Chapitre 5
La vieille qui faisait le tour de la ville
Sous les arbres alignés sur les deux bords de la rentrée de la ville, il y avait des fermiers et des bûcherons qui travaillaient assidûment.
Ayant vu arrivé la cohorte, ils s'arrêtèrent sur leurs travaux pour prendre un moment à regarder les deux jeunes gens qui arrivent à peine dans la région. Tandis que, ils se rappellent avoir déjà vu ce jeune homme au teint bleu parce que sa famille résidaient dans la ville.
Les deux jeunes gens marchaient tranquillement jusqu'au marché de la ville qui était à quelques kilomètres de l'arrivée, Philippe, un jeune homme au gros corps au teint jaunâtre qu'on appelle certaines fois : " Bassoul " parce qu'il ne cesse jamais de manger. Il courut vers eux en disant : hé! Si vous croyez avoir perdu quelque chose je peux vous aider à le retrouver, seulement pour une pièce. Il a dit aux deux compagnons qui s'arrêtèrent et descendent de leurs montures.
— euh... Merci, c'est gentil ! Elle a répondue à ce jeune garçon qui voulait avoir des sous pour bouffé.
— je ne sais pas si j'ai des pièces, mais... Pourrais-tu nous enmener dans un endroit où nous pouvons laisser notre petit mammouth ? Il a dit, Zenzouilli.
— en fait... Euh.. Je ne crois pas qu'il y ait assez d'espace ici pour placer cet animal... Il prit un moment pour réfléchir et dit: Ah! Je connais un terrain pas trop loin d'ici, ce serait pas l'unique endroit pour le mettre, suivez moi!
Les deux compagnons se regarde les uns les autres et le suivit.
— alors, quel votre nom?! Questinna la jeune fille à Bassoul.
— mon nom est : Philippe ! On m'appelle aussi " le grand Bassoul. " il a répondu, le gros. Son visage pleins en égratignures et le nez un peu écrasant.
— pas mal comme prénom. Onema et Zenzouilli se lassant de rire, marchaient tranquillement.
— et vous ? Je crois avoir te voir déjà ici, tu vivais ici, non? Demande t-il à Zenzouilli.
— possible ! Répondit-il.
— tout à l'heure tu as que tu peux nous aider à retrouver des objets perdus, tu fais comment ? Lui demande Onema, un peu curieuse.
— et bien.. Ma grand-mère m'avais appris un petit truc de la magie et dès lors, je suis capable de faire ça sans perte de temps. Il a répondu, Philippe.
— si je comprends bien, tu utilise la magie simplement pour de la nourriture ! Elle a rétorquée.
— pas forcément mais... Oui. Avoue t-il.
— tu aurais plutôt trouver quelque chose d'autre ! Tu n'as pas de ressemblance d'un vrai enchanteur. Elle a dit.
— pourtant, ça m'a l'air ! Retorqua Philippe qui fit un court sourire. Ils avaient pris un bon moment, cessant de trop parler, puis, quand ils furent arrivés, Onema accroche l'animal, prenant quelques trucs avec et ils en donnèrent deux pièces à Philippe.
— vous avez l'air d'être vécu d'une famille riche, vous. Dit à Onema.
— notre richesse n'est pas là où les hommes ont en fait leur propre cimetière. Répond Zenzouilli, confiant.
— et maintenant, on fait quoi ? Leur demande Philippe.
— toi tu vas chercher ton pain et nous, nous allons poursuivre notre chemin. A-t-elle répondue, Onema de ses yeux chiré.
— bien ! Dit-il. On se reverra ! Il a ajouté, Philippe.
Après le départ passif de Philippe, ils se mettent à marcher, apportant une valise et quelques autres choses qu'ils auraient besoin pour s'acquitter de leurs besoins.
— alors, on va où maintenant ? Interrogea Onema à son ami.
— chez moi. Il a répondu. C'est la seule endroit où nous pouvons passer des séjours en attendant que nous arrivons à découvrir la raison pour laquelle la sorcière va venir ici. Prolonge t-il.
— ouais, j'ai hâte moi aussi de savoir pourquoi elle se tient à cette ces pauvres villageois.
Le temps était calme et tout le monde vaquaient à leurs activités, particulièrement, les hommes esclaves qui ne cessent jamais de travailler pour leur maîtresse.
Quand ils furent arrivés, Zenzouilli ouvrit la porte de la maisonnette qui contenait des toiles d'araignées un peu partout à l'intérieur.
Ils ont déposés leurs affaires sur la grande table et le bonhomme bleu avec son chapeau noir s'est approché par devant un tableau contenant la peinture qui dessinait ses parents d'enfance et lui au milieu d'eux.
— mais... C'est toi! C'est beau ce tableau. Elle a criée, Onema. Elle s'est jetée contre lui et fut un baiser d'amour, cette fois, Zenzouilli avait mis les pieds sur terre, il avait compris que lui aussi avait des sentiments pour sa petite amie qui lui a prouvé les siennes sans vouloir lui dire ce qu'elle avait réellement dans le cœur.
— pourquoi tu as fait ça ? Il a demandé à sa copine.
— et bien... Parce que tu le mérites ! Elle a répondu de sa voix douce et mélodieuse.
Zenzouilli se tait cette fois, et il avait prolongé ce baiser d'un tendre regard.
— arrête, arrête ! Elle a dit en repoussant son ami. Nous devons reprendre la quête et en terminé, après cela on aura tout le temps qu'on veut pour passer des moments ensembles.
De son corps sexy, ses large hanches et ses grandes fesses, Onema savait que la caprice fait partie de l'une de ses défauts comme tout les autres femmes du monde ; cependant, elle voulait aussi l'éviter pour ne pas lui faire de mal à elle-même durant le moment où l'amour s'impose, de ce fait, elle l'avait ressaisi et le serrer fort contre son cœur et son corps.
Zenzouilli, de son côté, il avait compris cet ses doux baisers lui avait rendu beaucoup plus fort, il consentit cet amour comme ce qu'il y avait de plus spécial dans sa vie et dans toutes ses parcours.
Toc! Toc! Toc! Quelqu'un qui frappe à la porte.
— je vais voir qui c'est. Dit-il à sa petite amie.
Il s'est en aller ouvrir la porte, Onema, elle, prit un chiffon et essuyer la table contre la poussière pour arranger leurs ustensiles.
— mince ! Tu nous a suivi ! Clama Zenzouilli, surpris de voir Philippe devant la porte.
— euh... Je crois que pour les pièces cela ne vaut pas beaucoup pour moi, je me suis dit que peut-être qu'on pourrait se balader un peu... Si vous voulez ! Il dit en grattant les cheveux noirs comme le charbon et courts comme les allumettes.
— je ne crois pas, non. Répondit-il, Zenzouilli. Mais... Au faite, si tu nous avons besoin de toi tu peux nous dire où on peut te retrouver ! Avance Zenzouilli.
— et bien... Pas trop loin d'ici il y a une bergerie et la maison est juste à côté, passe me voir quand vous voulez. Reprit le gros bison.
— d'accord ! Merci beaucoup et... À toi plus !
— à plus. Répondit le jeune homme qui s'en alla.
Zenzouilli s'est retourné en fermant la porte, ensuite, il alla retrouver sa petite amie qui avait déjà tout vider sur la table et essaie de les placer dans la pièce.
— c'était qui? Lui interroge Onema, elle était juste entrain de place une boîte qui contenait quelques objets et un petit chaudron en cas de besoin.
— Ah! C'était le gros. Il a répondu, rediriger le pas vers la fenêtre juste à côté de la l'entrée de la maison.
— Ah oui ! Il nous a suivi jusqu'ici ? Et que voulait-il? Demande t-elle son copain. Elle, abandonnant les arrangements, vint vers son ami qui regardait le voisinage par la fenêtre; elle passa ses mains autour de son cou, respirant l'odeur de son parfum et dit: “ tu es tellement mignon. "
Zenzouilli répondit : il était venu nous accordé son aide au cas où on en aurait besoin mais... Je trouve que c'est nulle.
Disant cela, une vieille dame était entrain de passer dans la prairie, soudainement, elle fit un regard vers la fenêtre et rit.
— hé! Tu vois cette vielle dame? Demande curieusement Onema.
— bien sûr ! Pourquoi ? Demande t-il en regardant la vielle s'en aller.
Elle était couverte d'une grande robe marron foncé et une cap sur la tête.
— elle a l'air bizzare, je ne sais si je me trompe de vue mais... Elle m'a donné un visage un peu familier. Un fait qui semble vrai, c'était la personne à qui ils voulaient faire face et affronter ; la sorcière était venue comme l'avait prédit la vielle femme géante, mais, elle avait pris la forme d'une vieille et elle le faisait toujours quand elle ne veut que personne ne savent qu'elle est présente quelque part.
Abitana se fesait passée pour cette vielle parce qu'elle voulait savoir si les soldats qui travaillaient pour elle n'avaient pas l'intention de lui rebeller; mais aussi, il y a une grande école dans la ville et c'est là qu'elle exige qu'on amène les enfants et les jeunes pour leurs faire travailler dans un grand atelier de collection et de bijoux.
De son côté, Abitana se demande pourquoi y'a t-il toujours des jeunes gens libre dans les coins et son inspection lui allait pousser à envoyer quelques de ses soldats à venir les capturés et les emmener à " Quazaquanto " la grande école transformer en bijouterie et une espace de collection de toute sorte. Quand certains des jeunes ou des enfants refuse de travailler, elle les emmènent avec elle et les jeter dans une cave où le dernier lion des taverne séjourne en faisant face à son grand vieillissement.
D'une précieuse inclination, Onema lui serre encore plus fort que jamais, et Zenzouilli fit fermer le rideau et l'embrasse à cœur ouvert.
Plus tard, quand tomba la nuit, ils étaient tous les deux couchés dans leur lit, quand tout à coup, les hommes de la sorcière poussèrent agressivement la porte de la maison où ils dormaient et les envahissent.
Les hommes prirent les deux jeunes qui profondément, dormaient dans leur lit et les emmènent à la grande école transformer en un atelier pour la sorcière.
Arrivés à l'atelier, ils les mirent dans une cage et les spartans s'en allèrent.
— qu'est-ce que cet endroit ? Questionne la jeune fille à son ami.
— je ne sais pas, ça ressemble à une école, peut-être quelque chose comme ça ! Lui chuchote t-il à voix basse. Et soudains, quelqu'un leur répondit d'une surprise.
— cet un atelier pour la sorcière. Il a dit Philippe qui lui aussi était enfermé juste à côté d'eux.
— mais... C'est Philippe ! Lança Zenzouilli.
— la sorcière s'en prend à nous tous, elle veut que tout le monde soient passer pour ses esclaves. Il a chuchoté, le gros.
— c'est injuste ! Elle a dit, Onema. Éh! Tu as mis où ton instrument magique ? Demande Onema à zenzouilli en lui chuchotant. Heureusement, ils étaient tous deux dans le même café et ils pouvaient discuter d'autant qu'ils le pouvaient.
— je l'ai toujours apporter avec moi. Répondit-il à sa copine.
— surtout, ne fait pas usage, on a peut-être une chance de nous emparés d'elle une fois que nous sommes sous ses mains. Avance t-elle en s'appuyant sur les jambes de Zenzouilli.
— ouais, c'est sûr. Il a répondu calmement.
Ils étaient tous endormis quelques minutes plus tard...
" Réveillez vous ! Lança un de ses gardes qui frappe les grille par des coups de fer. " ils fit sortir les trois jeunes gens qui étaient enfermés et qui se sont réveillés par les bruits.
Zenzouilli fit un baillement, mais il ne pouvait empêcher qu'un de ses gardes le saisi par les poignets. Finalement, ils les emmenèrent dans la grande salle, où il y avait beaucoup d'enfants et de jeunes comme eux qui avaient commencés leurs travaux de bonnes heures.
La sorcière, de son vrai visage, accompagnée de deux spartans, pénétra la salle et vint vers les trois nouveaux venus.
— bienvenu messieurs dames ! Elle a dit en poussant un sourire traite. Elle portait une grande robe noire et ses cheveux enroulés sous un cap.
— allons mes chers, vous n'avez pas l'idée de ce que votre présence vaut pour moi ici, viens ! Je vais vous montrer ce que vous allez devoir faire pour moi si également vous souhaitez un jour voir le soleil du dehors. Sinon, vous vous ferez peut-être mieux être dévorer par les grands rats des tavernes. Elle a ajoutée en riant.
Les gardes les forces à marcher en suivant la sorcière qui marcha jusqu'à la table vide d'à côté des autres occupés par des autres jeunes qui leur regardait venir et travaillaient en même temps...
Après les avoir tout expliqué, la sorcière leur fit voir les toilettes si besoin et s'en alla.
— tu vois ce que je disais ! C'est peut-être elle, la vielle qui fesait le tour de la ville. Chuchote Onema à zenzouilli.
— ma grand mère me disait toujours que depuis un certain temps, cette sorcière prenait la forme de qui elle veut. Répond Philippe qui était juste à une autre table. On leur avaient séparer, sauf les deux qui étaient toujours ensembles dès le début.
— ouais, ça lui ressemble. Il a susurrer, Zenzouilli.
— écoute zenzouilli, je trouve que ce genre de pierres qu'elle utilise pour fabriquer ces bijoux son très rare, je pense qu'elle a peut-être quelqu'un d'autre qui travail pour elle. Marmonna la jeune fille.
— je ne sais pas vraiment, tout ce que je peux dire, c'est que ces braves gens sont privés de leur liberté pour lui fournir tout ce qu'elle demande, c'est vraiment pas normal. Il a répondu, le bonhomme bleu.
— euh... J'ai un petit truc qui m'interesse après tout ces travaux qui... Sont merveilleux après tout, mais... Vous savez, je m'interesse beaucoup à des objets rares et certainement ce gamin peut m'être utile d'une autre manière. Dit la sorcière en arrivant.
Zenzouilli, devenu inquiet, regarde sa copine qui lui fit la même chose à son tour.
— oh non! Je pense qu'elle parle de toi. Chuchote Onema. Il ne faut pas que tu te panique, il ne pourra pas te faire du mal. Elle a ajoutée.
— aller les gars, emmène le avec moi. Lança Abitana qui se retourne après ces mots; les gardes ont saisi Zenzouilli par le bras, et il criait : " lâcher moi! Mais... Lâcher moi bande de nuls!
Ils le prirent avec eux et l'emmèna comme les avait ordonné la sorcière.
Onema, ayant vu cela, courut dans les toilettes et se change en ce petit animal ; mais quand elle était sortie elle était obligée de courir pour retrouver le gamin qui était déjà enfermé dans une cage derrière un chariot.
Elle avait sauter dessus pour ne pas le laisser partir tout seul, et quand il l'avait vu, zenzouilli avait un peu soulager mais quand même, il ne voulait pas que ça se complique et qu'il leurs arrive de grave choses à tous les deux.
— tu devais y rester là-bas, pourquoi tu as fait ça ? Il a demandé au petit hamster.
— parce que je dois t'accompagner n'importe où tu vas, je ne te laisserai jamais seul pour qu'on puisse te faire du mal. Elle a répondu de sa voix douce.
— je crains qu'elle parvienne à nous tués. Dit-il.
— non! Ne dit pas ça. D'ailleurs, nous avons de quoi nous en servir. Elle a répondue. Écoute, utilisant la baguette, tu peux te libérer de cette cage. A-t-elle ajoutée.
— Ho! Si, c'est vrai ! Mais quand il allait faire le moindre mouvement, il se rappelle que ses mains y étaient attachées.
" mes mains ! Dit zenzouilli en désespérant. La petite animal se tourne et se retourne, mais, elle n'en trouva point le moyen de se faire échapper...
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