Chapitre 4
Zenzouilli, la bulette et les deux tigres-roche
La vieille dame géante pris le poignard et le mis dans le chaudron bouillant et pris la baguette...
— terrre! C'est quoi ça ?! Elle regarda la baguette presque cassée à cause de leur chute dans le trou du méchant géant, puis, la répara en faisant une deuxième.
Le géant amène les deux amis à manger, accompagné de la dame qui était sans doute sa femme, dégustant leur repas, ils n'avaient aucune crainte ni raison d'avoir peur.
Pendant qu'ils mangeaient, la vieille dame géante entra dans la pièce et s'approchant avec les dents gâtés apparues par un sourire grave.
— et voilà ! Ceci est votre baguette mon cher cavalier et voici cet anneau qui vous servira de protection même si vous ne portez pas la baguette avec vous, avec cet anneau, peut importe là où elle se trouve elle viendra quand tu es en danger. Affirme la géant vielle sorcière de sa voix grâve comme le cri du tonnerre.
Elle leurs avaient remis les deux armes qui, étaient conçu pour le chaperon qui les ai pris et les plaça.
— maintenant nous sommes libre de partir ? Demande la jeune fille d'une fierté et une ferme assurance.
— avant tout, permettez-moi de vous annoncer que le cible que vous cherchez sera chez vous, je veux dire : dans votre ville. Reprit la vieille. Et c'est là que vous allez le trouver héhé ! Confirme t-elle en repartant.
— Ah! Il paraît que maintenant vous êtes libre de partir ! Lança la grande femme qui fesait le ménage. Elle avait de longs cheveux, vêtue d'une grande robe et son visage paraissait très familier à ceux des humains. Le géant à quatres mains était à côté de la table, il avait apprécié cette rencontre et il était heureux de pouvoir donner son coup de main.
— je souhaite que vous arriverez à libérer nos compagnons et ayez du courage. Il a dit à ses deux jeunes qui se sont lancé dans cet aventure.
— merci beaucoup à vous et à toute votre famille, c'était une immense plaisir ! Répondit le jeune homme qui avait pris confiance et se dit prêt à se battre.
— peut-être qu'on se reverra un de ses jours. Rétorqua Onema, elle arrange sa petite valise en faisant le premier pas.
— à bientôt ! Il a crié, le géant.
Quand il furent sortir du portail des géants, ils aperçoivent le petit mammouth toujours acrocher au caravane, éleva ses deux pattes d'avant pour saluer la présence de sa maîtresse et son compagnon.
Ils s'étaient arrêter pour regarder l'animal, ils se sont regardés l'un à l'autre et Zenzouilli pris la main de sa copine puis courut pour monter à bord.
— alors, est-ce qu'on va retourner dans le même chemin pour être pris au piège de ce méchant géant ? Demande t-il à Onema. Ils étaient tous deux assis à côté de la table qu'ils avaient implanter au milieu du caravane et remit en question le parchemin.
— bien sûr que non! Elle a répondue, Onema. La caravane secouait un peu parce-que le petit mammouth le tirait derrière lui en marchant.
Nous allons suivre ce chemin, comme ça nous pourrons éviter d'être pis aux pièges des géants. Reprit-elle, suggérant une route à l'autre côté de la montagne.
Zenzouilli, étant d'accord à son amie, il fit un sourire et lui fit un regard perçant. Onema, avait compris ce regard, elle souhaitait entendre quelque chose, une parole qui avait beaucoup plus de sincérité que toutes celles qu'ils se partage, mais, Zenzouilli préfère garder le silence et alla trouver sa place pour tenir les cordes et redirectionne l'animal.
Au cours de la nuit, ils s'arrêtèrent au milieu de quelques arbustes, là où leur animal se couche pour se reposer.
Les deux jeunes, étant logés dans leur lit, la jeune fille lisait une petite histoire sur les fées, tandis que, Zenzouilli avait les yeux ouverts, les mains pliées sous la tête, prêt à poser des questions.
Soudains, il y eut un bruit semblable au gémissements de chevaux, sauf que là c'était bien plus différent quant à l'animal qui l'avait poussé.
— euh! C'est quoi ça ? Demande Zenzouilli qui quitte son lit rapidement. La bête avançait un peu lentement vers eux et le mammouth se leva puis il avait ressentis l'odeur de son prédateur qui faisait hurler d'autres animaux qui avait pris la fuite.
Zenzouilli pris la baguette et sortit, Onema jette son livre et courut pour l'accompagner.
— je connais l'odeur de cet animal. Elle a dites.
—Ah oui ! C'est quoi? Interroge t-il à son amie qui était terrifiée. La lune ne donnait pas sa pleine lumière, de ce fait, il leur fallait une torche pour voir l'animal.
— vite! La baguette ! Elle a criée. Demande la de nous éclairer. A-t-elle ajoutée.
— " baguette magique de zenzouilli, je t'ordonne de nous éclairer. " puis il éleva le bras vers le ciel.
Une grande lumière apparue dans le ciel et ils pouvaient voir leurs alentours.
L'animal qui s'en approchait, reste un moment immobile et se contente de ses proies.
— " La beulette ! Elle a criée, Onema. " si nous ne débarrassons pas de lui, elle ne va pas nous manquer.
— c'est-à-dire ? Demande t-il, à son compagnon.
— qu'il va nous craquer sans vouloir vider nos os pour être retrouver. Elle a répondue en se mettant en position d'attaque.
— on fait quoi? Demande t-il. L'animal se prépare à sauter dessus de ses proies et ouvrit la grande gueule.
— la baguette ! Demande la de nous protégés. Elle a rétorquée.
— " baguette magique de zenzouilli, je t'ordonne de nous protégés ! Il a crié. Une couverture magnétique bleuâtre glissa au-dessus d'eux et la bête sursauté, comme à tourner tout autour de ce dogme.
— écoute moi zenzouilli, pour manier la baguette, tu n'as pas besoin de parler ou de crié, tu as seulement besoin de savoir ce que tu veux qu'elle fasse et connecter la à ton, puis, tu auras le résultat voulu. Explique t-elle à zenzouilli.
Il regarde la baguette qu'il tient sous la paume et dit : ouais, je comprends.
— pour la couverture, ça va durer combien de temps ? Interroge t-il à Onema.
— euh ! Quelques secondes je crois.
— alors ? Qu'est-ce qu'on fait ? Demande t-il encore une fois.
— je ne sais pas ! À l'intérieur de ce dogme mes pouvoir ne marche pas, parce que ce n'est pas par ma pouvoir qu'il a été créé. Répondit-elle de sa voix tremblante exprimant sa peur.
— d'accord ! Je vais m'en occuper alors. Zenzouilli éleva la baguette et elle s'est transformer en un grande épée. " oups ! Dit-il. "
" non, non! Pas ça, euhm... Oui! " l'épée se détourna en baguette et il fait rassembler des éclairs dans le ciel, pendant que l'animal cherche un moyen à pénétrer pour trouver ses proies, zenzouilli fit rassemblé les courants des éclairs du ciel et les fit tomber sur l'animal.
La bête criait de douleur, les courants le consume comme s'il faisait rôtis un morceau de porc, et la bête, fuit en hurlant et en brûlant.
— Est-ce suffisant de la repousser ? Demande t-il à haute voix. Il y eut des vents comme ceux des phénomènes naturels, c'est pourquoi, il devait hausser un peu leur voix pour communiquer.
— non zenzouilli, il faut continuer sinon, elle va nous dévorer, tant que sa faim ne s'apaise pas, elle ne nous laissera pas la beulette. Répondit la jeune fille.
Soudainement, le dogme s'efface et l'animal, ayant vu cela, essaye de se tourner vers eux, mais, la puissance de l'électricité était trop forte pour elle ; d'un coup, la bête poussa un cri et s'éclate comme de la dynamite.
— enfin. Dit Onema qui poussa un long soupir, exprimant son soulagement.
— ouf ! C'est impressionnant ! Clama Zenzouilli qui se sent fier de sa première victoire.
Le jeune fille lui fit un baiser et s'en alla, surpris, interrompit, il rentra de suite.
Ils étaient retournés à l'intérieur, regagnent leur lit, zenzouilli réfléchi au geste de son ami qui lui a mis sur les lèvres un sourire plein de fierté ; Onema continua sa lecture, et quelques instant après, ils se sont endormis.
Le lendemain, quand jour comme à frapper sur les collines, alors que le mammouth commençait déjà à dévorer quelques arbres et leurs fruits, la clarté avait frappée sur les compagnons à travers les jointures et la petite fenêtre qui était à demie ouverte.
La jeune Onema fit un étirement et ouvrit les yeux. Elle sortit et se rendant à côté de l'animal passant les mains soigneusement dessus.
Quand Zenzouilli fut réveillé, il sursauta et pointant la baguette ; peut-être rêvait-il d'un combat ? Il jette un regard sur l'anneau que lui avait donné la géante, puis, il sortit en appelant Onema qui était déjà dehors.
— que fais-tu? Nous devons reprendre le chemin, car, il nous reste qu'une journée à parcourir. Il a dit à son amie, qui le regardait et sourit.
— oui, je sais. Elle a répondue. Onema quitta l'animal, prenant son ami dans le bras et rentre. Étant à l'intérieur, elle ordonne au petit mammouth qui commençait à grandir de poursuivre le chemin et il le fit.
— est-ce qu'il nous reste assez de nourriture pour faire le parcours ? Elle a interrogée à Zenzouilli.
— je pense ! Répond le jeune homme au teint bleu. Il avait une histoire beaucoup plus grande que celle que ses parents lui avait expliqué, en réalité, c'était des parents qui ne pouvaient pas avoir d'enfants, et soudains, la venue de ce petit garçon bleu leur fut un grand cadeau du ciel.
Ils se sont installés par devant, quelque chose qu'ils n'avaient plus besoin de faire, parce que la magie orientait le gros animal qui marchait sans crainte.
Quelques temps en chemin, ils traversaient une colline dont la route était un peu fermée par deux grands rochers, des oiseaux nicheurs passaient au-dessus et faisait des cris.
— wouah, tu as vu ces oiseaux ? Demande t-il à son compagnon.
— oui, ils sont magnifiques. Je rêve tellement de pouvoir m'envoler un jour pour voir le monde extérieur ! Elle a rétorquée. C'est si beau! Reprit-elle en regardant passé les oiseaux.
— écoute, euhm... J'ai trouvé une peau de tortue à l'intérieur de la grotte, penses-tu qu'elle pourrait être sujet à quelque chose de spécial ? Il a demandé, Zenzouilli. Posant cette question, une grosse pierrre brandit, sortant de quelque part dans les coins.
— euh...! Attend ! Lança la jeune fille.
— quoi? Tout de suite, l'animal s'est arrêter de marcher.
—ce sont des pierres ensorcelées. Vites! Descendons. Elle a criée en sautant par terre. Zenzouilli fut saisi d'un frayeur et descend en faisant la même chose.
Les deux roches se sont mis à quatre pattes, grinçant leurs dents et se mettent près à attaquer.
— ça alors ! Des tigres roche ! Il a dit zenzouilli, surpris de voir que c'était des tigres faites en pierres.
— exactement ! Lui répond Onema. Cette fois, je m'en occupe ! Ajoute t-elle.
Zenzouilli inspire, la baguette était à l'intérieur, elle est venue sous sa paume, le fit changer en épée.
— il n'y a pas question. Il a dit, l'épée à la main.
Ils courrent à la rencontre des deux rochers ensorcelés, Zenzouilli et Onema combattants les deux méchants ennemis jusqu'à leur ruine.
Ils étaient sortit vainqueur, Onema avec ses pouvoirs de magie et Zenzouilli lui, il s'est mis à combattre comme un vrai guerrier sans avoir utiliser les pouvoirs de la baguette magique.
Ensuite, après la ruine et l'écrasante combat des deux tigres-roche, ils reprirent le chemin et Onema avait ressentis une telle satisfaction.
— tu mani bien ton épée. Elle a dit calmement.
— je ne sais pas comment j'ai pu le faire mais... Je l'ai fait ! Répondit-il d'un large sourire.
— tu me disais quoi tout à l'heure ? Elle a demandée, Onema.
— en fait, ce n'est pas trop important. Dit-il.
Onema sourit et dites :
— tu es mignon. Tu sais que tu peux me faire confiance, je suis là uniquement pour toi. A-t-elle précisée.
— ouais. Il a répondu d'un ton sec.
La jeune fille exprimait de grave sentiments pour son ami, elle ne voulait pas lui avouer la vérité, pour empêcher qu'il soit déconcentrer, encore plus, pour le proteger. Alors, ils continuent le chemin jusqu'à Basthène...
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