Mode surchauffe
Point de vue de Screen :
Je suis dans mon bureau à faire le tri dans les résultats de ma recherche sur la fameuse organisation appelé VIRGO quand le Pres' fait son entré. N'ayant pas fermé la porte je ne peux pas vraiment lui en vouloir de rentrer sans frapper. Quand il m'annonce qu'une jeune demoiselle demande à me voir, je sais d'avance qu'il s'agit de Pauline. Mag m'a prévenue que sa sœur voulait organiser la fête du baptême d'Oxane et étant le parrain et elle la marraine, il paraît logique que nous fassions ça ensemble. Quoi que ce ne soit pas vraiment le moment. Mon Pres' repart presque aussi vite et ferme la porte derrière lui et moi, moi, je reste comme un con à dévisager cette créature qui est devant moi. Adieu vieux tee-shirts trop grands et jeans sans formes, Pauline a revêtu une robe rouge qui laisse apparaître ses longues jambes galbées grâce aux talons qu'elle porte et sur ses épaules le perfecto en cuir noir lui va à ravir. Putain pas étonnant que le Pres' l'a accompagné jusqu'ici. Tous mes frères ont dû se retourner sur son passage. Elle est, merde, en fait elle est super bonne.
- Screen, ça va ? Me demande Pauline.
- Oui, vas y entre installe toi. Tu voulais me voir pour une raison particulière ?
- La fête d'Oxane, pour son baptême. Puis il faudrait aller chercher sa gourmette en ville si tu as le temps de venir la choisir avec moi ?
Pendant qu'elle me parlait, Pauline c'est installée sur une des chaises, les jambes croisées laissant apparaître un peu plus de sa peau et a retiré sa veste. Bordel de merde, si elle espère que je reste concentré sur l'organisation de la fête alors que je commence à bander en imaginant les dessous qu'elle peut porter...
- Oui bien sur Pauline, tu me dis quand et je viendrais avec toi.
- Ça tombe bien car on y va maintenant.
Pauline se lève un peu trop vite, je pense, vu que je suis obligé de la rattraper avant qu'elle ne tombe sur mes écrans. Dans la précipitation de mes gestes, je n'ai pas du tout contrôler comment je la rattrapais, mais à présent, je me rends compte qu'une de mes mains est posé sur son cul et sans vraiment le vouloir mes doigts malaxent son derrière ferme et rond. Les mains de Pauline accrochées à mon avant-bras, je sens ces ongles se planter dans mes muscles et quand elle relève les yeux, quelque chose se passe. Je ne résiste pas et plaque mes lèvres sur les siennes. Je sens les mains de Pauline glisser jusqu'au bas de mon tee-shirt et tirer dessus. Merde, je perds ma retenue, mes règles. Jamais dans ma chambre ou mon bureau, mais merde. Quand je sens sa main empoigner mon sexe dur, je me rends compte qu'elle a réussi à ouvrir mon pantalon sans même que je la sente faire. Je recule mon visage du sien, on est en train de faire de la merde, je le sais, mais franchement si ce n'était pas la sœur de Mag et que je ne connaissais pas son passé, je me l'aurais déjà tapé.
- Pauline, arrête. Tu ne me connais pas, je ne suis pas un homme qui cherche à me poser. Je baise, c'est tout.
- Pourtant, ce que je tiens dans ma main me prouve que tu en as envie.
- De te baiser, oui. Mais ce serait une énorme connerie et je ne veux pas que tu espères quoi que ce soit.
- Écoute moi bien, Screen. J'ai envie de toi. Elle ressert un peu plus sa main autour de ma verge en faisant des mouvements de roulis qui ne font que me tendre plus. Je ne te demande rien, même pas d'être exclusif, et là je vais peut-être te paraître direct, mais si tu ne fais rien pour éteindre l'incendie entre mes jambes, je pense que je vais aller voir tes frères pour que l'un d'entre eux aient les couilles de jouer avec sa lance.
Putain de merde. Je laisse ma main qui était sur son cul glisser sous sa robe et y découvre la chaleur qui se dégage de son paradis. Rien qu'une fois, un écart. Je commence à la caresser au-dessus de son string qui est trempé. Pauline continue de me branler, mais cette fois-ci elle a descendu assez mon pantalon et mon caleçon pour être plus libre de ses mouvements. Je tire sur le tissu qui recouvre l'intimité de Pauline et ce dernier craque tellement, il est imbibé. Sans délicatesse, car je ne connais pas ce mot, je plonge deux doigts en elle. Elle laisse échapper un gémissement qu'elle tente de cacher contre mon torse. Merde, merde, merde, elle est tellement serrée. Pourtant, je sais qu'elle a déjà eu des rapports, elle a même accouché. Alors que je remue mes doigts, je la sens se resserrer encore plus autour de moi. Je sais, sans me vanter, que je suis doué, mais faire jouir une fille en moins de trois minutes, ce serait une première. Puis je percute.
- Pauline, depuis quand tu n'as pas...
- Screen, ta gueule et continue.
Je comprends pourquoi elle est tellement serrée et tellement proche de jouir. Ca doit faire un moment qu'elle n'a pas eu de plaisir. Je devrais arrêter maintenant, mais d'un autre côté, je sais qu'elle était sérieuse quand elle me disait qu'elle irait voir un de mes frères et je suis assez salop, et égoïste pour ne pas la laisser sortir d'ici.
- T'es sûr ? Je continu à la doigter de plus en plus fort. Je me fais violence pour ne pas me retrouver en elle, mais je ne la baiserai pas. Du moins pas aujourd'hui et pas ici.
- Putain oui, encore, oui, oui, oui.
Pauline fini par jouir et la sentir aussi serrer autour de mes doigts tout en accélérant ses mouvements sur ma queue m'amène à la jouissance également. Je retire mes doigts que je lèche devant son regard vitreux de plaisir et l'emmène dans la petite salle d'eau du bureau. Après lui avoir passé de quoi se laver les mains et s'essuyer son entrejambe, je ne sais pas vraiment comment je vais devoir me comporter.
- Va falloir repasser chez Rose et Tay, je ne vais pas me promener sans culotte. Tu me rejoins devant, on prend une voiture du club.
- Je me lave, me change et j'arrive.
Merde alors. Je me sens rassuré, pour une fois qu'une femme, qui n'est pas de notre monde comprend ce que veut dire rien de plus qu'une baise. Je prends ma veste et la rejoins dehors. Une fois installé au volant, je la sens hésiter me dire quelque chose.
- Pauline ?
- Ça peut rester entre nous ? Enfin, si personne ne m'a entendu.
- Le bureau est insonorisé et normalement, je ne baise jamais dedans. Quoi qu'il en soit nous n'avons pas vraiment baisé. Ce qui vient de se passer restera entre toi et moi. Tu sais je suis pas le genre de mec à aller me vanter mes exploit. Si les brebis apprenaient à fermer leurs gueules les gars ne sauraient même pas quand je baise.
- Tu dois me prendre pour une...
- Pour une fille qui a juste besoin d'attention et de prendre son pied. Tu ne recevra aucun jugement de ma part. Et ma porte sera toujours ouverte si tu veux parler. Allez en route, nous avons une filleule à satisfaire.
Elle me sourit et se met à me parler de ce qu'elle pensait pour Oxanne.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top