si la douleur était invivable même si je souffrais le cœur brisés par cette tragédie. Je préférais savoir que mon amour était réciproque mais impossible que de devoir accepter que l’amour qu’il avait pour mois était que une grande amitié.
Je me souviens de rêver sans cesse de lui les semaines qui suivirent, dans tous mes rêves je lui avouais mon amour et il m’annonçait sa flamme et on vivait heureux jusqu’à la fin des temps. Comme dans un conte de fée.
Mais quand je me réveillais je revenais à la triste réalité, ma vie n’était pas un conte de fée, ma vie n’était pas un film d’amour tragique, ni un livre de romance à la fleur d’oranger.
Ma vie était telle qu’elle était, dure, difficile et triste.
Ma vie était un peux comme une histoire d’aventure, où les aventures deviennes de plus en plus dangereuse, mais je n’était pas un aventurier je me blessa en chemin.
Plusieurs fois, je souffrais, je désespérais impuissante.
La guerre n’avais fais que commencer et j’avais déjà le cœur brisés.
Se n’était que le début.
Le pire venait a venir.
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