Chapitre 3


Je lui ouvra la porte, elle tomba à mes pieds tellement elle tremblait.

Je la pris dans mes bras sans savoir comment réagir à cette situation.

-Qu’est-ce qu’il ce passé ? – lui demandai-je, j’avais peur de entendre son récit car au fond je me doutait déjà de ce qu’il c’était passé mais cela me terrifiant.

-Ils…Nous on tous pris… on a pas eu le temps de...ils nous ont.. . emmener au.. vélodrome d’hiver… toute la nuit… sans man..ger… il nous ont mis.. dans.. des bus puis.. dans des train.. j’ai fui…- Ça voix tremblait elle avait du mal à prononcer c’est mots tellement ils étaient douloureux.

Elle pleurait désespérément, je la consolai du mieux que je pouvais. Mais cette nuit je n’ai pas réussi à l’aider suffisamment.
J’étais là je luis murmurait de mots encouragent mais les larmes coulaient aussi le long de mon visage, je lui disais que tout allait bien se passer mais je n’y croyais pas.

Elle m’avait très peut raconter, mais j’avais rapidement visualiser et compris se qui était passé. Les juifs avaient été pris est emmener vers des camps de travail a l’est. C’était ce qu’on nommait de rafle.

Sauf que celle-ci avait été organiser par notre gendarmerie afin de vider Paris de la masse de juifs qui y habitait. Ils avaient déporté des milliers de juifs.
Des français avaient déporté d’autres milliers de français vers un destin inconnu et périlleux.
Et tout cela pour une seule raison. Leurs religion.
Ils étaient juifs.

Mais cela ne changeaient rien en qui ils était, c’était des personnes, des être humains qui comme tout autres être humains avait le droit de vivre et de penser et réfléchir comme bon lui entendais.

  Depuis l’arrivée des allemands à Paris le comportement des parisiens changeaient, certain décidèrent de profiter de cette occupation pour augmenter leurs commerces, d’autres furent comme si de rien était et restèrent en silence dans l’ombre et seuls les braves et courageux continuèrent la bataille.
 
Ainsi suite à cette terrible nuit, le jour se leva est tout Paris étaient au courant, les murmures silencieux comblaient la culpabilité ressentis pars la plupart de parisiens.

Cette culpabilité était oubliée fasse à la peur et à la terreur. Les jours reprirent leur normes, vue de l’extérieur rien ne paraissaient changer mais ma vision du monde changeait drastiquement.

Mon enfance était terminée.
Je devais faire face à la réalité.

Esther resta chez nous pendant environ deux semaines, le temps que ma mère trouve quelqu’un de confiance qui pourraient la cacher.

On était tous sur nous nerfs de peur d’être découvert, tous c’est regard de mes voisins m’effrayai je tremblais juste à l’idée qu’on la découvre.

Ces deux semaines sont fluent dans ma mémoire mais je me souviens de toutes ses nuits passé à côté de Esther à la réveillé lors de c’est cauchemars. Toutes ces nuits à la consoler.
Je restais réveillé toutes les nuits de peur qu’elle se réveille. De jour mes yeux avaient du mal à rester ouvert mais je me forçais tout de même à sourire en jouant le rôle du bonheur.

Mais j'étais une terrible actrice à l’époque ma sœur c’était aperçu de ma fatigue et de mes faux sourires mais il n’avait rien qu’elle pouvait faire.

Je crois que pendant c’est deux semaines je ne réalisais pas que Salomon était parti définitivement, j'étais dans une bulle confuse et fatigue.
J’avais beau entendre Esther répéter sans cesse cette nuits l’information n’entrais pas dans ma tête. J’étais perdu entre tous ses détaillés.

Quand ma mère trouva enfin une place pour elle dans un orphelinat de confiance ce fut à ce moment-là que je réalisa, un peu trop tard j’avoue, mais ce fut ce jours où je dut lui dire au revoir pour ne plus jamais lui parler que je me rendis compte.

Ce fut ce jour-là où je pleura pour lui pour elle pour notre amitié. Ma mère e ma sœur essayerent de me rassurer et consoler, mais je restai inconsolable.

Ce fut Esther qui me consola cette fois, après tellement de jour à la consoler elle me prit dans mes bras comme je lui avais pris dans le miens, elle sécha mes larmes comme je luis avait sèche les siennes.
Elle était là pour moi comme j'avais été là pour elle.

Quelque part cela me rassura plus que les mots les câlins, ça présence me rassura, car cela me faisait croire que ce jour ne serait peut-être pas le dernier de notre amitié.
J’espérai tellement que cella fuisse vrai car je ne voulais pas tout oublier et recommencer.
Je voulais l’avoir elle et Salomon à mes côtés pour le malheur et le bonheur.

Ce jour-là les images étaient floue entre mes larmes mais je me souviendrais à jamais cette phrase qu’elle m’a dit avant de partir.

« Il t’aimais tu sais, il t’aimait tellement qu’il ne désirait qu’une seule chose, ton bonheur »

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Note de auteur :
J'espère que l'histoire vous plaise.

Je voulais juste presiser que l'événement vécu par Esther n'est pas un événement fictif.

Ça c'est vraiment passé, connu maintenant comme la rafle du Vel d'Hiv. C'est passé entre le 16 et 17 juin 1942 des millier de juifs on été arraché de chez eux par la gendarmerie Française qui avaient collaborez avec les allemand. Plusieurs personnes morrerent de froid et de faim et tout ce qui surviverent furent déporté.
Il n'y resta que très peut de survivant a cette horreur.

J'espère avec cela les honoré.

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