Chapitre 2
Les années passèrent, je ne serais plus vous décrire ses deux années qui passèrent, les souvenirs s’effacent de plus en plus avec les années.
Ces deux années s’effacent dans ma mémoire, je me rappelle juste cette sensation de fatigue et de faim qui m’assaillait le ventre, de ce changement drastique des parisiens envers les uns et les autres, cette haine et dégout qui s’exprimait dans leurs regards.
Des souvenirs troubles de ces année-là celui dont je me rappelle le mieux est le changement de Paris.
Les cris et rigolade des enfants ne se faisaient plus entendre dans la rue, la joie de se réveiller avec l’odeur d’une baguette bien chaude avait bien à longtemps disparut des habitudes du quotidien parisiens.
Notre quotidien se résumait à une seule chose : travailler afin de pouvoir se procurer de la nourriture. J’avais arrêté l’école afin d'aider ma sœur et ma mère et avais commencer à travailler comme femme de ménage.
Entre les aller-retours-retour d’une maison à l’autre et le temps que je perdais dans les que de chaque magasin j’avais à peine de temps pour moi et pour voire mes amis. J’arrivais chez moi essouffler et morte de fatigue.
Ainsi passait les jours, les mois et les années. Cette nouvelle routine s’incrusta dans mon quotidien et se fut ainsi que passèrent les deux années suivantes.
La monotonie des journées me rendait nostalgique, j’enviais le passé et tous ses bons souvenirs.
Mais un jour vint basculés mon quotidien, plutôt une nuit.
C’était une nuit étoilée, malgré ma fatigue le sommeil ne venait pas, ainsi réveillé je regardais le paysage silence de la fenêtre de ma chambre.
C’était calme, le silence était interrompu par le bruit du vent contre le chêne qui se trouvait en face de ma fenêtre.
Mes yeux fatigué commencèrent à se fermer quand un léger bruit me capta l’attention. Le bruit se répéta, puis une pierre vint s’écraser sur le sol da ma chambre brisant le verre de la fenêtre.
Deux autres cailloux virent s'écraser à ma fenêtre. Intrigué je m’approcha de la fenêtre en évitant le verre sur le sol et prudemment je me pencha. Avec surprise je découvris Esther, mon amie depuis l’enfance, dans la rue effrayée. Je la regardai surprise.
Elle murmura tout bas à peine audible :
- Jeanne !!! Je peux rentrer s’il te plaît, c’est urgent !
Je me souviens de son regard effrayée, terrifiée, elle pleurait de toute ses larmes, tout son corps tremblait. Je ne l’avais jamais vue tellement désespéré.
Pourtant on avait vécu plusieurs mésaventure ensemble, Esther , Salomon et moi.
Esther et Salomon était mes amis de cœur, ils étaient comme des frères et sœurs pour moi. On se connaissait depuis notre jeune enfance, Esther était ma voisine et Salomon vivant dans l’appartement en face du mien.
Depuis petits on jouait ensemble dans la rue les après-midi et quand il pleuvait on allait chez Salomon dans ça chambre où on jouait au cartes. C’était des après-midis heureux qui resteront à jamais gravée dans ma mémoire.
Puis on grandit, on abandonna petit à petit les jeux dans la rue et les cartes et on passait nous après-midi à parler pendant des heures. On parlait de tout, du boulanger qui vendait des nouveaux biscuits, d’un nouveaux dans notre école, de nous familles et de notre future.
On était la quand un avait besoin, quand la grand-mère de Salomon est morte Esther et moi avons passé plusieurs nuits avec Salomon en lui séchant ses larmes à ses côtés, quand le père de Esther est mort de cancer Salomon et moi, on était là avec elle lors de la cérémonie de funérailles, on était là quand elle a pleurée et criée la mort de son père, ils étaient avec moi quand j’ai appris que mon père avait été fait prisonnier.
On se soutenait comme des amis, comme des frères, on était ensemble qu’importe les moments, qu’ils soient tristes ou heureux.
Quand je vis cette nuits-là terreur dans les yeux de Esther j’ai compris que quelque chose avait changé, que quelque chose c’était brisée en elle. À l’époque je ne savais pas ce que c’était, aujourd’hui je sais.
C’est l’humanité.
Elles se brise fasse a cette cruauté, elle se brise en larme et tristesse qui vont refermé à tout jamais l’être humain de peur de se blessé à nouveau.
Cette nuit là quand j’accueillis Esther dans mes bras en pleurs je sentis sont désespoir, ça tristesse et ça peur
Quand elle me raconta son récit des larmes me virent aux yeux tellement cela me choquait.
J’étais dévasté.
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